Comme un matin d'été

- Par l'auteur HDS Mister Grey -
Auteur homme.
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Récit libertin : Comme un matin d'été Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-08-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par les lecteurs :
(9.0 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(10.0 / 10)

Couleur du fond :
Comme un matin d'été
C’est un matin d’été. Le soleil irradie ses premiers rayons et je me suis levé de bonne heure pour assister à son ascension sur le fauteuil de la terrasse. N’ayant aucun vis-à-vis je suis nu, les jambes étendues sur la table basse, les yeux mi-clos et la peau chaudement baignée par l’aube.
Je finis les dernières gorgées de mon thé lorsque j’entends la porte-fenêtre coulisser. Elle me rejoints, le visage encore marqué par le sommeil. Elle est belle. Elle prend le temps de s’étirer et je ne peux m’empêcher de l’envelopper du regard. Ses pieds nus aux ongles joliment ornés de rouge. Ses longues jambes de mannequin parfaitement bronzées. Elle porte un simple t-shirt noir, trop grand pour elle, qu’elle m’avait emprunté lors de notre première nuit et que je lui ai laissé depuis. On y devine la naissance de son pubis épilé alors qu’elle tend ses bras au ciel. Remontant encore mon regard, je devine le galbe de ses seins et la forme de ses tétons à travers le tissu.
Les yeux clos, elle baille à s’en décrocher la mâchoire et je ne peux décrocher mon regard de ce corps si parfait à mes yeux. Elle s’en rend compte et me souris ensuite de toutes ses dents éclatantes en fixant ses yeux bleus-gris dans les miens. Elle tâche de remettre un peu d’ordre dans ses cheveux blonds ébouriffés et vient poser ses lèvres sur les mienne pour un chaste baiser bonjour avant de prendre place dans un siège.

Aucun mot n’a été échangé. Les oiseaux et la nature qui se réveillent officient comme seul fond sonore durant les quelques minutes qui suivent. Le calme et la sérénité règne et je referme les yeux pour en profiter. Une caresse sur la cuisse me rappel à la réalité. Ma douce a les yeux clos, affalée sur son siège, elle vient de poser ses pieds croisés sur ma jambe. En en balançant doucement un, elle effleure mon sexe qui repose sur mon aine. Cette vision et la douce caresse le fait irrémédiablement se gonfler ce qui diminue forcément l’écart entre ma verge et son pied et accentue la sensation. Un léger sourire au coin de ses lèvres m’assure qu’elle a bien senti l’effet qu’elle me fait et elle en joue d’un air nonchalant, les yeux toujours clos.

Moi je suis totalement sorti de ma rêverie. Elle a décroisé ses pieds et elle me masturbe maintenant volontairement de la plante de l’un d’entre eux tandis que l’autre est posé à plat sur ma cuisse.
Cette position la force à replier une jambe qui soulève alors le t-shirt me laissant entrevoir la commissure de ses lèvres intimes. Je bande pour de bon sous ces lentes et douces caresses, mais même si elle semble s’en amuser, elle ne montre aucun autre signe d’excitation alors que je commence sérieusement à avoir l’esprit qui s’échauffe.

Mais on a toute la journée et elle ne fait que commencer, pourquoi se presser ? Je prends alors en main le pied qui ne joue pas avec mon membre maintenant bien dressé et entreprends de le masser lentement, le regard au loin, profitant de l’instant. Un soupir de contentement s’échappe des lèvres de ma douce tandis qu’elle s’enfonce un peu plus dans son siège, totalement relaxée, perdue dans ses rêveries. Après quelques minutes de ce traitement je repose son pied pour prendre l’autre et presque à contre cœur le séparer de mon sexe. Un filet de liquide séminal maintient son orteil lié à mon méat un court instant, preuve de mon excitation présente mais elle ne reprend pas son ouvrage avec son autre pied, se contentant de profiter. Je porte langoureusement cet orteil à ma bouche pour en prélever brièvement mon excitation et la sensation de ma langue chaude lui soutire un petit gémissement alors qu’elle se mord la lèvre inférieure. Je reprends donc mon massage, lent et doux du bout de ses doigts de pied, sur toute la plante jusqu’à sa cheville.

