Chrystel et Amandine (1)
Récit érotique écrit par Patounet54 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2023 dans la catégorie Dominants et dominés
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Chrystel et Amandine (1)
J’avais hâte de retrouver Chrystel, je la voyais presque tous les jours en fonction de ses disponibilités. Elle était en charge de la sécurité de l’Immeuble de l’hôtel des Postes à Grenoble, mon bureau était situé au 3ème étage, ce qui lui donnait la possibilité de passer me voir quand elle était dans le secteur. A chaque fois qu’elle venait, je prenais grand plaisir à la bécoter tout en la prenant dans mes bras.
C’était une agréable jeune fille de vingt quatre ans, j’en avais vingt de plus, mesurant 1,60m avec une jolie petite poitrine et une paire de fesses à faire bander un eunuque.
Ce jour là elle avait changé son emploi du temps, sa copine de Paris devait arriver pour passer une petite semaine dans la capitale des Alpes. Chrystel m’avait demandé d’ attendre dans le hall d’entrée afin d’aller manger à la cantine avec elle.
A midi donc je me présente au lieu de rendez-vous. Après quelques minutes , je la vois venir avec son amie :
“Patrick, je te présente Amandine, ma meilleure amie quand je travaillais sur Paris”
Je la trouve très jolie également et après avoir bisouillé Chrystel je m’empresse de lui faire de gros smacks sur les joues. Je sens que le courant allait passer entre nous et tout à coup mon coeur finit par s’emballer, une agéable bouffée de chaleur m’envahit.
“Donc Amandine, je te présente Patrick, je l’invite parfois chez moi, tu verras il est de bonne compagnie, et en plus je me sers un peu de lui pour me débarrasser de ce Fred qui ne veut pas me lâcher”, elle lâche quelques petits rires sarcastiques.
Fred était son petit ami, mais elle lui trouvait un côté agaçant depuis quelques temps et voulait s’en débarrasser. Ce n’était pas simple apparemment, il était amoureux d’elle . Mais il devenait envahissant et elle avait decidé de rompre mais celui-ci ne voulait toujours pas lui rendre le double des clefs de son appartement.
J’accompagne les deux charmantes demoiselles sur le chemin de la cantine, quand Chrystel se met à sortir cette phrase :
“Dis donc Patrick tu as drôlement de la chance d’être en compagnie de si jeunes filles, j’espère que tu en es conscient”
“Mais parfaitement Chrystel, tu aurais pu éviter cette remarque devant Amandine, elle va se sentir gênée.”
Amandine : “Oh mais pas du tout, je vais même te dire mon âge, j’ai vingt trois ans et tu ne m’intimides pas plus que ça, par contre il va falloir que tu dormes dans le canapé, j’ai appris que tu voulais t’installer chez Chrystel de temps en temps, sache que toutes les deux nous avons nos petites habitudes et n’avons jamais partagé le lit avec quelqu’un d’autre. Donc s’il te venait l’idée de venir dans l’appartement ce soir, nous sommes désolées pour toi mais il ne sera pas question de faire ménage à trois”
Je me rends compte que je vais pas pouvoir fantasmer sur le fait de pouvoir jouer avec ces deux belles creatures en même temps.
Qu’à cela ne tienne je m’installe le soir même dans le logement de Chrystel avec quelques affaires de toilette que j’ai ramené de ma maison. J’ai pris soin auparavant de prétexter un séjour en stage auprès de mon épouse.
Le soir venant, J’ouvre la porte du domicile tenant mon sac en main. La vision que j’ai en entrant est tout à fait agréable; Chrystel et Amandine portent toutes deux un mini short et un top .
“Bonsoir Mesdemoiselles, je me permets de m’installer pour une ou deux nuits. Je rappellerai seulement à Amandine que Chrystel m’a donné pour mission de dissuader Fred d’arrêter de l’importuner. Pour cela il va falloir jouer le jeu et lui faire croire que c’est moi son nouvel amant”.
“Effectivement Patrick je m’aperçois que tu t’es attribué le beau rôle, mais en es tu seulement capable ”, Amandine devenait je ne sais pour quelle raison un peu insolente à mon égard.
Chrystel intervient aussitôt : “Hé vous deux ça suffit on ne va pas déjà se chamailler pour des bêtises.”
Elle m’emmène dans sa chambre et me demande de me changer. “ Tiens Patrick, tu enlèves tous tes vêtements et tu mets cette chemise avec rien d’autre en dessous. Il faut que tu ais l’air d’un étalon passant sa journée à me faire l’amour. Pour t’aider je t’ai preparé une pilule bleue que tu prendras avec un verre d’eau. Le but est de rendre Fred jaloux s’il débarque sans crier gare, il faut absolument l’humilier.”
