Longue journée
Récit érotique écrit par Mister Grey [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Longue journée
La journée fut longue. Longue d’attente et d’agonie sexuelle, un brasier de frustration alimenté par ma maîtresse brindille par brindille. Son souffle chaud sur mon sexe encagé ou dans ma nuque ravive les flammes de cette envie. Un feu que même les litres de cyprine déversé sur mon menton et sur mon corps par ma maîtresse adorée ne sauraient éteindre. Ma langue est engourdie d’avoir tant lécher tant sucer son bouton de plaisir et ces tétons. Ma bouche salive encore de la délectation du goût de sa peau, de sa langue contre la mienne et de son plaisir dégoulinant.
Alors que je m’agenouille à côté de la baignoire le plug dans mon anus me stimule un peu plus. Mon cul dilaté par les envies de ma maîtresse, par son sexe en plastique que j’ai sucé et pris sans broncher au rythme de ses coups de reins. Je la sens encore devenir animale, je m’imagine la passion dans sa voix et dans son souffle à mesure que mon cul d’esclave se fait limer. À ces idées ma queue tente de se dresser mais la cage bien serrée l’en empêche.
La journée fut longue, et ma maîtresse a décidé de prendre un bain avant d’aller dormir. Je la lave minutieusement selon son désir puis attends sa sortie, à genoux à côté de la baignoire. Elle se relaxe, me lance des regards langoureux en se léchant les lèvres pour m’exciter. Du bout des ongles elle tapote sur la cage de chasteté comme pour appuyer encore son pouvoir sur mon plaisir. Excitée par ce jeu elle m’ordonne de l’embrasser et je m’exécute avec passion. Nos langues se mélangent, nos lèvres se soudent brièvement dans un baiser qui ne fait qu’augmenter son envie. Elle me saisit alors la tète par les cheveux et plaque ma bouche sur ses tétons que je m’applique à sucer comme elle l’aime pendant que de son autre main elle commence à se caresser sous l’eau. Ses petits gémissements de plaisir sont comme autant d’encouragements et je m’applique à ma tâche. Posant une jambe de chaque côté du bassin, elle se cambre alors pour rapprocher sa vulve de la surface et m’ordonne de la lécher. En apnée je fais alors de mon mieux pour la combler et ne prenant que quelques instants pour reprendre mon souffle, je lèche ce bouton délicieux et glisse ma langue dans tous les recoins de ce sexe que je désire tant. Mais l’eau et mon manque de souffle ne lui permette pas d’atteindre l’orgasme et c’est avec ma main qu’elle m’ordonne de la finir. La main toujours dans les cheveux elle braque son regard dans la mien à mesure que je la pénètre de trois doigts et que je commence à m’activer. Plus j’augmente la vitesse plus son regard se trouble jusqu’à ce qu’elle ferme les yeux sous l’arrivée de son plaisir.
Enfin satisfaite elle sort du bain et toujours à genoux je la sèche des pieds à la tête. Puis elle me dit de me laver et de me préparer pour dormir puis de la rejoindre en bas.
Lorsque je la rejoins dans sa chambre, ma maîtresse est déjà allongée. Son corps nu n’est pas totalement recouvert par les draps et elle cambre volontairement les fesses à mon arrivée. Puis elle m’indique ma place sur un matelas au pied de son lit et me souhaite bonne nuit. Une fois les lumières éteintes mon esprit fourmille, je n’arriverais jamais à trouver le sommeil. Les yeux braqués sur le plafond je tente de penser à autre chose, mais son corps revient inévitablement à mon esprit.
De ces pieds sur lesquels je braque mon regard une fois à genoux, à ces fesses qu’elle me fait lécher, à ses cuisses qu’elle écarte de manière si provocatrice, de cette vulve alors révélée luisante de son envie et de son plaisir, de ses seins parfaitement galbés dont les tétons hérissent sous les caresses, de ce cou si chaud et si doux à embrasser ou encore de cette bouche et de cette langue si insidieuse, si délicieusement humide et chaude.