Ce moment est à nous. Il est beau, simple, libre. Il est parfait et il ne fait que commencer.

Tout à mon massage je me suis redressé à l’inverse de ma queue qui a repris sa posture de repos.
J’ai maintenant une plus grande amplitude de mouvement et je commence à laisser mes mains remonter le long de ses jambes. Le regard fixé sur ses membres, la lèvre pincée par le plaisir de sentir sa peau sous mes paumes, j’ai plus senti que remarqué son regard fixé sur moi. Sortie de ses rêveries elle est maintenant totalement avec moi. Son regard s’illumine à mesure que mes mains remontent le long de ses jambes et elle m’encourage par ses soupirs d’envie. Enhardit, je me laisse tomber de ma chaise, à genoux devant elle pour me rapprocher définitivement. L’atmosphère a changé. Je ne fais plus attention aux chants des oiseaux, je ne sens plus la douce chaleur du soleil, seul compte celle de sa peau. Elle aussi s’est redressée dans son siège et a avancé son bassin pour se tenir bien droite au bord de l’assise. La pointe des pieds posé au sol et les genoux relevés et écartés de la manière la plus sexy qui soit, elle se saisi de mon menton et se penche lentement vers moi, les yeux rivés dans les miens, pour m’embrasser. Nos lèvres se rencontrent de nouveau, mais de manière bien plus appuyée. Stimulés par nos envies, nos souffles se mélangent alors que nos langues se cherchent et s’enlacent comme deux amants épris de passion. Des gémissements communs ponctuent les étreintes de nos langues, le mordillement de nos lèvres. Sous l’ardeur de ces baisers nos mains se font l’expression de nos désirs. L’une des siennes tient ma nuque comme si elle craignait que je ne fuie ses lèvres, tandis que l’autre entreprend de descendre lentement le long de mon torse, le griffant de ses ongles manucurés, avant de saisir ma verge à nouveau gorgée de désir. Les miennes ne sont pas en reste. La première agrippe son cou et le serre légèrement comme pour la maintenir penchée en avant. Je sais qu’elle aime la sensation. Sans aller à la suffocation, cette fermeté accentue encore son excitation. Ses cuisses s’ouvrent alors sous le passage aventureux de ma seconde main qui se glisse inexorablement vers l’objet de mes désirs. Je prends mon temps. Tout à nos baisers, je laisse ma main tour à tour saisir, griffer, masser ou caresser l’intérieur de ses cuisses selon l’ardeur avec laquelle nos langues dansent entre nos lèvres. Ses doigts graciles autour de ma verge entament eux aussi de lents aller-retours en faisant varier la pression autour de mon membre, en fonction de notre fougue de l’instant.

Lorsque nos baisers cessent, le souffle court, nous nous retrouvons front contre front. Les lèvres humides et brillantes de nos salives sous le soleil et nos yeux emplis d’envies et de désirs sexuels se font les messagers de nos pulsions. Sa main n’a pas quitté ma nuque et l’autre s’active toujours autours de ma queue tandis qu’elle guette mes réactions dans mon regard et mon souffle. Elle me rend fou. Le contact de sa main fait vibrer mon sexe. Elle baisse alors les yeux vers pour mieux contrôler son action et laisse glisser un trait de salive entre ses lèvres jusqu’au bout de mon gland. Sa paume se charge de l’étaler et d’en lubrifier mon extrémité turgescente à mesure qu’elle accentue ses mouvements.

C’est le moment que je choisis pour plaquer la mienne sur son mont de vénus. Ses cuisses écartées au maximum semblent crier un appel au contact intime et de ses grandes lèvres gonflées et déjà écartées perlent quelques gouttes luisantes qui ne laissent aucun doute sur son état d’excitation.
D’un doigt je parcours ce sexe offert et ses yeux se ferment tandis que sa bouche s’entrouvre sur un gémissement de plaisir. Ma langue s’y fraie alors un chemin, simultanément à mon doigt dans son intimité, et nos lèvres se retrouvent liées alors que je m’amuse à stimuler tous les recoins de son antre d’amour en guettant ses réactions. Sous l’effet de mes caresses, sa main s’est presque arrêtée et se contente de très légers va-et-vient calés sur la vitesse de mes doigts en elle.

