Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne (4)

- Par l'auteur HDS Elina -
Récit érotique écrit par Elina [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne (4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-03-2017 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Chloé/Elina rencontre des joueurs en ligne (4)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Après la soirée de bacchanales, transitionou« Quand Chloé laisse sa vie lui échapper et décide de devenir Elina »
J’ouvre les yeux, je suis toujours dans le noir, les yeux derrière le bandeau que l’on m’a posé lorsque je suis arrivée.
Je n’entends pas un bruit mais ce n’est pas cela qui me surprend le plus.
Je suis à nouveau suspendue à la croix sur laquelle j’avais déjà été écartelée à mon arrivée bras et jambes écartées.
Mes poignets et mes chevilles sont serrés très forts avec des liens de cuirs qui me coupent la circulation sanguine.

J’ai dans mon vagin des boules de geishas et dans mon anus un gode : tous les deux vibrent.
En plus des pinces que j’ai depuis le commencement, j’ai maintenant des pinces sur mes grandes lèvres et une pince acérée qui comprime la langue que je possède à l’entrée de mon abricot.

Je veux crier car, là, ça va trop loin, mais aucun son ne sort de ma bouche : je bave car on m’a placé un objet de torture tel que j’en ai vu sur les sites pornographiques : une boule qui me maintient la bouche grande ouverte, qui m’empêche de parler, de crier, d’appeler au secours, qui m’empêche de respirer normalement par la bouche.

Prise de panique, je me mets à pleurer et prise de spasmes, les sécrétions que secrétait mon nez se mêlent à la bave et aux larmes. J’aurais voulu m’essuyer mais je ne le peux pas.

Il faut que je retrouve mes esprits et que je réfléchisse, la panique ne m’apportera rien.

Je me calme donc, je cesse de pleurer, de tenter vainement d’arracher des liens, qui, je le sais, ne rompront pas.

Je me concentre à faire le moins de bruit possible en respirant et doucement et en ne bougeant pas.

Je crois percevoir une respiration à peine audible et le mouvement léger d’un corps qui effleure un canapé, un lit ou un coussin.

Ainsi, je ne suis pas seule ?

Quelle heure est-il ? De quel jour ? Depuis combien de temps suis-je là ? Combien de temps cet homme va-t-il me garder prisonnière ? Que va-t-il me faire ?
A-t-il pour projet de me tuer ?

Mon ventre est noué par la peur.
J’alterne entre périodes durant lesquelles je me débats vainement et temps d’acceptation où je ne bouge ni ne cherche à crier.

Quand je suis calme je sens bien les vibrations des objets électriques qui ont été introduits dans les deux orifices qui sont sensibles aux mouvements et qui savent déconnecter mon corps et ma tête, les orifices qui sont la porte d’entrée de l’univers où je suis une chienne déchainée.

En tendant l’oreille, j’entendis dans un appartement voisin un couple qui fait l’amour tendrement. Les murs de cette cité ne sont pas bien épais et j’entends presque tout ce qu’ils se disent. Il lui dit qu’il la trouve belle, elle sa femme, sa promise, son unique, il lui dit combien il la désire, elle et aucune autre, il sait qu’elle est pure et il aime en elle sa fidélité, sa pureté et que ça lui donne envie d’elle.

Elle lui répond qu’il est beau, qu’elle lui appartient toute entière, qu’elle n’a jamais appartenu à aucun autre et n’appartiendra jamais à aucun homme car il la comble d’amour et de tendresse, il a d’elle une femme à la fois digne et sexuellement apte à le satisfaire et satisfaite elle-même.

Après ces préliminaires, j’entends des bruits de baisers fougueux, de sucions puis il a dû la pénétrer car elle gémit tandis que le lit grince et que la tête de lit tape contre la cloison.

A les attendre baiser, à nouveau, mes orifices, que les vibromasseurs titillent en permanence se contractent comme si mon cœur battait non pas dans ma poitrine mais entre mes cuisses. Je frotte mes hanches contre la croix en bois sur laquelle j’étais écartelée, j’essaie de ressentir plus les sex-toys mais si leur vibration est agréable et excitante, elle me laisse frustrée. Privée de mains et de queues qui m’assaillent, qui s’enfoncent en moi ou malaxent mon bourgeon charnu, je suis privée d’orgasme, je suis en état de désir fou permanent et je ne suis la femelle de personne, ce qui m’est plus douloureux que les pinces à seins ou les liens autours des poignets et des chevilles.

