Ma beurette et sa mère en hijab première partie

- Par l'auteur HDS Yanis93 -
Récit érotique écrit par Yanis93 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ma beurette et sa mère en hijab première partie Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-11-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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(9.5 / 10)
Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(9.0 / 10)

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Ma beurette et sa mère en hijab première partie
Bonjour,
Avant de débuter cette histoire une brève présentation s'impose puisque ca ne devrait pas être la dernière. Métisse franco algerien, je suis tombé dans le porno très jeune, en gardant un goût prononcé pour le hard. Je préviens donc les âmes sensibles, mes aventures ne sont pas réservées à ceux qui s'offusquent à la lecture d'un mot cru. Ils font partie de mon univers quotidien, comme le reste.

Cette histoire a eu lieu il y a quelques années. Sortant de plus de dix ans de mariage, j'ecumais les annonces et profitaient des rencontres que m'offraient mes sorties. Sur Paris quand on vit en banlieue les tentations sont grandes et les occasions nombreuses. C'est chez des amis que j'ai rencontré Khadija. Cette jeune divorcée d'origine algérienne avait une petite fille qui se baladait, comme beaucoup, entre papa et maman. Petite de taille, cheveux longs et noir, elle avait quelques kilos en trop mais ça n'a jamais été pour me déplaire. Elle possédait surtout une paire de seins à vous faire sortir les yeux de ses orbites. Ce soir là elle arborait un décolleté plongeant qui me donnait envie de lui dévorer les seins. Lorsque je parlais avec elle j'avais la sensation d'être Woody Harrelson dans Tueurs Nés, des images plus salaces les unes que les autres me traversant l'esprit comme des flashs. Le courant étant bien passé, et sachant la demoiselle seule je lui ai proposé de la ramener chez elle. Arrivés en bas de son bâtiment situé à Villiers sur Marne, je me suis jeté sur elle pour lui prendre la bouche et lui caresser ses gros seins. Pas farouche, elle n'opposa aucune résistance et sortie bien volontiers sa langue me laissant sortir ses seins encore plus énormes que j'imaginais pour les lécher copieusement. Je mordais ses tétons bruns comme un affamé, la faisant gémir et m'amusant à tordre l'autre jusqu'à ce qu'elle pousse un petit crie. Ses seins recouverts de ma salive et rougies me donnaient une érection du tonnerre que mon levis 501 ne pouvait plus masquer. Je l'invitais à aller chez elle mais elle me stoppa dans mon ascension: "désolé mais ma sœur garde ma petite ce soir, j'aurais kiffé qu'on finisse chez moi mais là ça ne va pas être possible désolé..." me dit elle d'une petite voix qui teintait la déception et l'excitation. Si je pouvais comprendre, vu mon état, il était hors de question de repartir comme ça, et j'avais bien compris que la jeune fille n'était pas farouche et je la sentais plutôt soumise. Alors lentement j'ai déboutonné mon jeans laissant sortir mon engin. D'une longueur correcte, 19cm, il possède surtout l'avantage d'être très épais, Khadija surpris autant qu'excitée ne cacha pas sa surprise, "il fait deux fois la taille de celui de mon ex, elle est trop grosse ta bite" s'exclama t elle une main couvrant sa bouche dans un effort vain de faire la vierge effarouchée. Ma queue pointait dans sa direction, gonflée par l'afflux de sang massif que l'effet de ses gros seins avaient eu sur moi, je n'en pouvais plus et l'heure de la discussion était passée. Je mis ma main sur sa nuque et d'un geste sec je lui descendis la tête sur ma queue lui ordonnant, "suce moi salope!". Pas le temps de réaction qu'elle se retrouvait avec ma queue au fond de la gorge, ne laissant échapper que des "gluurp" à chaque fois que je lui descendais la tête plus profond sur ma bite. A sa façon de faire je sentais qu'elle n'avait pas l'habitude d'un tel traitement mais elle ne rechignait pas, mieux même, elle semblait y prendre goût. Au bout d'un moment je sentais sa langue glissée le long de ma queue en même temps que je lui baisais littéralement la bouche. Je sortie ma queue de sa bouche, son maquillage s'était fait la malle, ses yeux coulaient et de la bave entourait ses lèvres jusqu'à son menton. Elle me regardait d'un air suppliant mais qui semblait ne demander qu'à continuer. "Crache sur ma bite!". "Quoi?". "T'entends pas ce que je te dis?! Crache sur ma queue sale chienne!!!". Encore trop timidement à mes yeux, elle se mis à faire tomber sur ma queue un filet de bave. Je lui saisi la tête au niveau du menton et lui envoya un énorme crachat sur la joue. Choquée et balbutiante elle ne savait quoi dire mais je sentais que la situation l'excitait de plus en plus. "Quand je te dis de cracher sur ma bite, tu craches comme ça, c'est clair??!!!". Et là sans un mot elle se mit à me lâcher un énorme crachat sur la bite avant de faire briquer ma queue avec sa main en étalant toute sa bave jusqu'à mes couilles. "Hum j'ai dégoté une bonne chienne soumise" je me disais intérieurement pendant qu'elle reprenait ma bite dans sa bouche allant jusqu'à se baisze la bouche. A chaque fois que ma queue touchait le fond de sa gorge elle manquait de vomir ponctuant le ballet de bruits aussi écœurants qu'excitants. S'en était trop pour moi, j'étais sur le point d'exploser. D'un geste ferme je lui maintenais sa tête sur ma bite pendant qu'un flot de sperme sortait par giclée dans le fond de sa gorge. Peu habituée à cette pratique elle tentait de se dégager mais ma main l'en empêchait et mon ton autoritaire lui fit mettre fin à sa petite manœuvre. "Avale tout salope et nettoie jusqu'à la dernière goutte! ". Des bruits de déglutition ponctuaient cette première pipe qui allait en appeler d'autres. Après avoir tout avalé consciensieusement jusqu'à nettoyé le bout de mon gland, je lui fis relever la tête en la tirant par les cheveux. Le visage complètement défiguré par l'intensité de l'instant, elle conservait aux commissures de ses lèvres une petite quantité de sperme qui avait du s'échapper au moment de l'éjaculation. D'un geste délicat je passais deux doigts sur ses lèvres pour en récupérer la totalité avant de lui faire lécher mes doigts. Elle s'exécuta sans broncher, me jetant un.regard salace en laissant glisser sa langue sur mes doigts et en l'aspirant littéralement. Satisfait je la pris par la nuque pour lui donner un baiser torride.
Alors qu'elle s'apprêtait à quitter la voiture après avoir tenté de se refaire un aspect respectable, je j'attrapais sa main fermement, " ce soir ce n'était qu'un début, si tu veux qu'on se revoit je ferai de toi ma chienne. Tu seras ma salope soumise et obeissante". Sans un mot elle quitta la voiture pour s'engouffrer dans le hall de son immeuble. De retour chez moi je ne savais quoi penser mais espérais grandement qu'elle revienne vers moi, elle semblait posséder un potentiel de soumise illimitée, tout ce que j'aime. Après une bonne douche mon téléphone vibra, " je meurs d'envie que tu m'eduques maître, vivement la prochaine fois. Bonne nuit". Sourire aux lèvres je sautais sur mon lit et m'endormi comme un bébé.