La chemise recouvre le bas de mes fesses, la sensation de nudité que je ressens met mon pénis en érection. Je vais à la cuisine avaler mon cachet et croise le sourire moqueur d’Amandine, elle voit bien la bosse qui soulève mon vêtement.
Voyant cela je me dis qu’après tout je ne risque rien de lui mettre ma main aux fesses, ce que je fais après quelques hesitations, mal m’en a pris, elle m’envoya une gifle magistrale
“Tiens prend ça, ça t’apprendra, va te branler si tu veux mais laisse moi tranquille”
Je tenais ma joue à pleine main, il faut dire qu’elle n’y est pas allée de main morte. Je me dirige alors vers le canapé, rejoint par Chrystel qui a assisté à la scène.
Elle me console en posant son bras par dessus mon épaule, puis entoure ma verge d’une main agile en effectuant quelques mouvements de va et vient, rapidement je m’abandonne dans ses bras. Un doux moment de consolation, après quelques minutes, je finis par éjaculer.
Il faut dire que je me sens extrêmement vulnérable, juste après la scène de la gifle, Amandine est allée me confisquer slip et pantalon, je n’avais plus de vêtements à me mettre, je ne pouvais donc pas m’échapper à l’extérieur.
Mes demandes insistantes auprès de Chrystel n’avaient aucun effet. Comment me sortir de cette situation humiliante.
Nous nous décidons de nous mettre à table. Le repas fini, elles me donnent comme mission de débarrasser et de faire la vaisselle, je ne vous cache pas que dans mon accoutrement je n’en mène pas large, offrant une vue impregnable sur mon cul dénudé.
Je les entends piaffer derrière mon dos.
Et ce Fred qui n’arrive toujours pas, j’ai l’impression que la mise en scène imaginée par les deux chipies n’est qu’un prétexte pour me jeter en pâture à leurs fantasmes.
La nuit venue, les deux filles vont se coucher dans leur chambre, me laissant dans le salon non sans m’avoir fait la bise vêtues de leurs petites nuisettes, ce qui a le don de m’exciter, et ça elles le savent.
Les heures passent, quand soudain j’entends de petits gémissements; discrètement je me faufile dans leur chambre et assiste à leurs ébats. Néanmoins je ne compte pas rester spectateur, je m’approche de Chrystel et commence à la caresser, mon chibre est devenu dur comme un morceau de bois. Je lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit et me positionne en arrière , la position est idéale pour entamer les mouvements de va et vient, quel regal !
Je dis à Amandine de venir se joindre à nous, ce qu’elle fait sans protester, arrive à ma hauteur je lui indique de se metre dans la même position que sa copine. Me voilà face à un tableau de toute beauté, deux jolis petits culs s’offrent à moi. Un vrai bonheur.
Mon chibre bien tendu fait sa besogne sans rechigner, aidé par mes doigts qui s’occupent de leurs petit trous quand ils sont disponibles en alternance.
Au bout d’une demi-heure, un râle de plaisir vient finaliser cette partie de cul à l’air !
Mon foutre jaillissant vient maculer leurs deux fessiers.
Si Fred avait pu voir ça, il en aurait été fou de jalousie.
Le lendemain, je me réveille le premier afin de préparer le petit déjeuner. Les deux soubrettes se présentent quelques minutes plus tard, les yeux pas tout à fait en face des trous. Je peux deviner leurs jolies poitrines à travers le tissu et ne peut détacher mon regard de celles-ci. Mon regard insistant commence à agacer les deux demoiselles, elles finissent par se lever en se precipitant vers moi. Chrystel me saisit les bras pendant que Amandine me soulève au niveau de la taille; situation cocasse où je ne peux cacher mes attributs en l’absence de vêtements décents. Amandine me met sur ses genoux et s’écrie : “ Patrick, trop c’est trop, je vais t’infliger une fessée cul nu dont tu te souviendras toute ta vie. Chrystel fera en sorte que tu ne puisses pas t’échapper”
En effet elle maintient mes bras de telle sorte que le moindre mouvement de ma part me fait tordre de douleur, je finis donc par me laisser châtier, laissant mes fesse nues à la merci des deux punisseuses.
Ses mains s’abattent soudain sur mes fesses dans de grands mouvements amples. Les claquements se font entendre sur tout le palier de l’immeuble, j’espère seulement qu’il n’y a personne de l’immeuble qui me reconnaîtra.
