La compensation (suite du mysticisme) - histoire érotique

Nous avons décidé de retourner dans ce lieu, dit de perdition. Il y a bien longtemps que nous avons perdu nos illusions sur le coté romantique de ce club…
Toute habillée de noir et blanc, Karine porte une robe sage sauf au niveau du décolleté.
Talons hauts comme d’habitude. Quant à moi, pantalon noir et chemise blanche me suffisent.
Cette fois, nous arrivons plus tard, Il presque une heure du matin, quand nous franchissons la porte. Le portier nous informe qu’il y a du monde. Certes, la notion de monde doit différer d’un pays à un autre car il n y a qu’un couple, deux hommes affamés de sexe et un trio.

Nous commandons une coupe de champagne. Le temps d être servi, nous laisse le loisir d’observer ce monde iconoclaste. Un jeune couple sur notre droite, nous ignore purement et simplement. Nous sommes trop vieux pour que l’on ait droit à un regard. Les deux hommes passent et repassent devant les femmes, avec des regards de désespérés. Mal habillés, des dents pourris, ils vont avoir du mal à trouver des partenaires, selon les dire de Karine.

Cela fait une heure que nous buvons. La piste de danse est vide. Des couples vont et viennent enfin. Rien qui ne donne envie à mon épouse. Elle semble résignée. Elle me propose avant de partir de faire un dernier tour dans la partie coquine.
Nous croisons le jeune couple qui nous ignorait. Il semble avoir trouvé chaussures à leurs pieds, car il rejoigne deux autres couples de jeunes dans le jacuzzi.
Nous poursuivons notre exploration. Des couples s’abandonnent entre eux dans leur plaisir d’exhibition.
Nous passons devant un recoin. Derrière des barreaux, se dresse une croix de st André fixée au mur. Je m’arrête et regarde. Karine a compris. Elle s’approche de moi. Je lui demande si elle serait d accord, vu l absence de beaux spécimens pour elle, de m’attacher pendant un moment. Ses yeux moqueurs brillent d’une lueur de malice.
« Hum, hum. Ok, mais si tu es nu » me susurre-t-elle à l oreille.
« Devant tout le monde ? »« Ecoutes, moi bien. Sois tu obéis, sois on rentre et tu dormiras encagé »Emporté par mon excitation, j acquiesce et me déshabille en vitesse.
Je m adosse ensuite à la croix et me positionne. Karine ferme les sangles aux poignets et aux chevilles. Elle s éloigne un peu, admire le fait que j ai les jambes et les bras écartés en V.
Karine commence à me pincer les seins, à les torturer un peu tout en serrant fort mon sexe entre ses doigts. Je retiens mes gémissements tout en bandant fort.
Ma dominatrice retire son string, me le met sur la tête, puis en va sans m’avoir, au préalable, donner deux claques sur mon gland turgescent.
Je suis seul attaché. Des couples passent, me regardent et s’éloignent rapidement. Cela fait un long moment que je suis ainsi. J ai honte et je suis fier en même temps. Karine n’est pas revenue. Aurait elle trouvé un Hidalgo avec qui elle s’amuse ? Plus le temps passe, plus mon cerveau élabore des scénarios pervers.
Soudain, il me semble la voir revenir. Elle si classe que cela ne peut être qu’elle. Le faible éclairage du recoin, m’empêche de bien voir. Karine me regarde avec amusement et me montre deux paddles et un martinet dans sa main droite et des pinces dans la main gauche.
Avec un grand sourire, elle s approche de moi et commence à me fixer les pinces aux seins.
« Chut, je ne veux pas t’entendre. Sympa le barman de prêter le matériel. J ai dû le remercier. Oh mais tu comprends vite, ca te fait bander ? Tu vas regretter d’être excité au lieu d’être un vrai mari qui se doit d’être jaloux. Préfères tu le martinet ou le paddle ? Je vais d aider à répondre»Karine commence par le paddle. Elle s’amuse à comparer l’effet de chaque instrument, et ma réactivité aux coups. Je contiens mes gémissements mais je me tortille dans tous les sens.
Deux spectateurs hommes se tiennent derrière les barreaux. Karine les interpelle en leur montrant le martinet et un paddle. Un des spectateurs, celui qui porte qu’une serviette autour de la taille désigne le martinet. L’autre homme en veste semble ressembler à notre coquin d hier soir. L obscurité me empêche de bien distinguer. Qu’importe.