Mon corps se met à frissonner d’envie mais la dureté de ma cage contre mon pauvre sexe me rappel à la réalité. Tout ça n’est pas à moi. Elle m’utilise pour satisfaire son corps et son plaisir mais je ne suis qu’un jouet. Un jouet dont la cage en plastique peut être ouverte à sa demande grâce à la clef qu’elle garde autour de son cou et qui orne ses seins. Comme pour vérifier je me redresse dans mon lit pour observer ma maîtresse dormir. Elle a retiré la clé de son cou, probablement la gênait-elle. En cherchant autour de moi je l’aperçois brillant sur l’étagère à portée de main.
Un mouvement de ma maîtresse me fait me recoucher immédiatement l’air de rien, mais elle dort à point fermé. La tête pleine de frustration j’hésite. Je pourrais la prendre, après tout ce n’est qu’un jeu. Je pourrais m’emparer de la clé, libérer mon sexe et la baiser une bonne fois pour toute. Elle est là nue, je n’aurais qu’à lui ouvrir les cuisses et avant même qu’elle ne se réveille je serais en elle à la tringler doucement. Vu ma frustration je pourrais finir rapidement et gicler toute ma frustration sur ses seins et sur sa bouche. Je suis sûr qu’en plus elle adorerait ce réveil mouvementé.
Durant ma réflexion je ne m’étais même pas rendu compte d’avoir bougé mais j’étais maintenant assis sur le bord du lit de ma maîtresse et j’avais la clé de ma délivrance en main … mais quelle idée !
Jamais je ne voudrais désobéir à ma maîtresse. Et la frustration est délicieuse, j’adore ça pourtant,j’aime qu’elle joue avec moi, avec mon envie. J’aime qu’elle contrôle ma jouissance en m’emmenant au bord, mais en m’en privant avec un sourire satisfait. Je ne peux pas faire ça. J’ai donc reposé la clé à sa place et décidé de m’endormir tant bien que mal…
La nuit fut brève. La nuit fut brève car je fus réveillé par un coup de martinet sur les fesses.
Debout au-dessus de moi me maîtresse me fixait d’un air noir en tapant son martinet dans sa main.
A sa taille était accroché un gode ceinture blanc transparent de belle taille et un sourire amusé trahissait son plaisir de me voir si surpris. Je sentais que j’allais passé un sale quart d’heure et mon regard cherchait désespérément à fuir le sien lorsque j’aperçus plusieurs taches blanches qui ornaient ses seins et le coin de sa bouche, qu’elle nettoya d’un sensuelle et lent mouvement de langue…
Alors que je m’agenouille à côté de la baignoire le plug dans mon anus me stimule un peu plus. Mon cul dilaté par les envies de ma maîtresse, par son sexe en plastique que j’ai sucé et pris sans broncher au rythme de ses coups de reins. Je la sens encore devenir animale, je m’imagine la passion dans sa voix et dans son souffle à mesure que mon cul d’esclave se fait limer. À ces idées ma queue tente de se dresser mais la cage bien serrée l’en empêche.
La journée fut longue, et ma maîtresse a décidé de prendre un bain avant d’aller dormir. Je la lave minutieusement selon son désir puis attends sa sortie, à genoux à côté de la baignoire. Elle se relaxe, me lance des regards langoureux en se léchant les lèvres pour m’exciter. Du bout des ongles elle tapote sur la cage de chasteté comme pour appuyer encore son pouvoir sur mon plaisir. Excitée par ce jeu elle m’ordonne de l’embrasser et je m’exécute avec passion. Nos langues se mélangent, nos lèvres se soudent brièvement dans un baiser qui ne fait qu’augmenter son envie. Elle me saisit alors la tète par les cheveux et plaque ma bouche sur ses tétons que je m’applique à sucer comme elle l’aime pendant que de son autre main elle commence à se caresser sous l’eau. Ses petits gémissements de plaisir sont comme autant d’encouragements et je m’applique à ma tâche. Posant une jambe de chaque côté du bassin, elle se cambre alors pour rapprocher sa vulve de la surface et m’ordonne de la lécher. En apnée je fais alors de mon mieux pour la combler et ne prenant que quelques instants pour reprendre mon souffle, je lèche ce bouton délicieux et glisse ma langue dans tous les recoins de ce sexe que je désire tant. Mais l’eau et mon manque de souffle ne lui permette pas d’atteindre l’orgasme et c’est avec ma main qu’elle m’ordonne de la finir. La main toujours dans les cheveux elle braque son regard dans la mien à mesure que je la pénètre de trois doigts et que je commence à m’activer. Plus j’augmente la vitesse plus son regard se trouble jusqu’à ce qu’elle ferme les yeux sous l’arrivée de son plaisir.