Après quelques minutes de cette intense punition, mes fesses se retrouvent rouge écarlate, j’ai mon cul qui commence à bien chauffer, mais malgré la douleur je ressens beaucoup de plaisir à recevoir la fessée à en voir la taille de ma bite à la fin de la séance.
Exaspérant de plus belle mes deux copines. Je finis par demander à Chrystel de me branler afin de me soulager.
C’était une agréable jeune fille de vingt quatre ans, j’en avais vingt de plus, mesurant 1,60m avec une jolie petite poitrine et une paire de fesses à faire bander un eunuque.
Ce jour là elle avait changé son emploi du temps, sa copine de Paris devait arriver pour passer une petite semaine dans la capitale des Alpes. Chrystel m’avait demandé d’ attendre dans le hall d’entrée afin d’aller manger à la cantine avec elle.
A midi donc je me présente au lieu de rendez-vous. Après quelques minutes , je la vois venir avec son amie :
“Patrick, je te présente Amandine, ma meilleure amie quand je travaillais sur Paris”
Je la trouve très jolie également et après avoir bisouillé Chrystel je m’empresse de lui faire de gros smacks sur les joues. Je sens que le courant allait passer entre nous et tout à coup mon coeur finit par s’emballer, une agéable bouffée de chaleur m’envahit.
“Donc Amandine, je te présente Patrick, je l’invite parfois chez moi, tu verras il est de bonne compagnie, et en plus je me sers un peu de lui pour me débarrasser de ce Fred qui ne veut pas me lâcher”, elle lâche quelques petits rires sarcastiques.
Fred était son petit ami, mais elle lui trouvait un côté agaçant depuis quelques temps et voulait s’en débarrasser. Ce n’était pas simple apparemment, il était amoureux d’elle . Mais il devenait envahissant et elle avait decidé de rompre mais celui-ci ne voulait toujours pas lui rendre le double des clefs de son appartement.
J’accompagne les deux charmantes demoiselles sur le chemin de la cantine, quand Chrystel se met à sortir cette phrase :
“Dis donc Patrick tu as drôlement de la chance d’être en compagnie de si jeunes filles, j’espère que tu en es conscient”
“Mais parfaitement Chrystel, tu aurais pu éviter cette remarque devant Amandine, elle va se sentir gênée.”
Amandine : “Oh mais pas du tout, je vais même te dire mon âge, j’ai vingt trois ans et tu ne m’intimides pas plus que ça, par contre il va falloir que tu dormes dans le canapé, j’ai appris que tu voulais t’installer chez Chrystel de temps en temps, sache que toutes les deux nous avons nos petites habitudes et n’avons jamais partagé le lit avec quelqu’un d’autre. Donc s’il te venait l’idée de venir dans l’appartement ce soir, nous sommes désolées pour toi mais il ne sera pas question de faire ménage à trois”
Je me rends compte que je vais pas pouvoir fantasmer sur le fait de pouvoir jouer avec ces deux belles creatures en même temps.
Qu’à cela ne tienne je m’installe le soir même dans le logement de Chrystel avec quelques affaires de toilette que j’ai ramené de ma maison. J’ai pris soin auparavant de prétexter un séjour en stage auprès de mon épouse.
Le soir venant, J’ouvre la porte du domicile tenant mon sac en main. La vision que j’ai en entrant est tout à fait agréable; Chrystel et Amandine portent toutes deux un mini short et un top .
“Bonsoir Mesdemoiselles, je me permets de m’installer pour une ou deux nuits. Je rappellerai seulement à Amandine que Chrystel m’a donné pour mission de dissuader Fred d’arrêter de l’importuner. Pour cela il va falloir jouer le jeu et lui faire croire que c’est moi son nouvel amant”.
“Effectivement Patrick je m’aperçois que tu t’es attribué le beau rôle, mais en es tu seulement capable ”, Amandine devenait je ne sais pour quelle raison un peu insolente à mon égard.
Chrystel intervient aussitôt : “Hé vous deux ça suffit on ne va pas déjà se chamailler pour des bêtises.”
Elle m’emmène dans sa chambre et me demande de me changer. “ Tiens Patrick, tu enlèves tous tes vêtements et tu mets cette chemise avec rien d’autre en dessous. Il faut que tu ais l’air d’un étalon passant sa journée à me faire l’amour. Pour t’aider je t’ai preparé une pilule bleue que tu prendras avec un verre d’eau. Le but est de rendre Fred jaloux s’il débarque sans crier gare, il faut absolument l’humilier.”
La chemise recouvre le bas de mes fesses, la sensation de nudité que je ressens met mon pénis en érection. Je vais à la cuisine avaler mon cachet et croise le sourire moqueur d’Amandine, elle voit bien la bosse qui soulève mon vêtement.
