Comment Virginie a rencontré le Père Vincent....
Récit érotique écrit par Nahuatl [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-09-2011 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Comment Virginie a rencontré le Père Vincent....
C’était un bel après-midi d’été. Virginie et ses 16 printemps était cachés dans un petit carré d’herbe douce, au milieu des genets et des fleurs. Allongée, les mains sous la tête, elle regardait les oiseaux voler dans ce ciel si pur. Elle était heureuse, et se disait que décidément cet après-midi commençait bien !
Sa robe blanche était remontée sur son ventre, le soleil chauffait son corps de jeune fille. Ses jambes a moitié pliées et entrouvertes ne pouvaient s’ouvrir plus, retenues par la petite culotte au niveau de ses chevilles.
Mais le soleil ne jouait pas avec son joli minou car une main s’escrimait à essayer d’en faire jaillir le plaisir. Et cette main était celle de Julien, son petit ami boutonneux. Le pauvre (enfin j’aurais bien pris sa place : la petite Virginie c’était une beauté parfaite, le genre à recevoir le bon dieu sans confession et pourtant…) s’appliquait et le soleil le faisait transpirer autant que la vue de ce trésor qu’il découvrait pour la première fois après tant et tant de suppliques.
Au bout de quelques dizaines de minutes pas désagréables au début mais lassantes sur la fin, la petite Virginie était prête à refermer la cage au trésor. Et le Julien n’aurait plus eu qu’à se finir derrière un buisson, ce qui promettait au plus une minute pour y parvenir !!
Les conseils de virginie ne faisaient que rendre la mission de Julien encore plus ardue. Mais les mots prononcés
-plus doucement … soit plus délicat … oui c’est mieux…
Attirèrent l’attention du promeneur qui passait non loin de là. Le père Vincent, c’était lui, s’approche à pas de loup. Et il découvre le charmant tableau de la jolie gamine, ouverte et retroussée, et le jeunot qui la doigte maladroitement.
Il s’amuse un moment de la scène, mate le joli corps tout neuf pense-t-il, et finit par s’approcher !
-bougez pas ! je veux pas vous déranger !
Le gamin a retiré la main et la petite chatte à peine duveteuse est en plein soleil, brillant de quelques reflets humides.
- Tu t’y prends mal, j’vas t’montrer.
Et sans attendre l’autorisation de virginie, il s’assoit à côté d’elle. Elle a le cœur qui cogne, déjà se faire reluquer la foufounette par un vieux… ensuite les promesses qu’il vient d’émettre… que va-t-il se passer ?
-Tu vois gamin, déjà il faut la mettre en confiance, là elle est tout crispée.
La main du vieux passe sur le ventre, sur les cuisses, rassurant, doux. Et il continue son discours
- Tu vois Virginie, je suis doux comme l’agneau ! C’que t’es belle tout de même !
Cette fois la main est sur le petit mont de vénus. Sans bouger mais faisant admettre sa présence.
- Tu vois mon garçon, tout doux, tout gentil. Maintenant, j’vas lui donner c’qu’elle attend…Regarde bien !
La main caresse le frêle duvet, deux doigts écartent les lêvres et l’index parcourt le sillon trempé. Quelques mouvements et Virginie montre son émoi ! C’est que vincent a débusqué le petit clitoris et lui impose un traitement qui l’exacerbe !
-tu vois le p’tit bouton, faut s’en occuper…Tu le vois ? Là ! oui…
La bichette apprécie de plus en plus les caresses, son ventre se soulève, de petits soupirs s’échappent de la bouche en cœur…
De sa main libre vincent enlève la culotte d’une cheville, de l’autre. Il peut pousser sur les cuisses pour ouvrir tout grand la fourche si charmante. Son doigt pénètre doucement le trou humide et Vincent est rassuré, le loup est déjà passé. Ou un doigt maladroit ?
-a toi, vas-y , montre si t’as compris !
Julien reprend sa place et applique ce qu’il vient de voir. Virginie a déjà décollé et elle trouve les caresses de Julien déjà plus agréables. Beaucoup plus… oh oui, beaucoup…
Un cri monte dans les champs, c’est Virginie qui a joui gracieusement…
-bien Julien ! tu vois, elle a aimé ton p’tit jeu !!
-maintenant tu peux aussi t’servir de ta bouche ! Regarde !
Vincent se place entre les jambes ouvertes, ses petits baisers se retrouvent vite posés sur la vulve de Virginie. Et la langue qui sort et lèche la fente est accueillie par les encouragements naivement exprimés
-ah c’que c’est bon ! ah merde ! trop bon ! ouiiiii mmm !! arretez pas !!!
Julien observe, sa tête est à quelques centimètres de ce minou adorable et adoré.
- Vas y ! goute !
Et la langue de julien remplace celle du vieux vincent. Et là encore, Viriginie apprécie et le dit
-oui, c’est ça, vas y ! oh sur mon clitoris c’est trop aaaah !
