Chrystel et Amandine (2) - histoire érotique

J’avais passé mes deux premières journées avec deux soubrettes bien excites.
Je devais reprendre la situation en main, car je ne m’attendais pas à tant d’ingratitude de la part de Chrystel.
Je lui avais toujours rendu service et respectée. Mais depuis hier elle m’avait profondément décu.
Dans le courant de la soirée je lui avais sussuré à l’oreille que je l’aimais et désirais qu’elle devienne ma Maîtresse. Bien mal m’en pris peu de temps après qu’elle en ait parlé à Amandine elle revient vers moi et me rétorque que c’est n’importe quoi, qu’il n’y a pas d’avenir dans une relation sans lendemain et pour finir que je souffre d’un fantasme amoureux …
J’en ai sur le moment la voix coupée. Plus tard je finirai par comprendre qu’elle a suivi les conseils de psychologie de comptoir de sa copine.
Sur ce, je decide de me venger.
Je leur propose une sortie en pédalo sur un lac de la region; Avant de monter sur l’embarcation je vérifie qu’elle porte toutes les deux leur maillot de bain en leur soulevant la jupe devant le regard ravi du plagiste.
“Hé bien, profitez en bien, elles sont très mignonnes “ me dit-il “au retour, vous me raconterez”
“Pas de souci, j’essaie de vous en laisser un morceau”
Nous partons un peu plus loin au large, quand Chrystel me dit :
“Tu te rends compte de ce que tu lui as dit, c’est humiliant, nous étions rouges comme des tomates, j’espère qu’au retour il ne sera plus là”
“Désolé, mais après le vent que je me suis pris tout à l’heure, je ne vous ferai plus de cadeau, j’en ai marre de jouer au gentil, alors il va falloir vous tenir à carreaux”
Amandine semble embarrassée mais ne dit mot.
Je décide de débarquer près d’une berge de l’autre côté du lac, l’endroit est calme et seuls quelques jeunes sont allongés non loin.
Nous posons nos serviettes sur la plage et commençons à nous déshabiller. Je demande alors aux deux filles d’ôter leurs hauts de maillot de bains, ce qu’elles font sans trop de difficulté.
Après une baignade rafraîchissante nous revenons sur le bord pour entamer une partie de beach volley. J’aperçois alors le regard intéressé des deux garcons allongés, il est vrai que le mouvement de leurs petits seins blancs (on voyait bien l’empreinte de leur maillot) est pour le moins excitant à regarder.
Je les laisse faire, je devine aussi que mes deux copines ont dû s’en apercevoir.
C’est alors que me vient une idée :
Je leur suggère d’enlever leur culotte pour bronzer integral.
Chrystel : “Mais, Patrick, tu te rends pas compte, il y a des garcons qui nous matent depuis tout à l’heure, si en plus on leur montre notre cucul, nous allons leur donner de mauvaises idées”
Moi : “Et alors, qu’est ce que vous en avez à foutre, vous ne les connaissez même pas, et de plus ils sont à plus de 20 mètres”
Amandine : “ Il a raison on va se mettre entièrement à poil, ça vas sûrement les faire bander et peut être qu’ils vont se masturber sur leur serviette, moi je trouve ça super excitant, n’est ce pas Patrick, tu vas peut être faire pareil et nous éjaculer dessus; par contre auparavant tu nous masses bien le corps avec l’huile de bronzage.”
Elles finissent par s’allonger sur la face avant pour commencer.
En arrivant au niveau de leurs fesses, une bandaison finit par me déformer mon caleçon de bain. Je passe d’une à l’autre et à cet edroit je mets bien plus de temps pour m’appliquer. Je commence par leur écarter les deux lobes de fesse, puis enfile mon index et mon majeur en direction de leur anus. Alors commence un massage en règle de toute cette partie de l’anatomie la vue qui m’est offerte sur leur trou du cul et leur chatte bien rasée est de toute beauté. J’imagine les prendre en levrette les deux soubrettes étant allongées sur le ventre, ce que je ne fais pas dans l’immédiat, je me contente de masser mon gland entre leurs fessiers après dix minutes, puis l'excitation devenant trop grande je finis par lâcher mes jets de feutres sur leurs fesses blanches. Nos deux jeunes spectateurs ne perdant pas une miette de la scène à côté d’eux.
Je finis retourner les filles et continue de les masser face avant en insistant bien sûr sur leurs jolis seins.
Je cours juste après me rafraîchir dans le lac pendant que les deux demoiselles se font un bronzage intégral.
En find’après-midi je demande aux filles de se rhabiller mais de ne pas remettre leur maillot sous la robe. Elles finissent par m’obéir.
Avant de remonter sur l’embarcation elles se dirigent tout à coup vers les deux garcons pour leur dire au revoir et connaître leurs sentiments à propos de la séance de voyeurisme. Les sentant confus et rougissants, Amandine leur dit :
“N’ayez pas honte, c’est naturel et vous vous êtes bien regalés n’est ce pas, me concernant et ma copine Chloé peut le confirmer, cela nous a toute émoustillée et qui sait peut être qu’on se reverra, nous sommes dans le coin encore une petite semaine”
Elles finissent par leur faire une bise, ce qui ne manque pas de metre leur bite au garde à vous;
Quelles salopes ...
Nous retournons à l’embarcadère et oh surprise c’est le meme plagiste qui vient nous accueillir.
Alors là je me dis en moi-même, je vais leur réserver une petite surprise.
Il nous aide à descendre du pédalo en mettant les pieds sur la terre ferme je soulève la jupe de mes deux copines et lui dit tout leur tapotant leurs petits culs :
“Regarde les maintenant, elles pas bien plus jolies comme ça ? si tu veux je te les prêtes pour la soirée”
“heuh, c’est à dire … j’aimerais bien mais ce soir je suis invité chez une amie, et je lui ai promis …. Mais pourquoi pas demain ?”
“Demain, hé bien c’est d’accord, je te donne l’adresse, mais sois là avant dix huit heures”
Chloé : “Hé mais ça va pas, tu ne nous as pas demandé notre avis !”
Moi : “Comment ça, ça va pas, à partir de maintenant c’est moi qui donne les ordres. Et ta copine Amandine aussi elle fera ce que je lui dis, fallait pas me prendre de haut tout à l’heure.”
Je les emmène à ma voiture en maintenant mes mains sur les lobes de leurs fesses légèrement rougies par le soleil tout en les malaxant devant quelques regards offusqués. Je les entends sangloter et elles n’osent plus dire un mot.

(à suivre)