Comment j'ai chiennisé la meuf de mon pote, le commencement

- Par l'auteur HDS Yanis93 -
Récit érotique écrit par Yanis93 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Comment j'ai chiennisé la meuf de mon pote, le commencement Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2021 dans la catégorie Dominants et dominés
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Comment j'ai chiennisé la meuf de mon pote, le commencement
Avant de débuter cette histoire, je tiens à préciser que j’en ai changé les prénoms. Certains secrets doivent rester bien gardés.
Bientôt la fin de semaine. Départ ce week-end avec deux amis direction le fin fond de la Bourgogne où un pote et sa femme ont posé leurs bagages depuis peu. Ensemble depuis 7 ans, les tourtereaux ne semblent pas vivre une idylle sans nuage. Après un crochet de trois années par Majorque, ses eaux cristallines et ses folies nocturnes, le retour en France, dans un bled paumé a eu raison de leur vida loca. Leurs potes si prompts à se pointer pour faire la fiesta en Espagne n’ont pas daigné venir faire un coucou depuis leur installation il y a déjà huit mois…. D’ailleurs nous sommes les seuls à descendre pour son anniversaire mais peu importe, ça lui fera du bien, son moral semble dans les chaussettes. Le dépaysement et l’absence de travail lui font accuser le coup, le poil qu’il se trimballe dans la main depuis des années fait le reste. Pour elle c’est une autre histoire. Infirmière, elle n’a pas eu de problème à trouver de boulot et son planning est bien chargé. Nos relations n’ont jamais été extraordinaires mais pas non plus pitoyables. Un différent il y a une dizaine d’années lorsqu’elle sortait avec un autre mec a laissé des traces mais elle n’oubliera pas que celui avec qui elle fait sa vie, je lui ai présenté. Pour la petite histoire, Sonia est la sœur d’un bon pote à moi, vous comprenez mieux pourquoi je préfère rester discret. Bref, revenons à nos moutons. Je vous ai planté le décor. L’heure est venue pour nous de prendre la route. Du 93 à la Bourgogne le chemin ne prend pas beaucoup de temps, j’alterne le volant avec Thomas tandis que Farid pionce à l’arrière. A peine arrivés Sonia et Smaïn nous accueillent avec le sourire, on sent que notre présence lui fait un bien fou. Alors que sa petite femme multiplie les allers-retours, il nous confie son spleen, « j’ai l’impression que je vais mourir ici, y a rien à faire ». Evidemment on le rassure, « vous venez d’arriver, il va falloir un peu de temps ». La réalité est toute autre, au fond personne n’a bien compris ce choix. Qui quitterait Sète pour venir s’installer à Bobigny ? C’est du pareil au même.
Sonia ne m’a jamais plu. Attention, elle n’est pas moche, loin de là, elle a même beaucoup de succès auprès des hommes, mais je dirais simplement qu’elle n’est pas mon type. D’une taille normale, 1m67 je dirai, elle a une corpulence très fine, des fesses pas assez prononcées pour moi et surtout de petits seins. Je suis un amoureux des fortes poitrines, et ce détail a toujours été rédhibitoire à mes yeux. Sans oublier que c’est la sœur de mon pote et la meuf d’un ami… Ses cheveux, mi-long, décolorés, surplombent un visage doux aux traits parfois tirés. Sa minceur et la pâleur de sa peau lui donnent, par instant, de faux airs des amatrices de crack qui arpentaient le canal gare Saint-Denis la nuit. J’imagine que durant leur séjour espagnol ils n’ont pas du se priver pour toucher à toutes sortes de substances mais comme le disaient les plus connus d’entre nous, ‘cela ne nous regarde pas’. Souvent habillée de manière « masculine », elle n’est pas une grande adepte des robes que ses formes rachitiques peineraient à mettre en valeur. Pour ne pas déroger à la règle, elle porte un jeans et un sweat à capuche Champion. Vous le connaissez tous, le bleu foncé avec le logo au milieu, j’ai l’impression qu’il me suit depuis le collège.
