Ma rencontre avec Léo
Récit érotique écrit par Louis-Charles H [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2007 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Ma rencontre avec Léo
<p>Je finissais mon café à la table du bistrot, en bas de chez moi, où je m’étais installé pour lire le journal. Pas de rendez-vous ce matin avant dix heures et demi. A neuf heures moins le quart, j’avais tout le temps devant moi.
Un mec se mit au comptoir et demanda un calva ! Il se tourna vers la salle et son regard tomba sur moi. Il était mal rasé, affichait la trentaine et la bonne assurance du type qu’une bagarre n’effraie pas. Mais ses yeux semblaient curieusement embués et tristes. Bien qu’il parût sûr de lui, son désarroi était criant de vérité. Mais je ne pensais pas qu’il s’en rendît vraiment pas compte.
Je ne le quittais pas des yeux et mon regard commençait à le géner. Il tourna le dos et posa son verre sur le comptoir pour le faire remplir.
Je décidai de me mettre en situation de le faire parler. Je quittai ma table et j’allai au bar à ses cotés. L’air grave, je demandai un calvados ! Il se tourna vers moi et me regarda d’un air narquois, mon calva en main.
- Puis-je vous aider en quelque chose, me dit-il
- Si je vous le dis, je prends votre poing dans la gueule, répondis-je
- Pédé ? me fit-il
- Non, curieux
- Et on peut savoir de quoi ? me rétorqua-t-il
Je pris mon verre et j’allai me rasseoir. Le mec pris aussi son calva et vînt s’asseoir à ma table, en face de moi. Je le regardais, amusé par son comportement assez direct. Je laissai le silence s’installer. Ses yeux cherchaient dans les miens le sens de cette situation. Cela dura un moment. Ce fût lui qui rompit le silence.
- Je bande, me dit-il doucement à voix basse, toujours avec un sourire narquois.
Là, il ne manquait pas d’air ! J’étais un peu estomaqué.
- Est-ce que je dois en faire autant ? lui dis-je sans laisser trop paraître mon ahurissement.
- Ce serait sympa, mais, ça ne se commande pas, me répondit-il.
Je ne savais quoi penser.
- Que vouliez-vous me dire tout à l’heure qui aurait pu me conduire à vous mettre mon poing sur la gueule ?
- Que ton regard triste trahissait sans doute une nuit gachée, lui avouais-je.
- Tu me tutoies maintenant ?
- Toi aussi, à ce qu’on dirait, lui dis-je.
- Mon regard me trahissait donc, me demanda-t-il ?
Je posais maintenant sur lui un oeil vif et je pris mon temps avant de parler.
- Je bande aussi, lui dis-je à voix basse, sans répondre à sa question.
- Tu es encore plus vicieux que moi, me dit-il.
- Alors, cette nuit, elle a été gachée, oui ou non ?
- Pierre m’a quitté, voilà... c’est tout.
- Et c’est grave ce Pierre ? demandais-je.
- Pour le moment oui, dans un an sûrement moins.
- Il peut revenir ? questionnais-je
- Laisse tomber. J’veux pas en parler comme ça... à un inconnu... et le jour même.
- Bon, OK.
Je n’insistai pas. Un silence s’installa puis je changeai de sujet.
- Tu veux me connaître ou tu veux te barrer ? lui dis-je.
- Tout à l’heure, je me serais barré. Maintenant te connaître est possible, dit-il en souriant.
- Tiens, lui dis-je, j’te laisse dix euros, tu complèteras. Tu paies mon café et les calvas, et tu viens chez moi,. J’habite au deuxième étage de l’immeuble en face, légerement en décalé. Je t’attends devant le porche.
Je me levai et quittai le café. Deux minutes plus tard, je le vis traverser la rue et venir vers moi d’un pas vif.
- Comment t’appelles-tu ? lui demandais-je
- Tous mes amis m’appellent Léo... et toi ?
- Pierre, lui répondis-je.
- Tu te fous de ma gueule !
