Choc de générations

- Par l'auteur HDS Pappilou -
Récit érotique écrit par Pappilou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Choc de générations Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2016 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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(9.0 / 10)

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Choc de générations
Je n'arrive pas encore à bien réaliser ce que je fais là, dans le lit conjugal, mon corps fatigué de sexagénaire couché tout contre le corps fuselé d'un athlétique jeune homme. Attentif au bruit régulier de la respiration de celui qui dort à mes côtés, je tente de rassembler mes idées en les extrayant une par une de ma conscience encore engourdie de plaisir et de sommeil.

Tout a commencé par la décision de mon épouse de se rendre seule dans sa famille pour y régler quelques affaires privées. Ayant déjà eu quelques (rares) expériences homosexuelles et beaucoup de fantasmes à réaliser, j'ai sauté sur l'occasion pour placer sur un site connu une petite annonce proposant de recevoir chez moi un jeune homme actif, avec pour seules conditions l'hygiène et la correction. Parmi les quelques vingt ou trente réponses reçues, dont certaines totalement farfelues, une a particulièrement attiré mon attention. Elle émanait de ce garçon appelé Guillaume, présentement endormi dans mes draps, qui se décrivait comme timide et peu expérimenté, ayant une petite copine mais désireux d'avoir une expérience avec un autre homme. Il affirmait pouvoir mieux gérer une relation avec un homme mûr plutôt qu'avec quelqu'un de son âge.

Rendu méfiant par plusieurs déconvenues dans ce type de rencontres, j'essayai d'en savoir plus sur le garçon. Etait-il sérieux? Ne s'agissait-il pas d'un pari stupide ou d'un coup monté pour apâter un vieux? Pouvait-il m'envoyer une photo? La photo est arrivée et montrait un garçon bien mis et plutôt mignon, bien bâti, assez sportif et à l'air tout à fait sérieux. Ce qu'on aurait appelé de mon temps un jeune homme de bonne famille. Il disait avoir vingt-cinq ans, mais le côté juvénile de certains de ses traits me laissaient supposer qu'il chargeait légèrement la barque. Qu'importe. Il était de toute évidence majeur et adulte, à défaut d'être vacciné.

Ses mails étaient écrits dans une langue correcte et les fautes d'orthographe y étaient relativement rares. Nous échangeâmes nos numéros de téléphone et, après plusieurs conversations, je dû me rendre à l'évidence que j'avais affaire à quelqu'un de sincère et motivé. Rendez-vous fut donc pris chez moi pour faire plus ample connaissance, le soir même du départ de ma femme.

Imaginez mon excitation le soir du rendez-vous! Non seulement l'âge annoncé du garçon me rendait nerveux, mais la photo me faisait aussi un effet boeuf. J'essayai déjà de deviner le corps caché sous les vêtements et anticipai la douceur de ce corps, plaqué contre le mien pendant que nos langues se cherchaient.... Mais voilà la sonnette qui retentit à l'heure fixée et le jeune homme qui se tient sur le pas de ma porte, un peu hésitant et visiblement aussi impressionné que moi par ce premier contact. Une moto légère est appuyée contre le mur de l'entrée.

Je l'invite à entrer et le conduit au salon où je lui propose de se débarrasser. Il est encombré d'un sac de voyage où se trouve, dit-il, quelques affaires de toilette et son pyjama. Je me retiens de sourire à l'idée qu'un pyjama puisse jamais trouver sa place dans le plan que je médite pour les heures à venir. J'installe confortablement le jeune homme dans le canapé et sors le grand jeu d'un l'apéritif dinatoire que j'avaits préparé dans le plus grand secret. Agnes Obel et son piano servent de musique de fond pendant que nous mangeons, buvons et discutons de tout et de rien, comme il est d'usage dans ce type de situation.

