Clair Obscur cap d agde (2/2)
Récit érotique écrit par Forellege [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-02-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Couleur du fond :
Clair Obscur cap d agde (2/2)
Karine a encore envie de jouer. Nous allons dans la première salle où trône une croix de Saint André style chevalet. Cette fois je fais face à la salle, le dos contre la croix.
Une fois attaché, Karine part. Je devine qu’elle va au bar chercher d’autres jouets. Bonne déduction. Elle est magnifique quand elle entre dans la pièce. Je suis fier de lui appartenir et mon sexe qui se redresse prouve mon excitation et mon admiration. Etre en érection n’est pas du tout du gout de ma Domina qui vient me poser de lourdes pinces sur le sexe. Le cockring ne laisse que peu de place pour des morceaux de chair à pincer. Qu’importe, c’est sans compter sur l’habilité de Karine. Quatre pinces sur les couilles, une sur le scrotum et une à chaque sein. La douleur est vive.
Je referme les yeux. Je tremble en attendant le premier coup. La cravache arrive sur le sexe. Douleur forte qui me fait perdre mon érection.
Le souffle coupé, j ouvre les yeux. Un couple est à ma droite dont l homme regarde mon sexe avec crainte et envie. Sa femme semble fascinée mais ne dit rien. Beaucoup d’hommes aux fonds. Personne ne parle.
Karine continue les coups. Je tressaute à chaque fois. Apres une série qui me semblait sans fin, elle passe dans l’assemblée pour proposer à ceux qui veulent de me fouetter. Elle reçoit beaucoup de compliments et d encouragements mais avec mes pinces, personne n’ose agir de peur de faire des dommages.
Je cherche ma respiration quand elle me détache. Elle me conduit devant tout le monde vers un cheval d arçon. La foule s est écartée et certains disent que nous formons un beau couple SM…Cela me donne l énergie pour la suite.
Me voici sur ce cheval. Les jambes attachées de chaque coté, les bras tirés vers le bas de chaque coté du corps du cheval et attachés par des lanières tout comme les chevilles. La tête repose sur le corps du cheval, posée sur la joue, seule position confortable. Sophie nous a rejoint sur un signe de Karine. Elle avait regardé la précédente intervention avec envie mais n’avait pas osé intervenir. Après avoir aidé sa mentor à bien m’immobiliser, elle s’amuse de voir ainsi mon anus et mes couilles bien exposés…Si Sophie aime caresser avec une cravache, dessiner le contour de mes fesses, laisser trainer le bout en cuir de la cravache sur mes organes, Karine est plus directe dans l approche. Elle veut me soumettre et sait que seuls les coups de cravaches vont réussir à casser mon coté hautain. Il est vrai que je la regarde en la défiant du regard. J’aime exprimer le fait qu’elle ne va pas réussir à me casser et que c est moi qui dicte en fait nos jeux. De son coté, je sais aussi que je me trompe…mais comment abandonner sans rugir et oublier son coté macho Les coups reprennent vite. J ai déjà apprivoisé la douleur. Mes fesses, mon dos et même mon sexe, attendent et s impatientent de la cravache. L extase est là dés les premiers instants. Et ce n’est pas le manche de la cravache que m’introduit brièvement Sophie dans mon anus qui arrête cette montée de plaisir. J’ai mal je me sens humilié car tout le monde voit mon cul ainsi rougit qui fait face à une fenêtre donnant sur le couloir.
D un coté j’ai mal. Je pleure mais ne lâche pas un mot. J’offre mes larmes à Karine, j offre ma peine à la femme que j aime.
Quand tout s arrête, je ressens un grand vide. On me détache. Karine me remet la laisse et nous sortons de la pièce devant la foule qui s écarte comme une haie d’honneur. Karine a vaincu, je baisse la tête en marchant derrière elle jusqu’au bar.
Je ne dis plus un mot pendant que Luc raconte un autre moment vécu avec une domina. Sophie lui raconte ses émois.
Karine décide d ‘essayer les instrument de la dernière salle. Les salles que nous avons quittées sont déjà utilisées. Moins de spectateurs, mais beaucoup de femmes soumises. Un homme attaché sur la toile d araignée en chaine se fait masturber. Je regarde à la sauvette ces tableaux éphémères Une curieuse installation m attend….comme dans une salle de gym pour faire les muscles internes des cuisses. On s assoit sur un siège, les jambes maintenues écartées. Le siège peut monter en hauteur grâce à un palan électrique. Votre bassin peut ainsi être à hauteur de bouche ou de bras. Les jambes écartées sur un petit siège et toute ma virilité est de nouveau exposée.
Karine a réglé la hauteur pour pouvoir fouetter avec un martinet mon sexe. C est la première fois avant cette soirée que Karine s en prend à mon sexe. Avant elle évitait. Ce soir, elle veut me rendre chaste et blesser l’élément de ma virilité comme si son esclave devenait un jouet sans avoir droit au désir sexuel. Je lui ai offert ma virilité, elle l a prise et la jette pour faire de moi un meilleur esclaveLes coups sur mon sexe sont violents. Soudain un homme s’approche de ma Maitresse et lui murmure quelque chose à l oreille. Karine le regarde me regarde et lui dit de s exécuter. L homme se jette rapidement aux pieds de Karine, s’allonge sur le dos et lui lèche les escarpins.
