Concert de Jazz
Récit érotique écrit par Cepafacile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Concert de Jazz
Je me nomme Roxane, j’ai 35 ans et je suis mariée à Paul de 13 ans mon aîné. Je suis à ce qu’on dit une très jolie femme brune de 1 m 65 pour 50 kg, fine avec de belles courbes, des seins fermes et sensible, de très belles jambes et un petit cul qui fait ma fierté.
L’été dernier, Paul organisa notre soirée, en me proposant d’aller voir un festival de jazz qui se déroulait pendant une semaine dans un ancien prieuré attenant à la cathédrale.
Nous devions nous y rendre pour 20 h 45 en cette soirée de semaine. Ce qui n’était pas prévu, c’est que mon métier ne m’astreignait pas souvent à des horaires fixes. Bien entendu ce soir-là n’échappa pas à la règle.
Je prévenais Paul lors de la pause de la réunion que je serais certainement en retard et que le mieux serait que l’on se retrouve sur place, d’autant que je ne travaillais à 1 km du lieu du festival.
La réunion se termina à 20 h 30 passé. Inutile de me stresser me dis-je, quoique je fasse je serais en retard. Je pris donc mon temps en retournant dans mon bureau pour ranger les papiers et les notes que j’avais pris lors de la réunion, puis je me dirigeais vers les toilettes afin d’ajuster mon maquillage. Si j’avais eu le temps de rentrer à notre appartement je me serais changée dans une tenue plus cool, mais c’est ainsi, et j’allais garder jusqu’à la fin de la soirée, mon tailleur bleu dont la jupe ne couvre que la moitié de mes cuisses, un chemisier blanc, un soutien-gorge et un string blanc à dentelle ainsi que des bas auto-fixant couleur chair et une paire d’escarpins.
Cette tenue allait certainement dénoter parmi le public, mais qu’importe ! Et puis je n’ai pas le choix.
Je sortais de l’immeuble et je décidais de me rendre à pied au festival, pensant que j’irai plus rapidement ainsi, plutôt qu’en voiture, où une place de parking serait plus qu’hypothétique. Vingt minutes plus tard, après avoir essuyé quelques sifflements et compliments déplacés sur mon physique, j’arrivais à l’entrée du prieuré.
Dans l’enceinte du festival, je téléphonais à Paul afin qu’il me guide pour le retrouver. Malgré la sono très forte, nous parvînmes à nous retrouver derrière une arcade du déambulatoire, assez loin de la scène. Après que nous nous soyons embrassés, Paul me fit part de la demi-heure que j’avais manqué.
Ne voyant pas très bien la scène d’où nous étions, je demandais à Paul de bien vouloir m’aider à monter sur le rebord de l’arcade située 50 cm plus haut. Il y avait très peu de personnes autour de nous, c’est ainsi que sans pudeur et dans l’obscurité, je retroussais ma jupe pour escalader cette bordure. Paul m’aida en me soutenant par la taille, sans manquer de complimenter sur ma tenue, puis lorsqu’il s’assura que je me tenais seule, il me lâcha.
Quelques minutes passèrent lorsque je sentis sa main caresser mon mollet. Quelques secondes passèrent avant que sa main remonte sous ma jupe entre mes cuisses. Je le laissais faire tant je trouvais délectable ses doigts qui complimentaient mes chairs entre le haut de mes bas et mon string. Nous étions dans la pénombre des arcades à l’égard de regards indiscrets pensais-je, sinon Paul ne se serait pas aventuré à ce jeu.