Ces ébats lointains rappellent ceux de Chloé mais le corps qui est à nouveau tordu de pulsions de démence animale est le corps d’Elina.

Je reconnais les coups de boutoirs aux bruits qu’ils font contre le mur et j’entends qu’ils s’accélérèrent. Elle feule la première et quand il gueule son extase, elle accueille son trop plein jute blanche en lui criant : « Donne-moi tout, je suis à toi ! » ».

Je n’en peux plus. Ma chatte est douloureuse de cet insoutenable désir de queues entretenu par les voisins qui baisent et par les objets qui m’excitent les parois de mes parties sensibles.

Pour passer le temps et faire patienter mes désirs, je me remémore les bacchanales d’avant mon profond sommeil et j’ai, par moment, l’impression qu’il s’agissait d’un rêve sauf que mon corps me fait bien sentir comment il revit avec bonheur ces scènes où il avait pris le dessus sur l’intellect bien rangé qui était le mien.

Mon corps déchainé s’est résigné à l’immobilisation totale qui dure depuis des heures au point que mes membres sont terriblement douloureux, mon corps accepte tout pourvu que mon cerveau ne reprenne plus le dessus.

Les souvenirs défilent encore et encore quand soudain Il s’approche de moi.

Je ne sais rien de Ses intentions et je suis terrorisée. Si j’avais été détachée rapidement après mon réveil, j’aurais peut-être enlevé mon masque, je me serais enfuie, j’aurais mis un terme à cette expérience qui, je trouvais, été allée trop loin.

D’avoir entendu ces voisins crier leur jouissance ainsi que cette attente qui dure depuis des heures générant douleur des poignets et des mains, des chevilles et des pieds immobilisés, engourdissement généralisé de tout mon corps, d’avoir senti les objets vibrer en moi entretenant un état d’excitation permanente ; tout cela a annihilé en moi mes capacités à résister à l’Agresseur.

Je Lui sais gré de vouloir bien s’approcher, enfin, de moi, minable objet indigne d’intérêt.

Sans mot dire, Il me gifle.
Sans mot dire, Il tire violemment sur les pinces au bout de mes seins dont je ne sais même plus s’ils sont infiniment douloureux ou complètement insensibles.
Sans mot dire, Il fait claquer le fouet sur le sol, puis comme je m’y attends en contractant les muscles de mes cuisses et de mon ventre, Il le fait claquer de deux coups très secs entre mes cuisses écartées, sur ma protubérance charnue.

La douleur est fulgurante mais elle me semble tellement préférable à l’immobilité et à l’attente !

Il s’éloigne, j’entends l’eau couler dans la baignoire.

Il me détache. Je voulus me mettre sur mes deux pieds mais mon corps ne peut plus me porter. Mes membres ont atteint un point de tétanie extrême.
Le sang qui afflue soudainement dans mes mains et mes pieds provoque une autre sorte d’engourdissement, ce qu’on appelle « des fourmis ».

Il me fait me relever d’un coup de pied qu’il me donne dans les reins. Je me relève tant bien que mal, mes jambes me portent difficilement, il me pousse jusqu’à la salle de bain, jusque ce que mes pieds butent contre la baignoire. Il attrape ma main, la pose sur ma chatte puis sur mon œillet.

Je me doute que je vais prendre un bain car je suis répugnante à cause de tout ce foutre que j’ai reçu en moi et sur moi, de ce foutre que des hommes ont tenu à éjaculer en faciale pour se sentir puissant devant la poufiasse de la soirée.

Je retire les boules de geishas en tirant sur la ficelle qui dépasse de mon vagin et je déguste avec plaisir le passage de chaque boule qui sort de ma chatte.
Je retire de mon cul le gode ventouse vibrant. Je cherche un endroit pour poser les deux objets gluants de tout ce dans quoi ils ont trempé dans mes parties intimes.
En tendant le bras, je trouve un plan sur lequel je les pose.

Il me pousse fermement dans la baignoire. A ma grande surprise dont l’eau est glacée. Je meugle à travers la boule mais le son ne sort pas.

Je pousse un cri, lui aussi étouffé par le bâillon.

Qu’ai-je cru ? Qu’il allait me plonger dans un bain bien chaud ?

Il entreprend de me laver, sans douceur. Il est vrai que ce corps de femelle a été souillé par tant de déjections d’hommes en rut, il est vrai que tant de foutre a inondé ma chatte et mon cul et qu’on m’a « tartiné » le surplus partout sur la peau du corps, du visage, jusque dans les cheveux. Il est vrai qu’ils ont bien ri de me faire lécher les doigts qu’ils plongeaient dans un trou duquel coulait du sperme frais. Le reste était étalé parfois formant des dessins et des lettres qui les amusaient.

