Le camionneur

- Par l'auteur HDS Cepafacile -
Récit érotique écrit par Cepafacile [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : Le camionneur Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Le camionneur
En vacances depuis peu, je me rendais à Reims pour y voir une amie. C'était un jour de semaine et le peu de circulation était essentiellement constitué de routiers. Il faisait chaud et j'appréciais le toit ouvrant de ma voiturex.
Doublant un poids-lourd je fus accueillie par un concert de klaxon au moment où j'arrivais à hauteur de la cabine. Amusée je terminai mon dépassement pour m'apercevoir que le chauffeur, sans doute émoustillé par la vue de ma petite robe d'été, continuait ses manifestations par des appels de phares. Le fait d'exciter ainsi un inconnu fit naître en moi le désir de prolonger le jeu. Je me laissai rattraper par le camion qui me doubla en trombe.
Je restai derrière lui, le temps que passent quelques voitures qui roulaient à vive allure puis, j'entamai à nouveau la manœuvre qui allait m'amener à côté du routier. Pour lui donner de nouvelles raisons de s'allumer je retroussai ma robe sur le haut de mes cuisses de manière à lui dévoiler mes jambes. Comme je m'y attendais il me fit un accueil plutôt bruyant alors que je stabilisai ma vitesse pour maintenir le toit ouvrant de ma petite voiture à l'aplomb de sa cabine. Il devait être fou et cela me plaisait, m'excitait même ! Je passai une main sur mon corps, mes jambes, ma poitrine, mes cheveux.
J'imaginais l'état dans lequel il devait se trouver le pauvre. Je fus ramenée à la réalité de la route par les appels de phare d'une grosse berline noire visiblement pressée, que je n'avais pas vu arriver. Je fus donc obligée de dépasser le poids lourd pour la laisser passer. Ayant attendu que la circulation le permette, le gros camion libéra toute sa puissance pour doubler à nouveau mon petit véhicule que j'avais maintenu a peu de distance devant lui. Cette fois je voulus lui jouer le grand jeu. Je baissai les bretelles de ma robe exhibant ainsi les globes ronds de mes seins. J'étais sûre de leur effet sur ce pauvre homme et j'en étais toute émoustillée. Arrivée à sa hauteur il exprima à nouveau tout le désir qu'il éprouvait et la frustration qu'il devait ressentir. Mes doigts que je faisais promener sur ma poitrine n'arrangeaient probablement rien !
Une fois de plus les exigences de la circulation m'obligèrent à me soustraire à ses regards. J'imaginais déjà ce que j'aurais pu lui proposer au prochain passage lorsque ses klaxons se firent à nouveau entendre derrière moi. Ses phares me lançaient des flashes comme pour me dire de ne pas m'éloigner, et je vis qu'il avait mis son clignotant. En effet la signalisation indiquait une aire de repos à 2 km. La proposition était claire ! Jusqu'à présent nous nous étions amusés à distance, cette fois il désirait aller plus loin ! Je n'avais encore jamais eu ce genre d'expérience. Allais-je assumer mon rôle d'allumeuse jusqu'au bout ? Je me sentais fébrile, puis, comme si elle obéissait à une volonté extérieure, ma main glissa sur la commande du clignotant. Je réduisis ensuite mon allure pour m'engager sur l'aire de repos, le routier juste derrière moi.
L'aire était, comme nous l'espérions, déserte. J'avançais dans l'entrelacs du circuit de parking pour arriver à l'emplacement réservé aux poids-lourds. La semi-remorque stoppa à coté de ma twingo dont j'avais refermé le toit. Prenant une inspiration je sortis de ma voiture et, arborant mon plus innocent sourire, je saluai le chauffeur du gros engin. Il était bien comme je me l'imaginais d'après les rapides coups d'œils que j'avais eu de lui en voiture. Fort, moustachu, sa silhouette semblait à l'image de son camion, j'espérais que le reste l'était aussi...
Il m'invita à monter dans sa cabine et j'acceptai gaiement, en étant toutefois un peu nerveuse. J'escaladais le marchepied et m'installai dans le large siège à côté de lui. Il faisait frais grâce à la climatisation. Je retirai mes lunettes de soleil et il me complimenta sur ma silhouette et mon "visage d'ange". Je souris. - Vous devez vous trouver bien seul à toujours être sur les routes - Ah ben ça, c'est sûr qu’on n’a pas tous les jours l'occasion d'avoir une si agréable compagnie Mon cœur s'accélère et ma retenue n'est qu'à moitié feinte. Je trouve le souffle de lui répliquer : - Et... que faites-vous lorsque vous en avez une ?