Karine fait signe à Sophie de la remplacer. Comme une gamine, elle arrive en minaudant. Les coups sont moins portés que ceux que me donne Karine. Mais Sophie s est bien émancipée. Elle me pose des pinces sur les seins et les couilles. Les pinces sont très fortes j ai du mal à les supporter. Je serre les dents.
Sophie aimerait que je sois jaloux de celui qui nettoie la semelle des tallons à aiguilles de Karine. La douleur est si forte que je ne peux répondre.
A nos cotés, un couple s’est installé. La femme est sur un banc à fessée. Elle se positionne, relève sa jupe, se pince les lèvres et attend. Son mari sort d un sac une branche de noisetier. Sans autre préparation, il donne un petit coup et un fort, la femme se convulse hurle, se tord….elle se redresse et sort suivi du mari. Moment irréel qui fait que l on se demande si il a existé Sur signe de Karine, Sophie arrête et me détache. Quand elle enlève les pinces, le sang afflue et déclenche une douleur vive. Moi aussi je me tords.
Sophie part à la recherche de Luc. Karine, me promène en laisse suivi de son nouveau soumis, jusqu’à une petite pièce en forme de cachot. Une porte en bois avec une fenêtre à gros barreaux, que l’on pousse et on entre dans un lieu de 2m sur 2. Un siège en bois sans réglage en hauteur mais selon le même principe que celui que je viens de quitter est posé dans le coin. J’y suis attaché de nouveau.
La carpette, comme Karine l appelle, se jette à ses pieds et sort son sexe. Il commence à se masturber. Karine l oblige à me sucer. L homme est heureux. Karine dans cet espace confiné, adossée à la porte lui pose un pied sur la tête pour l encourager. Une main passe à travers les barreaux de la fenêtre. La main se pose sur le sein de Karine, elle se laisse faire. Cette vision de Karine, la tête en arrière, fermant les yeux et s abandonnant me rend fou de plaisir. J éjacule et me déverse dans la bouche de Carpette. Il a du mal à avaler.
Je me suis vidé. Toute la tension accumulée jusqu’à maintenant s évacue. Je n’ai plus envie de jouer.
Carpette continue de se masturber sous les encouragements de Madame. Enfin il se repend sur la chaussure de Karine qu il s empresse de nettoyer.
Il fait trop chaud dans cette pièce. Karine me détache et nous sortons.
Direction le bar pour un ultime verre et pour me rhabiller.
Une fois attaché, Karine part. Je devine qu’elle va au bar chercher d’autres jouets. Bonne déduction. Elle est magnifique quand elle entre dans la pièce. Je suis fier de lui appartenir et mon sexe qui se redresse prouve mon excitation et mon admiration. Etre en érection n’est pas du tout du gout de ma Domina qui vient me poser de lourdes pinces sur le sexe. Le cockring ne laisse que peu de place pour des morceaux de chair à pincer. Qu’importe, c’est sans compter sur l’habilité de Karine. Quatre pinces sur les couilles, une sur le scrotum et une à chaque sein. La douleur est vive.
Je referme les yeux. Je tremble en attendant le premier coup. La cravache arrive sur le sexe. Douleur forte qui me fait perdre mon érection.
Le souffle coupé, j ouvre les yeux. Un couple est à ma droite dont l homme regarde mon sexe avec crainte et envie. Sa femme semble fascinée mais ne dit rien. Beaucoup d’hommes aux fonds. Personne ne parle.
Karine continue les coups. Je tressaute à chaque fois. Apres une série qui me semblait sans fin, elle passe dans l’assemblée pour proposer à ceux qui veulent de me fouetter. Elle reçoit beaucoup de compliments et d encouragements mais avec mes pinces, personne n’ose agir de peur de faire des dommages.
Je cherche ma respiration quand elle me détache. Elle me conduit devant tout le monde vers un cheval d arçon. La foule s est écartée et certains disent que nous formons un beau couple SM…Cela me donne l énergie pour la suite.
Me voici sur ce cheval. Les jambes attachées de chaque coté, les bras tirés vers le bas de chaque coté du corps du cheval et attachés par des lanières tout comme les chevilles. La tête repose sur le corps du cheval, posée sur la joue, seule position confortable. Sophie nous a rejoint sur un signe de Karine. Elle avait regardé la précédente intervention avec envie mais n’avait pas osé intervenir. Après avoir aidé sa mentor à bien m’immobiliser, elle s’amuse de voir ainsi mon anus et mes couilles bien exposés…Si Sophie aime caresser avec une cravache, dessiner le contour de mes fesses, laisser trainer le bout en cuir de la cravache sur mes organes, Karine est plus directe dans l approche. Elle veut me soumettre et sait que seuls les coups de cravaches vont réussir à casser mon coté hautain. Il est vrai que je la regarde en la défiant du regard. J’aime exprimer le fait qu’elle ne va pas réussir à me casser et que c est moi qui dicte en fait nos jeux. De son coté, je sais aussi que je me trompe…mais comment abandonner sans rugir et oublier son coté macho Les coups reprennent vite. J ai déjà apprivoisé la douleur. Mes fesses, mon dos et même mon sexe, attendent et s impatientent de la cravache. L extase est là dés les premiers instants. Et ce n’est pas le manche de la cravache que m’introduit brièvement Sophie dans mon anus qui arrête cette montée de plaisir. J’ai mal je me sens humilié car tout le monde voit mon cul ainsi rougit qui fait face à une fenêtre donnant sur le couloir.