-laisse m’en un peu !
Le pere vincent, pris au jeu veut gouter encore la matousine de cette petite. Quelques coups de langue, un peu de savoir faire et il amène la belle gosse aux portes du plaisir. Il laisse alors Julien finir ce doux travail…
Et pour la deuxième fois notre ado emmène sa virginie au ciel !!! Il a droit à boire tout cet amour qui s’exprime de ce ravissant petit corps.
-bien ! tu es doué ! ou amoureux ? ou les deux ?
-mais dis donc ta bite doit être en feu ? sors là de ce short ! mets toi à poil !
Une vague hésitation et Julien arbore une pine dressée vers le ciel.
-oh la Virginie faudrait voir à lui rendre un peu de plaisir. Prend moi ça dans ton bec !
Pas trop bégueule, virginie observe l’engin, le hume précautionneusement et le happe sans plus d’histoire.
Le gamin en a le souffle coupé. La bouche de Virginie autour de sa queue, la langue qui le lèche… il est fou de bonheur ! Et … le prouve en déversant son jus dans la divine bouche !
-ah la la ! faut te retenir mon gars ! tu te rends compte tout ce plaisir que t’aurait encore pu avoir avant de tout lâcher… !
Sauf que Julien, en deux minutes il bande déjà derechef !
-t’as aimé le gout la p’tiote ? t’as avalé ? c’est bien ! il faut !!!
Le père vincent éduque à sa manière…un peu égoiste ? je vous le concède !
-bon. Ben faut quand même que vous fassiez l’amour !!!
-tu te mets là, oui ça je vois qu’tu sais !
-doucement… stop ! regarde là…elle est belle, hein ? et toi, la petite, tu vois comme il t’aime ?
-allez, entre doucement, oui…encore…là…maintenant ressort un peu…
Les conseils de vincent empèchent julien de se déchainer trop vite et les deux amoureux (d’un été ?) profitent du moment.
-tu voudrais pas me sucer un peu Virginie ? c’est que j’ai la trique moi !!!
Et le pere vincent sort l’engin que vous connaissez. Les yeux de Virginie sont effarés puis curieux… et la bouche s’ouvre tout grand pour avaler cette queue démesurée.
Julien pistonne sa chérie, Virginie pompe le nœud en suivant les directives de l’ancètre…
Vincent abrège de sa main la montée du plaisir et crache dans le pré sa camelote.
Une caresse et un sourire à la belle, un clin d’œil à Julien qui transpire… et il s’éclipse…
La belle le voit partir à regret. Imagine-t-elle cet engin qu’elle a eu en bouche se frayer un chemin dans son ventre ? je le crains… !
Sa robe blanche était remontée sur son ventre, le soleil chauffait son corps de jeune fille. Ses jambes a moitié pliées et entrouvertes ne pouvaient s’ouvrir plus, retenues par la petite culotte au niveau de ses chevilles.
Mais le soleil ne jouait pas avec son joli minou car une main s’escrimait à essayer d’en faire jaillir le plaisir. Et cette main était celle de Julien, son petit ami boutonneux. Le pauvre (enfin j’aurais bien pris sa place : la petite Virginie c’était une beauté parfaite, le genre à recevoir le bon dieu sans confession et pourtant…) s’appliquait et le soleil le faisait transpirer autant que la vue de ce trésor qu’il découvrait pour la première fois après tant et tant de suppliques.
Au bout de quelques dizaines de minutes pas désagréables au début mais lassantes sur la fin, la petite Virginie était prête à refermer la cage au trésor. Et le Julien n’aurait plus eu qu’à se finir derrière un buisson, ce qui promettait au plus une minute pour y parvenir !!
Les conseils de virginie ne faisaient que rendre la mission de Julien encore plus ardue. Mais les mots prononcés
-plus doucement … soit plus délicat … oui c’est mieux…
Attirèrent l’attention du promeneur qui passait non loin de là. Le père Vincent, c’était lui, s’approche à pas de loup. Et il découvre le charmant tableau de la jolie gamine, ouverte et retroussée, et le jeunot qui la doigte maladroitement.
Il s’amuse un moment de la scène, mate le joli corps tout neuf pense-t-il, et finit par s’approcher !
-bougez pas ! je veux pas vous déranger !
Le gamin a retiré la main et la petite chatte à peine duveteuse est en plein soleil, brillant de quelques reflets humides.
- Tu t’y prends mal, j’vas t’montrer.
Et sans attendre l’autorisation de virginie, il s’assoit à côté d’elle. Elle a le cœur qui cogne, déjà se faire reluquer la foufounette par un vieux… ensuite les promesses qu’il vient d’émettre… que va-t-il se passer ?
-Tu vois gamin, déjà il faut la mettre en confiance, là elle est tout crispée.
La main du vieux passe sur le ventre, sur les cuisses, rassurant, doux. Et il continue son discours
- Tu vois Virginie, je suis doux comme l’agneau ! C’que t’es belle tout de même !