Voilà déjà 8 mois que je suis avec Khadija. Autant vous dire qu'elle m'a surpris au-delà de mes espérances. Ce potentiel de soumise que j'avais détecté chez elle était largement sous estimé. N'ayant connu que son mari, elle avait comme tant d'autres connu des séances de baise sans saveur ni ardeur. Tout le contraire de ce qui l'excitait vraiment, elle qui m'avoua qu'elle adorait se regarder des films pornos où des acteurs bien montés sodomisaient violemment. Son mari n'en savait rien et n'avait jamais essayé de prendre son cul. Trop timide et gênée avec lui, elle n'avait jamais osé lui demander. J'avais mis peu de temps à lui defleurer sa cerise anale, mais cette anecdote fera peut-être l'objet d'une autre histoire. Le temps ayant passé je m'étais installé chez elle. J'avais appris à connaître sa fille et elle mes garçons même si on limitait les venus pour ne pas précipiter les choses. J'avoue que la situation me convenait. Kahadija adorait s'occuper de moi, notamment au repas, c'était un vrai cordon bleu, et chaque soir je lui faisais sa fête, la défonçant dans toutes les pièces de l'appartement comme la dernière des chiennes. A force son anus si serré au depart ressemblait à une bouche de métro et elle s'en plaignait d'ailleurs après chaque douche, "tu me l'as tellement ouvert que l'eau me rentre dans le cul à chaque fois". Ce qui ne l'empêchait pas de me supplier de l'enculer le soir suivant. Elle aimait trop ça, multipliant les orgasmes anale de plus en plus violent.