Après avoir pris l’apéritif sur la terrasse, rendez-vous est pris dans le salon de cette vaste maison. Les bouteilles déjà bien entamées, se vident vitesse grand V. Heureusement Thomas ne boit pas d’alcool, et je reste raisonnable, pas envie de finir à 4 pattes au dessus de la cuvette des chiottes, j’ai connu ça étudiant, plus l’âge pour ces bêtises. Sonia, Smaïn et Farid n’ont pas le pied sur le frein, bien au contraire, et à minuit tous les trois sont dans un été second. Ils grimpent sur les chaises, mettent le son à fond et chantent à pleins poumons. On sent que ça fait du bien à notre pote, il lâche tout mais à cette vitesse il ne va pas tenir bien longtemps. A une heure du matin je le sens flancher, son front épouse la table. D’un coup il se lève et file à l’étage pour se coucher presque sans un mot, l’alcool a eu raison de lui. On se retrouve donc seuls avec Sonia qui ne semble pas affecter par le départ de son cher et tendre. Elle se marre et nous propose de faire un jeu de devinettes en ramenant une paire de menottes à froufrou roses, « on attache le perdant ». De quoi faire réagir l’assistance, « oula vous n’avez pas l’air de vous ennuyer tous les deux ? », « Pour ça il faudrait qu’il arrive à tenir plus de 3 secondes » lâche-t-elle sèchement. Aie. Comment plomber l’ambiance d’un coup. Heureusement que Smaïn ronfle à l’étage. Avec Thomas on se regarde et on fait ce qu’on peut pour ne pas partir dans un fou rire. « Tu exagères un peu Sonia, 3 secondes… et puis ça fait sept ans que vous êtes ensemble, il a du progresser ». Là elle me regarde avec de grands yeux, « si seulement… Il ne veut même plus que je le suce sinon on ne peut pas avoir de rapport sexuel. Les rares fois où j’ai eu un peu de plaisir c’est quand on était bourrés ou drogués ». Le pauvre se fait tailler un costume aux frais de sa princesse. J’avoue que la liberté de ton de Sonia me surprend un peu, décidemment l’alcool fait des ravages, car jamais nous n’avions eu ce genre de conversation. En bout de table, Farid quitte le game, direction le bout du couloir pour s’avachir comme une loque dans le premier lit venu. Désormais à trois, nous continuons de discuter. Sonia ne semble pas avoir envie de se coucher, elle multiplie les fous rires réagissant à chacune de mes blagues avec délectation. Je ne sais pas si c’est son sourire, l’alcool ou simplement le fait de ne pas avoir baisé depuis une semaine mais je ressens de l’attirance pour cette fille qui ne m’en avait jamais procuré auparavant. Sauf que ça reste la sœur de mon pote et surtout que son mec, mon soce, dort à l’étage. Tranquille on va calmer le jeu, il doit bien me rester quelques principes en magasin.
Déjà 4h du matin. Si les langues se sont déliées ce soir, la fatigue commence à nous rattraper. Thomas qui semble avoir des vues sur Sonia finit par jeter l’éponge et rejoint Farid dans la chambre. Je reste dans le salon et commence à ouvrir le canapé lit aidé par Sonia qui me ramène des draps. Je m’assois un instant dessus et elle me rejoint, tout proche de moi. Elle commence à me parler de leur arrivée, de leur couple qui bat de l’aile, de leur sexualité médiocre, de son envie de faire un gosse alors que lui n’en veut pas pour le moment…. Comment lui dire poliment que j’aspire juste à dormir quelques heures. Je ne trouve pas les mots alors je l’écoute et plus elle parle plus j’ai le sentiment qu’elle se rapproche. Et sans savoir pourquoi ni comment nos bouches se retrouvent l’une sur l’autre. On s’embrasse allègrement, elle passe ses mains sur mon corps, mon torse, elle retire mon t-shirt. Je me retrouve torse nu et je la repousse. « Stop, faut qu’on arrête tout de suite ». « Pourquoi ? J’en ai envie depuis longtemps, je ne pensais pas que toi aussi ». « On s’est juste embrassé, on est pas allé trop loin encore. Et qui te dit que j’ai envie ? ». Elle sourit et pose sa main sur ma braguette gonflée à bloc, elle commence à me déboutonner, j’enlève sa main. « Faut qu’on arrête là Sonia, va fumer une clope, réfléchis à tout ça et n’allons pas plus loin ». Elle recule presque résignée, sans doute aussi vexée, se lève et traverse le couloir pour sortir de la maison fumer sa clope. De mon côté je bande comme un âne et je n’ai qu’une envie, aller la rejoindre et la défoncer comme une chienne mais hors de question, je ne peux pas. Je reprends mes esprits, je me mets en boxer et je me glisse sous le drap sur le canapé. A ce moment j’avoue que je me taperais bien une queue histoire de faire redescendre la pression mais si elle venait à repasser à ce moment là… Je vais m’abstenir.