Karine tend le martinet. Les spectateurs refusent et lui font signe de s’activer sur moi.
Karine s’exécute. Les lanières du martinet viennent mordre mes cuisses, lacérer mes pectoraux, et rougir mon sexe et mes testicules. Je gémis de douleur cette fois.
Karine retourne vers les spectateurs. Elle s approche de l’homme à la serviette. Il bande et cela se voit. Karine touche le sexe à travers la serviette. L homme dénoue rapidement le tissu et montre un sexe fin bandé. Elle commence à le caresser doucement en plein contraste avec la dureté du fouet.
L’homme à la veste, ouvre sa braguette et exhibe son sexe en érection, comme une invitation. Karine comprend le message. Elle commence une lente masturbation. Deux sexes pour elle, deux sexes qui ne demandent que de l’attention. Elle leur parle à voix basse.
Les barreaux les séparent mais aucune main des spectateurs ne semble s’aventurer à découvrir la beauté du corps de Karine.
Karine revient vers moi, abandonnant les sexes luisants.
« Ils m ont demandé de te faire débander en te fouettant fort. Je suis désolé mon pauvre chéri. Je ne fais qu’obéir » me dit elle ironiquement.
Les coups reprennent. Elle alterne force et rapidité. Je me tords dans tous les sens, j’implore.
Karine s’arrête et me demande si je l’aime ainsi en domina salope. Plein de respect pour ma maitresse, et rempli d amour pour ma femme, j acquiesce d’un oui franc.
Alors elle retourne vers les deux spectateurs. Ils bandent toujours et l’un se masturbe.
Elle se met à genou. Les deux hommes ont compris, Ils s’approchent au maximum près des barreaux. Leurs sexes sont raides. Bien que Karine commence à les prendre en bouche. Elle alterne la fellation et la masturbation. En aucun cas, elle ne lâche les mandrins à sa disposition.
Un autre spectateur arrive, Il sort son sexe, se masturbe en attendant son tour. Karine le découvre. Elle le lèche aussi. L homme est un rapide, il décharge au moment ou ma domina reprend en bouche le sexe de l‘homme à la serviette.
Karine a reçu le sperme sur ses seins. Elle se redresse et parle avec les deux spectateurs initiaux avant de venir vers moi.
Elle me détache. Je frotte mes poignets. Karine attire ma tête sur ses seins. M’agrippant par les cheveux elle frotte mon visage sur sa poitrine maculée de sperme. J’ai le visage à mon tour plein de sperme. Son odeur m’enivre.
Karine me prend par le sexe et me demande de la suivre. Les deux spectateurs me suivent.
Nous formons un drôle de groupe. Une femme tirant un homme nu, suivi par deux coquins.
Les deux me bousculent et prennent les mains de Karine. Le bras autour de la taille, une main qui caresse les fesses, une autre qui remonte la jupe pour mettre à nue le postérieur, rendent Karine heureuse. Elle se laisse embrasser dans le cou, tout en avançant vers une alcôve. Je ferme la marche bêtement le string encore sur la tête. La honte disparaît au profit de l excitation.
Tout le monde se pousse pour se mettre sur la seule alcôve libre, fermée uniquement par des rideaux bien ajourés.
Les hommes se pressent autours de Karine. L’un fait glisser les bretelles de sa robe et vient gober un sein tout en pinçant le mamelon libre. L’autre, positionné derrière ma belle l’embrasse goulument tout en lui caressant les fesses.
Karine les repousse gentiment pour enlever sa robe. J ai toujours son string qui me fait un collier maintenant et toujours les pinces sur les seins.
Les deux mâles prennent un temps d’arrêt pour l’admirer. L homme à la serviette est nu, (Mr Nu pour la suite). Son partenaire garde ses vêtements et reste le sexe bandé à l’air.
(Mr Veste). Karine est à genou sur le lit et lui fait face. Il est maintenant debout contre le lit, à moitié caché par les rideaux. Karine l’embrasse. Leurs langues s’activent. Il avance sa main entre les cuisses et prend possession de l’écrin de chair.
