Comment j'aime être aimé
Récit érotique écrit par QKC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Comment j'aime être aimé
J ‘ai longtemps cherché des lieux de rencontre gays qui me conviennent. J’ai fini par trouver un cinéma. En effet, dans l’obscurité, on ne voit pas son vis-à-vis et on se sent protégé de la vue des autres. J’ai commencé par m’y rendre pour voir un film porno. La salle était pratiquement déserte. Le film était excitant et j’ai fini par me branler. J’étais tellement absorbé par les images et le son que je n’ai pas entendu quelqu’un qui s’est approché. Il s’est assis à côté de moi et a saisi ma main.
Il l’a dégagée de ma bite et l’a remplacée par la sienne. Il a passé l’autre dans mon dos et m’a poussé par les fesses au bord du siège. Il a déboutonné ma chemise et s’est mis à m’embrasser le torse. Il a continué à me branler jusqu’à ce que j’éjacule dans sa main. Puis, il s’est essuyé avec un kleenex et s’en est allé.
Je suis retourné dans le cinéma, le dimanche d’après et j’ai attendu que la chose se reproduise. Au bout d’une heure, j’ai essayé de me branler à nouveau, mais personne n’est venu. Je suis donc rentré chez moi. Pendant que j’attendais un éventuel partenaire, j’ai remarqué que des hommes entraient par une porte, montaient en haut de la salle et redescendaient par l’autre côté. Je me suis retourné et j’en ai vu quelques uns qui étaient debout dans le noir.
Le dimanche d’après, j’y suis retourné et après avoir attendu sagement assis, je me suis décidé d’aller voir ce qui se passait au fond de la salle. La plupart des hommes étaient adossés au mur. J’ai hésité un moment puis les ai rejoint. Un moment plus tard, un homme s’est approché de moi et s’est adossé au mur, lui aussi. Il frôla ma cuisse très légèrement, attendant une réaction. Comme elle ne venait pas, il appuya un peu plus son contact. Toujours rien. Alors, il passa sa main dans mon dos et toucha à peine une fesse. On aurait dit qu’il avait peur d’être agressé. Pour ma part, je retenais ma respiration. Cette tentative timide me mettait en émoi. Bientôt, il caressait carrément mon cul. Il me poussa un peu en avant et passa derrière moi. Les mains posées sur mes hanches, il me plaqua contre lui. Je sentais son sexe dur contre mon cul. Il chercha la fermeture de ma braguette et la descendit. Il sortit ma bite du slip et me branla jusqu’à l’éjaculation. J’ai cru qu’il allait me faire gicler par terre mais il ne me lâcha pas. Se servant de mon sperme comme lubrifiant, il continua de me branler jusqu’à la troisième éjaculation qui m’arracha un petit cri. Il me dit :
- Trois fois ? Ca t’a plu !
- Ca ne m’étais jamais arrivé, répondis-je.
- Si tu m’attends, on recommencera !
Mais je suis parti.
La fois d’après, je suis retourné contre le mur et j’ai attendu longtemps. J’ai vu que devant moi, d’autres étaient debout derrière les fauteuils. Soudain, un attroupement se forma et je m’approchais pour regarder. Un homme était courbé en avant pendant qu’un autre l’enculait. Quand ce fut fini, les deux protagonistes sont partis. Je suis resté derrière les fauteuils, mon cul en exposition. Rapidement, quelqu’un s’est approché de moi. Il a posé sa main sur ma cuisse puis en l’absence de réaction, a tâté ma braguette. Le contact de sa main avait déjà provoqué l’érection. Il a ouvert ma braguette et sortit ma bite. Il s’est assis par terre devant moi et l’a prise dans sa bouche. De ses mains, il caressait mon cul.
Au bout d’un moment, il défit la ceinture de mon pantalon et le baissa avec le slip jusqu’à mes pieds.
Il souleva ma chemise pour montrer mon cul aux autres. Après avoir recueilli mon sperme dans sa bouche, il cracha le tout par terre, se releva et partit. Depuis toutes ces visites, la nuit, je rêvais qu’on me prenait le cul. J’ai espéré nombre de fois, mais hélas rien.
Puis, au cours d’une autre visite, j’ai entendu quelque un qui passait et repassait derrière moi. J’ai fini par reconnaître son pas. Je me suis alors penché en arrière, tentant de provoquer le contact. Effectivement, il se heurta à moi. J’ai senti qu’il faisait demi-tour et je me suis penché encore plus.
Cette fois, il passa une main sur mes fesses, fit deux pas et revint. Il posa carrément ses mains sur mon cul .Il s’arrêta et se frotta à mon cul. Comme je me laissais faire, sans nulle tendresse, il défit la ceinture de mon pantalon et se baissant, il tira mon slip jusqu’en bas. Il se releva, saisi sa bite, la posa sur mon anus et m’encula.
Il m’est arrivé d’avoir un amateur qui malaxait mes fesses pour tester ma disponibilité. J’ai refusé.
Après cette sodomie, je me suis senti insatisfait. Donner mon cul aujourd’hui est un cadeau que je fais à celui qui se donne la peine de prendre son temps. La partie que j’adore, c’est le moment de l’approche.