Il passet le savon partout, sur mon visage et sur mon corps ainsi que dans mes cheveux. Sa main vient tout spécialement nettoyer mon intimité, celle que j’avais offerte de manière impudique à ces mecs tellement j’étais ivre d’alcool, ivre de sexe, ivre de bites, ivre de sperme.

Quand je sens Sa main se glisser entre mes cuisses, entrer sans délicatesse dans ma fente afin de récurer de cette eau glacée toutes les déjections que j’ai non seulement acceptées mais recherchées, mon corps a de nouveau pris le dessus sur mon esprit.

Mon bassin se met à onduler, mes cuisses s’écartent, mon antre s’offre à Sa main qui n’a pourtant aucune douceur pour moi mais voyant comment je réagis, Il se met à entrer et sortir Ses doigts avec une rapidité accrue en prenant soin d’égratigner les parois de mon vagins au passage.
Quand Il estime que ce passage est assez propre, Il me retourne et nettoie avec la même autorité mon fion qui a lui aussi bien besoin d’être débarrassé de toutes ces impuretés.

Il glisse trois doigts et je me mets en levrette, relevant une jambe que je pose sur le rebord de la baignoire afin d’être complètement ouverte pour lui.

Il continue de me ramoner le cul avec ses trois doigts et il en ajoute un de plus. Je me sens maintenant propre à nouveau, bien fraiche grâce à l’eau froide et mon corps a retrouvé toute sa bestialité ; il la manifeste en s’ouvrant au maximum, chatte et cul, et en accompagnant les mouvements de la main qui fait des va-et-vient rugueux et appuyés dans mon rectum.

L’homme silencieux doit tout de même être un peu remué par ma capacité à redevenir aussi vite une chienne avide de s’offrir car mon ouïe affinée par l’absence de vision perçoit quelques respirations un peu plus fortes.

Il pose Sa seconde main sur mon abricot certes mouillé mais juteux déjà des sécrétions produites de l’intérieur, dans l’attente de servir les désirs de Celui qui avait autorité sur lui.
Il malaxe la turgescence épaisse pleine de sang qu’Il a dégagée de ses doigts experts et, malgré l’absence totale de tendresse dans le contact, mon clitoris est reconnaissant de ce traitement de faveur.

Il enfile les doigts de cette main dans mon vagin, lubrifié de mon désir de putain excitée comme une truie en chaleur qui aurait senti un mâle derrière elle.

J’ai des doigts qui coulissent dans mon conduit anal en même temps qu’Il exacerbe mon point G. J’écarte autant que je peux la cuisse que j’ai posée sur le bord de la baignoire jusqu’à la lever en l’air, ne reposant sur rien car je me veux ouverte, offerte, complètement à Lui, disponible.

Il joue avec la synchronisation de Ses bras. Les va-et-vient sont tantôt effectués en même temps : je suis pénétrée par les doigts devant et derrière en même temps et je suis vide des deux orifices en même temps attendant quelques secondes d’être à nouveau prise par ses doigts selon Son bon vouloir. Tantôt il désynchronise : il fait entrer les doigts d’une main tandis qu’il retire les doigts de l’autre main.

L’effet de surprise me rend dingue d’autant qu’il n’oublie pas de tirer ou d’écraser mon bouton de rose.

Ce traitement ne tarde pas à me faire monter jusque dans les contrées où l’on flirte avec l’orgasme et après avoir profité pleinement de ces instants intenses durant lesquels on est au bord, tout au bord du moment suprême, je finis par me cambrer, plus encore et à hurler, telle une démente, les spasmes qui se répandaient en moi… sauf que de ma bouche, seuls des sons étouffés sortent à cause de la boule-bâillon que j’ai toujours dans la bouche.

Des gifles s’abattent bruyamment sur mes joues, données avec tellement d’élan que ma peau me brûle.
Il y a des bagues sur Sa main qui me blessent quand Il frappe avec le revers de Sa main.

Il frappe de toutes Ses forces, cela dura longtemps.
Je ne sais pas pourquoi. Parce que j’ai tenté de crier ma jouissance ? Parce que j’ai joui peut-être ? Mais c’est Lui qui a déclenché cette déferlante de vibrations en moi en travaillant mes trous !!!

