Chrstian
Récit érotique écrit par Louis-Charles H [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Chrstian
Christian
Christian était vraiment un beau gosse. Vingt-huit ans, grand, chatain, naturellement musclé sans aucune pratique culturiste, son sourire faisait craquer toutes les filles à qui il ne disait jamais non. Ma soeur, vingt-deux ans, était l’une d’elle depuis deux mois. J’appris, en surprenant des discussions assez crues entre ma soeur et d’autres filles, que Christian était un super bon coup, qu’un rien le mettait en érection et que son sexe endurant était à la hauteur de son charme, de ses caresses et de ses baisers. Bref, le must.
résumez votre récit en une phrase : votre sexe : homme femme transexueJ’ai dix-huit. Je me prénomme Fabien. J’étais un peu jaloux pour deux raisons. D’abord, bien que n’étant moi?même pas mal non plus, j’enviais ce que représentait Christian. Ensuite, bien que n’ayant aucune certitude ni pratique homosexuel je savais que les garçons m’attiraient et je mourrais d’envie de me retrouver avec lui sous quelque forme que cela prenne. Hier, j’ai eu cette chance.
Ma soeur devait aller chez lui ce jour là vers 18 heures et elle a eu un empêchement impératif lié à la maladie d’une copine à qui elle devait passer ses cours de fac et lui en expliquer le contenu. Elle ne voulait pas annuler simplement son rendez-vous par téléphone et elle m’a supplié de passer chez Christian pour bien lui expliquer le contexte. Avec mon scooter, c’était un infime détour, d’autant plus que je partais pour aller chez Fred qui habitait juste à coté.
J’acceptai. Dix minutes plus tard je sonnai à la porte du studio de Christian qui fût assez surpris de me voir au lieu de ma soeur. Je compris leur degré d’intimité en voyant Christian torse nu, avec une simple serviette nouée autour des reins. Il sortait de la douche et attendait ma soeur dans cette tenue sans équivoque. Je balbutiai mon baratin. En souriant, Christian me fit entrer.
- Tu veux boire quelque chose, me dit-il.
- Euh, oui...
- Allez, une boisson d’homme : un whisky chacun, me dit-il.
- Je n’aime pas ça. J’y ai déjà gouté une fois ou deux. C’est trop fort, répondis-je.
Mais, sans m’écouter, Christian avait déjà servi deux verres avec un demi-centimètre de whisky.
- Tiens bois ça cul sec, ça t’éclaircira la tête et ça te chauffera le ventre, me dit-il.
Christian avalait son verre et je fis de même d’un trait pour sentir le moins possible le goût de cet alcool. Cela me mis l’œsophage en feu. Puis, l’alcool me monta à la tête et me rendit euphorique. Christian me dit avoir compris les raisons de l’absence de ma soeur et il me demanda :
- Et toi, t’as une petite amie ?
- Non...
Enhardi, sans doute par l’alcool, je m’entendis lui dire ce que je n’avais jamais dit à personne :
- Je crois que je ne suis pas très attiré par les filles.
- Et par les garçons ? enchaina Christian avec désinvolture.
- Peut-être, répondis-je.
- Tu n’a jamais eu d’expérience avec un garçon ? Tu t’es jamais branlé avec un copain ? m’interrogea-t-il.
- Ben non... Et toi ? lui dis-je.
- Oui, bien sûr, quelques fois... Tu veux te branler avec moi ? Tu veux essayer ? demanda-t-il.
Je restai muet. Je rougissais. J’en mourrais d’envie sans pouvoir prononcer un mot.
- Allez, sois pas timide, Fabien, fais comme moi.
A ce moment, sans pudeur, Christian dénoua sa serviette, la posa sur une chaise et, complètement nu face à moi, il commença à se caresser la queue qui se mit à bander de plus en plus. Maintenant, elle était bien raide et Christian se branlait sans égard à ma gène et à mon désir.
- Vas-y, dit Christian, déboutonne toi, sors ta bite et branle toi aussi.
Fasciné par le spectacle, je m’étais mis à bander de plus en plus. Puisque c’était comme ça, j’allais lui faire voir que j’avais une aussi belle bite que lui. Je déboutonnai mes jeans et je les baissai d’un coup en même temps que mon slip jusqu’à mes genoux. Je me redressai, exhibant une pine très raide et d’un beau calibre.