Quelques minutes plus tard j’entends le bruit de la porte, elle revient dans le salon. Elle se pose de nouveau sur le canapé, en tailleur. « J’en ai envie, on n’aura pas d’autres opportunités, allez, il ne le saura jamais ». Je tente de la repousser mais elle m’embrasse à nouveau et je réponds à son baiser. Sa main glisse sur mon boxer et caresse ma queue à travers le tissu, je peine à tenir. J’essaye encore de la raisonner alors qu’elle me glisse à l’oreille, « elle à l’air tellement grosse, laisse moi la sucer ». Je mets de nouveau le ola. Je tente de la calmer mais la bosse qui déforme mon caleçon laisse peu de doute sur mes intentions. Elle descend sa tête, je tente de la retenir. La scène est coquasse, mon boxer va craquer mais je lutte pour ne pas aller plus loin. Elle glisse ses doigts et extrait mes couilles de leur habitacle commençant à longuement les caresser. Le geste de trop. Je la saisis par les cheveux et la colle dessus, « bouffe mes couilles sale pute !!! C’est tout ce que tu voulais !! ». Elle se laisse faire, mieux, elle me dévore les couilles. Sept ans d’abstinence ont créé une chienne en rut, elle les avale, les lèche, bave dessus avant de sortir ma bite qui vient gifler son visage. « Putain elle est vraiment grosse ». « Ta gueule et suce salope ! ». Elle prend ma bite et ne se contente pas de la lécher, elle la mange, crache dessus, remonte des couilles jusqu’au gland, elle se déchaîne. Puis d’un coup elle s’arrête, me regarde avec un petit sourire, sa main autour de ma queue et ma lâche, « tu l’entends ? Ecoute ? Il ronfle là-haut », se marre puis reprend son manège en avalant littéralement ma queue. Je tends l’oreille et j’entends mon pote qui ronfle à pleins poumons juste au dessus. Un déclic. Je la retire et range ma bite. « On va s’arrêter là, on a déjà dépassé les bornes ». Elle me supplie de continuer mais je la prends par l’épaule pour la guider vers l’escalier. « Tu vas remonter, te coucher et on sera bien content de ne pas avoir craqué demain ». Elle colle alors son petit cul sur ma queue humide et gonflée qui continue de déformer mon boxer. Elle se frotte, « prend moi juste un peu, contre le mur comme une chienne. C’est peut-être notre dernière occasion ». L’espace d’un instant je songe à ressortir ma queue pour lui planter directement dans sa chatte qui doit dégouliner mais la raison me maintient, et je la pousse dans l’escalier. Elle monte dépitée. Je me colle contre le mur, respire un grand coup. J’aperçois à côté de la table basse une boite de mouchoirs, j’en tire un, et je décharge le trop plein de créativité qui m’habite en un temps record. Je m’allonge, ferme les yeux et m’endors. Quelques heures plus tard, la lumière du jour me réveille et tout le monde s’affaire déjà dans le salon. Je me lève, direction la douche. Ca fait du bien. A mon retour aucun regard ne laisse transparaître une quelconque suspicion. En tout cas chez les hommes, je n’ai pas encore croisé