Quand le prétendant tente timidement sa chance. Il me frôle les fesses, puis les caresse d’une main légère. Ca m’excite au plus haut point. Ce que j’aime aussi c’est me faire sucer. Le reste c’est accessoire, pour faire plaisir à mon galant.
Il l’a dégagée de ma bite et l’a remplacée par la sienne. Il a passé l’autre dans mon dos et m’a poussé par les fesses au bord du siège. Il a déboutonné ma chemise et s’est mis à m’embrasser le torse. Il a continué à me branler jusqu’à ce que j’éjacule dans sa main. Puis, il s’est essuyé avec un kleenex et s’en est allé.
Je suis retourné dans le cinéma, le dimanche d’après et j’ai attendu que la chose se reproduise. Au bout d’une heure, j’ai essayé de me branler à nouveau, mais personne n’est venu. Je suis donc rentré chez moi. Pendant que j’attendais un éventuel partenaire, j’ai remarqué que des hommes entraient par une porte, montaient en haut de la salle et redescendaient par l’autre côté. Je me suis retourné et j’en ai vu quelques uns qui étaient debout dans le noir.
Le dimanche d’après, j’y suis retourné et après avoir attendu sagement assis, je me suis décidé d’aller voir ce qui se passait au fond de la salle. La plupart des hommes étaient adossés au mur. J’ai hésité un moment puis les ai rejoint. Un moment plus tard, un homme s’est approché de moi et s’est adossé au mur, lui aussi. Il frôla ma cuisse très légèrement, attendant une réaction. Comme elle ne venait pas, il appuya un peu plus son contact. Toujours rien. Alors, il passa sa main dans mon dos et toucha à peine une fesse. On aurait dit qu’il avait peur d’être agressé. Pour ma part, je retenais ma respiration. Cette tentative timide me mettait en émoi. Bientôt, il caressait carrément mon cul. Il me poussa un peu en avant et passa derrière moi. Les mains posées sur mes hanches, il me plaqua contre lui. Je sentais son sexe dur contre mon cul. Il chercha la fermeture de ma braguette et la descendit. Il sortit ma bite du slip et me branla jusqu’à l’éjaculation. J’ai cru qu’il allait me faire gicler par terre mais il ne me lâcha pas. Se servant de mon sperme comme lubrifiant, il continua de me branler jusqu’à la troisième éjaculation qui m’arracha un petit cri. Il me dit :
- Trois fois ? Ca t’a plu !
- Ca ne m’étais jamais arrivé, répondis-je.
- Si tu m’attends, on recommencera !
Mais je suis parti.
La fois d’après, je suis retourné contre le mur et j’ai attendu longtemps. J’ai vu que devant moi, d’autres étaient debout derrière les fauteuils. Soudain, un attroupement se forma et je m’approchais pour regarder. Un homme était courbé en avant pendant qu’un autre l’enculait. Quand ce fut fini, les deux protagonistes sont partis. Je suis resté derrière les fauteuils, mon cul en exposition. Rapidement, quelqu’un s’est approché de moi. Il a posé sa main sur ma cuisse puis en l’absence de réaction, a tâté ma braguette. Le contact de sa main avait déjà provoqué l’érection. Il a ouvert ma braguette et sortit ma bite. Il s’est assis par terre devant moi et l’a prise dans sa bouche. De ses mains, il caressait mon cul.
Au bout d’un moment, il défit la ceinture de mon pantalon et le baissa avec le slip jusqu’à mes pieds.
Il souleva ma chemise pour montrer mon cul aux autres. Après avoir recueilli mon sperme dans sa bouche, il cracha le tout par terre, se releva et partit. Depuis toutes ces visites, la nuit, je rêvais qu’on me prenait le cul. J’ai espéré nombre de fois, mais hélas rien.
Puis, au cours d’une autre visite, j’ai entendu quelque un qui passait et repassait derrière moi. J’ai fini par reconnaître son pas. Je me suis alors penché en arrière, tentant de provoquer le contact. Effectivement, il se heurta à moi. J’ai senti qu’il faisait demi-tour et je me suis penché encore plus.
Cette fois, il passa une main sur mes fesses, fit deux pas et revint. Il posa carrément ses mains sur mon cul .Il s’arrêta et se frotta à mon cul. Comme je me laissais faire, sans nulle tendresse, il défit la ceinture de mon pantalon et se baissant, il tira mon slip jusqu’en bas. Il se releva, saisi sa bite, la posa sur mon anus et m’encula.
Il m’est arrivé d’avoir un amateur qui malaxait mes fesses pour tester ma disponibilité. J’ai refusé.
Après cette sodomie, je me suis senti insatisfait. Donner mon cul aujourd’hui est un cadeau que je fais à celui qui se donne la peine de prendre son temps. La partie que j’adore, c’est le moment de l’approche.
Quand le prétendant tente timidement sa chance. Il me frôle les fesses, puis les caresse d’une main légère. Ca m’excite au plus haut point. Ce que j’aime aussi c’est me faire sucer. Le reste c’est accessoire, pour faire plaisir à mon galant.
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