Club libertin - histoire érotique

Bonjourà vous chères lectrices et chers lecteurs,

Encore une preuve que je saute du coq à l'âne, je sais cest un défaut... Et je m'en excuse !

Rappel important :
Tous les rapports qui peuvent être réalisé entre 2 personnes concentantes, doit obligatoirement être fait sous la haute protection de monsieur CONDOM.
Même si cela n'est pas toujours précisé dans mes histoires, pour une raison ou une autre, sachez que la meilleure protection pour celui, ou celle, qui a plusieurs partenaires sexuels est l'usage d'un préservatif. Il est bête de titiller la mort juste pour assouvir ce qui doit être un moment de pur plaisir.
Alors, maximiser votre orgasme en vous protégeant !


Maintenant voici l'histoire :

Cette histoire a eu lieu tout au début de notre histoire d'amour (bien qu'elle ait eu lieu après notre mariage) et de notre découverte de nos envies pervers, du moins elle se situe à l'époque de notre recherche d'une expérience d'une union sexuelle insolite.

Samedi 03.03.2001

Après quelques recherches, je trouve enfin l'endroit qui va accueillir notre soirée.

- Alors prête ma Caline ?
- Même si je suis nerveuse, je me sens prête, j’ai vraiment envie de découvrir de nouvelles choses !
- Dis-moi ce qui te rend nerveuse ?
- Me retrouver dans une situation gênante ou être touchée par des inconnus qui ne me plaisent pas !
- C’est toi qui fixe les règles, si tu te sens mal à l’aise on s’en va... Le fondement du libertinage c’est la liberté. Personne n’a le droit d'insister pour te faire faire une chose que tu n’as pas envie ! En revanche, je serai à ta disposition pour réaliser tous tes désirs.

Nous arrivons à un portail que le vigile ouvre immédiatement pour faciliter notre passage. De l’extérieur, le bâtiment est immense mais très discret. Je lui prends la main pour lui donner du courage.
Nous sommes accueillis par une hôtesse en guêpière et shorty sexy. Elle nous donne un bracelet qui nous permet d’avoir accès aux vestiaires et de régler nos consommations.
Elle nous demande de lui laisser nos téléphones qui seront conservés dans un coffre. Puis, elle se tourne vers Caline avec une expression mutine et lui dit :

— Excusez nous madame mais... Les collants opaques ne sont pas tolérés !

J'avais pourtant choisi ses vêtements et sous-vêtements avec soin, un soutien-gorge sans armature en dentelle noire ajourée laissant apercevoir les tétons par transparence, un string assorti qui arbore un magnifique nœud en haut des fesses, une jupe bleue scandaleusement courte, des collants opaques et des escarpins vertigineux...

— Merdeuuuuu ! Que je dis.

Caline est presque pliée en deux devant mon air contrit.
Je réfléchis quelques secondes car ma réaction va donner le ton de la soirée. Je peux être mal à l’aise et subir, ou prendre les choses en main et profiter à fond de cette nouvelle épreuve et toute épreuve est une expérience et enfin avec chaque expérience, on en sort avec une leçon.
Personne ne nous connait ici, et pour cette soirée je peux être le mec pleine d’assurance, preneur de décision, comme j’aime être et par dessus le marché, Caline ne peut plus rien refuser car elle est "prise au piège"!.
Alors, je soulève sa jupe jusqu’à la taille et je l'aide à faire glisser, bien lentement, le collant le long de ses jambes, révélant son nœud à toutes les personnes présentes. Tous les regards s’enflamment en voyant les efforts que fait ma belle princesse, qui pour conclure cette exhibition, roule le bout de nylon en boule et le jette à la poubelle.
Je prends alors ma partenaire par la taille et la colle à moi. Je crois qu’elle a bien aimé le petit jeu, pourtant non programmé, et je dois bien avouer que moi aussi !
Ça fait du bien au moral de se sentir que ma charmante Caline est consentante pour poursuivre cette aventure.
L’hôtesse d’accueil poursuit ses explications et on nous précisant qu’on peut lui demander une serviette propre à tout moment.
Elle précise également, que l'espace SPA est à 100% naturiste et rajoute, à mon intention, que ce club privé est très confidentiel, les personnes qui y viennent souhaitent donc protéger leur anonymat.