- Non, lui dis-je. Je m’appelle réellement Pierre, comme celui qui t’a quitté. Ou tu fais avec maintenant ou tu suis ton chemin. Je n’y peux rien.
- Montons, me dit-il.
Une fois chez moi, je lui demandai s’il voulait boire autre chose.
- Non, dit-il, si je suis monté c’est pour bander avec toi. C’est bien aussi c’que tu voulais... Non ?
- Ça se peut, lui dis-je sans conviction.
- Alors dans ce cas, à poil et vite, me dit-il
Il avait raison. Sans plus attendre, j’allais vers ma chambre et j’otais tous mes vêtements sans me presser. Léo m’avait suivi et se mit à en faire autant. Je fûs nu le premier et je m’allongeai sur mon lit, regardant Léo finir de se dessaper. Il était mince et bien musclé, son torse et ses jambes abondamment couverts d’un poil presque noir. Ses couilles pendaient bien sous une longue bite encore molle. Nous devions avoir le même age à peu près. Simplement, j’étais légèrement plus grand que lui et un peu moins poilu. Ma bite, toujours au repos, valait bien la sienne. Puis, comme par une transmission de penser.
- Quel âge as-tu ? me demanda-t-il en s’allongeant pratiquement sur moi.
- Trente-deux ans et toi ?
- Trente ans, tout juste.
Son visage était au dessus du mien. Près de ma bouche, ses lèvres exhalaient encore un doux parfum de calvados qu’il me laissa gouter en les joignant aux miennes. Un long et profond baiser s’en suivi, pendant lequel mes mains caressaient son dos et ses fesses. Quand sa bouche me quitta, nous pûmes nous écarter légèrement pour laisser nos sexes en érection prendre plus librement leur place. En voyant ma bite superbement dressée, Léo bascula et l’engloutit dans sa bouche tout en posant pratiquement son sexe sur mon visage. Je me mis à le sucer aussi comme un fou et notre soixante-neuf dura un bon moment, nous laissant au bord de l’explosion. Léo se redressait.
- Je veux ton cul, me dit-il, en s’agenouillant sur le lit en laissant saillir une bite superbe.
- Tiens dis-je, en lui tendant une capote et un tube de lubrifiant pris dans le tiroir de ma table de nuit.
Léo déchira l’étui de la capote et la déroula lentement sur sa pine. Il ouvrit le tube et mis du lubrifiant sur ses doigts pour enduire toute la capote. Il en repris un peu pour me masser l’anus que j’ouvrais à ses doigts experts en remontant mes jambes sur mes épaules. Deux à trois doigts tournaient dans mon trou de plus en plus avide d’être pénétré. Enfin Léo vînt sur moi. Il plaça son gland bien en face et s’enfonça sans s’arrêter jusqu’au fond. J’en eu le souffle coupé par la douleur qui déjà s’estompait sous son mouvement de va et vient qui me massait les sphincters. Léo était un bon baiseur, puissant et régulier qui mis tout le temps qu’il fallait pour jouir enfin avec de violents spasmes accompagnant ses coups de boutoir finaux. Epuisé, il quitta mon cul et s’avachit à plat ventre à coté de moi.
A mon tour, j’enfilai une capote et je remplissai son fion de lubrifiant. Léo se lassait faire, prêt à me subir. Quand je me couchai sur lui, je sentis qu’il cambrait ses petites fesses le plus possi ble pour mieux les offrir à ma pine. Enculer ce beau gosse fût un plaisir intense. Ma jouissance ne tarda pas venir, bousculant tout le corps de Léo qui se laissait aller au rythme déchaîné que j’imprimais à ses fesses. Je jouis énormément.
Il était à peine dix heures moins dix quand nous retrouvâmes sous la douche. Savon, caresses et baisers. Eau chaude ruisselante. Corps séchés et rhabillés. Je ne serai même pas en retard à mon rendez-vous !
