Cocu ...volontaire ? 13 Plus cocu que candauliste !

- Par l'auteur HDS Accent -
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Récit libertin : Cocu ...volontaire ?   13 Plus cocu que candauliste  ! Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-01-2017 dans la catégorie Plus on est
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Cocu ...volontaire ? 13 Plus cocu que candauliste !
Cocu ...volontaire ? 13 Plus cocu que candauliste !


Après deux soupirs et trois larmes de crocodile Émilie s‘endort les fesses serrées sur son plug anal, le moyen, et va rêver voluptueusement du marabout à gros nœud qui devrait la guérir, mais pas trop vite espère-t-elle jusque dans son rêve coquin. Car les soins prodigués la comblent de bonheur au point qu’elle a passé commande d’une nouvelle série d‘exercices avec cet étranger. Ses protestations contre un éventuel divorce sont de pure forme. La menace ne l’empêche pas de dormir et de rêver. Le sommeil est un refuge ouateux pour des rêves inachevés, à reproduire sans fin, si agréables, si confortables, loin des petits soucis du monde réel, de la cruauté des mensonges, de la peur de se faire pincer.


Elle sourit en dormant, elle soupire :« René »Elle dort… qui est capable de contrôler le contenu de ses rêves ? Elle est attendrissante sous l’emprise de son subconscient. Elle revit le dernier événement important de sa journée, il n’y a pas lieu de s’offusquer. Je l’aime. J’aime qu’elle ait su se créer un monde imaginaire où elle vogue heureuse. Dors, fais de beaux rêves mon amour.


Je pars au travail et j’emporte le plug anal au plus gros diamètre; je ne voudrais pas que ma belle endormie se blesse en se contorsionnant pour enfoncer seule dans son anus un écarteur aussi effrayant. Faute d’observation scrupuleuse des consignes d’utilisation par la femme, René sera mortifié de ne pas réussir à franchir dès ce soir le sphincter insuffisamment dilaté. Ce n’est pas fait pour me déplaire.


René va peiner à la porte, tenter de forcer le passage, faire mal, peut-être déchirer la peau du cul de ma femme, enlever de son attrait à la pénétration anale que sa victime craindra ensuite par peur d’une douleur mal placée. Il perdra du temps en vains efforts et augmentera la durée de sa rencontre et par conséquent celle de ma présence chez Angèle. Ma femme devra renoncer ce soir encore à son fantasme malsain, elle devra reporter la sodomie de quelques jours, respecter le délai nécessaire à la guérison de sa blessure postérieure. Je n’ai pas de plan précis, moi je gagne du temps, sur tous les plans. Retarder, faire patienter peut faire oublier, laisser tomber, je l’espère. Au contraire faire obstacle peut exacerber le désir. On verra. Je fais ce que je peux. Comment savoir ce qui est le mieux pour Émilie ?


Quand j’en suis l’auteur, j’aime les farces et j’en ris. Jusqu’à ce soir je serai de bonne humeur. La poubelle des voisins de mon bureau connaît un objet insolite, elle s’en fout. Nous en sommes débarrassés.


A treize heures mon repas m’attend. Émilie est nerveuse, tourne en rond, se fait douce pour m’adresser un reproche indirect :

- Mon chéri, tu as oublié quelque chose ce matin avant de t’en aller. Tu vois de quoi je veux parler ?


- Tu dormais si bien, je ne t’ai pas embrassée pour ne pas te réveiller car tu sais ce qui t’attend ce soir. Ce sera ta fête, ce soir, tu en profiteras mieux si tu es reposée: j’ai pensé à tout pour ton bien, ma chérie, dès le matin.


- Pourtant j’aime être réveillée par tes baisers. Non, je parle d’autre chose, tu ne te souviens pas ? L’objet à m’enfiler par derrière, tu devais…

- Ah ! Oui…, cela me revient. J’y ai pensé très fort au lever. C’était inhabituel pour moi. Pour rien au monde je n’aurais voulu omettre ce service. Faute d’être ton premier enculeur avec ma verge, j’aurais apprécié d’être le premier à t’enculer avec un objet aussi important. J’aurais également aimé rendre ce service insigne à notre ami René, car c’est pour lui que tu fais tant d’efforts louables. Je l’ai cherché partout ce jouet , je ne l’ai pas trouvé. J’en ai conclu que tu n’avais pas pu attendre mon réveil. J’ai pensé que tu t’étais servie toi-même au cours de la nuit, impatiente de faire bâiller tes fesses et de t’arrondir le troulala au plus vite et de la plus belle manière pour recevoir dignement le sublime sexe du spécialiste en tuyauteries et boyaux.