Voyant cela je me dis qu’après tout je ne risque rien de lui mettre ma main aux fesses, ce que je fais après quelques hesitations, mal m’en a pris, elle m’envoya une gifle magistrale
“Tiens prend ça, ça t’apprendra, va te branler si tu veux mais laisse moi tranquille”
Je tenais ma joue à pleine main, il faut dire qu’elle n’y est pas allée de main morte. Je me dirige alors vers le canapé, rejoint par Chrystel qui a assisté à la scène.
Elle me console en posant son bras par dessus mon épaule, puis entoure ma verge d’une main agile en effectuant quelques mouvements de va et vient, rapidement je m’abandonne dans ses bras. Un doux moment de consolation, après quelques minutes, je finis par éjaculer.
Il faut dire que je me sens extrêmement vulnérable, juste après la scène de la gifle, Amandine est allée me confisquer slip et pantalon, je n’avais plus de vêtements à me mettre, je ne pouvais donc pas m’échapper à l’extérieur.
Mes demandes insistantes auprès de Chrystel n’avaient aucun effet. Comment me sortir de cette situation humiliante.
Nous nous décidons de nous mettre à table. Le repas fini, elles me donnent comme mission de débarrasser et de faire la vaisselle, je ne vous cache pas que dans mon accoutrement je n’en mène pas large, offrant une vue impregnable sur mon cul dénudé.
Je les entends piaffer derrière mon dos.
Et ce Fred qui n’arrive toujours pas, j’ai l’impression que la mise en scène imaginée par les deux chipies n’est qu’un prétexte pour me jeter en pâture à leurs fantasmes.
La nuit venue, les deux filles vont se coucher dans leur chambre, me laissant dans le salon non sans m’avoir fait la bise vêtues de leurs petites nuisettes, ce qui a le don de m’exciter, et ça elles le savent.
Les heures passent, quand soudain j’entends de petits gémissements; discrètement je me faufile dans leur chambre et assiste à leurs ébats. Néanmoins je ne compte pas rester spectateur, je m’approche de Chrystel et commence à la caresser, mon chibre est devenu dur comme un morceau de bois. Je lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit et me positionne en arrière , la position est idéale pour entamer les mouvements de va et vient, quel regal !
Je dis à Amandine de venir se joindre à nous, ce qu’elle fait sans protester, arrive à ma hauteur je lui indique de se metre dans la même position que sa copine. Me voilà face à un tableau de toute beauté, deux jolis petits culs s’offrent à moi. Un vrai bonheur.
Mon chibre bien tendu fait sa besogne sans rechigner, aidé par mes doigts qui s’occupent de leurs petit trous quand ils sont disponibles en alternance.
Au bout d’une demi-heure, un râle de plaisir vient finaliser cette partie de cul à l’air !
Mon foutre jaillissant vient maculer leurs deux fessiers.
Si Fred avait pu voir ça, il en aurait été fou de jalousie.
Le lendemain, je me réveille le premier afin de préparer le petit déjeuner. Les deux soubrettes se présentent quelques minutes plus tard, les yeux pas tout à fait en face des trous. Je peux deviner leurs jolies poitrines à travers le tissu et ne peut détacher mon regard de celles-ci. Mon regard insistant commence à agacer les deux demoiselles, elles finissent par se lever en se precipitant vers moi. Chrystel me saisit les bras pendant que Amandine me soulève au niveau de la taille; situation cocasse où je ne peux cacher mes attributs en l’absence de vêtements décents. Amandine me met sur ses genoux et s’écrie : “ Patrick, trop c’est trop, je vais t’infliger une fessée cul nu dont tu te souviendras toute ta vie. Chrystel fera en sorte que tu ne puisses pas t’échapper”
En effet elle maintient mes bras de telle sorte que le moindre mouvement de ma part me fait tordre de douleur, je finis donc par me laisser châtier, laissant mes fesse nues à la merci des deux punisseuses.
Ses mains s’abattent soudain sur mes fesses dans de grands mouvements amples. Les claquements se font entendre sur tout le palier de l’immeuble, j’espère seulement qu’il n’y a personne de l’immeuble qui me reconnaîtra.
Après quelques minutes de cette intense punition, mes fesses se retrouvent rouge écarlate, j’ai mon cul qui commence à bien chauffer, mais malgré la douleur je ressens beaucoup de plaisir à recevoir la fessée à en voir la taille de ma bite à la fin de la séance.
Exaspérant de plus belle mes deux copines. Je finis par demander à Chrystel de me branler afin de me soulager.
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Vivement la suite, j’aimerai être à sa place… humm