Pour commencer, nous passons d'abord dans l’espace discothèque. Il y n'y a pas encore trop de monde. On y croise quelques hommes (10 au grand max) et quelques femmes, 3 ou 4 couples d'amoureux et on peut voir 2 groupes d’amis des 2 sexes.

- J’aimerai commencer par prendre un verre. Dis-je.
- Bien sûr, répond-t-elle en se laissant conduire comme toute bonne salope.

Caline se "laisse" ou fait croire au charmant barman, qu'elle a été convaincu d'essayer sa spécialité le "mojito" fait maison.
Une fois servi, et alors que nous sommes entrain de siroter nos verres, je lui murmure à l'oreille :

- Regarde les escaliers par là-bas... Ils mènent à l'étage aux coins câlins du club... !
- Alors allons-y ! Me dit Caline impatiente.

La première chambre est toute petite environ 2m sur 3m, elle est meublée de deux tables de massages.
Ensuite il y a trois chambres très lumineuses. Le mur qui sépare la chambre du couloir est en plexiglas transparent. Les gens qui circuleront dans ce couloir auront la joie et l'immense plaisir de jouer aux voyeurs.
Puis vient la grande pièce BDSM, pas moins de 20-35m² avec des chaines et des crochets qui descendent du plafond, une croix "Saint-André" et un banc de fessés.
En fin de parcours nous arrivons dans un couloir avec des trous dans les murs.

- On appelle ça : "glory-hole"... Des mecs se tiennent de l'autre côté, passent leurs bites à travers ses trous permettant à ceux qui se trouvent ici de pratiquer la meilleure fellation qu'elles, qu'ils, ont apprisent sans voir qui se tient de l'autre côté. Explique ai-je à Caline qui ne connaît pas le mode d'emploi de ce jeu.
- "Ils"... "Elles"? Me demande t-elle.
- Oui des filles et des hommes qui aiment sucer !
- Voilà une limite que je ne pourrais jamais franchir !
- Pourquoi tu n’aimes pas les inconnus ? demande ai-je.
- Ça dépend de l’inconnu…
- Un inconnu est un inconnu ! Dis-je en m’approchant et lui faisant glisser mes doigts entre deux boutons de sa chemise pour toucher sa peau.
- Si c’était toi derrière le mur peut-être que…
- Je ne serais plus un inconnu alors ! Imagine toi le lendemain tu rencontres un mec dans la rue et tu te dis : c'est peut-être lui que j'ai pompé la bite hier !!

J'approche ma bouche et dépose de doux baisés sur sa gorge. En entendant des voix dans mon dos, je remonte sa courte jupe jusqu’à la taille et caresse ses cuisses et pinçant ses fesses. Je pivote d'un seul coup pour exposer les fesses de ma princesse aux yeux de ses gens qui visitent ces lieux... Je la sens effrayée quelques instants mais l’excitation reprend le dessus quand je la pousse à dépasser ses limites en exposant ouvertement ses fesses aux yeux de ce couple qui comme nous, explore cette partie du club.

- Si tu continues à gémir comme ça je vais finir par te prendre dans ce couloir ! Dis-je en m’emparant de ma bouche.
- Oh non! Fais-moi voir le reste de l'étage avant…
-Viens...

Je repousse chemin et sur l’autre aile, je lui montre une pièce, qui est entièrement dans le noir. Puis il y a une cette grande chambre qui est composée d’une immense banquette sur les côtés et d’un lit, king, mais vraiment king-size, au bas mot 10m sur 10m, en plein milieu de la salle.

- Wahhh... J'ai hâte de voir l’ambiance qui se tiendera dans cette pièce plus tard dans la soirée ! Me confie Caline.
- Voilà tu as tout vu ! On peut passer à la suite maintenant ?

Elle hoche simplement la tête sans prononcer un mot. Je souris d'un sourire carnassier… Je lui prends la main et me dirige vers une des chambres vitrées.

- Je crois avoir compris, du moins j'ai senti que tu aimerais bien qu'on puisse tu voir te faire tringler, baiser... Tu vas adorer de savoir qu'on aura envie de te niquer... D'ailleurs, sache que si on laisse la porte ouverte : n’importe qui peut se joindre à moi pour jouir de ton corps, mais on peut aussi la verrouiller. Qu’en penses-tu ?
- Je préfère que... Tu... Fermes la porte, s’il te plaît !