Reprenant ses esprits, elle me lâche et d’un geste précipité enlève son t-shirt pour le jeter au loin. Ses seins ainsi libérés dardent leur téton pointant d’excitation. Son ventre plat, ses épaules fines, son cou gracieux deviennent autant de cible pour mes baisers, alors qu’elle se laisse retomber en arrière sur son siège les mains crispées sur les accoudoirs. Tandis que ma première main continue une lente et mesurée masturbation, ma bouche et ma langue s’enhardissent et, rejointpar ma seconde main, elles entreprennent de stimuler chaque parcelle de peau à leur portée.
Sa poitrine fait l’objet d’une attention particulière et les caresses se font de plus en plus appuyées à mesure que je sens ma belle perdre pied. Lentement mes baisers se dirigent de plus en plus bas sur son corps. Toujours à genoux entre ses cuisses, j’y ai accès entièrement si je me redresse, mais c’est vers son intimité que mes lèvres se dirigent. Lorsqu’elles y arrivent enfin, après une volontairement lente descente, les mains de ma belle dans mes cheveux ne leur laisse plus le loisir de se balader et les plaquent contre son sexe brûlant de désirs. Je porte alors les doigts qui l’explorait à ma bouche pour me délecter de son goût léger avant d’y plonger ma langue avec envie et d’entamer un tango endiablé avec son clitoris. Ses soupirs se muent en gémissements puis en petits cris à mesure que ma langue accélère la cadence. Ses mains se crispent dans mon cuir chevelu écrasant ma langue sur son mont de plaisir. Un pied posé sur la table, elle positionne l’autre derrière ma nuque pour me tenir encore mieux. Les muscles de ces cuisses se contractent.
Son corps se cambre. Et elle jouit dans un râle avant que tout son corps ne se relâche.

Rassasiée elle me repousse du bout du pied jusqu’à me rassoir dans mon siège. Son regard fixé dans le mien elle transpire le sexe par tous les pores de sa peau. Tout chez elle n’est que désir et la flamme de mon envie n’en est que ravivée. Les jambes outrageusement écartées elle se lèche deux doigts sans me quitter du regard et commence à se masturber lentement. Comprenant son petit jeu je m’affale moi aussi dans mon siège et saisis ma queue dressée à pleine main. Ses yeux se séparent alors des miens pour se fixer sur mes va et viens, dont elle accorde la vitesse à celle de ses doigts en elle. Ce petit jeu dure de longues minutes. Je lui dis à quel point elle m’excite et elle me répond en se léchant les lèvres de manière terriblement provocante. Je sais qu’elle peut lire sur mon visage, dans mon expression, dans mes yeux, l’envie insatiable que j’ai pour elle en cet instant et je ne m’en cache pas. Je veux qu’elle le voie, je veux qu’elle s’en délecte et par-dessus tout je veux qu’elle en joue.

Et elle le fait si bien. Je la vois prendre son plaisir seule, sans le feindre et quel délice.
C’est pur, c’est beau, c’est parfait. Les doigts de sa main droite alternent entre pénétration et caresses sensuelles pendant qu’elle promène la gauche sur son corps. Quand je croise son regard elle prend un doigt en bouche et le suce avidement. L’effet sur mon excitation est immédiat et ma main s’accélère sur ma verge. Elle se masse alors les seins en accélérant elle aussi sa masturbation tout en gémissant de plus belle. La voir prendre son plaisir commence à avoir raison de mon endurance et de ma volonté. Je me sens partir. Mon sexe se gonfle au creux de ma main et ma respiration s’accélère. Devinant mon état elle me souffle de ne pas jouir. Ça sonne presque comme un ordre, comme un avertissement, elle me prévient qu’il serait dommage de me laisser aller maintenant. Je suis donc son conseil et relâche la pression de ma main. Je me caresse le corps et l’entre jambe sans plus toucher à mon organe sensible et me délecte de la vision qu’elle m’offre.
Son corps cambré dans son siège, une main malaxant maintenant son sein gauche et l’autre pénétrant son antre de plaisir dans un léger bruit de succion. Dans un sourire je lui ordonne moi aussi de ne pas jouir et ma voix tremblante d’excitation la convainc de laisser l’orgasme en latence.
De profiter de cette énergie qui a maintenant envahit la terrasse et qui irradie de nos corps nus.
Cette énergie qui palpite à l’unisson dans nos têtes, nos cœurs et nos sexes.