Sonia. Un peu plus tard elle arrive dans le salon et fuit mon regard. Elle semble particulièrement gênée de la situation. Les garçons vont dans le jardin pour aider Smaïn dans la cabane à outils, je reste avec Sonia, assise sur le canapé du crime, qui regarde ses pieds. « Tout va bien Sonia ? ». « Non, je suis une salope » me lâche-t-elle avec une voix emplie de culpabilité. Je tente à nouveau de la rassurer, lui rappelant qu’on avait su s’arrêter et que ça peut arriver à n’importe qui. « Oui mais tu es le pote de mon mec, qui fait ça ?! Hormis la pire des traînées… ». A force d’insister elle finit par entendre raison et me remercie, « heureusement que tu nous as arrêté hier, je ne sais pas comment je pourrais faire sinon ». « Ne t’inquiète pas, on avait bu, ce qui s’est passé était exceptionnel et on a su se contrôler ». A peine le temps de finir ma phrase que les potes reviennent dans le salon. Bientôt l’heure du retour, on se salue avant de reprendre la route. Dans la voiture ça chambre sec, forcément, « putain un précoce ! Elle a lâché ça normal ! » se marre Farid, « MC3s rap de tess » surenchérit Thomas. Eclat de rire général. En bonnes crapules que nous sommes, les trois secondes nous font bien rire. « Putain Sonia elle avait l’air d’en vouloir, lequel de vous s’en est occupé bande d’enfoirés ?! » questionne Farid. « Thomas tu le connais, il a du se la taper quand on dormait tous » j’ajoute. « Toujours moi les gars, je suis innocent » répond-il mort de rire. L’ambiance est bonne sur le retour.
Trois mois plus tard, Smaïn et Sonia sont de passage sur la région parisienne pour passer du temps en famille. Ils en profitent pour venir faire un crochet à la maison prendre le café. Aucune nouvelle de Sonia depuis la fameuse soirée. A leur arrivée, ils semblent mieux, elle sourit et ne semble plus gênée pour un sou. Tant mieux, j’avais peur que ça laisse des traces. Alors que Smaïn reste à l’intérieur à discuter avec Thomas qui nous a rejoins, je sors sur la terrasse avec Sonia qui veut fumer une clope. On discute de tout et de rien puis elle met les pieds dans le plat, « tu repenses à ce qu’il s’est passé ? ». « Oui ça m’arrive, je pense qu’on a bien fait… », « je ne sais pas mais je t’avoue que je n’arrête pas d’y penser, je veux aller plus loin ». Silence. « T’es avec mon pote et… », « on va bientôt se séparer, on ne partage plus rien. Là j’ai juste envie de toi ». « Ecoute, tu as mon numéro ? Si tu veux plus tu sais où me joindre mais attention, je vais pas te ménager ». « C’est ce que je veux ». Toc toc toc, je me retourne, Thomas tape à la fenêtre, mon téléphone à la main. Je rentre pour répondre.
Deux jours après je reçois un SMS, « Hello, je me lance, c’est quand tu veux, où tu veux ». « Je ne vais pas te ménager je t’ai dit, ça sera pas trois secondes avec moi ». « Je veux que tu fasses de moi ta chose ». Elle venait d’activer les mots magiques, le retour en arrière n’était plus possible.