Le routier eut un sourire qui me fit frémir. Pour toute réponse il tendit la main qu'il passa derrière ma nuque et m'attira à lui. Fermant les yeux, la bouche entr'ouverte je vins à sa rencontre. Ses lèvres charnues s'emparèrent des miennes, tout de suite sa langue se fit intrusive et envahit ma bouche. Je me laissai faire et répondit à ses baisers avides. Son autre main glissa sur mes jambes, dont il apprécia la douceur, remontant jusque sur le haut de mes cuisses elle passa ensuite sur ma poitrine, pressant mes petits seins ronds. Ses doigts se refermèrent sur mes mamelons maintenant dressés et je n'ai pu retenir un soupir de plaisir. Satisfait il continua à me lécher les lèvres, faisant entrer et sortir sa langue dans ma bouche, prélude à ce que le reste de mon corps allait subir.
Avec une délicatesse qui m'étonna de la part de cet ours, il fit tomber les bretelles de ma robe révélant mon buste aux seins dressés. Il joua avec mes mamelons, entraînant des gémissements de ma part. Je sentais que je mouillais peu à peu mon string me libérant de mon auréole de jeune fille sage. Je tendis la main vers son pantalon et je tâtais l'entre-jambes. La perspective de s'envoyer une petite jeune lui faisait visiblement de l’effet ! Il dégrafa sa braguette et plongea sa main dans son pantalon pour en sortir l'objet de ma curiosité. Sans cesser de me rouler des pelles de plus en plus baveuses il me saisit le poignet et guida ma main de sorte que je puisse me rendre compte de son désir et aussi bien sûr pour que je le prolonge.
J'ouvris les yeux et tentai de regarder ce que je faisais. Je n'en croyais pas ma main ! Mes doigts avaient du mal à en faire le tour et l'amplitude de mes mouvements de bas en haut indiquaient une taille hors du commun ! Constatant ma surprise il desserra son étreinte pour me permettre de contempler à mon aise ce qui faisait sa fierté.
La bouche bée, les lèvres et le menton luisants de nos salives mêlées je restai sans un mot. A mon air mi-étonnée, mi-effrayée il répondit : - Elle est belle hein ? Il ne faut pas en avoir peur elle va te faire du bien tu verras ! Mais il faut que tu sois bien sage n'est-ce pas ?
Je répondis par un simple hochement de tête. Il sembla à la fois amusé et excité de mon air encore ébahi et innocent. La main derrière ma nuque me fit courber le buste, dans une attitude qui ne laissait pas de doute sur son envie. Il ajouta néanmoins : - Fais-lui un bisou ma belle.
Sans hésiter je fermai à nouveau les yeux et me laissai entraîner, la bouche ouverte, à la rencontre de son désir. Mes lèvres humides accueillirent en premier son extrémité que mes manipulations manuelles avaient décalottée. Il grogna de plaisir et me laissa le loisir d'y répandre ma salive avec ma langue ajoutant ainsi un certain plaisir auditif à celui du contact de lèvres fraîches sur la partie la plus sensible de son anatomie. Peu à peu je le fis pénétrer plus loin, plus profond dans ma bouche, jusqu'à ce qu'il se loge au fond de ma gorge. Je le tenais pressé entre mon palais et ma langue, serré par l'anneau de mes lèvres. J'entamais alors un lent va et vient. Mes doigts caressaient doucement le reste de ses attributs dont la taille était en rapport avec ce que j'avais en bouche ! Lui n'était plus que râles et grognements, ses doigts caressant mes cheveux bruns. Je sentis alors une main glisser sur mon dos, retrousser les pans de ma robe et découvrir mes reins. Il insinua ses doigts sous l'élastique de mon string et entreprit de palper minutieusement mes rondeurs. Mes rondeurs... et les creux qu'elles dissimulent... Je manifestai mon approbation par un mouvement de hanches qui lui permit d'explorer à son gré le bas de mon dos et mon entre-jambes. J'alternais maintenant les mouvements de piston dans ma bouche avec des intermèdes où mes lèvres papillonnaient tout autour de cet obélisque de plaisir dont le bout violacé laissait maintenant perler une rosée transparente que ma langue lapait avec avidité. De ma bouche grande ouverte mes gémissements jaillissaient sans contrainte, et sans retenue, au rythme auquel ses doigts fouillaient mes replis humides à la recherche de mes zones les plus sensibles.