Je me demande QUI Il est. Qui Il est dans la vie et Qui Il est parmi mes correspondants dans le jeu et sur Kik, la messagerie anonyme que nous utilisons.
Etait-Il le Maître de la soirée ?
Je me demande ce qu’Il attend de moi tout en m’imaginant avec délice Lui appartenir et vivre à Ses pieds et devenir Sa chose qu’Il baise à Sa convenance.

Il me sort de l’eau glacée, me fait me lever et rester debout sans même me proposer une serviette pour me sécher. Je grelote.

Il enlève le bâillon et met sa main sur ma bouche immédiatement afin que je comprenne que je n’ai pas le droit de parler.

Il pose sur mes lèvres, comme on l’avait fait hier, une bouteille d’alcool fort, de la vodka sans doute, et Il lève la bouteille me faisant comprendre que je devais boire. Je bois quelques gorgées et je fais montre de m’arrêter. Immédiatement je reçois un choc électrique sur le clitoris et je hurle. Il est aussitôt suivi d’un second choc donné sans doute avec un couteau de chasse électro. Je ne crie plus mais ne peux retenir une plainte qui est, je m’en doutais, suivie d’un troisième choc électrique, sur mon pubis, soigneusement épilé, cette fois.

Je me garde bien d’émettre le moindre son et j’ouvre grand la bouche : je comprends que Sa volonté n’a pas à être contestée. Je bois autant du liquide brûlant qu’Il le souhaite, je ne sais pas quelle quantité, je sais juste que ça me dévaste l’œsophage, l’estomac et que très vite la tête me tourne parce que je ne bois jamais d’alcool.

Il me remet le bâillon. Je commence à comprendre qu’il n’y aura certainement pas de mot échangé entre nous.

Il me fait avancer sans plus de précautions en me tirant par les cheveux. Je suis surprise, je trébuche d’autant que ma tête tourne.
Il me pousse sur un lit et me fait mettre à quatre pattes, en levrette.

Je sens Ses doigts pénétrer mon œillet et, ne demandant que cela, je creuse mes reins et écarte mes cuisses, ouvre mes trous à bites du plus que je peux.

Ses doigts commencent à aller et venir facilement car ma rondelle lubrifiait facilement tellement elle est insatiable. D’abord trois, il enfile ensuite quatre doigts qui entrent sans difficulté faisant naître dans mes parties intimes des vagues de plaisir qui me submergent et me rendent, à nouveau, alcool aidant, complètement hystérique.

J’ondule, je remue le cul telle une damnée quand je sens Sa main s’arrondir pour entrer Son cinquième doigt.

Il retire Sa main me laissant vide, le trou béant et j’entends un bruit de caoutchouc qui claque. Mon cul reste bien ouvert et je relève un peu la tête pour présenter mon dos plus droit, moins creusé.

Il posa à nouveau sa main arrondie et désormais protégée par un gant de latex directement dans mon fondement qui était resté largement offert et entreprend de la faire entrer sans me blesser mais sans me respecter non plus. Respecte-t-on la salope dont on fiste, non pas la moule mais le rectum ?

Qu’importe ? J’allais faire en sorte que cette main puisse pénétrer toute entière dans mon cul de femelle lubrique qui avait renoncé à toute dignité de femme libre et qui se satisfaisait d’être l’objet trous à prendre qu’il était devenu.

La démence qui me fait baver des litres d’eau par la bouche me fait aussi balancer mes hanches frénétiquement de droite à gauche et de gauche à droite permettant ainsi à la main d’avancer un peu à chaque mouvement.

Il ne faut pas longtemps pour que la main ne soit enfin entrée complètement jusqu’au poignet ce qui ne calme pas ma frénésie, au contraire. Il se met à me limer le fion avec son poing comme l’aurait fait une bite monstrueuse, entrant et sortant, très durement et très vite, ce qui me rend à nouveau chienne, truie, vache sous le mâle, incapable de contrôler mes pulsions. Ma tête ne m’appartient plus, je suis ivre, je suis en transe et le va-et-vient du poing qui me fiste les entrailles déclenche un orgasme si fort qu’il s’écoula de mon clitoris un liquide chaud et abondant.

J’ai joui du cul et j’ai joui de la chatte en même temps.

Il retire son poing et je goûtai, brûla l’anus béant un fois encore, de la lame de son couteau électrifié qui me. Sans doute pour me faire payer ma jouissance animale. Etais-ce ce que je devais comprendre ?