Tout allait pour le mieux jusqu'à ce qu'un soir au repas elle me lache la bombe, "je vais aller chercher ma mère, elle vient deux jours à la maison avant de partir au bled". Quoi??? Oh! Je veux bien qu'on se la joue couple modèle avec tout ce que je lui mettais chaque soir, mais de là à voir sa mère, no way! Je lui ai répondu que j'irai dormir chez un pote, ca ne me posait pas de soucis. Mais melle était insistante, elle voulait absolument me présenter à sa mère. "On est même pas mariés religieusement, ta mère va péter un câble!". "Mais non bébé, t'inquiète pas. Et puis c'est bon maintenant je suis une femme, je fais ce que je veux et de toute façon je lui ai déjà parlé de toi, t'inquiètes". Ba oui, forcément. J'avais oublié la base, trop à l'aise dans cette soumission sans fond, Khadija était amoureuse et pour elle ce n'était que le début de notre idylle. Moi je me demandais plutôt quand je pourrais l'emmener dans un club échangiste avec sa laisse. On était pas vraiment raccord.
A force d'insister et de me sucer la queue comme une chienne, elle finit par me convaincre. Qui a dit que les hommes pensaient avec autre chose que leur queue? Je me disais que ça ne m'engageais en rien et que si besoin je préparais mon départ précipité dans la foulée.

Sa maman était veuve. Son mari, ouvrier algérien débarqué en France dans les années 70 avait usé sa santé à retaper le pays. Il en avait récolté une maigre retraite et un départ précipité à la suite d'un cancer foudroyant. Samira, sa mère, était restée dans sa petite ville près de Metz où elle avait toujours vécue depuis son arrivée dans l'hexagone. A coté vivait son aîné, mariée, Khadija, sa seconde, avait gagné la région parisienne comme beaucoup de prof débutant et la petite vivait au Japon où la passion de la culture manga l'avait poussé à terminer ses études puis à s'y installer.

Khadija est partie la chercher en voiture un week-end. Elle dormait là bas le samedi soir puis elles arriveraient le dimanche à la maison, sa mère restant jusqu'au mardi, jour de son départ pour Alger. Les présentations eurent lieu le dimanche en milieu d'après-midi. Tout de suite j'ai vu que la pomme n'était pas tombée loin du pommier. Petite de taille comme sa fille, Samira arborait également des kilos en trop et une poitrine aussi opulente que celle de sa fille. Ses cheveux étaient recouverts d'un hijab noir alors qu'elle portait une longue djellabas noire aux reflets dorés. Elle me serra la main et je perçus un premier regard assez austère. Rien de surprenant, Khadija avait beau redoublé d'efforts je savais que sa mère désapprouvait notre relation. Les premiers piques ne mirent pas longtemps à arriver. A peine le café servit, "quand comptez vous vous marier? Ma fille ca ne se fait pas de vivre ainsi dans le péché ". Elle évitait soigneusement mon regard et s'adressait uniquement à sa fille mais suffisamment fort pour me faire comprendre que j'étais l'intrus. Khadija tentait de se justifier mais c'était peine perdue. Au bout d'un moment je quitta la pièce pour me réfugier dans la chambre fatigué par cette conversation stérile et prévisible.

Au moment du repas Samira fit encore quelques remarques, rappelant l'anecdote d'une amie qui avait vécu ainsi après son divorcz et qui avait ensuite connu de grands malheurs. J'écoutais un peu désabusé ressentant, à chaque fois qu'elle tournait la tête vers moi, le poids de son regard.

Peu après avoir fini de manger, Samira prétextant une grande fatigue, Khadika l'emmena dans la chambre délaissée par sa fille partie chez son père pour la semaine. Elle me dit froidement bonne nuit avant d'aller dans la salle de bain puis la chambre, accompagnée de sa fille. Elles parlaient, la conversation semblait vive mais je n'y prêtais pas attention me concentrant sur le match du dimanche soir qui pourtant n'avait rien d'emballant exceptés les commentaires amusés d'un Paganelli goguenard sur le bord du terrain.