Les jours qui suivirent cet échange ne firent qu’activer la tension sexuelle qui existait entre nous. Mon pote passait désormais au second plan, et son frère que je voyais régulièrement ne changeait pas la donne. Elle poussait le bouchon, se plaignait régulièrement de l’absence de sexualité ou de rapports ridiculement courts, me caressait dans le sens de la queue… Rendez-vous fut pris au B&B à côté de chez moi un mardi midi. Alors que je préparais le lubrifiant et la boite de 12 la veille, voilà que la neige est annoncée. En ce matin du 7 février 2018, pour ceux qui s’en souviennent, la région parisienne a été enveloppée comme rarement auparavant. Je lui envoie donc un message, « on va peut-être décaler, tu ne vas pas te taper la route », « je suis déjà en chemin, ça va le faire, je serai là », de la pure motivation mon gars. Je termine de me préparer et je mets les Tim de rigueur, impossible de prendre le scoot sauf si je veux me casser la gueule sur mon parking. Pas de voiture à cette époque, pas grave, j’en ai pour 20mn à pied, le jeu en vaut la chandelle.
A peine arrivé dans la chambre je la sens plus intimidée, « c’est la première fois que je fais ça tu sais… ». Ouais ouais. Ni une ni deux je la choppe par la taille pour lui prendre la bouche, elle se laisse faire et me donne sa langue. Nos salives se mélangent, je caresse son petit cul serré par un jeans délavé, son string rouge tente de s’en extirper. « Je vais faire de toi ma pute ! ». Ni une ni deux je la descends à genoux, sors ma bite, « allez suce salope ! ». Aucune hésitation, elle avale ma queue comme une glace, la bouffe littéralement. Elle crache dessus, passe sa langue des couilles jusqu’à mon gland en me lançant un regard de chienne. Je l’attrape par les cheveux pour lui baiser la bouche, de plus en plus rapidement puis à toute vitesse. Elle respire à peine mais ne rechigne pas, elle me surprend même en l’avalant presque jusqu’aux couilles sans vomir. Je l’attrape par les cheveux pour la faire monter sur le lit. Je retire son jeans, lui laissant juste son string rouge assorti à son soutien gorge. Sa peau est si pâle, à chaque gifle que je dépose sur ses fesses, une trace rouge apparaît. Allongé sur le lit je la fais sucer et elle ne semble pas prête à arrêter. Pendant qu’elle continue son ouvrage, je caresse son cul, puis je retire son string. Elle dégouline, des gouttes coulent le long de ses cuisses et viennent former une petit cercle sur la couette bon marché de cet hôtel premier prix. Je rentre un doigt, puis deux, elle continue de sucer. J’en mets un troisième et commence mes allers retours tout en stimulant son clito. Elle gémit mais continue de pomper allègrement. Et dire que son mec ne voulait pas qu’elle le suce… Elle lèche, avale, nettoie ma queue pendant que je continue de la doigter. Ma main droite attaque désormais son anus, je glisse un doigt qui a du mal à passer l’obstacle du sphincter, elle pousse un râle mais ne dit rien. Elle se met même à redoubler d’ardeur pour pomper ma queue. Je fais des petits allers retours et lorsque le doigt entre, j’en profite pour mettre un second pour un troisième. Je me retrouve à lui mettre trois doigts dans chaque trou à toute vitesse, et son assurance pour me pomper s’effrite aussi vite que sa chatte coule le long de mon bras. J’en peux plus, je la retire, j’enfile une capote et je la fais grimper sur moi, « déhanche-toi sur ma queue sale pute », « allez plus vite ». Elle gigote dans tous les sens alors que sa chatte continue de couler de manière incroyable. Je la tourne et claque son cul de plus en plus violemment à chaque fois qu’elle s’empale sur mon pieu. « Oh oui, aaaaaahhhhh ». Elle s’écroule sur moi. Sept ans d’abstinence donne un orgasme en moins de 5 minutes. Je la décale sur le lit, elle est avachie sur le dos. Je retire la capote, je lui fais lécher ma queue puis j’avance et je lui présente mon trou du cul, « nettoie salope », « j’ai jamais fait ça » dit-elle dans un murmure avant de glisser sa langue dans mon anus et de le récurer de fond en comble. Pendant qu’elle découvre