J’avais déjà lu des textes sur les femmes fontaines mais je ne savais pas que cela pourrait m’arriver. J’avais d’abord cru avoir uriné mais après avoir touché et porté le liquide à ma bouche je fus certaine que j’étais bien capable moi aussi de jouir tellement fort du cul que j’éjaculais du clito.

Mais pas le temps de me remettre de cette déferlante qu’à nouveau Il m’enlève la boule-bâillon, s’empressant de poser sa main devant ma bouche.
Je comprends que je dois me taire.
Il me menotte les poignets dans le dos.

D’un coup de pied dans les tibias Il me fait tomber à terre et me tirant par les cheveux me met à genoux, à genoux devant Lui, à genoux à Ses pieds. Je Le hais à ce moment-là mais j’ai envie d’être exactement ce qu’Il veut que je sois pour Lui… Ah !!! Si seulement Il daignait me parler…
Mes questions trouvent rapidement réponse car ce qu’Il attent de moi à ce moment précis est assez facile à comprendre. Je suis à Ses pieds, à genoux et je viens de sentir Sa queue longue et épaisse, bien dure, me fouetter le visage, plusieurs fois, toujours sans un mot.

J’aime la dimension de sa bite, longue et d’une belle épaisseur, je sens que c’est un sexe circoncis ce qui me plait. J’aurais aimé l’avoir en moi, dans ma chatte ou dans mon cul. Peut-être l’avais-je satisfait, hier, sans le savoir ? Peut-être avait-t-il répandu sa semence en moi ?

Pour l’heure je m’apprête à lui faire une pipe magistrale comme j’aimais à montrer que je savais faire. Je voulais l’impressionner. Dommage que mes mains aient été entravées dans mon dos, pensais-je, car j’aurais pu lui faire encore plus de bien en lui malaxant les couilles.

Désireuse de montrer que j’étais une bonne salope digne d’intérêt, j’ouvre grand ma bouche et à tâtons, dans l’obscurité dans laquelle je me trouve et privée de l’usage de mes mains, je cherche à engloutir l’impressionnante verge de Celui que je voudrais pour Amant.

Ce n’est pas ce qu’Il a imaginé pour moi, Il ne se laisse pas attraper par ma bouche affamée de bites, Il me gifle, pour me rappeler que je n’ai pas à prendre d’initiatives.

Il attrape ma tête par les cheveux avec ses deux mains et s’en sert comme un homme se sert de la chatte d’une pute, en faisant des aller-retours en force. Il s’enfonce dans l’orifice qu’Il a choisi de saillir et en ressort tandis que Ses mains puissantes immobilisent ma tête.

Ce n’est pas une fellation, mais le viol de ma bouche. Son chibre s’enfonce au plus profond de ma gorge, buttant jusqu’à ma luette, provoquant des réflexes de haut-le-cœur. Par vice, Il lui arrive de me boucher le nez pendant qu’Il reste planté tout au fond de ma gorge. J’essaie d’ouvrir plus grand ma bouche pour avaler un peu d’air mais Son sexe est si gros…
Je le trouve particulièrement endurant. Il me lime depuis plus d’un quart d’heure et j’essaie d’enrouler ma langue autour de Son gland pour amplifier Son plaisir et Le faire éjaculer plus vite. Il semble apprécier puisque Sa queue accepte la caresse de ma langue mais Il ne se décide pas à cracher Son liquide blanc dans ma gueule de poufiasse déchainée bien que, encore saoule, j’y mette une énergie frénétique.

Un quart plus tard – au moins – j’ai toujours la bouche en cul de poule, Il s’accroche toujours à mes cheveux et les genoux fléchis Il continue à entrer et sortir de ma bouche qui est douloureuse d’être si grande ouverte depuis si longtemps crispée d’avoir tant veillé à ne pas toucher sa queue de mes dents et le fond de ma gorge est douloureux d’avoir pris les coups répétés du gland imposant et dur.

Il me faut attendre encore au moins dix minutes qui me paraissent interminables pour que je sente Son corps se tendre et que je L’entende meugler de plaisir du plaisir de l’homme qui expulse son foutre au fond de la bouche d’une pute.