Il était déjà 22h passé quand Khadija réapparu les traits tirés. Elle m'expliquait que sa mère n'appréciait pas le fait qu'on habite ensemble sans être mariés (quelle surprise!) mais que ça finirait par passer et surtout qu'elle m'appréciait beaucoup (oui j'ai bien senti...). Elle s'est ensuite mise à s'excuser de m'infliger ça. Je lui ai répondu, "pas grave, c'est ton cul qui va payer pour toi" et je commençais à l'embrasser sauvagement en lui sortant un sein par le haut de sa robe. "Ca va pas bébé ?! T'es fou! Ma mère est juste là,.elle peut arriver à n'importe quel moment!". "Et alors ça t'exciterait pas qu'elle voit comme sa fille se fait défoncer comme une chienne?". "Comment tu parles?! Ca va pas!". "Et pourquoi pas?! T'es bien ma chienne!". "Oui bébé je suis ta chienne mais pas devant ma mère, l'hachouma ". Sa gêne m'excitait et ma queue se mis à gonfler d'un coup. Je la sortie, prêt à lui mettre au fond de la bouche, quand elle m'arrêta, "dans la chambre bébé steuplait, pas ici". Un peu déçu je répondis favorablement à sa requête. "Laisse moi juste 20mn, termine ton match et rejoins moi dans la chambre, ma mère dormira, ca sera mieux bébé".

Le match terminé, je quittais le salon et remarqua en passant que la lumière de la chambre de Samira était encore allumée. Arrivée dans la chambre Khadija m'attendait allongée sur le lit vêtue d'une superbe nuisette en dentelle noire qui laissait entrevoir ses formes généreuses. Ni une ni deux je me jetais sur elle l'embrassant, laissant glisser mes mains sur sa chatte déjà toute humide. Entre deux rales elle me dit, "ma mère dormait?", "bien sur, j'entendais même ses ronflements dans le couloir ". Soulagée elle se mis à se lâcher totalement, descendant le long de mon corps en laissant passer sa langue partout. A genoux devant le lit elle se mis à pomper ma queue comme une vraie furie, "sluurps, argghhh, sluuurp, tu aimes bébé ?", "continue de bouffer ma queue grosse pute, allez avale" et je lui pris la tête pour lui baiser la bouche sans ménagement. Manquant de vomir elle déglutit une première fois avant de carrément avoir un reflu sur ma bite. Sans sourciller elle pris un mouchoir pour la nettoyer avant de se remettre à me pomper comme une furie. Je bandais comme un âne et je la sentais prête à encaisser toute ma frustration mais avant il fallait lui faire tout récurer. J'enlevais ma queue, remontait les jambes lui présentant mon cul, "nettoie mon cul grosse pute". En bonne habituée, elle agita sa langue agile sur mon trou du cul, le récurant. Enfonçant sa langue pour en nettoyer l'intérieur avec une précision chirurgicale ". Trop excité, je l'attrapais par les cheveux pour la mettre à 4 pattes face au miroir de plei pied de la chambre. Je commençais par lui mettre un doigt puis deux doigts dans le cul je la sentais frétiller. "Mets moi du gel ". "Non je vais te baiser à sec salope, c'est tout ce que tu mérites ". Et je me suis mis à lui enfoncer ma grosse bite au fond du cul d'un coup sec lui arrachant un cri strident. "Bébé t'es trop gros, tu me fais mal". "Ta gueule sale chienne, c'est ce que t'aimes, que je te déchire le cul". Je continuais mes va et viens enfonçant ma queue jusqu'aux couilles avant de la ressortir jusqu'à presque la sortir pour à nouveau la rentrer de plus en plus brutalement. Après quelques minutes de ce traitement les plaintes du début furent remplacés par des "hannn" de satisfaction suivi d'un flot de mots plus crus les uns que les autres, "continue, défonce le cul de ta pute! J'aime trop ta bite, je suis accroc, encule moi encore, plus fort!!! Dechire moi le cul!!!". Cette fois je ne retenais plus mes coups, je la défonçais comme un acharné, j'étais en transe mais pas assez pour ne pas remarqué dans le miroir que la porte de la chambre était un peu plus entrouverte que tout à l'heure. Discrète, presque invisible se tenait une silhouette dans la pénombre qui nous observait. Incroyable. Samira, la femme austère et méprisante se tenait là dans l'obscurité à observer sa fille se faire défoncer par son mec. Je n'en revenais pas. Khadija du s'apercevoir de ce moment d'absence puisqu'elle me dit, "ca va bébé ? Il y a un souci?". "De quoi tu parles salope?!" lui répondis je en plaquant sa gueule sur le sol avec mon pied dessus, la nuque tournée à la porte d'entrée pour qu'elle ne se rende compte de rien. Alors comme ça sa mère se rincait loeil, elle n'allait pas être déçu du spectacle.

