Confession: L'inconnu du TGV
Récit érotique écrit par Fab38300 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-05-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Confession: L'inconnu du TGV
Sandrine alternait depuis quelques semaines entre ses deux amants réguliers, Franck son collègue professeur de techno, qui s'en occupait la semaine entre midi deux et Pierre le photographe qui la recevait en séances le mercredi après midi. Je voyais chaque jour mon épouse s'épanouir, se libérer, ne concentrant désormais (malheureusement) que peu de temps à notre sexualité de couple.
Elle me l'avait très bien expliqué lors de son retour de cette fameuse soirée où Franck était devenu son amant: "tu sais mon chéri, maintenant que j'ai goûté à la grosse queue de Franck, je vais avoir beaucoup de mal à m'en passer""Il a donc une si grosse queue que ça?" En éclatant de rire elle m'avait répondu, "j'ai crue qu'il n'y arriverait jamais, que mon intimité allait exploser, mais je n'avais jamais eut de tels orgasmes, jusqu'à hier tu avais été mon seul amant, je me rends compte aujourd'hui tout ce que j'ai loupé et que je compte bien rattraper..." et elle avait ajouté malicieusement: " enfin c'est encore mieux avec ton autorisation"Par la suite les premières séances photos avec Pierre l'avaient encore plus enthousiasmé, même si elle m'en parlait peu, toute consacrée à la surprise qu'elle me réservait pour mon anniversaire, un livre relié de photos érotiques dans des tenues et des positions plus qu'excitantes, Pierre m'avait déjà envoyé une vingtaine de photos plus pornographiques les unes que les autres, l'énorme queue du photographe ayant dés la deuxième séance forcé tous les orifices intimes de mon épouse, dilatant cette dernière comme elle ne l'avait jamais été...
Cette situation dépassait toutes mes attentes, jamais je n'aurai imaginé ma femme devenir aussi salope en aussi peu de temps, j'avais rêvé d'être cocu, je l'étais au delà de mes espérances.
Mais plusieurs points me titillaient l'esprit, j'avais du mal à croire qu'elle avait aussi radicalement changé en si peu de temps, et ses révélations sur Magali, son amie d'enfance, qui lui avait proposé des journées en club libertin à mon insu, m'avaient beaucoup surpris... D'autant plus que Sandrine ne m'avait pas précisé si elle l'avait fait ou non...
Un autre détail m'avait alerté, les commentaires de Pierre accompagnant les fameuses photos, où il me remerciait de lui avoir confié une femme aussi mignonne et salope, ses allusions sur les pratiques expérimentées de ma femme et surtout cette remarque:" généralement il me faut plusieurs jours pour sodomiser une femme peu habituée à cette pratique, avec la tienne c'est entré très facilement, cela démontre une pratique aussi régulière que rigoureuse, bravo", or étant persuadé que Sandrine n'aimait pas la sodomie depuis plusieurs tentatives au début de notre union, nous ne pratiquions jamais cet acte... Je savais que Franck la sodomisait, mais une semaine de relation avait elle put la changer physiquement au point d'accepter aussi facilement le gourdin de Pierre?
Un week end ou elle n'avait pas rencontré l'un de ses deux amants, je décidais d'en avoir le coeur net, aussi après avoir bien chauffé ma compagne, je lui demandais de s'empaler sur ma queue de dos, sa position favorite, et commençais le jeu des questions réponses tandis qu'elle allait et venait sur ma queue bien raide...
Lui écartant les fesses je ne pus qu'admirer sa rondelle patinée, j'essayais de ne pas trop penser aux photos de Pierre, à cette énorme mandrin qui la fouillait, pour ne pas jouir trop vite.
"Mon Dieu ce cul, il a dû en voir passer des biens grosses non?""Ho oui, si tu savais, des bien grosses et bien dures...""Franck n'est pas le seul a profité de ton cul?"Elle éclata de rire, "tu veux tous savoir toi !""Il me semble que j'ai le droit de savoir le nombre de personnes ayant eu le bonheur de se soulager dans ton cul""je n'ai pas compté, beaucoup de queues, des grosses et des moins grosses", la réponse avait fusée dans un râle, cet aveux la faisait manifestement mouiller.