D’un mouvement sensuel elle se lève alors et, sur la pointe des pieds, fais les deux pas qui la sépare de moi. Elle ne me quitte pas du regard durant ce bref instant et fait osciller ses fesses d’une démarche de top model sur un podium. Langoureusement, elle vient placer une jambe de chaque côté du siège et s’assied sur moi, plaquant ma queue tendue entre mon ventre et son pubis trempé d’excitation. Toujours sans détourner le regard, elle glisse alors les doigts qui s’activaient en elle la minute d’avant entre mes lèvres. Le gout de son plaisir, la chaleur de son excitation sur ma langue doit irradier jusqu’à nos sexes collés tant cela me fait de l’effet. Une fois nettoyé avidement, elle les retire pour venir m’embrasser longuement tout en faisant lentement aller et venir son bassin. Je sens son sexe glisser sur le mien, parfois un mouvement de bassin plus prononcé le place à la limite de la pénétration, mais elle se reprend et continue de se masturber sur moi, avec moi. Une main dans mes cheveux, elle guide ma langue sur ses seins. Je la couve de baiser, je la mords affectueusement et elle me le rend bien. Nos gestes ne sont plus mesurés. Mes mains agrippent ses fesses fermement et accentuent les mouvements de son corps. Les siennes me griffent le dos ou se perdent dans mes cheveux. La passion est devenue notre seule guide. La tête penchée en arrière elle accélère le rythme. Ses lèvres intimes glissent sans peine sur ma verge.
Elle augmente la pression. Elle se branle littéralement sur ma queue. Je sens qu’elle veut jouir et je l’encourage de ma voix. Je lui souffle à l’oreille à quel point elle est belle quand elle prend son pied. Je lui dis comme je voudrais la voir jouir encore et encore. Ses gémissements se font plus soutenus et son souffle s’accélère sous l’effort et le plaisir conjugués. Dans un ultime geste, elle entoure mon cou de ses bras, se colle à moi et étouffe ses cris de jouissance en mordant mon épaule sous la vague de plaisir qui la submerge.

Elle reste ainsi quelques instants, je profite de son parfum, lui caresse tendrement le dos pour lui soutirer quelques frissons. Puis elle se redresse et m’embrasse tendrement. Nos langues s’entremêlent à nouveau, je sais que je ne m’en lasserais jamais. Ensuite, elle se laisse lentement glisser à genoux devant moi. M’écarte les cuisses de ses mains et les fait glisser jusqu’à ma verge brillante de son plaisir. Elle commence par promener un doigt le long de ma tige, puis profite de ce lubrifiant naturel pour m’administrer une branlette magistrale. Elle alterne d’une main à l’autre, tantôt caressantes, tantôt fermes. Tantôt lentes et sensuelles, tantôt rapides et décidées.
Elle me rend fou. Mon excitation est sur une montagne russe et c’est elle qui tient la manette.
Quand mon souffle et mes gémissements lui font sentir que je suis sur le point de jouir, elle ralentit ou me lâche complètement, pour recommencer de plus belle quelques secondes plus tard.
Je me laisse aller, me laisse guider. Mes yeux qui n’ont quasiment pas quitté le manège de ses mains se ferment finalement de plaisir. Et c’est ce moment qu’elle choisit pour prendre ma verge en bouche. Le choc de la chaleur humide de sa langue se promenant autour de mon gland me fais rouvrir les yeux immédiatement. Elle rive son regard dans le mien quelques secondes avant de fermer les yeux à son tour pour mieux se concentrer sur les sensations de mon sexe érigé entre ses lèvres. Mes mains caressent sa tête, s’y agrippent pour que cette fellation délicieuse ne s’arrête jamais. Ses mains ne sont pas en reste. L’une d’elle balade ses ongles sur mon corps, à l’intérieur de mes cuisses, sur mon torse à m’en faire frissonner. Tandis que l’autre s’ajoute à sa bouche avide pour augmenter encore les sensations qu’elle me procure. Sa salive recouvre bientôt ma verge, je la sens couler entre ses lèvres et lubrifier sa main. Le bruit de succion s’accorde avec ses gémissements et les miens dans un concerto orgasmique. En bon chef d’orchestre, elle accélère la cadence, ses lèvres se resserrent. Je me sens partir, je me vois jouir sur sa langue. Mais le belle joueuse en décide autrement et, d’un coup, cesse toute stimulation avec un sourire coquin et provocateur.