Au bout d'une heure environ, je vois à la couleur des joues et au regard un peu flou de mon interlocuteur que le champagne commence à faire effet, et j'oriente progressivement la discussion sur les goûts sexuels du garçon. Comment ça se passe avec sa copine ? Aime-t-il faire l'amour aux femmes? Pourquoi s'intéresse-t-il aux hommes ? Quels sont ses fantasmes ? Bien sûr, je ponctue la discussion de commentaires et de révélations sincères sur mes propres motivations. J'apprends que le petit chou n'a jamais connu d'homme mais qu'il est d'accord pour me faire l'amour (c'est ainsi qu'il appelle la chose, avec un petit temps d'hésitation juste avant) mais qu'il n'est pas encore près pour franchir lui-même le pas. Je le rassure en lui rappelant que je suis exclusivement passif avec les hommes et que c'est exactement en ces termes que j'avait rédigé mon annonce. Voyant que tout fonctionne à merveille, je propose à mon nouveau compagnon de se mettre à l'aise et nous voici bientôt, moi en slip et lui en caleçon, assis côtr à côte sur le canapé du salon. Evidemment, je ne peux pas m'empêcher de poser une main sur sa cuisse, dans un geste de tendresse, et il ne faut que peu de temps pour qu'on se retrouve serrés l'un contre l'autre, prêts à échanger un premier baiser.

Je ne sais pas vous mais moi, quand je tiens enlacé un autre corps, qu'il soit mâle ou femelle, et que nos langues commencent à se taquiner, je suis littéralement pris de frissons et d'une érection qui ne laisse planer aucun doute sur mes émotions. Je constate d'ailleurs que mon petit compagnon est atteint du même syndrome. Je décide finalement d'abandonner la bouche amie pour me consacrer tout entier au joli membre dressé qui commence à se trouver à l'étroit sous le tissu du caleçon. Je tire sur l'élastique et libère la chose qui se tend vers moi. Guillaume a un hoquet de surprise quand j'engloutis son gland dans ma bouche chaude et pleine de salive, puis un long gémissement me permet de vérifer qu'il trouve la chose à son goût. Il me dira d'ailleurs, un peu plus tard, que je suce mieux que sa copine, ce qui n'a pas manqué de me flatter. Sentant sa réaction plus que je ne la vois, je redouble d'ardeur, combinant les mouvements de mes lèvres, de ma langue et de mes mains pour faire monter la pression. Côté pression d'ailleurs, il faudra bientôt faire une petite pause pour ne pas gaspiller les cartouches. Je profite de la pause pour montrer à mon hôte le chemin de la chambre à coucher et de la salle de bain.

Ce garçon a vraiment quelque chose de touchant. Il commence par demander de fermer les volets et de réduire les lumières car il n'aime pas se montrer complètement nu et ce n'est qu'après s'être glissé sous les draps qu'il ôte enfin son caleçon. Moins prude, je retire mon slip et prends tout mon temps pour rejoindre le lit, arborant fièrement une érection que beaucoup d'hommes de mon âge pourraient m'envier. Je m''allonge à plat ventre sur Guillaume qui n'en mène pas large, faisant porter mon poids sur mes coudes et mes genoux, et replonge ma langue dans sa bouche tout en plaquant mon sexe contre le sien. Des petits mouvements de frottement sexe contre sexe nous emportent rapidement dans un monde de voluptés et de plaisirs, dont l'intensité se reflète dans la respiration et les soupirs de Guillaume.

Au bout de quelques minutes de ce régime, je sens qu'il ne faut pas trop jouer avec le feu. J'attrappe un préservatif sur la table de nuit et en revêt le membre tendu du garçon. Je m'empare de même d'un tube de gel KY et m'en enduit généreusement la raie des fesses, introduisant un doigt puis deux dans mon anus, déjà rôdé par mes expériences précédentes. Guillaume me regarde faire, les yeux équarquillés. Dans la semi-pénombre qui règne dans la chambre, son visage à peine éclairé à l'air pris de panique. Il est conscient qu'il va pour la première fois de sa vie enculer un autre homme et on comprend l'effet que ça peut lui faire. D'ailleurs, je suis moi-même toujours ému lorsqu'il s'agit d'une première pour un partenaire. L'âge de celui-ci est pour beaucoup dans mon excitation présente. J'ai plutôt l'habitude d'hommes de mon âge et ce sexe juvénile et soyeux tendu vers moi, ces couilles douces au toucher dans leur nid de duvet blond me font monter les larmes aux yeux. Je ne m'attends pas à un miracle. Le garçon est tendu comme un arc. L'excitation et l'émotion auront sans doute raison de sa résistance et il faudra s'y reprendre à plusieurs fois pour avoir un rapport détendu.