Un peu déçu quand-même, je m’exécute... Elle en profite pour se défaire de sa chemise. Puis je me retourne vers ma princesse avec un regard affamé. Je lui retire la jupe et la pousse sur le lit.

Je la sens à la fois forte et vulnérable. Je jette un coup d’œil pour voir si quelqu’un nous observe, je suis presque déçu qu’il n’y ait personne.
Qu'à cela ne tienne, je lui mordille son téton et je me focalise instantanément sur ses sensations. Je passe mes lèvres sur son ventre en descendant petit à petit. Je lui retire doucement son string et le range soigneusement dans ma poche. Je caresse ses jambes puis attrape ses chevilles et pose ses pieds sur mes épaules. J'approche ma tête de son sexe et commence par souffler lentement dessus.
Quand je pose sa langue sur son clitoris je sens qu'elle est déjà au bord de l’explosion. Ma langue alterne les petits mouvements vif et ciblé avec de grands mouvements doux et enveloppants. Elle commence à gémir et un coup d’œil me permet d’apercevoir que nous avons un public.
Sentant son excitation monter d’un coup, je lui introduit un doigt pendant que ma langue continue son travail avec acharnement. Chaque va et vient de mes doigts accentue les sensations dans son ventre. Elle s'accroche à mes cheveux pour que mes mouvements soient plus forts et intenses.
Au même moment j'introduis également un doigt dans son anus. Cette stimulation supplémentaire lui procure un orgasme fulgurant. Je sens mon sexe battre entre mes cuisses.
Je remonte vers son visage et introduis ma langue dans sa bouche. J’adore sentir la douceur de sa langue et l'odeur de son parfum de femme excitée !

- On redescend finir ce verre ?
- Oh ! Et toi alors ?
- On a toute la soirée pour ça, dis-je en lui faisant un clin d’œil.

Elle remets ma jupe et ses chaussures.

- Peux-tu me rendre ma culotte ? Qu'elle demande.
- Hors de question ! Est ma réponse.

En notre absence, la piste de danse a été envahie. Sur le bar, quatre chanteuses en tenues sexy font le show. Je remarque alors les barres de pôle dance et les cages autour de nous.
Dans une des cages, il y a une brune magnifique, elle est topless et dévoile de petits seins ronds. L’arrière de sa culotte est composées de plusieurs lanières qui encerclent sa peau blanche. Elle ondule les hanches en rythme, avec douceur et sensualité.

- Elle te plaît ? Ça doit être Coralie !
- Tu la connais ?
- Non, mais d'après mes recherches, elle ressemble à la proprio, je crois, que l’homme à la chemise bleue c'estson mari, il aime l'exhiber ! On pourra la voir en action un peu plus tard si ça t’intéresse.
- En action ?

Au lieu de lui répondre, je lui désigne un coin opposé de la pièce. Il y a deux femmes entièrement nues sur un podium. Elles s’embrassent et leurs mains jouent sur leurs corps dans divers caresses. Lorsqu’un homme les rejoint, elles s’évertuent à le dévêtir. Elles lui enlèvent la chemise puis son pantalon. Pendant que l’une suce ses tétons, l’autre retire son caleçon et commence à le masturber. Enfin, elles se mettent à genoux et lui offrent une fellation à deux langues.
J’ai vraiment l’impression qu’ici on peut faire ce qu’on veut. C’est déroutant mais en même temps ça débloque quelque chose dans mon esprit.

- Nus, face à nos pulsions sexuelles, nous sommes tous pareils. Peu importe le niveau social, peu importe le métier, peu importe la famille, peu importe le physique, peu importe les perversités, ici tout le monde est accepté tel qui est. Que je lui dis.

Je lui tends la main, et l’entraine sur la piste de danse.

- Montre-moi ce que tu sais faire ! Susurre ai-je à son oreille.

Alors elle se colle à moi tout en ondulant du bassin. J'en profite pour passer ses mains sous sa jupe et malaxer ses fesses. Elle ne semble pas se préoccuper de l'absence de sa culotte, et je sens même un désir de s’exhiber, cela me rend fière. Je sais qu'elle cherche à se faire désirer, non seulement par moi mais aussi par ces hommes qui nous entourent.
Elle me tourne le dos pour coller ses fesses nues contre mon sexe gonflé de désir. Tout en continuant à bouger en rythme, j'embrasse la nuque et cela lui provoque des frissons dans tout le corps. Une de mes mains caresse son buste pendant que l’autre descend lentement entre ses jambes. J'insère un doigt dans sa chatte toute baveuse, à mon grand bonheur elle se laisse faire alors qu'elle est observée, comme ça, en plein milieu de la piste de danse.