J'avais recommencé à le prendre tout entier dans ma bouche quand il ficha un doigt dans l'orifice auquel je m'attendais le moins ! Je me cambrai et mon cri de surprise sortit à moitié étouffée par le bâillon de chair occupant ma bouche. Il s'attendait à cette réaction, sa main me maintenait vigoureusement la tête au niveau de son bas-ventre et la présence ferme de son doigt en un endroit aussi sensible me dissuadait de changer de posture. Il me calma avec des mots très doux mais j'entendais son excitation derrière son discours rassurant. Je repris la stimulation buccale que j'avais interrompue tandis qu'il faisait vibrer son doigt stimulant mon petit orifice d'où irradiait lentement une sensation douce et profonde.
Bientôt je sentis que son plaisir n'allait plus tarder. Sa respiration se faisait plus rapide, saccadée, ses doigts se crispaient dans mes cheveux et la main sous mon string accusait un mouvement plus rapide et plus ample, claquant mes rondeurs à chaque mouvement. Je sentais mon intimité s'ouvrir et s'humidifier de plus belle sous l'effet de cette fessée pénétrante mais aussi à la perspective de le recevoir dans ma bouche. Le signe le plus significatif de l'imminence de son orgasme furent les mots qu'il employa pour me parler. Il utilisa des termes très crus pour me qualifier, pour commenter mon plaisir à subir le doigtage de mon entre-fesses, pour apprécier le travail de mes lèvres à faire monter son plaisir.
Son langage sans tabous résonna en moi pour amplifier mon propre plaisir. Il se mit à faire monter son bassin à la rencontre de mon visage et son doigt inquisiteur se planta aussi profondément que possible en moi. Il me traita de "petite salope" et m'ordonna de "tout avaler", son foutre gicla dans ma bouche, couvrit mon palais, bondit dans ma gorge, mes lèvres serrées autour de sa grosse bite laissèrent toutefois échapper des filets de son plaisir qui engluèrent mes doigts. "Avale ! avale !" gémissait-il à chaque contraction de ses muscles éjaculateurs. Je fis de mon mieux pour le satisfaire et je ne lâchai son membre que pour le rendre tout propre avant de lécher mes doigts. Mon regard mutin le réjouit et il caressa ma joue, effaçant les dernières traces de son plaisir.
J'étais ravie d'avoir suscité son plaisir mais je restai tout de même sur ma faim. Il le comprit et écarta d'un geste le rideau masquant sa couchette dans la partie arrière de la cabine. D'un signe de tête il m'invita à y pénétrer. J'enlevai complètement ma robe et me glissai dans la couchette, nue à l'exception de mon string et de mes sandales à talons compensés.
Les parois de la cabine étaient couvertes de posters de magazines pour hommes où s'étalaient, dans diverses positions, de superbes créatures. Blondes au visage angélique exhibant impudiquement leur sexe épilé, brunes à l'air farouche en position de levrette, toutes en porte-jartelles et talons hauts, suprêmes attributs de la féminité lorsqu'il est question d'exacerber le plaisir viril.
J'en étais là de mon exploration de cet antre masculin lorsque sa voix m’interpella : - Mets-toi à ton aise et enlève donc ça.
Il désignait ainsi l'étoffe triangulaire, dernier rempart de ma pudeur, qui cachait mon intimité à ses regards. Sans hésiter je fis glisser mon string sur mes cuisses dévoilant le court pelage, régulièrement taillé, de mon bas-ventre. Il finit lui-même de dégager mes jambes de mon petit sous-vêtement, qu'il garda en main. Allongée sur le dos, appuyée sur les coudes je m'attendais à ce qu'il me rejoigne sur cette couche, mais au contraire, il resta sur son siège, caressant mes jambes lisses avec un regard de connaisseur. Je ne pouvais pas me mesurer aux canons qui ornaient ses murs mais j'avais, moi, l'avantage d'être réelle ! Il me fixa du regard et formula, d'une manière qui ne laissait aucune place à l'interprétation, son nouveau désir. Je fus, non pas choquée, mais surprise par cette demande. J'imaginais que la vue d'une nymphette sur sa couche lui aurait inspiré un acte plus "direct» ! Comme il réitérait sa requête en des termes plus crus j'obtempérais avec mon sourire le plus ravageur, celui qui teinte de luxure mon visage réputé innocent. Je fis ramper une main sur mon ventre, glissai mes doigts plus bas, jusqu'à ce qu'ils s'enfoncent dans mes replis de chair souples et humides, humides et sensibles, sensibles et avides. C'était la première fois que je me laissais ainsi aller devant quelqu'un.