"hummmm ma chérie est une vraie petite salope... depuis longtemps?""Pas assez longtemps...""combien, dis le moi""salaud ça t'excite... un peu plus de 3 ans, j'ai commencé à te tromper après la naissance de Valentin.... hummm le premier je m'en rappelle comme si c'était hier...""Raconte salope, tu me fais bander grave"Et là elle se lâcha, tout en s'empalant elle me dévoila son aventure d'une façon assez hachée, cette évocation lui arrachant des gémissements de plaisir très révélateurs, et ayant un effet remarquable sur mon érection. Voici la retranscription à peine romancée de cette aventure:
"C'était dans le TGV, je revenais de Lille, l'oral du CAPES, tu te souviens?,j'étais installée face à un homme charmant, quadra, brun, sans doute chef d'entreprise ou cadre dynamique, il faisait forte impression à la jeune maman de 25 ans trop préoccupée par les examens et son enfant, j'avais envie de liberté, de m'évader, et en l'occurrence dans ce train, de baiser avec ce parfait inconnu qui devait bien avoir 20 ans de plus que moi... Il dut s'apercevoir de mon trouble, car très vite je le vis me jeter des coups d'oeil par dessus son magasine. Je ne sais pas ce qui m'a prise, j'étais super excitée et super troublée, j'ai écarté les cuisse tout en le fixant, il avait une vue plongeante sur mon string blanc, et j'ai passé ma langue sur mes lèvres, comme je l'avais vu faire dans des films pornographiques, visionnés en cachette chez ma tante, avec ma cousine, quand nous étions adolescentes.
Très vite cet homme a été aussi troublé que moi, j'ai vu son pantalon gonflé au niveau de son sexe, et immédiatement j'ai eu envie de le sucer. Alors n'y tenant plus j'ai enlevé discrètement mon string, j'étais relativement cachée là ou j'étais assise, je lui ai tendu et je me suis dirigée vers les toilettes. Il m'a suivie et est entré derrière moi, nous étions très à l'étroit, immédiatement nos lèvres se sont jointes, nous nous sommes embrassés passionnément. Pour autant nos mains ne restaient pas inactives, la douceur de son sexe m'a surprise, il bandait déjà très fort, il m'a retournée, a troussé ma jupe, et après avoir fait glisser son gland sur ma vulve m'a pénétré d'un coup... J'ai senti un trouble indescriptible, comme si je n'étais plus moi même mais sa chose, mes jambes tremblaient à chaque coup de queue, je mouillais au point de sentir le liquide couler le long de mes cuisses, j'ai eu un orgasme ravageur, qui m'a laissé pantelante... Mais lui n'avait pas jouit, il m'a dit "je ne vais pas jouir dans ton vagin, trop risqué, tu vas en semer partout, il m'a fait asseoir sur la lunette des toilettes et m'a présenté son sexe, je l'ai avalé goulument, avec plaisir, ses deux mains me maintenaient et il me baisait littéralement la bouche, je me sentais salope comme jamais je ne l'avais été, suçant cette bite du mieux que je pouvais, me caressant le clito comme si mon orgasme allait être le dernier...
Ce sont ses puissants jets dans ma gorge qui l'ont déclenché, un orgasme qui m'inondait de plaisir tandis que je déglutissais à grande peine pour ne pas tâcher mon chemisier... Son sperme avait un goût âcre et puissant, j'étais tellement excitée que j'ai tout avalé... Il s'est essuyé avec du papier toilette, à rangé son sexe et est retourné s'asseoir sans un regard pour moi... J'avais le feu aux joues, je me suis essuyée comme j'ai pu, et j'ai regagné ma place, assez honteuse, j'avais l'impression que chaque regard me mettait à nue, me rejetait ma culpabilité, que cette femme âgée ou ce jeune homme voyaient que je ne portais plus de culotte...
Puis le train est entré en gare, l'homme est parti sans même que je sache son prénom, je t'ai retrouvé avec Valentin, mes deux bonheurs, tu as mis mes couleurs sur le compte de l'émotion de vous retrouver, alors qu'à un mètre de toi, marchait cet inconnu, mon string blanc en guise de pochette sur son costume, qui m'avait baisé et s'était vidé dans ma gorge quelques minutes auparavant, provoquant deux violents orgasmes... C'est à ce moment, lors de se flottement ou des ondes de plaisirs se propageaient encore en moi que j'ai su que j'allais recommencer..."