- Ouahou, dit Christian, belle pine ! Tu vois qu’un mec ça te fait bander ... Vas-y, paluche toi, Fabien, tu m’excites...
Je me branlais maintenant face à Christian qui s’astiquait aussi. Nous nous excitions de plus en plus quand Christian s’approcha de moi, mit sa main sur ma queue en me disant :
- Arrête, faut pas en rester là. On peut faire mieux. Déhabille toi, mets toi à poil comme moi.
J’avais enlevé ma main de ma queue, mais celle de Christian était toujours dessus et elle continuait de me caresser. J’avais la tête en feu. C’était la première fois de ma vie consciente que quelqu’un d’autre que moi me touchait le sexe. Je bandais comme un fou, me laissant faire. Narquois, Christian embrassa mes lèvres, puis recommença plus insistant. Je n’avais jamais dans mes flirts vraiment embrasser une fille. Mais là, à la deuxième tentative tout en douceur de Christian, je laissais aller mon instinct et mon désir. Je sentis avec délice nos bouches soudainement se fondre et nos langues se rejoindre comme nos lèvres et, pendant que Christian me caressait la queue, naturellement ma main droite alla vers la sienne. Je branlais Christian qui me branlait aussi pendant qu’on ne quittait pas notre baiser fusionnel.
Tout mon corps et tout mon esprit était embrasé.
On se dégagea quand même et j’en profitai pour finir de me déshabiller en pensant, à temps, à appeler Fred pour me décommander. Coup de pôt, ça l’arrangeait.
Christian s’était allongé sur un fauteuil-relax. Il tenait sa queue raide.
- Tu vas me sucer la bite, Fabien, me dit-il. Après tu sauras vraiment si tu préfères les garçons.
Je n’attendais que cela. Je n’eu aucune hésitation à me pencher sur lui et à sucer sa superbe queue, longue, raide, chaude et gonflée de désir. Plus je le suçais, plus je bandais.
Christian se laissa aller à jouir dans ma bouche, puis il me suça à son tour. Jamais je n’ai autant joui.
- Voilà, on est quitte, me dit Christian, ... et, pas un mot à ta soeur.
Je me rhabillai et il me laissa partir. Hier soir après cette visite, et ce matin, je me suis branlé à fond en fantasmant sur Christian ? Je rêve d’une autre occasion avec lui.
Christian était vraiment un beau gosse. Vingt-huit ans, grand, chatain, naturellement musclé sans aucune pratique culturiste, son sourire faisait craquer toutes les filles à qui il ne disait jamais non. Ma soeur, vingt-deux ans, était l’une d’elle depuis deux mois. J’appris, en surprenant des discussions assez crues entre ma soeur et d’autres filles, que Christian était un super bon coup, qu’un rien le mettait en érection et que son sexe endurant était à la hauteur de son charme, de ses caresses et de ses baisers. Bref, le must.
résumez votre récit en une phrase : votre sexe : homme femme transexueJ’ai dix-huit. Je me prénomme Fabien. J’étais un peu jaloux pour deux raisons. D’abord, bien que n’étant moi?même pas mal non plus, j’enviais ce que représentait Christian. Ensuite, bien que n’ayant aucune certitude ni pratique homosexuel je savais que les garçons m’attiraient et je mourrais d’envie de me retrouver avec lui sous quelque forme que cela prenne. Hier, j’ai eu cette chance.
Ma soeur devait aller chez lui ce jour là vers 18 heures et elle a eu un empêchement impératif lié à la maladie d’une copine à qui elle devait passer ses cours de fac et lui en expliquer le contenu. Elle ne voulait pas annuler simplement son rendez-vous par téléphone et elle m’a supplié de passer chez Christian pour bien lui expliquer le contexte. Avec mon scooter, c’était un infime détour, d’autant plus que je partais pour aller chez Fred qui habitait juste à coté.
J’acceptai. Dix minutes plus tard je sonnai à la porte du studio de Christian qui fût assez surpris de me voir au lieu de ma soeur. Je compris leur degré d’intimité en voyant Christian torse nu, avec une simple serviette nouée autour des reins. Il sortait de la douche et attendait ma soeur dans cette tenue sans équivoque. Je balbutiai mon baratin. En souriant, Christian me fit entrer.
- Tu veux boire quelque chose, me dit-il.
- Euh, oui...
- Allez, une boisson d’homme : un whisky chacun, me dit-il.
- Je n’aime pas ça. J’y ai déjà gouté une fois ou deux. C’est trop fort, répondis-je.