Cette fois la main est sur le petit mont de vénus. Sans bouger mais faisant admettre sa présence.
- Tu vois mon garçon, tout doux, tout gentil. Maintenant, j’vas lui donner c’qu’elle attend…Regarde bien !
La main caresse le frêle duvet, deux doigts écartent les lêvres et l’index parcourt le sillon trempé. Quelques mouvements et Virginie montre son émoi ! C’est que vincent a débusqué le petit clitoris et lui impose un traitement qui l’exacerbe !
-tu vois le p’tit bouton, faut s’en occuper…Tu le vois ? Là ! oui…
La bichette apprécie de plus en plus les caresses, son ventre se soulève, de petits soupirs s’échappent de la bouche en cœur…
De sa main libre vincent enlève la culotte d’une cheville, de l’autre. Il peut pousser sur les cuisses pour ouvrir tout grand la fourche si charmante. Son doigt pénètre doucement le trou humide et Vincent est rassuré, le loup est déjà passé. Ou un doigt maladroit ?
-a toi, vas-y , montre si t’as compris !
Julien reprend sa place et applique ce qu’il vient de voir. Virginie a déjà décollé et elle trouve les caresses de Julien déjà plus agréables. Beaucoup plus… oh oui, beaucoup…
Un cri monte dans les champs, c’est Virginie qui a joui gracieusement…
-bien Julien ! tu vois, elle a aimé ton p’tit jeu !!
-maintenant tu peux aussi t’servir de ta bouche ! Regarde !
Vincent se place entre les jambes ouvertes, ses petits baisers se retrouvent vite posés sur la vulve de Virginie. Et la langue qui sort et lèche la fente est accueillie par les encouragements naivement exprimés
-ah c’que c’est bon ! ah merde ! trop bon ! ouiiiii mmm !! arretez pas !!!
Julien observe, sa tête est à quelques centimètres de ce minou adorable et adoré.
- Vas y ! goute !
Et la langue de julien remplace celle du vieux vincent. Et là encore, Viriginie apprécie et le dit
-oui, c’est ça, vas y ! oh sur mon clitoris c’est trop aaaah !
-laisse m’en un peu !
Le pere vincent, pris au jeu veut gouter encore la matousine de cette petite. Quelques coups de langue, un peu de savoir faire et il amène la belle gosse aux portes du plaisir. Il laisse alors Julien finir ce doux travail…
Et pour la deuxième fois notre ado emmène sa virginie au ciel !!! Il a droit à boire tout cet amour qui s’exprime de ce ravissant petit corps.
-bien ! tu es doué ! ou amoureux ? ou les deux ?
-mais dis donc ta bite doit être en feu ? sors là de ce short ! mets toi à poil !
Une vague hésitation et Julien arbore une pine dressée vers le ciel.
-oh la Virginie faudrait voir à lui rendre un peu de plaisir. Prend moi ça dans ton bec !
Pas trop bégueule, virginie observe l’engin, le hume précautionneusement et le happe sans plus d’histoire.
Le gamin en a le souffle coupé. La bouche de Virginie autour de sa queue, la langue qui le lèche… il est fou de bonheur ! Et … le prouve en déversant son jus dans la divine bouche !
-ah la la ! faut te retenir mon gars ! tu te rends compte tout ce plaisir que t’aurait encore pu avoir avant de tout lâcher… !
Sauf que Julien, en deux minutes il bande déjà derechef !
-t’as aimé le gout la p’tiote ? t’as avalé ? c’est bien ! il faut !!!
Le père vincent éduque à sa manière…un peu égoiste ? je vous le concède !
-bon. Ben faut quand même que vous fassiez l’amour !!!
-tu te mets là, oui ça je vois qu’tu sais !
-doucement… stop ! regarde là…elle est belle, hein ? et toi, la petite, tu vois comme il t’aime ?
-allez, entre doucement, oui…encore…là…maintenant ressort un peu…
Les conseils de vincent empèchent julien de se déchainer trop vite et les deux amoureux (d’un été ?) profitent du moment.
-tu voudrais pas me sucer un peu Virginie ? c’est que j’ai la trique moi !!!
Et le pere vincent sort l’engin que vous connaissez. Les yeux de Virginie sont effarés puis curieux… et la bouche s’ouvre tout grand pour avaler cette queue démesurée.
Julien pistonne sa chérie, Virginie pompe le nœud en suivant les directives de l’ancètre…
Vincent abrège de sa main la montée du plaisir et crache dans le pré sa camelote.
Une caresse et un sourire à la belle, un clin d’œil à Julien qui transpire… et il s’éclipse…
La belle le voit partir à regret. Imagine-t-elle cet engin qu’elle a eu en bouche se frayer un chemin dans son ventre ? je le crains… !
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Les avis des lecteurs
faut toujours écouter les anciens qui sont expérimentés. Agréable récit