Je termine en lubrifiant la capote dressée devant moi et me place à genoux au dessus du jeune homme, de sorte que je n'aie plus qu'à abaisser doucement mon bassin pour m'empaler sur lui. Guillaume gémit doucement au moment où son gland rencontre ma rondelle, puis ce n'est plus qu'un doux murmure tout le temps que son sexe s'enfonce dans l'inconnu, jusqu'à ce que je sois pratiquement assis sur ses testicules. Nous restons ainsi, sans bouger, quelques instants, pour faire retomber l'excitation, mais j'en profite pour montrer ma propre satisfaction par des gémissements, des "ahh" et des "ohh", disant à Guillaume qu'il est bon, qu'il me remplit tout entier, que je le sens sens bien, etc. Aucune feinte là-dedans. Je suis vraiment aux anges avec ce pieu vigoureux planté en moi jusqu'à la garde et j'ai moi aussi besoin de ce moment de répit pour que mes chairs écartées s'habituent à l'intrusion.

Quand je recommence à bouger, Guillaume n'a qu'une idée en tête : tâter de ses doigts la base de son propre sexe pour se persuader qu'il est bien entré yout entier en moi, comme si ses sensations ne suffisaient pas. Je procède avec douceur car je sais d'expérience que le jeune homme ne va pas tenir longtemps. Plutôt que de longs et vigoureux va-et-vients je préfère faire de petits mouvements d'ondulation et de rotation de mon bassin, en me cambrant pour bien sentir le gland frotter contre ma prostate et mes muqueuses. J'invite Guillaume à s'intéresser à ma queue plutôt qu'à la sienne propre et le jeune homme commence à me branler au rythme de mes mouvements, qu'il ne tarde pas à accompagner de mouvements de son propre bassin.

Comme prévu, je sens très vite que l'autre va tout lâcher. Sa respiration s'accélère et ses gémissement montent en tonalité. On n'y peut rien. C'est normal et je l'encourage en lui disant quelques obscénités. Je l'appelle "mon chéri" et lui demande de me remplir le cul, de me prendre à fond, de tout me cracher dans le ventre... J'accélère pour le soulager et je sens bientôt en mon intérieur les contractions éjaculatoires du jeune homme. Quelques spasmes encore, pour bien vider la tuyauterie, puis plus rien - le grand calme. Je décule et montre la capote bien remplie. "Tu m'a baisé comme une reine, mon chéri". Et je m'allonge à nouveau sur le garçon, sans peser, en le couvrant de baisers, le ventre avide des assauts encore à venir. Entre deux coups de langue je demande: "alors, c'est comment d'enculer un vieux ? "Que du bonheur" me répond-il, "on remet-ça quand ?" Il faudra encore quelques assauts de la même trempe pour que le petit cheval fougueux se calme et apprenne à prendre son temps. Gageons que sa copine y trouvera, elle aussi, son avantage.

Sur le coup de deux heures du matin, Guillaume était déjà plus détendu et se sentait bien dans mes bras. Il faut dire qu'une deuxième bouteille de champagne avait été ouverte pour fêter le succès du premier coup. Le garçon avait un peu oublié ses préjugés et montra une certaine curiosité envers la fellation. Comment c'était d'avoir un sexe dans sa bouche? Il était partagé entre son éducation de mâle dominant et une curiosité qui ne faisait que monter avec l'excitation. A force de douceur et de patience, je réussi à le convaincre que le meilleur moyen de savoir était d'essayer et, à ma grande satisfaction, Guillaume se pencha sur mon sexe et le prit dans sa bouche. Je lui indiquai comment jouer de la langue et des lèvres sur le gland, comment faire pour éviter de blesser avec les dents, comment garder la bouche toujours pleine de salive pour lubrifier. Il y prit tellement goût que je dû l'écarter de force au moment critique, et quatre ou cinq jets d'un sperme épais vinrent s'écraser sur le visage du garçon.