- Je savais que ça te plairais ! Me murmura-t-elle.

Mon souffle court m’empêche de dire quoi que ce soit, je me contente de sourire. Je mets alors mon doigt qui était plongé dans son puits d'amour, dans sa bouche et elle peut alors goûter l’étendue de son excitation. Elle se retourne et m’embrasse avidement. J'ai le goût de son sexe et ça me donne envie de la dévorer. Elle introduit sa main dans mon pantalon et caresse mon membre déjà bien dur.

- Tu vois ce que tu me fais ? Lui Dis-je d’une voix roque.
- Ce n’est pas encore assez j’ai envie de te rendre fou.

Je l’entraîne à l’écart, vers un des nombreux baldaquins qui encerclent la piste de danse. La musique est moins forte ici. Je m’installe et l’invite à s'assoir à califourchon sur mes cuisses.

- Maintenant dis-moi exactement ce que tu comptes me faire…
- Je vais défaire ton pantalon et baisser ton caleçon afin de découvrir ton sexe palpitant... Je vais prendre ta grosse bite en main et approcher ma langue de ton gland. Puis je vais l’enfoncer tout doucement dans ma gorge. Qu'elle me dit toute excitée.
- Et moi je fais quoi ?
- Toi ? Tu mets une main derrière ma tête pour donner le rythme et avec l’autre tu caresses ma chatte mouillée.
- Et ensuite ?
- Ensuite, je vais m’assoir sur toi.
- Comme maintenant ?
- Oui !
- Montres-moi !

Elle se relève pour pouvoir déboutonner ma braguette. Je suis étonné de sa témérité, non seulement je ne me sens pas impressionné par la situation mais j’en veux plus encore.
Elle s’agenouille entre mes cuisses et prend son gland dans ma bouche. Elle passe sa langue lentement sur ma verge avant de l’enfoncer doucement dans sa bouche. Puis elle fais des vas et viens tout en aspirant légèrement.
Quand elle s’amuse à me faire languir en titillant juste le bout de mon membre, je pousse mes hanches en avant ou appuie sur sa tête avec douceur enfonçant mon sexe dans sa gorge. J’entends son souffle saccadé et je sens une douce chaleur monter entre ses jambes.

- Ralentis sinon je vais jouir.
- Et tu ne le veux pas ?
- Non ! Que je lui affirme.

Je sors un préservatif de ma poche et le déroule sur mon sexe tendu.

- Vient t’assoir sur moi ! Que je lui ordonne.

Elle remonte sa jupe à la taille puis place ses genoux de part et d’autre de mes cuisses et s'empale lentement sur ma queue. Je sens son intimité s’élargir autour de mon sexe. Elle m’attrape la nuque et commence à monter et descendre en cadence. Je passe mes bras autour de sa taille pour qu'elle se cambre encore peu plus. En faisant cela, je sens que le frottement de mon sexe titille son clitoris déjà gonflé de désir.
Je lui donne le rythme de notre union même si c’est elle qui me chevauche. J'accélère, puis je ralentis doucement en faisant des ronds avec son bassin, avant de réaccélérer.

- Accélère ! Hurle t-elle presque.
- Je veux que tu prennes ton pied avant…
- Oh non, ne m’attends pas.

Je vois dans ses yeux, une lueur de défi. Puis je la prends par les hanches pour la décaler sur le côté.

- Non ! Ne t’arrête pas ! Crie t-elle
- Ce n’est pas fini, on va juste continuer ailleurs…

Je retire le préservatif et remonte rapidement ma braguette. Je lui prends la main et l’entraine vers le coin câlins.