Fou de frustration je la saisi par les cheveux et la relève doucement vers moi pour l’embrasser.
Le goût salé de mon excitation est encore présent sur sa langue lorsqu’elle vient à la rencontre de la mienne. Ma queue est tendue comme jamais. Elle palpite d’envie lorsque d’un geste doux mais sec, je retourne ma belle, dos à moi, et la fais mettre à genoux sur le siège qu’elle occupait précédemment. Les bras croisés sur le dossier elle y enfouit son visage tout en cambrant ses fesses dans ma direction. Une fessée vient lui faire sentir toute mon envie alors que je m’agenouille brièvement pour goûter encore à son plaisir. Ma langue s’aventure en elle, la déguste et lui tire quelques soupirs. Elle s’égare ensuite brièvement sur sa rosette pour varier les plaisirs, puis je me relève et dans un même mouvement me plonge littéralement en elle. Ma queue ne marque un temps d’arrêt qu’une fois fichée profondément dans son ventre et son cri étouffé résonne en écho avec le mien. Je reste comme ça, immobile pendant quelques instants. Je profite de cette sensation. De la chaleur de son corps, de son sexe. De la vue de son dos élancé et de ses fesses si fermes et si bien dessinées. Puis la frustration me pousse à m’activer. Je lui saisis les hanches comme si elle pouvait sentir mon envie à travers ma poigne. Je caresse son dos, suis le dessin de son tatouage.
Je me penche pour embrasser sa nuque. Irradiée de frissons, ma belle s’active elle aussi. Son corps entier vient à la rencontre de ma queue à chaque aller-retour. Ses fesses claquent sur mon ventre.
Je me sens partir plus d’une fois et dois marquer un temps d’arrêt pour mieux reprendre et elle joue le jeu. Elle me laisse gérer le rythme tout en accentuant mes sensations. La joueuse est douée et elle le sait. Je la désire et elle le sait. Elle en profite. Elle me rend fou, me pousse au bord de l’orgasme, me crie son plaisir pour me forcer à m’arrêter encore et encore.

Alors que je frôle l’éjaculation une fois de plus, je me retire et la retourne sur le dos.
Le bassin au plus près du bord du siège elle pose un pied sur mon torse et tend son autre jambe par-dessus mon épaule pour me faciliter l’accès. Je me plonge en elle de nouveau et, les yeux dans les yeux, lui fait l’amour de tout mon être. Une main sur le dossier pour me soutenir, je la pénètre de plus en plus fort, de plus en plus profondément. Ses gémissements s’accentuent encore lorsque je porte son pied à mes lèvres et l’embrasse, le mordille à mesure que mon plaisir monte.
Je lui dis que je vais jouir et elle me répond vouloir voir ça. J’accélère alors mes va et viens.
Je la baise fort, passionnément. Notre plaisir monte simultanément et, lorsque je sens le mien arriver à son apogée, je me retire. Immédiatement elle saisit mon sexe trempé de son plaisir et me masturbe rapidement au-dessus de son corps. De son autre main elle s’active sur son clitoris avant que le vide laissé pas ma queue ne fasse retomber son plaisir. Et nous jouissons ensemble sous ses caresses expertes. Ma main se crispe sur sa cheville lorsque mon sperme vient éclabousser ses seins et son ventre. La surprise et l’expression de mon plaisir lui arrache alors un râle presque animal lorsque l’orgasme l’envahit.

Éreinté, je porte sa main à ma bouche pour y lécher les quelques gouttes de mon plaisir qui y avait coulé, puis je le porte à ses lèvres dans un baiser tendre et passionné. Ses mains se font finalement caressantes et stimulent nos sexes jusqu’à ce qu’ils deviennent trop sensibles, signe qu’il est temps d’aller prendre une douche et d’attaquer cette journée qui s’annonce chaude et interminable…

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