Au matin, au terme d'une douce grâce matinée pleine de câlins et de caresses, nous sommes arrivés à l'orgasme à peu près en même temps. Cette fois-ci je m'étais mis à quatre pattes et lui avait présenté ma croupe en levrette, les reins creusés, les fesses écartées et l'anus encore relâché par la séance de la nuit. Personnellement, j'adore être pris par derrière car dans ces positions, que certains trouvent dégradantes, j'ai vraiment le sentiment de me donner et de m'abandonner à l'autre. Guillaume y est entré tout seul, comme un grand, mais dans le feu de l'action il a oublié de mettre une capote. J'aurais été bien avisé de réagir immédiatement et de lui demander de se couvrir, mais je le sentais tellement bien en moi, nous étions tellement proches l'un de l'autre, chair contre chair, qu'après une seconde d'hésitation je fis semblant de ne m'apercevoir de rien. Après tout, Guillaume ne risquait rien. J'étais à jour de mes tests sanguins, bien que traversant présentement un désert sentimental et sexuel. Le dernier test datait de six mois et était négatif, et je n'avais eu depuis aucun rapport, pas même avec ma femme! Quand à moi-même, qu'avais-je encore à perdre? Ce ne serait pas la première fois que je prendrais un risque, risque somme-toute minime vu le caractère rangé et peu aventureux du garçon.

Le dénouement fut somptueux, aussi bien pour Guillaume que pour moi. Pour moi, c'était ma première enculade sans capote, "bareback" comme disent les spécialistes, et cette seule idée me chauffait à blanc. J'anticipais en esprit la giclée chaude qui n'allait pas manquer de m'innonder le rectum au terme de cette délicieuse chevauchée, et j'espérais ne pas avoir trop vidé mon petit camarade au cours de la nuit; que celui-ci avait encore des réserves à m'offrir dans ces circonstances exceptionnelles. Maintenant à genoux, je tendais mes mains derrière moi pour saisir les hanches de Guillaume et les plaquer contre mes fesses à chaque coup de boutoir. Ou bien je passais une main entre mes cuisses pour attraper les adorables couilles qui s'y balançaient tandis que je me branlais de l'autre main. Ou bien encore je me tordais le torse en arrière pour trouver les lèvres de mon amant et y plonger ma langue. Sous le coup du plaisir, je n'arrétais pas de jurer et de crier des obscénités pour que ça aille plus vite, pour que ça rentre plus profond, toujours plus profond. Tout ça fait que j'ai commencé à ressentir les contractions annonciatrices de l'orgasme et arrosai le dessus de lit de ma seconde éjaculation de la nuit, à peine deux minutes avant que mon élève se mette à gémir et souffler et se libère en moi de tout ce qui lui restait en magasin. Et il en restait, croyez-moi, car après avoir dormi plus de deux heures pour récupérer de cet éreintante mais néanmoins sublime expérience, je sentais encore du sperme s'écouler de la raie de mes fesses et dégouliner le long de mes couilles. "Désolé..." avait dit Guillaume tout penaud en voyant sa semence ressortir par à-coups de mon cul béant, "je crois bien que je t'ai joui dedans".

Nous voilà revenus au début de ce récit. Pendant que mon jeune ami dort encore d'un sommeil paisible, je contemple avec amour le beau corps abandonné. Les larmes au bord des yeux, je regarde le jeune sexe redevenu flascide, reposant sur les testicules comme un oiselle couvant ses œuds au nid. Quelle partition merveilleuse a su jouer cet intrument au final. Je réfléchis et me prépare à vivre quelques semaines difficiles, dans l'attente de nouveaux résultats de tests. "Je suis incorrigible", pensè-je. Je prêche toujours la sécurité en matière de sexe et, à la première occasion, je saute à pieds joints par dessus la barrière. Faites ce que je dis mais pas ce que je fais...". Pappy a carrément perdu la boule pour un petit bout d'homme qu'il ne connaissait même pas la veille. Oui, mais quel pied!

Maintenant, je devrai faire abstinence le temps d'avoir de nouveaux résultats. Heureusement que Madame mon épouse n'est plus intéressée par la chose, ni par moi, d'ailleurs. Mais c'est une autre histoire. Donc pas de risque de contaminer qui que ce soit. Et puis, il y a des compensations: au moment de balancer la sauuce le petit a crié "Je t'aime, Dany !"
Accepterait-il de devenir mon amant? Quitterait-il sa jeune copine pour un vieux bonhomme? Ou garderait-il les deux? Il y a de quoi réfléchir.... Et que diraient les enfants? Ils sont largement les aînés de Guillaume! Bon, ne mettons pas la charrue avant les bœufs. Le week-end ne fait que commencer. Je vais aller prendre une douche et faire un bon café.

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