"A genoux!", elle s'exécuta et je lui mis ma queue dans la bouche! "Nettoie salope, tu l'aimes le goût de ton cul?!", "j'adore slurp, nettoyer ta grosse bite argghhh, qui sort de mon gros cul". "Ne bouge pas!!!". Elle resta figée à genoux alors que j'allais dans le tiroir de la commode pour en sortir sa laisse. Je lui attacha autour du cou. "T'es trop chaud bébé ce soir", clac! Une violente gifle vient s'abattre sur sa joue, "comment tu m'as appelé sale chienne??!!", "excusez moi maitre". "Je préfère salope. Maintenant à 4 pattes que je te balade, yeux rivés sur le sol!". Je la baladais en laisse ressentant à quelques mètres de moi le le voyeurisme de sa mère. Je faisais monter la température en crachant un peu partout sur le sol tout en la faisant tout nettoyer avec la langue. Avec les mois d'entraînement c'était devenu un vrai aspirateur. Elle léchait chaque crachat déposé sur le sol d'une langue experte, nettoyant si parfaitement que le sol semblait plus propre qu'avant. Je m'amusais d'imaginer sa mère les yeux exorbités devant la soumission totale subie par sa fille. Après lui avoir claqué le cul à le rendre tout rouge je fis rentrer ma bite dans sa chatte avant de la mettre dans son cul puis d'alterner ainsi de longues minutes en l'injuriant de tous les noms, "t'aimes que je te traite comme une grosse pute! T'es ma chienne, mon vide couilles, mon sac à foutre !!! " "je suis ta pute, ta chose, ta grosse chienne, continue, je vais jouir!!!, et elle s'écroula sur un dernier coup de boutoir que je venais de mettre dans son cul. La gueule sur le sol, je me mis au dessus pour lui décharger le trop-plein de sperme que j'avais accumulé depuis son départ. Les premiers jets recouvrirent une bonne partie de son visage tandis que les autres s'ecraserent sur le sol. Je tirais alors sur sa laisse, "bouffe tout salope!" Et consciencieusement Khadija se mise à nettoyer tout le sperme étalée sur le sol avant de se mettre à genoux. Elle me regarda puis à l'aide de sa main récupéra le foutre étalé sur son visage pour le lécher jusqu'à la dernière goutte. "C'était bien maître " me demanda t elle avec un véritable regard de chienne en chaleur. Pour toute réponse elle reçu une gifle sur le visage, "et ma queue elle va se nettoyer toute seule salope?!". Aussitot elle s'excusa et sauta dessus pour la polir jusqu'à la dernière goutte.

En sortant de la chambre pour aller dans la salle de bain aucune trace de Samira et la lumière de sa chambre était éteinte. Je regagnais mon lit où m'attendais Khadija visiblement éreintée mais heureuse. "Tu m'as défoncé bébé, c'était trop bon, j'ai joui deux fois, hum". "C'est ce que tu méritais petite chienne". "Oui je sais, je mérites d'être corrigée " me dit elle en me déposant un dernier baiser. Elle se retourna et s'endormit presque aussitôt. De mon côté je repensais à cette vision, cette sensation d'être observé, cette silhouette. Était ce possible ?

Le lendemain je dormais à moitié quand Khadija vint me faire un bisou pour me souhaiter une bonne journée. "J'ai laissé mes clés à ma mère, ne te soucie pas d'elle, tu peux dormir tranquille et faire ta vie. Je termine à 17h, je rentre direct après. Tu pourras de nouveau me punir ce soir" me lança t elle dans.un éclat de rire avant de fermer la porte de la chambre. Dans le salon j'entendais la télé tournée, Samira devait être devant. Comment allaient se passer les retrouvailles après la soirée d'hier ? Je n'en avais aucune idée. En attendant je comptais bien me rendormir quelques heures. La suite attendra.....

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