Nous nous sommes fixés de nous retrouver le soir à dix-neuf heures en bas, au même bistrot. Nous allions entamerions ensuite notre première nuit commune et nous apprendrions petit à petit à un peu mieux nous connaître.
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Un mec se mit au comptoir et demanda un calva ! Il se tourna vers la salle et son regard tomba sur moi. Il était mal rasé, affichait la trentaine et la bonne assurance du type qu’une bagarre n’effraie pas. Mais ses yeux semblaient curieusement embués et tristes. Bien qu’il parût sûr de lui, son désarroi était criant de vérité. Mais je ne pensais pas qu’il s’en rendît vraiment pas compte.
Je ne le quittais pas des yeux et mon regard commençait à le géner. Il tourna le dos et posa son verre sur le comptoir pour le faire remplir.
Je décidai de me mettre en situation de le faire parler. Je quittai ma table et j’allai au bar à ses cotés. L’air grave, je demandai un calvados ! Il se tourna vers moi et me regarda d’un air narquois, mon calva en main.
- Puis-je vous aider en quelque chose, me dit-il
- Si je vous le dis, je prends votre poing dans la gueule, répondis-je
- Pédé ? me fit-il
- Non, curieux
- Et on peut savoir de quoi ? me rétorqua-t-il
Je pris mon verre et j’allai me rasseoir. Le mec pris aussi son calva et vînt s’asseoir à ma table, en face de moi. Je le regardais, amusé par son comportement assez direct. Je laissai le silence s’installer. Ses yeux cherchaient dans les miens le sens de cette situation. Cela dura un moment. Ce fût lui qui rompit le silence.
- Je bande, me dit-il doucement à voix basse, toujours avec un sourire narquois.
Là, il ne manquait pas d’air ! J’étais un peu estomaqué.
- Est-ce que je dois en faire autant ? lui dis-je sans laisser trop paraître mon ahurissement.
- Ce serait sympa, mais, ça ne se commande pas, me répondit-il.
Je ne savais quoi penser.
- Que vouliez-vous me dire tout à l’heure qui aurait pu me conduire à vous mettre mon poing sur la gueule ?
- Que ton regard triste trahissait sans doute une nuit gachée, lui avouais-je.
- Tu me tutoies maintenant ?
- Toi aussi, à ce qu’on dirait, lui dis-je.
- Mon regard me trahissait donc, me demanda-t-il ?
Je posais maintenant sur lui un oeil vif et je pris mon temps avant de parler.
- Je bande aussi, lui dis-je à voix basse, sans répondre à sa question.
- Tu es encore plus vicieux que moi, me dit-il.
- Alors, cette nuit, elle a été gachée, oui ou non ?
- Pierre m’a quitté, voilà... c’est tout.
- Et c’est grave ce Pierre ? demandais-je.
- Pour le moment oui, dans un an sûrement moins.
- Il peut revenir ? questionnais-je
- Laisse tomber. J’veux pas en parler comme ça... à un inconnu... et le jour même.
- Bon, OK.
Je n’insistai pas. Un silence s’installa puis je changeai de sujet.
- Tu veux me connaître ou tu veux te barrer ? lui dis-je.
- Tout à l’heure, je me serais barré. Maintenant te connaître est possible, dit-il en souriant.
- Tiens, lui dis-je, j’te laisse dix euros, tu complèteras. Tu paies mon café et les calvas, et tu viens chez moi,. J’habite au deuxième étage de l’immeuble en face, légerement en décalé. Je t’attends devant le porche.
Je me levai et quittai le café. Deux minutes plus tard, je le vis traverser la rue et venir vers moi d’un pas vif.
- Comment t’appelles-tu ? lui demandais-je
- Tous mes amis m’appellent Léo... et toi ?
- Pierre, lui répondis-je.
- Tu te fous de ma gueule !
- Non, lui dis-je. Je m’appelle réellement Pierre, comme celui qui t’a quitté. Ou tu fais avec maintenant ou tu suis ton chemin. Je n’y peux rien.