les joies de l’anulingus, j’attrape un nouveau préservatif. A mon tour de m’amuser. Je l’attrape violemment par les cheveux, « aiiie », « ta gueule ! ». Je la balance sur le sol où elle se retrouve à 4 pattes sur la moquette usée du B&B, je commence à la pilonner si violemment qu’au bout de 15mn d’acharnement elle s’écroule une première fois, ses genoux n’ont pas supporté le choc thermique après sept années de précocité. Je la remets en place et je présente mon gland à l’entrée de son cul, « vas y doucement, ça fait très longtemps », j’entre difficilement le bout de ma queue, fais un premier aller mais la préparation n’aura pas suffit. Je ressors, crache dedans et mets deux doigts, « oh oui…. », je sors le lubrifiant, j’en dépose une bonne dose et je continue les allers retours avec mes doigts. Lorsque je sens son cul plus dilaté, je remets ma queue qui continue d’être dure comme de la pierre. Cette fois plus aucun problème et je m’en donne à cœur joie. La pauvre encaisse mes coups de brutes alors que ses jambes flageolent de plus en plus, ce qui ne l’empêche pas de gueuler à pleins poumons désormais, « oh oui !!! Défonce moi le cul !!! Je suis ta chienne !!! Encore !!! Salis moi !!! ». Ces encouragements me mettent en transe, je la détruis littéralement, je la tire par les cheveux, je la gifle tout en lui démolissant son cul qui ne semble vraiment pas habitué. A chaque fois que ma queue ressort, la capote devient de plus en plus brune. La miss n’aura rien préparé pour l’occasion, faudra lui dire pour la prochaine fois. En attendant ça ne va pas m’empêcher de continuer de la fracasser. Elle s’écroule sur le sol mais je continue, encore. Hors de question de m’arrêter maintenant. Allongé sur elle, je l’écrase de tout mon poids, continuant inlassablement de lui matraquer le cul. Je lui crache sur sa gueule en même temps, et lui fait lécher la moquette. Elle n’en peut plus, essoufflée, elle s’exécute et le spasme anal qui secoue tout son corps me fait comprendre qu’elle vient d’avoir un orgasme par le cul. Je me retire, jette la capote dans un coin de la pièce, m’approche de son visage collé à la moquette pour tout lui cracher dans la gueule. Elle tourne à peine la tête qu’une première giclée l’atteint au dessus de l’œil, puis une deuxième directement dans sa bouche, une troisième lui recouvre le visage pour terminer. « Nettoie sale chienne ! ». Elle s’exécute sans un mot, nettoie ma bite et les gouttes tombées sur le sol. Hum, quel potentiel de chienne, il va falloir pousser un peu plus le truc la prochaine fois.
Cet après-midi là je l’ai baisée encore 3 fois mais la pauvre n’arrivait plus à tenir le rythme. A son retour chez elle, elle m’avoua qu’elle avait failli s’endormir plusieurs fois dans la voiture sur le chemin jusqu’en Bourgogne. « Désolé pour les traces, la prochaine fois je ferai le nécessaire ». Les traces ? Lol. J’ai cru qu’elle avait mangé au KFC avant de venir ! « Achète une poire à lavement et une laisse pour la prochaine fois. Et désormais appel moi maître. On va instaurer des règles ». « D’accord maître, à vos ordre ». Le dressage ne faisait que commencer…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Magnifique...

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putain trop bon mec : moi j'ai déjà niker la meuf de pote aussi et c'est vraiment excitant , c'est juste un coup comme ca , je lui pique pas sa copine, juste un plan cul pour y gouter lol .... et comme tu dis elles sont chaude de ouf de faire ça les meufs, tu peux les baiser en mode chienne sans probleme , .. moi je lui disait de repetter que je la niait mieux que son mec et en plus suis sur que c'était vrai... le pote il etait trop bourré pour se réveiller toute façon , on a baiser longtemps dans le salon ou je devais dormir sur le canapé lit. moi suis musulman je boit pas d'alcool alors comme ça je récupère les meufs en fin de soirée des mecs qui boivent héhé tant pis pour eux ahah



Texte coquin : Comment j'ai chiennisé la meuf de mon pote, le commencement
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