D un coté j’ai mal. Je pleure mais ne lâche pas un mot. J’offre mes larmes à Karine, j offre ma peine à la femme que j aime.
Quand tout s arrête, je ressens un grand vide. On me détache. Karine me remet la laisse et nous sortons de la pièce devant la foule qui s écarte comme une haie d’honneur. Karine a vaincu, je baisse la tête en marchant derrière elle jusqu’au bar.
Je ne dis plus un mot pendant que Luc raconte un autre moment vécu avec une domina. Sophie lui raconte ses émois.
Karine décide d ‘essayer les instrument de la dernière salle. Les salles que nous avons quittées sont déjà utilisées. Moins de spectateurs, mais beaucoup de femmes soumises. Un homme attaché sur la toile d araignée en chaine se fait masturber. Je regarde à la sauvette ces tableaux éphémères Une curieuse installation m attend….comme dans une salle de gym pour faire les muscles internes des cuisses. On s assoit sur un siège, les jambes maintenues écartées. Le siège peut monter en hauteur grâce à un palan électrique. Votre bassin peut ainsi être à hauteur de bouche ou de bras. Les jambes écartées sur un petit siège et toute ma virilité est de nouveau exposée.
Karine a réglé la hauteur pour pouvoir fouetter avec un martinet mon sexe. C est la première fois avant cette soirée que Karine s en prend à mon sexe. Avant elle évitait. Ce soir, elle veut me rendre chaste et blesser l’élément de ma virilité comme si son esclave devenait un jouet sans avoir droit au désir sexuel. Je lui ai offert ma virilité, elle l a prise et la jette pour faire de moi un meilleur esclaveLes coups sur mon sexe sont violents. Soudain un homme s’approche de ma Maitresse et lui murmure quelque chose à l oreille. Karine le regarde me regarde et lui dit de s exécuter. L homme se jette rapidement aux pieds de Karine, s’allonge sur le dos et lui lèche les escarpins.
Karine fait signe à Sophie de la remplacer. Comme une gamine, elle arrive en minaudant. Les coups sont moins portés que ceux que me donne Karine. Mais Sophie s est bien émancipée. Elle me pose des pinces sur les seins et les couilles. Les pinces sont très fortes j ai du mal à les supporter. Je serre les dents.
Sophie aimerait que je sois jaloux de celui qui nettoie la semelle des tallons à aiguilles de Karine. La douleur est si forte que je ne peux répondre.
A nos cotés, un couple s’est installé. La femme est sur un banc à fessée. Elle se positionne, relève sa jupe, se pince les lèvres et attend. Son mari sort d un sac une branche de noisetier. Sans autre préparation, il donne un petit coup et un fort, la femme se convulse hurle, se tord….elle se redresse et sort suivi du mari. Moment irréel qui fait que l on se demande si il a existé Sur signe de Karine, Sophie arrête et me détache. Quand elle enlève les pinces, le sang afflue et déclenche une douleur vive. Moi aussi je me tords.
Sophie part à la recherche de Luc. Karine, me promène en laisse suivi de son nouveau soumis, jusqu’à une petite pièce en forme de cachot. Une porte en bois avec une fenêtre à gros barreaux, que l’on pousse et on entre dans un lieu de 2m sur 2. Un siège en bois sans réglage en hauteur mais selon le même principe que celui que je viens de quitter est posé dans le coin. J’y suis attaché de nouveau.
La carpette, comme Karine l appelle, se jette à ses pieds et sort son sexe. Il commence à se masturber. Karine l oblige à me sucer. L homme est heureux. Karine dans cet espace confiné, adossée à la porte lui pose un pied sur la tête pour l encourager. Une main passe à travers les barreaux de la fenêtre. La main se pose sur le sein de Karine, elle se laisse faire. Cette vision de Karine, la tête en arrière, fermant les yeux et s abandonnant me rend fou de plaisir. J éjacule et me déverse dans la bouche de Carpette. Il a du mal à avaler.
Je me suis vidé. Toute la tension accumulée jusqu’à maintenant s évacue. Je n’ai plus envie de jouer.
Carpette continue de se masturber sous les encouragements de Madame. Enfin il se repend sur la chaussure de Karine qu il s empresse de nettoyer.
Il fait trop chaud dans cette pièce. Karine me détache et nous sortons.
Direction le bar pour un ultime verre et pour me rhabiller.
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