- Tu n’as pas vérifié ? Je me souviens d’un temps où tu voulais toujours voir mon « joli cul ». Et là, non ?


- Certes tu as un cul magnifique et je m’en veux d’avoir manqué l’occasion de l’admirer une dernière fois avant démolition. Je ne me consolerai pas de cette négligence coupable. Mais comme Angèle devait venir t’aider à le fixer au bon endroit, en cas de difficulté, il n’y a pas de problème. Tu l’as appelée, avec retard, mais maintenant tu dois te sentir à l’aise. Sois gentille, montre-moi « ton joli cul »

- Non.


- Non, ça te gêne, c’est pour ça que tu restes debout ?


- Non, je n’ai pas eu à appeler Angèle, parce que moi non plus je ne l’ai pas trouvé ce foutu machin. J’ai fouillé la maison de la cave au grenier, il est introuvable. C’est incompréhensible. Ma fête sera foutue. Tu …?


- Ah! Non, je ne suis pas pervers à ce point. Tu crois que je m’enfile des machins pareils ? Je te l’aurais volé pour moi ? C‘est trop gros et trop dégoûtant, nous n‘avons plus les mêmes goûts. A la limite un concombre ferait l’affaire si j’avais ce vice; ce serait d’un meilleur rapport qualité prix. Regarde, je baisse mon pantalon, ton ovni n’a pas atterri entre mes fesses…. Tu as vu ?… Comme ça c’est prouvé : es-tu contente ? Enfin, ce n’est pas un objet animé, il ne contient ni pile ni moteur, il ne se déplace pas. Un voleur serait entré chez nous cette nuit ? A qui as-tu confié une clé ?


- A Angèle.


- Voilà l’erreur. René se garde pour toi, ne saute pas ta copine, histoire de se remplir les burnes de la liqueur dont tu es si friande. Toi, tu joues avec le vibromasseur à son effigie. Résultat de vos intrigues : Angèle démunie de tous ses jouets se sera sentie en manque et aura récupéré le premier objet qui lui sera tombé sous la main au cours d’une discrète visite nocturne chez nous. Merde alors ! Je ne me sens plus en sécurité chez moi. Il faudra lui réclamer notre clé au plus vite. Je veux la voir ce soir cette clé. Téléphone lui et n’oublie pas de lui demander de te rendre le machin pour ton cul. Tu en as un besoin urgent, elle comprendra. Tu seras belle quand tu capteras ou aspireras les courants d’air par le pot d’échappement. J’attends de voir. Vivement ce soir, qu’on ne se couche pas !


- Si tu cherchais à ma place, calmement, tu trouverais. Je suis trop énervée.


- Moi je suis en colère de me savoir en danger. Hélas mes ouvriers m’attendent. Hé : essaie dans le frigo, concombre ou canette de bière. A ce soir.


Il est temps de me sauver, car le fou rire le plus fou de ma vie me guette. Et je sens que l’épouse me soupçonne et ne tardera pas à pousser son interrogatoire. Qu’elle se démerde, c’est le cas de le dire.



Au coup de sonnette Émilie, en tenue de soirée, coiffée, maquillée, s’est précipitée, a ouvert la porte, s’est jetée dans les bras de René sans précaution. Moi j’avais eu droit , à mon retour à :

- Ne traîne pas. Prends ta douche et habille-toi proprement.


Puis quand j’avais voulu l’embrasser, à:

- Fais attention, tu vas me dépeigner.


Ils ont un mal fou à se détacher et gênent l’entrée d’Angèle. Cela me donne les secondes nécessaires pour boucler ma chambre à coucher et en cacher la clé.
Ma femme reprend son souffle, saisit une main de son héros et s’avance vers moi, me défie du regard, pose sa main sur la poignée de la porte de notre chambre, veut me montrer que notre discussion sur le lieu des accouplements n’a servi à rien, qu’elle décide seule de ce qui se pratique ou non. Elle pousse, la porte résiste, je lui fais signe d’aller vers le salon. Elle enrage, voit mon hochement de tête et mon sourire aimable avant de se soumettre à mon invitation : nécessité oblige.


A mon tour j’accueille Angèle, nous nous embrassons sur les joues, échangeons des salutations courtoises au soulagement de ma femme qui s’est retournée pour surveiller cette rencontre qui la chagrine. Je dévie la trajectoire de la femme qui veut de moi en direction de la chambre d’amis. Aussitôt Émilie accourt :

- Où allez-vous ? Dans cette chambre ? Pourquoi ?