C’est la première fois depuis que nous sommes seuls que j’entends, non pas véritablement Sa voix, mais un son émit par Sa bouche. Je reconnais la voix du Maître qui dirigeait l’orgie du soir où je suis arrivée mais je reconnus aussi le vagissement de l’homme qui avait baisé sa bienaimée plus tôt de l’autre côté de la cloison lorsque j’étais attachée. C’est donc pour cela qu’Il était aussi endurant et qu’Il prenait tout Son temps pour me limer la bouche alors que je n’en pouvais plus. Cet homme-là ne s’est pas servi de moi comme vide-couille durant la soirée : j’aurais reconnu le cri sauvage de Son orgasme quand Son jus ne peut plus être contenu dans Sa queue et ne peut qu’en sortir en un jet violent.
Il a certainement été metteur en scène et observateur de cette bacchanale dont j’ai été objet de toutes les humiliations.

Toutes ces pensées se bousculent dans ma tête quand j’entends Son râle, signe qu’Il va s’expulser dans ma gorge qui a reçu déjà des quantités de foutre.

J’exulte de recevoir, enfin, Son liquide à Lui et je m’apprête à aspirer goulument et à jouer de ma langue experte pour que Sa bite reçoive le meilleur traitement que je sois capable d’offrir, pour qu’Il ait un orgasme décuplé dont Il se souviendrait.

Ce n’est malheureusement pas ce qu’Il a décidé pour moi. Il n’honorera pas ma bouche de trainée du précieux jus que j’ai pourtant contribué à faire monter dans une position inconfortable durant une longue demi-heure.
En même temps qu’Il gueule Son orgasme, Il se retire de ma bouche, lâche ma tête qu’Il tenait encore très serrée depuis le début et Se branle pour cracher son jus sur ma tête et mes cheveux.
Je ne peux même pas attraper quelques gouttes du précieux liquide avec ma langue que j’avais sortie dans l’espoir qu’Il m’en attribue un peu malgré tout.

Jusqu’au bout, Il n’aura pas voulu mélanger Ses fluides aux miens. Je suis déçue mais n’en suis que plus prise d’un désir sauvage pour le Maître, désir de lui appartenir et de le satisfaire et je reste au sol, atterrée.

Quelques instants plus tard, Il m’attrape par les menottes qui me maintiennent encore les mains dans le dos, Il me fait me lever et marcher. Il pose sur mes épaules une couverture, libère mes mains pêle-mêle mon sac, ce qui reste de mes vêtements et mes chaussures.

Pour la première fois depuis que je suis entrée, yeux bandés dans cet appartement que je n’aurai jamais vu, la porte s’ouvre et Il m’attire vers l’extérieur.
Je suis saisie par le froid de l’hiver, je ressers la couverture autour de moi pour avoir chaud et surtout cacher ma nudité au milieu de cette cité où mes contacts de jeu m’avaient donné rendez-vous, je marche péniblement car mes pieds sont nus et il y a beaucoup de cailloux.
Il n’en a cure et me fait presser le pas malgré les objets coupant qui me blessent les pieds.

Après quelques minutes de marche, nous nous arrêtons et je ne sens plus sa main dans mon dos, alors, désormais bien dressée à ne pas contrarier Ses attentes, je ne bouge pas ; je me permets juste de remettre la couverture du mieux que je peux.

Autour de moi, j’entends des rires d’enfants qui se moque de moi, de mon apparence et des femmes qui me crient des injures.

- Regarde-moi cette salope qui est plantée là à poil !!!
- Casse-toi espèce de pouf avant que je te casse ta gueule de petite pute !!!

Je n’entends pas le Maître alors après que plusieurs groupes de femmes m’aient menacée de me faire la peau si je continuais à allumer leurs hommes, j’ai – enfin – oser retirer mon bandeau.

Il fait nuit, je suis à côté de ma voiture.

Je me dépêche de monter à l’intérieur pour me soustraire à la vue des habitants de la cité. Je cherche mon téléphone pour regarder mes messages. Outre les messages de mon mari et de mes enfants qui me croient en déplacement professionnel, outre les messages de mon patron qui me croit en visite dans ma famille, je découvre sur la messagerie Kik des dizaines de photos de moi dans toutes les positions et des photos prises au plus près de ma chatte et de mon cul.

Un nouvel interlocuteur « Inaccessible pour toi » demande à mon pseudo, Elina, de pouvoir chatter, avec elle. J’accepte avec empressement, je veux savoir ce que je dois faire pour qu’Il accepte d’éteindre l’incendie géant qu’Il a allumé dans mes entrailles.

- Je te connais mieux que tu ne te connais toi-même. Ce que tu as vécu ici n’est qu’un aperçu de ce que tu peux vivre grâce à moi.
Mais ce sera MES conditions espèce de trainée et ça commence MAINTENANT.

(à suivre)

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