Ma femme se cambre sous le plaisir. Mr Nu, dans son dos l’entoure de ses bras et prend ses seins dans chaque main en tirant sur les mamelons, puis tout en léchant le dos, il enfonce un doigt dans le creux des reins.
Karine se déchaine quand Mr Nu s’allonge sur le dos. Tout en lui offrant la vue de ses fesses, elle s’empale sur son sexe. (J admire comment cet homme a su mettre un préservatif si rapidement). Mr Veste présente à Karine son sexe qu’elle engloutit goulument.
Je reste le spectateur ridicule de cette orgie.
Karine se redresse, se retourne et chevauche son partenaire allongé. Elle le regarde doucement avant de lui offrir sa langue. Monsieur Veste comprend l’invitation. Il va chercher de la mouille de ma femme, puis avec sa salive, il prépare l’anus. Karine arrête sa chevauchée pour faciliter la sodomisation, Elle écarte ses fesses et pousse pendant qu’il prend doucement possession. Et soudain à son signal les deux hommes s’activent. Elle jouit longuement. Mr Veste ne se retient plus, il éjacule en grognant, ce qui déclenche l’orgasme de Mr Nu.
Karine reprend ses esprits, immobile, allongée sur Mr Nu. Mr Veste se redresse et commence à enlever son préservatif plein. Elle l’arrête et lui retire en prenant soin de garder le sperme.
« Nettoies le » m’ordonne t elle.
Je m’approche du sexe, et commence à le lécher pour le rendre luisant. Mr Veste me fait signe que c’est propre, rentre sa marchandise et s’en va sans un mot.
Karine me regarde surprise. Le préservatif est toujours en place sur Mr Nu. Le sexe est mou.
Je dois me préparer au deuxième nettoyage. On déroule le préservatif. Mon épouse me renverse la tête et vide sur mon visage le contenu des deux préservatifs. Avec mes mains, je dois l’étaler sur mes joues et mes cheveux.
Cela amuse Mr Nu. Son sexe reprend de la vigueur. Il fait signe à Karine. Je dois le prendre en bouche. Je commence une fellation qui sent le sperme. Je gobe je lèche, tourne autour du gland, le mordille, l avale ….bref, je m’applique si bien que voilà un sexe en pleine érection. Karine est assise sur le coté vers sa tête. Elle l’embrasse à pleine bouche, pendant qu’il joue avec ses seins.
Puis, elle m’ordonne de le chevaucher et de l’accueillir dans mes reins. Je suis comme un enfant qui sait qu’il va recevoir un cadeau. Je suis aux anges. Je m’installe à califourchon sur l’homme. Vite un préservatif…et me voilà me sodomisant doucement. Mr Nu ne l’entend pas ainsi. Il me prend sauvagement. Ses mouvements sont puissants. Il change de rythme pour que j apprécie mieux. Je feule malgré les passants voyeurs qui parfois s’arrêtent, regardent à travers l’entrebâillement des rideaux.
Karine encourage mon sodomite en lui caressant le torse et en l’embrassant.
Mr Nu au bout d un long moment, prévient qu’il va jouir. Karine me pousse, Il décule, enlève son préservatif pendant que Karine, me tenant par les cheveux, me fait ouvrir la bouche. Je reçois la semence avec plaisir. Puis je nettoie toute trace de sperme.
L homme semble repu, tout comme moi.
Nous devisons de tout et de rien. Pendant qu’il doigte ma belle, je dois le sucer. Mais rien n’y fera, même pas le savoir faire de ma belle, pour lui rendre de la vigueur.
Non sans un dernier baiser, nous prenons congé de lui, pour nous rendre à la douche. Je récupère mes habits et tenu nu par mon épouse nous allons sous la douche. Des douches à cabine mais sans porte.
Je laisse couler l’eau longuement sur ma peau comme pour me nettoyer de cette luxure.
Soudain un petit cri, attire mon attention. Je sors de la douche pour apercevoir Karine debout entrain de se faire labourer par un beau métis. Elle est appuyée sur la paroi et reçoit les coups de butoir de son amant du moment. Elle venait de jouir, et c’est à son tour maintenant. Il jouit bruyamment, puis se retire vite le préservatif à la main.
Mon épouse me regarde« J avais bien droit à une compensation » me dit elle en riant.