- J’ai pensé que vous souhaiteriez un peu d’intimité pour cette deuxième rencontre. Dans de meilleures conditions vous devriez accomplir des progrès fulgurants. J’ai tellement hâte d’en finir avec tout ce cirque et de foutre à la porte ton taureau.


- Montre un peu de patience, ce n’est pas un cirque mais la solution pour nos retrouvailles. Je te promets de m’appliquer de mon mieux pour parvenir au résultat le plus rapide. Mais comme tu le dis pour ton travail, il faut ce qu’il faut. Je suis prête à endurer toutes les souffrances pour retrouver le chemin des orgasmes. Ne jalouse pas l’instrument de notre futur bonheur.


- J’aurais souhaité une guérison plus rapide. Plus ça dure, plus je me sens frustréVous avez été dérangés par notre présence la première fois. Laissés seuls, en tête à tête, vous pourrez vous livrer sans frein aux plaisirs de l’amour et hâter la conclusion. Vous échappez à l’aspect représentation théâtrale, vous êtes vous-mêmes, plus facilement sincères et vrais, tu n’auras pas à dissimuler ta jouissance pour ne pas me peiner, tu pourras t’éclater pleinement et aucun scrupule ne viendra ralentir les élans amoureux de ton étalon, sa saillie te comblera d’aise.


René écoute et approuve :

- C’est une délicate attention. Nous approfondirons mieux notre relation en duo. Tu te lâcheras plus facilement hors la présence de ton mari. Je serai plus libre sans ma marraine. Merci.


Le visage d’Émilie est rouge. Un peu à cause de ce nouvel échec. Son coup de force a raté et ensuite elle est désavouée par René. Elle tente de marquer des points:

- Allons, il y a un lit de 90 cm seulement dans cette chambre, vous ne serez pas confortablement installés.


Angèle dans un grand éclat de rire rétorque:

- Tu sais, c’est largement suffisant pour s’empiler. Contrairement à toi, je n’ai pas de problème et je sais baiser dans toutes les positions. Si Jean veut me posséder debout, je lèverai une jambe et il pourra me prendre debout sur une jambe par-dessous. S’il me veut à cheval sur lui la taille du matelas favorisera les mouvements. Une levrette se pratique facilement sur cette largeur. Tranquillise-toi, tu connais ma souplesse et mon envie de lui redonner le goût des galipettes. Ce que René peut pour toi, je le veux pour Jean

- Vous, tu es sûre? Vous allez réellement baiser, vous ? Aurais-tu l’intention de me voler mon mari ?


- Est-ce que je t’accuse d’avoir celle de me voler mon amant ?

Angèle rappelle la règle:

- N’est-ce pas ce qui était convenu? Tu me dois Jean et, souviens-toi, pour une durée double de celle qui vous sera nécessaire. Tu ne devrais pas tarder à t’y mettre. Et si tu veux écourter le temps que Jean devra me consacrer, n’oublie pas de venir frapper à notre porte dès que vous aurez fini.


Ma femme ergote:

- Ce n’est pas juste. Vous avez assisté à notre union l’autre soir. Je veux voir comment mon mari t ‘aimera. Je voudrais savoir ce que tu penseras de lui, mesurer ta déception.


Elle m’énerve, je siffle le début de la partie:

- Tu pourras venir aussi souvent que tu voudras, contrôler autant que tu voudras, tout ce que tu voudras, vérifier l’état de nos sexes, leur dureté chez moi ou la souplesse et les palpitations ou la lubrification d’Angèle. Faisons simple, il est vingt heures, le décompte du temps commence maintenant et s’arrêtera lorsque tu viendras signaler la fin de vos amours. Entre les deux extrémités, occupe-toi comme tu voudras, soit en te donnant à René, soit en venant nous observer et m’aider à plaire à Angèle.


- Bravo Jean !


René applaudit avec Angèle puis entraîne ma femme. Il est pressé de caramboler la belle. Il se fout du temps que m’accordera sa maîtresse, il veut Émilie et tout de suite.


Angèle se réjouit à haute voix :

- Tu as bien fait de trancher. Est-ce à dire que tu es pressé de me posséder ? Merci de montrer ton empressement. J’ai été présomptueuse quand je t’ai demandé. Je savais que ta femme n’y verrais pas d’inconvénient, bien que tout à coup elle fasse des difficultés. Je n’étais pas certaine que tu voudrais de moi. Comme quoi il faut savoir oser. La chance sourit aux audacieux. Donne-moi un coup de main

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