Enfin satisfaite elle sort du bain et toujours à genoux je la sèche des pieds à la tête. Puis elle me dit de me laver et de me préparer pour dormir puis de la rejoindre en bas.
Lorsque je la rejoins dans sa chambre, ma maîtresse est déjà allongée. Son corps nu n’est pas totalement recouvert par les draps et elle cambre volontairement les fesses à mon arrivée. Puis elle m’indique ma place sur un matelas au pied de son lit et me souhaite bonne nuit. Une fois les lumières éteintes mon esprit fourmille, je n’arriverais jamais à trouver le sommeil. Les yeux braqués sur le plafond je tente de penser à autre chose, mais son corps revient inévitablement à mon esprit.
De ces pieds sur lesquels je braque mon regard une fois à genoux, à ces fesses qu’elle me fait lécher, à ses cuisses qu’elle écarte de manière si provocatrice, de cette vulve alors révélée luisante de son envie et de son plaisir, de ses seins parfaitement galbés dont les tétons hérissent sous les caresses, de ce cou si chaud et si doux à embrasser ou encore de cette bouche et de cette langue si insidieuse, si délicieusement humide et chaude.
Mon corps se met à frissonner d’envie mais la dureté de ma cage contre mon pauvre sexe me rappel à la réalité. Tout ça n’est pas à moi. Elle m’utilise pour satisfaire son corps et son plaisir mais je ne suis qu’un jouet. Un jouet dont la cage en plastique peut être ouverte à sa demande grâce à la clef qu’elle garde autour de son cou et qui orne ses seins. Comme pour vérifier je me redresse dans mon lit pour observer ma maîtresse dormir. Elle a retiré la clé de son cou, probablement la gênait-elle. En cherchant autour de moi je l’aperçois brillant sur l’étagère à portée de main.
Un mouvement de ma maîtresse me fait me recoucher immédiatement l’air de rien, mais elle dort à point fermé. La tête pleine de frustration j’hésite. Je pourrais la prendre, après tout ce n’est qu’un jeu. Je pourrais m’emparer de la clé, libérer mon sexe et la baiser une bonne fois pour toute. Elle est là nue, je n’aurais qu’à lui ouvrir les cuisses et avant même qu’elle ne se réveille je serais en elle à la tringler doucement. Vu ma frustration je pourrais finir rapidement et gicler toute ma frustration sur ses seins et sur sa bouche. Je suis sûr qu’en plus elle adorerait ce réveil mouvementé.
Durant ma réflexion je ne m’étais même pas rendu compte d’avoir bougé mais j’étais maintenant assis sur le bord du lit de ma maîtresse et j’avais la clé de ma délivrance en main … mais quelle idée !
Jamais je ne voudrais désobéir à ma maîtresse. Et la frustration est délicieuse, j’adore ça pourtant,j’aime qu’elle joue avec moi, avec mon envie. J’aime qu’elle contrôle ma jouissance en m’emmenant au bord, mais en m’en privant avec un sourire satisfait. Je ne peux pas faire ça. J’ai donc reposé la clé à sa place et décidé de m’endormir tant bien que mal…
La nuit fut brève. La nuit fut brève car je fus réveillé par un coup de martinet sur les fesses.
Debout au-dessus de moi me maîtresse me fixait d’un air noir en tapant son martinet dans sa main.
A sa taille était accroché un gode ceinture blanc transparent de belle taille et un sourire amusé trahissait son plaisir de me voir si surpris. Je sentais que j’allais passé un sale quart d’heure et mon regard cherchait désespérément à fuir le sien lorsque j’aperçus plusieurs taches blanches qui ornaient ses seins et le coin de sa bouche, qu’elle nettoya d’un sensuelle et lent mouvement de langue…
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