Cette évocation avait eu l'effet escompté, mon sexe avait atteint le paroxysme de l'excitation avant d'exploser, et ma femme m'avait inondé aux souvenirs de ce premier amant...
Elément déclencheur, Sandrine se libérait et d'autres confessions allaient bientôt suivre, car en effet, elle avait recommencé...
Elle me l'avait très bien expliqué lors de son retour de cette fameuse soirée où Franck était devenu son amant: "tu sais mon chéri, maintenant que j'ai goûté à la grosse queue de Franck, je vais avoir beaucoup de mal à m'en passer""Il a donc une si grosse queue que ça?" En éclatant de rire elle m'avait répondu, "j'ai crue qu'il n'y arriverait jamais, que mon intimité allait exploser, mais je n'avais jamais eut de tels orgasmes, jusqu'à hier tu avais été mon seul amant, je me rends compte aujourd'hui tout ce que j'ai loupé et que je compte bien rattraper..." et elle avait ajouté malicieusement: " enfin c'est encore mieux avec ton autorisation"Par la suite les premières séances photos avec Pierre l'avaient encore plus enthousiasmé, même si elle m'en parlait peu, toute consacrée à la surprise qu'elle me réservait pour mon anniversaire, un livre relié de photos érotiques dans des tenues et des positions plus qu'excitantes, Pierre m'avait déjà envoyé une vingtaine de photos plus pornographiques les unes que les autres, l'énorme queue du photographe ayant dés la deuxième séance forcé tous les orifices intimes de mon épouse, dilatant cette dernière comme elle ne l'avait jamais été...
Cette situation dépassait toutes mes attentes, jamais je n'aurai imaginé ma femme devenir aussi salope en aussi peu de temps, j'avais rêvé d'être cocu, je l'étais au delà de mes espérances.
Mais plusieurs points me titillaient l'esprit, j'avais du mal à croire qu'elle avait aussi radicalement changé en si peu de temps, et ses révélations sur Magali, son amie d'enfance, qui lui avait proposé des journées en club libertin à mon insu, m'avaient beaucoup surpris... D'autant plus que Sandrine ne m'avait pas précisé si elle l'avait fait ou non...
Un autre détail m'avait alerté, les commentaires de Pierre accompagnant les fameuses photos, où il me remerciait de lui avoir confié une femme aussi mignonne et salope, ses allusions sur les pratiques expérimentées de ma femme et surtout cette remarque:" généralement il me faut plusieurs jours pour sodomiser une femme peu habituée à cette pratique, avec la tienne c'est entré très facilement, cela démontre une pratique aussi régulière que rigoureuse, bravo", or étant persuadé que Sandrine n'aimait pas la sodomie depuis plusieurs tentatives au début de notre union, nous ne pratiquions jamais cet acte... Je savais que Franck la sodomisait, mais une semaine de relation avait elle put la changer physiquement au point d'accepter aussi facilement le gourdin de Pierre?
Un week end ou elle n'avait pas rencontré l'un de ses deux amants, je décidais d'en avoir le coeur net, aussi après avoir bien chauffé ma compagne, je lui demandais de s'empaler sur ma queue de dos, sa position favorite, et commençais le jeu des questions réponses tandis qu'elle allait et venait sur ma queue bien raide...
Lui écartant les fesses je ne pus qu'admirer sa rondelle patinée, j'essayais de ne pas trop penser aux photos de Pierre, à cette énorme mandrin qui la fouillait, pour ne pas jouir trop vite.
"Mon Dieu ce cul, il a dû en voir passer des biens grosses non?""Ho oui, si tu savais, des bien grosses et bien dures...""Franck n'est pas le seul a profité de ton cul?"Elle éclata de rire, "tu veux tous savoir toi !""Il me semble que j'ai le droit de savoir le nombre de personnes ayant eu le bonheur de se soulager dans ton cul""je n'ai pas compté, beaucoup de queues, des grosses et des moins grosses", la réponse avait fusée dans un râle, cet aveux la faisait manifestement mouiller.