Ses doigts se glissèrent sous mon string et flattèrent mon pubis et mes lèvres boursouflées. Il resta un moment à cette caresse tant il aimait mon sexe entièrement épilé avec juste ce qu’il faut de poil formant un petit rectangle bien entretenu. Un doigt s’insinua dans la commissure déjà humide. Il s’enfonça entièrement, puis il ressortit lentement. De sa phalange repliée, il crocheta mon string qu’il tira le long de mes jambes pour qu’il finisse sa course sur mes talons. Sa main remonta le long de mes cuisses gainées de nylon et ses doigts s’infiltrèrent à nouveau dans mon ventre. Je commençais à ne plus vraiment écouter le concert tant le plaisir qu’il me donnait, captivait tous mes sens. Ses doigts allaient en va et vient, ou bien ils astiquaient mon clitoris devenu turgescent. Ses doigts lubrifiés par le liquide de mon plaisir, glorifièrent la rosette de mon anus. Paul connaissait la jouissance que m’apportait toute pratique de cet orifice bénit des Dieux, aussi, après l’avoir encensé de sa caresse, son doigt s’y enfonça totalement ainsi qu’un autre dans mon vagin. Sa main s’était transformée en fourche et ses doigts me baisaient et me sodomisaient en même temps au milieu d’une foule inconsciente de la jouissance qui me secoua le corps.
Comme pour remercier Paul et aussi le tempérer je posais ma main sur ses cheveux. Mon corps se raidit et se glaça aussi vite que l’éclair ! La chevelure que ma main effleurait était grasse et gominée de gel, alors que mon mari a des cheveux en bataille et fournis. Je n’osais me retourner et regarder la personne que j’avais pris pour Paul. Je jetais un vif coup d’œil sur le côté. Paul était parmi les spectateurs à quelques mètres de nous.
Les doigts continuèrent leur va et vient. Jusqu’à cette usurpation d’identité je prenais du plaisir, devait-il s’arrêter parce que ces caresses n’étaient pas prodiguées par l’homme que j’imaginais ? A ce jour, je n’avais encore jamais trompé mon mari, mais involontairement c’était fait. La seule excuse que je me donnais, c’est que c’était involontaire, pourtant j’avais pris du plaisir !
Pourquoi me torturer l’esprit ? N’avais-je pas le droit de prendre du plaisir autrement qu’avec mon mari ? Ma main avait cessé de contenter le crâne de l’homme que je croyais être celui de mon mari. L’homme continuait à tarauder mon intimité. Je n’étais plus réceptive malgré et à cause des antagonismes qui persécutaient ma frivolité. Mais la gymnastique de ses doigts sur mon intimité eu raison de mes contradictions. Le plaisir remonta par vague et très vite mon ventre s’enflamma à nouveau. Sa dextérité et cette double pénétration eu raison de moi une seconde fois. Je me cambrais le plus possible facilité pas la hauteur de mes talons et j’eu un orgasme plus puissant que le premier, je ne pu m’empêcher de pousser un cri de soulagement, heureusement couvert par le niveau de la musique.
Une fois l’onde de l’orgasme atténué, lentement je m’accroupissais pour être à sa hauteur. Ses doigts poisseux coulèrent de mes intimités tout en restant au contact de ma croupe. A son souffle chaud et haletant, je compris que mon visage était à la hauteur du sien. Je tournais la tête vers lui afin de découvrir la physionomie de l’homme qui m’apporta tant de plaisir avant que je ne découvre la supercherie.
Malgré la noirceur de l’endroit, je découvris un homme d’une cinquantaine d’années, assez petit et très rondouillard, les cheveux gominés et plaqués en arrière. Un filet de moustache soulignait un visage de type méditerranéen, accentué par un costume gris à rayure.
- Mes doigts me disent que vous avez aimé, les vibrations de votre corps, elles me confirment que vous avez atteint la plénitude par deux fois, c’était un vrai plaisir mais hélas non partagé.
Je ne savais que répondre. Sans attendre sa main se plaqua sur mes fesses tandis que l’autre me saisit sous l’aisselle. Je décollais de mon rebord pour retrouver illico presto face à lui, ma culotte traînant à mes pieds. Il se baissa immédiatement pour la ramasser et la porter à son visage pour humer le parfum de mon intimité, il ferma les yeux et cela confirma ce que j’avais déjà compris, il voulait que je m’occupe de lui.
- Merci de m’avoir aidé à descendre, lui dis-je presque idiotement. Puis, encore plus idiotement je lui tendis la main pour le quitter.