- Montons, me dit-il.
Une fois chez moi, je lui demandai s’il voulait boire autre chose.
- Non, dit-il, si je suis monté c’est pour bander avec toi. C’est bien aussi c’que tu voulais... Non ?
- Ça se peut, lui dis-je sans conviction.
- Alors dans ce cas, à poil et vite, me dit-il
Il avait raison. Sans plus attendre, j’allais vers ma chambre et j’otais tous mes vêtements sans me presser. Léo m’avait suivi et se mit à en faire autant. Je fûs nu le premier et je m’allongeai sur mon lit, regardant Léo finir de se dessaper. Il était mince et bien musclé, son torse et ses jambes abondamment couverts d’un poil presque noir. Ses couilles pendaient bien sous une longue bite encore molle. Nous devions avoir le même age à peu près. Simplement, j’étais légèrement plus grand que lui et un peu moins poilu. Ma bite, toujours au repos, valait bien la sienne. Puis, comme par une transmission de penser.
- Quel âge as-tu ? me demanda-t-il en s’allongeant pratiquement sur moi.
- Trente-deux ans et toi ?
- Trente ans, tout juste.
Son visage était au dessus du mien. Près de ma bouche, ses lèvres exhalaient encore un doux parfum de calvados qu’il me laissa gouter en les joignant aux miennes. Un long et profond baiser s’en suivi, pendant lequel mes mains caressaient son dos et ses fesses. Quand sa bouche me quitta, nous pûmes nous écarter légèrement pour laisser nos sexes en érection prendre plus librement leur place. En voyant ma bite superbement dressée, Léo bascula et l’engloutit dans sa bouche tout en posant pratiquement son sexe sur mon visage. Je me mis à le sucer aussi comme un fou et notre soixante-neuf dura un bon moment, nous laissant au bord de l’explosion. Léo se redressait.
- Je veux ton cul, me dit-il, en s’agenouillant sur le lit en laissant saillir une bite superbe.
- Tiens dis-je, en lui tendant une capote et un tube de lubrifiant pris dans le tiroir de ma table de nuit.
Léo déchira l’étui de la capote et la déroula lentement sur sa pine. Il ouvrit le tube et mis du lubrifiant sur ses doigts pour enduire toute la capote. Il en repris un peu pour me masser l’anus que j’ouvrais à ses doigts experts en remontant mes jambes sur mes épaules. Deux à trois doigts tournaient dans mon trou de plus en plus avide d’être pénétré. Enfin Léo vînt sur moi. Il plaça son gland bien en face et s’enfonça sans s’arrêter jusqu’au fond. J’en eu le souffle coupé par la douleur qui déjà s’estompait sous son mouvement de va et vient qui me massait les sphincters. Léo était un bon baiseur, puissant et régulier qui mis tout le temps qu’il fallait pour jouir enfin avec de violents spasmes accompagnant ses coups de boutoir finaux. Epuisé, il quitta mon cul et s’avachit à plat ventre à coté de moi.
A mon tour, j’enfilai une capote et je remplissai son fion de lubrifiant. Léo se lassait faire, prêt à me subir. Quand je me couchai sur lui, je sentis qu’il cambrait ses petites fesses le plus possi ble pour mieux les offrir à ma pine. Enculer ce beau gosse fût un plaisir intense. Ma jouissance ne tarda pas venir, bousculant tout le corps de Léo qui se laissait aller au rythme déchaîné que j’imprimais à ses fesses. Je jouis énormément.
Il était à peine dix heures moins dix quand nous retrouvâmes sous la douche. Savon, caresses et baisers. Eau chaude ruisselante. Corps séchés et rhabillés. Je ne serai même pas en retard à mon rendez-vous !
Nous nous sommes fixés de nous retrouver le soir à dix-neuf heures en bas, au même bistrot. Nous allions entamerions ensuite notre première nuit commune et nous apprendrions petit à petit à un peu mieux nous connaître.
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