"hummmm ma chérie est une vraie petite salope... depuis longtemps?""Pas assez longtemps...""combien, dis le moi""salaud ça t'excite... un peu plus de 3 ans, j'ai commencé à te tromper après la naissance de Valentin.... hummm le premier je m'en rappelle comme si c'était hier...""Raconte salope, tu me fais bander grave"Et là elle se lâcha, tout en s'empalant elle me dévoila son aventure d'une façon assez hachée, cette évocation lui arrachant des gémissements de plaisir très révélateurs, et ayant un effet remarquable sur mon érection. Voici la retranscription à peine romancée de cette aventure:
"C'était dans le TGV, je revenais de Lille, l'oral du CAPES, tu te souviens?,j'étais installée face à un homme charmant, quadra, brun, sans doute chef d'entreprise ou cadre dynamique, il faisait forte impression à la jeune maman de 25 ans trop préoccupée par les examens et son enfant, j'avais envie de liberté, de m'évader, et en l'occurrence dans ce train, de baiser avec ce parfait inconnu qui devait bien avoir 20 ans de plus que moi... Il dut s'apercevoir de mon trouble, car très vite je le vis me jeter des coups d'oeil par dessus son magasine. Je ne sais pas ce qui m'a prise, j'étais super excitée et super troublée, j'ai écarté les cuisse tout en le fixant, il avait une vue plongeante sur mon string blanc, et j'ai passé ma langue sur mes lèvres, comme je l'avais vu faire dans des films pornographiques, visionnés en cachette chez ma tante, avec ma cousine, quand nous étions adolescentes.
Très vite cet homme a été aussi troublé que moi, j'ai vu son pantalon gonflé au niveau de son sexe, et immédiatement j'ai eu envie de le sucer. Alors n'y tenant plus j'ai enlevé discrètement mon string, j'étais relativement cachée là ou j'étais assise, je lui ai tendu et je me suis dirigée vers les toilettes. Il m'a suivie et est entré derrière moi, nous étions très à l'étroit, immédiatement nos lèvres se sont jointes, nous nous sommes embrassés passionnément. Pour autant nos mains ne restaient pas inactives, la douceur de son sexe m'a surprise, il bandait déjà très fort, il m'a retournée, a troussé ma jupe, et après avoir fait glisser son gland sur ma vulve m'a pénétré d'un coup... J'ai senti un trouble indescriptible, comme si je n'étais plus moi même mais sa chose, mes jambes tremblaient à chaque coup de queue, je mouillais au point de sentir le liquide couler le long de mes cuisses, j'ai eu un orgasme ravageur, qui m'a laissé pantelante... Mais lui n'avait pas jouit, il m'a dit "je ne vais pas jouir dans ton vagin, trop risqué, tu vas en semer partout, il m'a fait asseoir sur la lunette des toilettes et m'a présenté son sexe, je l'ai avalé goulument, avec plaisir, ses deux mains me maintenaient et il me baisait littéralement la bouche, je me sentais salope comme jamais je ne l'avais été, suçant cette bite du mieux que je pouvais, me caressant le clito comme si mon orgasme allait être le dernier...
Ce sont ses puissants jets dans ma gorge qui l'ont déclenché, un orgasme qui m'inondait de plaisir tandis que je déglutissais à grande peine pour ne pas tâcher mon chemisier... Son sperme avait un goût âcre et puissant, j'étais tellement excitée que j'ai tout avalé... Il s'est essuyé avec du papier toilette, à rangé son sexe et est retourné s'asseoir sans un regard pour moi... J'avais le feu aux joues, je me suis essuyée comme j'ai pu, et j'ai regagné ma place, assez honteuse, j'avais l'impression que chaque regard me mettait à nue, me rejetait ma culpabilité, que cette femme âgée ou ce jeune homme voyaient que je ne portais plus de culotte...
Puis le train est entré en gare, l'homme est parti sans même que je sache son prénom, je t'ai retrouvé avec Valentin, mes deux bonheurs, tu as mis mes couleurs sur le compte de l'émotion de vous retrouver, alors qu'à un mètre de toi, marchait cet inconnu, mon string blanc en guise de pochette sur son costume, qui m'avait baisé et s'était vidé dans ma gorge quelques minutes auparavant, provoquant deux violents orgasmes... C'est à ce moment, lors de se flottement ou des ondes de plaisirs se propageaient encore en moi que j'ai su que j'allais recommencer..."
Cette évocation avait eu l'effet escompté, mon sexe avait atteint le paroxysme de l'excitation avant d'exploser, et ma femme m'avait inondé aux souvenirs de ce premier amant...
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