Au lieu de me tendre la sienne, il rangea mon string dans sa poche de veste et il porta ses mains à sa ceinture pour ouvrir son pantalon. Il sorti un sexe en érection de belle taille. Je ne sais pas pourquoi je fus étonnée du rapport de taille de l’engin vs corpulence. Son geste confirma mes soupçons sur ses attentes et j’avoue que le plaisir reçu valait bien un remerciement.
Heureusement nous étions dans un lieu vraiment isolé, il me guida dans un recoin encore plus discret et fit complétement tomber son pantalon et caleçon à ses chevilles. D’après Paul je suis une experte en fellation et je sais au fond de moi que j’aime ça. Toutes mes craintes sur l’adultère avaient été balayés par mon état d’excitation.
Je m’accroupi sur mes talons en prenant soins de remonter ma jupe pour ne pas être gênée. Je pris délicatement son membre dressé dans la main et le glissa en bouche goulument. Le spectacle devait être très érotique, accroupi, la jupe relevée découvrant mes Dim-up, l’entre jambes à l’air libre en train de pomper un inconnu.
Je pris ses bourses dans mon autre main tandis qu’il donnait le rythme de ma fellation avec sa main posée sur ma tête. Je le suçais avec entrain sans oublier de longues gorges profondes. Je m’appliquais du mieux possible et mon travail fut vite récompensé.
Je senti son corps de raidir et sa queue était gonflée à bloc, le premier jet de son éjaculation atteignit directement le fond de ma gorge, il continua à verser de long jet accompagné de spasme de tout son corps. Je l’entendis gémir malgré le bruit ambiant pendant que j’avalais sa semence chaude et abondante.
Nous étions maintenant quittes, j’attendais qu’il se réajuste et lui tendis la main une deuxième fois :-Merci pour cet échange mais je vais rejoindre mon mari, bonne soirée à vous ! Sans le laisser répondre je tournis les talons en direction de la foule.
Je fis un brin de toilette et je réajustais ma tenue. Quelques minutes plus tard je rejoignais Paul.
- C’est super, non ? m’interrogea-t-il.
J’acquiesçais de la tête tout en pensant au plaisir que j'avais pris et donné, en espérant que Paul ne se rende pas compte que mon string avait disparu !!!
L’été dernier, Paul organisa notre soirée, en me proposant d’aller voir un festival de jazz qui se déroulait pendant une semaine dans un ancien prieuré attenant à la cathédrale.
Nous devions nous y rendre pour 20 h 45 en cette soirée de semaine. Ce qui n’était pas prévu, c’est que mon métier ne m’astreignait pas souvent à des horaires fixes. Bien entendu ce soir-là n’échappa pas à la règle.
Je prévenais Paul lors de la pause de la réunion que je serais certainement en retard et que le mieux serait que l’on se retrouve sur place, d’autant que je ne travaillais à 1 km du lieu du festival.
La réunion se termina à 20 h 30 passé. Inutile de me stresser me dis-je, quoique je fasse je serais en retard. Je pris donc mon temps en retournant dans mon bureau pour ranger les papiers et les notes que j’avais pris lors de la réunion, puis je me dirigeais vers les toilettes afin d’ajuster mon maquillage. Si j’avais eu le temps de rentrer à notre appartement je me serais changée dans une tenue plus cool, mais c’est ainsi, et j’allais garder jusqu’à la fin de la soirée, mon tailleur bleu dont la jupe ne couvre que la moitié de mes cuisses, un chemisier blanc, un soutien-gorge et un string blanc à dentelle ainsi que des bas auto-fixant couleur chair et une paire d’escarpins.
Cette tenue allait certainement dénoter parmi le public, mais qu’importe ! Et puis je n’ai pas le choix.
Je sortais de l’immeuble et je décidais de me rendre à pied au festival, pensant que j’irai plus rapidement ainsi, plutôt qu’en voiture, où une place de parking serait plus qu’hypothétique. Vingt minutes plus tard, après avoir essuyé quelques sifflements et compliments déplacés sur mon physique, j’arrivais à l’entrée du prieuré.