On arrive dans la grande salle avec l’immense banquette. Il y a beaucoup plus de monde que tout à l’heure.
Mon regard est aussitôt attiré par Coralie. Elle est à quatre patte. Un homme est assis devant elle, elle lui fait une fellation, pendant qu’un autre la sodomise, sous le regard de son mari qui se masturbe.
Juste à côté d’eux, il y a deux hommes et deux femmes tellement imbriqués qu’on ne peut plus distinguer où fini un corps et où commence le suivant. Partout où je tourne le regard il y a des corps nus et des scènes de sexe.
Je profite de la confusion de ma chérie pour me dévêtir entièrement. Je me place ensuite derrière Caline et défait les boutons de sa jupe pour la lui retirer. Je lui dégrafe son soutien-gorge et le fait glisser le long de ses bras.
Pendant une fraction de seconde je sens qu'elle est prise de panique par la situation. Sûrement qu'elle vient de réaliser qu'elle est nue comme un ver, face à plusieurs personnes qu'elle n’a jamais vues mais je la rassure en lui disant qu'ils ne pourraient jamais la reconnaître si elle les croisait dans la rue.
Je me mets à lui mordiller l'épaule en attrapant ses seins de mes mains, cette frayeur se transforme en excitation.
Je m’allonge sur le lit qui se trouve au milieu de la pièce et lui dis :

- Viens t’assoir sur mon visage maintenant !

Elle obéit et sa langue vient d'abord stimuler le point le plus sensible de mon anatomie. Avec mes mains, je lui caresse le dos, les hanches, son buste, ses seins…
Je suis presque au bord de l’explosion quand elle se retire. Elle prend un préservatif, le déroule et s’assoie sur ma bite. Je fais quelques mouvements pour l’entendre grogner et l'obliger à desserrer son emprise. D'un coup de hanche, ma bite se retrouve à l'air libre. Comprenant qu'elle se doit d'obéir, elle vient s’assoir, enfin, sur ma bouche.
Les mouvements de ma langue enflamment ses sens. Elle me présente alors son anus et je m'empresse d'y introduire ma langue. À deux doigts de l’orgasme elle retourne s’assoir sur mon membre bien raide. Alors, j'utilise mon pouce pour continuer à stimuler son clito pendant que lui pince un téton de l’autre main.

- Mets toi à quatre pattes ! Ordonne ai-je.

Elle s'exécute sans mot dire. Je frotte doucement la bite contre son clitoris gonflé, je le dirige vers son anus. Surprise qu'elle est mais je sens qu'elle est aussi heureuse, je m'y enfonce entièrement en lui extraillant un gémissement.

- On peut se joindre à vous ? Fait une voix.

J’ouvre à peine les yeux, un visage féminin et souriant me fait face. Elle est brune et douce, je la trouve jolie et je suis dans un tel état d’excitation que je l’embrasse pour éteindre ce feu sur pattes, mais cela ne fait que l'enfammer encore plus. Sa bouche est tendre et soyeuse. Une troisième bouche, celle de son mari, s’empare de mon téton. La sensation est exceptionnelle. Je sens l’orgasme poindre mais je stoppe net ma pénétration. Au bout de quelques secondes, une langue fine remplace ma queue. Cette fille magnifique, dont je ne connais même pas le prénom, vient de mettre sa langue dans le cul de ma belle princesse.

- Tu veux bien ?

Son mari est à genou face à moi et présente son sexe tendu à Caline. Sans hésitation elle le met dans sa bouche. Je suis comblé de voir que ma belle chérie s'assure de rendre le plaisir qu’on lui donne et cela déclenche un orgasme fulgurant que même un sourd aurait entendu sans aucun problème.
Caline n’a pas le temps de reprendre ses esprits que je m’installe à côté de ma princesse et, sans hésitation, pose ma langue sur la bite qu'elle est en train de lécher. Caline est surprise mais surtout ravie de voir à quel point les fantasmes de chacun peuvent être concrétisés ici.
Après quelques minutes, je m’allonge sur le dos, mon obélisque toujours enveloppée de son manteau protecteur et fais signe à la jolie brune pour qu'elle vienne s’empale sur mon sexe tendu.

- Viens t’assoir sur mon visage ! Demande ai-je à ma bien aimée.

Caline s’exécute comme une automate. Face à face, les deux dames se caressent, elles passent leurs mains doucement sur leurs seins. Je peux voir que la jolie dame brune, prend un mamelon de ma beauté entre ses doigts et le pince fermement, puis approche sa bouche pour apaiser l’exquise douleur qu'elle vient de provoquer d’un coup de langue. Son mari s'agenouille dans le dos de ma femme et je sens alors son membre se glisser entre ma langue et la moule de ma chérie pour la pénètrer profondément.
Très rapidement, un énième orgasme paralyse Caline qui s’effondre épuisée et repue au côté de moi.

À suivre nos aventures dans un nouveau chapitre !