C'était troublant, cela aurait pu me déranger si je n'avais pas éprouvé de si fortes émotions l'instant précédent. Le plaisir montait peu à peu, j'évitais de toucher trop vite mes zones les plus sensibles, lui offrant le délicieux et impudique spectacle de mes doigts barbotant dans le corail rose et luisant de ma féminité, largement exhibée par l'écart maximal de mes cuisses. Il me regardait comme un enfant devant un cadeau de Noël en train de s'ouvrir devant lui, mais les encouragements qu'il m'adressait n'avaient rien d'enfantin... . Je rejetais ma tête en arrière et commençais à gémir, mordant mes lèvres, heureuse de cette nouvelle expérience avec cet homme décidément plein de surprises. Mes yeux se portèrent sur le plafond de la cabine. Je compris alors l'origine du fantasme qu'il me faisait réaliser devant lui. Comme ailleurs des posters érotiques y étaient épinglés, où des playmates, dans des poses lascives, faisaient mine de jouer de leurs doigts comme j'étais en train de le faire. A force de contempler de telles images il était naturel qu'il ait envie de voir, au moins une fois, une femme accomplir jusqu'au bout ces caresses intimes.
Mes doigts m'exploraient maintenant entièrement, voletant tels des abeilles sur une fleur généreuse. Il me proposa de me coucher sur le coté. Cette nouvelle position, moins démonstratrice me sembla plus naturelle et plus confortable. Le visage a demi enfoui dans un oreiller, une jambe repliée et l'autre tendue je continuai d'une main la douce manipulation qui me menait vers le plaisir, de l'autre je faisais rouler entre mes doigts le bout érigé de mes seins. Toujours assis dans son fauteuil, tourné vers moi, le témoin de mes indécences continuait à me stimuler verbalement mais je sentais dans sa voix son excitation monter. Sa main qui conservait mon string était descendue en dessous du niveau où je pouvais la voir, mais le mouvement alternatif qu'il lui imprimait était évident. Je trouvai émouvant le fait qu'un objet aussi insignifiant puisse participer au raffermissement du plaisir d'un homme. D'une main il prit mon poignet. Ma main quitta ma poitrine, contourna ma hanche, glissa dans le creux de mon bas ventre. Je pouvais ainsi me stimuler plus totalement. Une nouvelle fois il me dicta sans détours son fantasme, mes doigts devant me servir de substitut phallique.
Peu à peu sa volonté se substitua à la mienne, les doigts que je devais utiliser, à quel endroit, à quel rythme, tout répondait à ses ordres, contrariant le cours naturel de mon plaisir mais sans en faire baisser l'intensité. Comme précédemment il usa de termes forts inconvenants, mais si excitants, à mon égard. Je me tortillais au rythme des intromissions qu'il me commandait, haletante, approuvant par de petits cris inarticulés les commentaires salaces dont il me gratifiait. Me voyant aux portes de l'orgasme il m'empêcha soudain de continuer à exciter le petit appendice gonflé caché dans mes replis intimes et guida ma main de mon entre-jambes vers ma bouche. Je dus alors, selon ses ordres, goûter à mon propre plaisir tandis que je continuais à me doigter. Il se redressa, caressa mes fesses rondes et pointa un doigt à l'endroit qu'il avait déjà exploré, massant l'orifice plissé que je tâchai de décontracter.