Dans l’enceinte du festival, je téléphonais à Paul afin qu’il me guide pour le retrouver. Malgré la sono très forte, nous parvînmes à nous retrouver derrière une arcade du déambulatoire, assez loin de la scène. Après que nous nous soyons embrassés, Paul me fit part de la demi-heure que j’avais manqué.
Ne voyant pas très bien la scène d’où nous étions, je demandais à Paul de bien vouloir m’aider à monter sur le rebord de l’arcade située 50 cm plus haut. Il y avait très peu de personnes autour de nous, c’est ainsi que sans pudeur et dans l’obscurité, je retroussais ma jupe pour escalader cette bordure. Paul m’aida en me soutenant par la taille, sans manquer de complimenter sur ma tenue, puis lorsqu’il s’assura que je me tenais seule, il me lâcha.
Quelques minutes passèrent lorsque je sentis sa main caresser mon mollet. Quelques secondes passèrent avant que sa main remonte sous ma jupe entre mes cuisses. Je le laissais faire tant je trouvais délectable ses doigts qui complimentaient mes chairs entre le haut de mes bas et mon string. Nous étions dans la pénombre des arcades à l’égard de regards indiscrets pensais-je, sinon Paul ne se serait pas aventuré à ce jeu.
Ses doigts se glissèrent sous mon string et flattèrent mon pubis et mes lèvres boursouflées. Il resta un moment à cette caresse tant il aimait mon sexe entièrement épilé avec juste ce qu’il faut de poil formant un petit rectangle bien entretenu. Un doigt s’insinua dans la commissure déjà humide. Il s’enfonça entièrement, puis il ressortit lentement. De sa phalange repliée, il crocheta mon string qu’il tira le long de mes jambes pour qu’il finisse sa course sur mes talons. Sa main remonta le long de mes cuisses gainées de nylon et ses doigts s’infiltrèrent à nouveau dans mon ventre. Je commençais à ne plus vraiment écouter le concert tant le plaisir qu’il me donnait, captivait tous mes sens. Ses doigts allaient en va et vient, ou bien ils astiquaient mon clitoris devenu turgescent. Ses doigts lubrifiés par le liquide de mon plaisir, glorifièrent la rosette de mon anus. Paul connaissait la jouissance que m’apportait toute pratique de cet orifice bénit des Dieux, aussi, après l’avoir encensé de sa caresse, son doigt s’y enfonça totalement ainsi qu’un autre dans mon vagin. Sa main s’était transformée en fourche et ses doigts me baisaient et me sodomisaient en même temps au milieu d’une foule inconsciente de la jouissance qui me secoua le corps.
Comme pour remercier Paul et aussi le tempérer je posais ma main sur ses cheveux. Mon corps se raidit et se glaça aussi vite que l’éclair ! La chevelure que ma main effleurait était grasse et gominée de gel, alors que mon mari a des cheveux en bataille et fournis. Je n’osais me retourner et regarder la personne que j’avais pris pour Paul. Je jetais un vif coup d’œil sur le côté. Paul était parmi les spectateurs à quelques mètres de nous.
Les doigts continuèrent leur va et vient. Jusqu’à cette usurpation d’identité je prenais du plaisir, devait-il s’arrêter parce que ces caresses n’étaient pas prodiguées par l’homme que j’imaginais ? A ce jour, je n’avais encore jamais trompé mon mari, mais involontairement c’était fait. La seule excuse que je me donnais, c’est que c’était involontaire, pourtant j’avais pris du plaisir !
Pourquoi me torturer l’esprit ? N’avais-je pas le droit de prendre du plaisir autrement qu’avec mon mari ? Ma main avait cessé de contenter le crâne de l’homme que je croyais être celui de mon mari. L’homme continuait à tarauder mon intimité. Je n’étais plus réceptive malgré et à cause des antagonismes qui persécutaient ma frivolité. Mais la gymnastique de ses doigts sur mon intimité eu raison de mes contradictions. Le plaisir remonta par vague et très vite mon ventre s’enflamma à nouveau. Sa dextérité et cette double pénétration eu raison de moi une seconde fois. Je me cambrais le plus possible facilité pas la hauteur de mes talons et j’eu un orgasme plus puissant que le premier, je ne pu m’empêcher de pousser un cri de soulagement, heureusement couvert par le niveau de la musique.