Mais, sans m’écouter, Christian avait déjà servi deux verres avec un demi-centimètre de whisky.
- Tiens bois ça cul sec, ça t’éclaircira la tête et ça te chauffera le ventre, me dit-il.
Christian avalait son verre et je fis de même d’un trait pour sentir le moins possible le goût de cet alcool. Cela me mis l’œsophage en feu. Puis, l’alcool me monta à la tête et me rendit euphorique. Christian me dit avoir compris les raisons de l’absence de ma soeur et il me demanda :
- Et toi, t’as une petite amie ?
- Non...
Enhardi, sans doute par l’alcool, je m’entendis lui dire ce que je n’avais jamais dit à personne :
- Je crois que je ne suis pas très attiré par les filles.
- Et par les garçons ? enchaina Christian avec désinvolture.
- Peut-être, répondis-je.
- Tu n’a jamais eu d’expérience avec un garçon ? Tu t’es jamais branlé avec un copain ? m’interrogea-t-il.
- Ben non... Et toi ? lui dis-je.
- Oui, bien sûr, quelques fois... Tu veux te branler avec moi ? Tu veux essayer ? demanda-t-il.
Je restai muet. Je rougissais. J’en mourrais d’envie sans pouvoir prononcer un mot.
- Allez, sois pas timide, Fabien, fais comme moi.
A ce moment, sans pudeur, Christian dénoua sa serviette, la posa sur une chaise et, complètement nu face à moi, il commença à se caresser la queue qui se mit à bander de plus en plus. Maintenant, elle était bien raide et Christian se branlait sans égard à ma gène et à mon désir.
- Vas-y, dit Christian, déboutonne toi, sors ta bite et branle toi aussi.
Fasciné par le spectacle, je m’étais mis à bander de plus en plus. Puisque c’était comme ça, j’allais lui faire voir que j’avais une aussi belle bite que lui. Je déboutonnai mes jeans et je les baissai d’un coup en même temps que mon slip jusqu’à mes genoux. Je me redressai, exhibant une pine très raide et d’un beau calibre.
- Ouahou, dit Christian, belle pine ! Tu vois qu’un mec ça te fait bander ... Vas-y, paluche toi, Fabien, tu m’excites...
Je me branlais maintenant face à Christian qui s’astiquait aussi. Nous nous excitions de plus en plus quand Christian s’approcha de moi, mit sa main sur ma queue en me disant :
- Arrête, faut pas en rester là. On peut faire mieux. Déhabille toi, mets toi à poil comme moi.
J’avais enlevé ma main de ma queue, mais celle de Christian était toujours dessus et elle continuait de me caresser. J’avais la tête en feu. C’était la première fois de ma vie consciente que quelqu’un d’autre que moi me touchait le sexe. Je bandais comme un fou, me laissant faire. Narquois, Christian embrassa mes lèvres, puis recommença plus insistant. Je n’avais jamais dans mes flirts vraiment embrasser une fille. Mais là, à la deuxième tentative tout en douceur de Christian, je laissais aller mon instinct et mon désir. Je sentis avec délice nos bouches soudainement se fondre et nos langues se rejoindre comme nos lèvres et, pendant que Christian me caressait la queue, naturellement ma main droite alla vers la sienne. Je branlais Christian qui me branlait aussi pendant qu’on ne quittait pas notre baiser fusionnel.
Tout mon corps et tout mon esprit était embrasé.
On se dégagea quand même et j’en profitai pour finir de me déshabiller en pensant, à temps, à appeler Fred pour me décommander. Coup de pôt, ça l’arrangeait.
Christian s’était allongé sur un fauteuil-relax. Il tenait sa queue raide.
- Tu vas me sucer la bite, Fabien, me dit-il. Après tu sauras vraiment si tu préfères les garçons.
Je n’attendais que cela. Je n’eu aucune hésitation à me pencher sur lui et à sucer sa superbe queue, longue, raide, chaude et gonflée de désir. Plus je le suçais, plus je bandais.
Christian se laissa aller à jouir dans ma bouche, puis il me suça à son tour. Jamais je n’ai autant joui.
- Voilà, on est quitte, me dit Christian, ... et, pas un mot à ta soeur.
Je me rhabillai et il me laissa partir. Hier soir après cette visite, et ce matin, je me suis branlé à fond en fantasmant sur Christian ? Je rêve d’une autre occasion avec lui.
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