Ne doutant pas de ma réponse, il me demanda si j'en avais envie. Un hochement de tête lui répondit mais il voulait m'entendre lui réclamer cette caresse. Le souffle court je laissai échapper les mots qu'il attendait. Il m'obligea à les répéter plusieurs fois, à chaque fois plus fort, pendant que son doigt franchissait une nouvelle fois la barrière du tabou. A force de clamer et d'entendre des mots comme "encule-moi", "salope", "baise-moi", "défonce ta chatte", "fourre mon cul" et autres "jouis petite pute" auxquels répondaient des "branle moi", à force d'être possédée par les deux voies de mon intimité, je n'ai pu retenir mon orgasme plus longtemps et les spasmes de plaisir contractèrent les sphincters de mes orifices sur les doigts qui les fouillaient, me libérant d'une formidable tension.
M'étais-je assoupie après cette décharge d’émotions ? Sans doute avais-je perdu connaissance quelques instants car lorsque j'ouvris les yeux les rideaux étaient tirés, plongeant le coin couchette dans la pénombre. Mon camionneur était allongé à coté de moi. Il était nu et entretenait une belle virilité en me couvant du regard.
- Tu es vraiment bonne toi tu sais; me dit-il Je lui souris et me retournai vers lui. Visiblement il n'avait pas l'intention de me laisser partir avant d'avoir assouvi au moins encore une fois son désir. J'avançai la main et le saisis entre le pouce et l'index pour imprimer un mouvement de va et vient. Il m'attira à lui et m'embrassa. Sa langue se fit à nouveau impérieuse. Cette pulsion fit courir une onde délicieuse dans mon corps. Les ondulations de nos corps stimulaient son plaisir collé entre son ventre et ma cuisse. Il me semblait si excité que je me demandais si je n'allais pas être bientôt toute poisseuse de son plaisir. Il sut pourtant se maîtriser et m'allongea sur le dos. Il écarta et releva mes jambes, s'installa sans un mot de manière à me frotter l'intimité avec la sienne tout en me mordillant les mamelons. Je ne fus pas longue à réagir à ce traitement qui me rendit très chatte. Mes ronronnements confirmèrent mon excitation et les mouvements de mon bassin lui montrèrent mon envie grandissante d'être possédée, clouée à cette couchette comme un papillon dans une boite par l'épingle de son désir.
Comme il ne se décidait pas à passer à l'action je lui demandai de le faire, il me regarda avec des yeux malicieux, comme s'il n'attendait que ça. Il continua pourtant ses frottis intimes et le léchage systématique de mes seins. Ma demande se changea en supplique, les mots devinrent plus indécents, cela lui plaisait d'exacerber mon désir, et le sien, par de telles paroles. Son plaisir se logea alors entre mes replis dégoulinants. Je me sentis écartelée comme je l'avais rarement été, poussant de petits cris aigus à mesure qu'il prenait possession de moi. Sa langue vint à nouveau lécher ma bouche et s'insinuer entre mes lèvres, entrant en sortant au même rythme qu'il faisait balancer ses hanches vers les miennes. Le lent va et vient me permettait de savourer le plaisir d'être pleinement envaginée. Je sentais son souffle chaud dans mon cou. Je lui susurrai alors à l'oreille des confidences impudiques auxquelles il répondit par des mouvements plus rapides et des grognements de plaisir.
Il releva une de mes cuisses dans le creux de son bras, dévoilant plus largement mon pubis, et recommença à me lécher les lèvres mais aussi les mamelons. Sa verge me pistonna de plus en plus rapidement, affolant notre plaisir, entre deux halètements je l'encourageais par des "baise-moi" et des "encore". Il jouit violemment en me traitant de "bonne petite pute", sa bite turgescente giclant ses flots de plaisir en moi, nappant les parois de mon jeune vagin de sécrétions viriles. Cette ultime décharge provoqua mon propre orgasme qui fit tressaillir tout mon corps. Je n'avais plus conscience que de cette présence ferme et souple dans la partie la plus féminine de mon anatomie... Une heure s'était écoulée depuis que nous étions entrés sur cette aire de repos. Lorsque je regagnai ma petite twingo je remarquai que d'autres automobilistes s'étaient arrêtés là également. Certains me lancèrent des regards méprisants me prenant sans doute pour quelque fille de mauvaise vie faisant commerce de son corps. Amusée et heureuse de cet intermède je reprends la route, laissant mon petit string en souvenir à ce camionneur plein de savoir-faire dont je ne connaissais même pas le prénom !

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Texte coquin : Le camionneur
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