Une fois l’onde de l’orgasme atténué, lentement je m’accroupissais pour être à sa hauteur. Ses doigts poisseux coulèrent de mes intimités tout en restant au contact de ma croupe. A son souffle chaud et haletant, je compris que mon visage était à la hauteur du sien. Je tournais la tête vers lui afin de découvrir la physionomie de l’homme qui m’apporta tant de plaisir avant que je ne découvre la supercherie.
Malgré la noirceur de l’endroit, je découvris un homme d’une cinquantaine d’années, assez petit et très rondouillard, les cheveux gominés et plaqués en arrière. Un filet de moustache soulignait un visage de type méditerranéen, accentué par un costume gris à rayure.
- Mes doigts me disent que vous avez aimé, les vibrations de votre corps, elles me confirment que vous avez atteint la plénitude par deux fois, c’était un vrai plaisir mais hélas non partagé.
Je ne savais que répondre. Sans attendre sa main se plaqua sur mes fesses tandis que l’autre me saisit sous l’aisselle. Je décollais de mon rebord pour retrouver illico presto face à lui, ma culotte traînant à mes pieds. Il se baissa immédiatement pour la ramasser et la porter à son visage pour humer le parfum de mon intimité, il ferma les yeux et cela confirma ce que j’avais déjà compris, il voulait que je m’occupe de lui.
- Merci de m’avoir aidé à descendre, lui dis-je presque idiotement. Puis, encore plus idiotement je lui tendis la main pour le quitter.
Au lieu de me tendre la sienne, il rangea mon string dans sa poche de veste et il porta ses mains à sa ceinture pour ouvrir son pantalon. Il sorti un sexe en érection de belle taille. Je ne sais pas pourquoi je fus étonnée du rapport de taille de l’engin vs corpulence. Son geste confirma mes soupçons sur ses attentes et j’avoue que le plaisir reçu valait bien un remerciement.
Heureusement nous étions dans un lieu vraiment isolé, il me guida dans un recoin encore plus discret et fit complétement tomber son pantalon et caleçon à ses chevilles. D’après Paul je suis une experte en fellation et je sais au fond de moi que j’aime ça. Toutes mes craintes sur l’adultère avaient été balayés par mon état d’excitation.
Je m’accroupi sur mes talons en prenant soins de remonter ma jupe pour ne pas être gênée. Je pris délicatement son membre dressé dans la main et le glissa en bouche goulument. Le spectacle devait être très érotique, accroupi, la jupe relevée découvrant mes Dim-up, l’entre jambes à l’air libre en train de pomper un inconnu.
Je pris ses bourses dans mon autre main tandis qu’il donnait le rythme de ma fellation avec sa main posée sur ma tête. Je le suçais avec entrain sans oublier de longues gorges profondes. Je m’appliquais du mieux possible et mon travail fut vite récompensé.
Je senti son corps de raidir et sa queue était gonflée à bloc, le premier jet de son éjaculation atteignit directement le fond de ma gorge, il continua à verser de long jet accompagné de spasme de tout son corps. Je l’entendis gémir malgré le bruit ambiant pendant que j’avalais sa semence chaude et abondante.
Nous étions maintenant quittes, j’attendais qu’il se réajuste et lui tendis la main une deuxième fois :-Merci pour cet échange mais je vais rejoindre mon mari, bonne soirée à vous ! Sans le laisser répondre je tournis les talons en direction de la foule.
Je fis un brin de toilette et je réajustais ma tenue. Quelques minutes plus tard je rejoignais Paul.
- C’est super, non ? m’interrogea-t-il.
J’acquiesçais de la tête tout en pensant au plaisir que j'avais pris et donné, en espérant que Paul ne se rende pas compte que mon string avait disparu !!!
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