les monos

- Par l'auteur HDS Fab38300 -
Récit érotique écrit par Fab38300 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : les monos Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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les monos
En septembre nous nous sommes rendu dans un forum des associations de notre ville, mon épouse Sandrine ayant envie d'essayer d'autres sports que le pilate ou le step qu’elle pratique depuis quelques années. Un sport l’attirait plus particulièrement, le ski, le club local étant assez actif et proposant de nombreuses sorties les week-ends.

Ce samedi de septembre était clément, Sandrine avait passée un top échancré et un délicieux petit jeans moulant, des bottines et un petit blouson de cuir rouge. Avec sa nouvelle coupe au carré elle était très belle, femme accomplie pour ses 39 ans, assez libérée depuis 5 ans (voir histoires précédentes), elle était très désirable. Je ne pouvais m’empêcher d’admirer son petit cul moulé dans le jeans en marchant à sa suite. Pour ma part je n’avais fait aucun effort vestimentaire. Nous nous rendîmes au stand du club de ski ou plusieurs monos discutaient avec des potentiels clients quand un jeune homme, assez cliché nous aborda. Blond, cheveux mi-longs, sportif, il n'avait pas trente ans, et me semblait assez prétentieux. Mon épouse lui expliqua ses attentes, les cours, les sorties, son niveau débutant et la possibilité de se libérer pendant les vacances scolaires, puisqu’elle même était prof. Le jeune la dévorait des yeux, ce qui m'amusait beaucoup, une petite étincelle s’était allumée en moi, je savais que cela devait aussi lui plaire. Sandrine confirma que les cours et les sorties seraient pour elle seule, "sans son mari" et cela amusa le mono. Il appela un autre mono, un jeune homme de son âge, brun, tout aussi dans le style « prof de gymn », en lui répétant et insistant lourdement sur le fait qu’elle voulait prendre des cours seule, sans son mari. Les deux jeunes déshabillaient des yeux mon épouse, comme si je n'existais plus, et celle-ci ne semblait pas du tout génée de cette situation. Ils lui affirmaient que des cours sur plusieurs jours étaient beaucoup plus bénéfiques, et qu'en plus les soirées aussi étaient sympas, qu’elle progresserai beaucoup dans tous les domaines, surtout "sans son mari", les allusions étaient à peine voilées. Je décidais de passer à un autre stand, laissant les deux jeunes en tête à tête avec mon épouse.
A 20 mètres du stand, je me mêlais à la foule et lançais des regards à la dérobée dans leur direction. Mon départ ne les avait pas embêtés, s'en étaient-ils seulement aperçus?

Sandrine continuait de rire, amusée par les monos qui devaient être beaucoup plus explicites sans la présence du mari ; à un moment Sandrine sembla s’apercevoir de mon absence, elle jeta un coup d’œil circulaire, sans me voir et repris sa discussion avec les jeunes. L’un d’eux, le blond, se pencha vers mon épouse et lui parla à l’oreille, mon épouse mi surprise, mi amusée lui répondit elle aussi à l’oreille en riant. Le blond griffonna sur un tract du club de ski, et tendit le papier à mon épouse, qui jeta une nouvelle fois un regard circulaire, et rangea rapidement le papier dans son sac. Elle salua les jeunes et partie à ma recherche, tandis que les deux jeunes fixaient ses fesses moulées dans le jeans en échangeant des regards complices. Pour ma part, j’avais continué mon chemin et discutais avec un représentant du club œnologie quand elle me rejoignit.

« Alors ou étais-tu passé, tu me laisses seule et sans défense maintenant » dit-elle en souriant

« Tu n’avais pas l’air en mauvaise compagnie, avec ces deux jeunes fort sympathiques, et puis tu n’étais pas sans défense, tu avais deux chevaliers servants, prêts à bien s’occuper de ta charmante personne » Lui répondis-je en esquissant un clin d’œil. Elle rigola en me prenant par le bras, alors que nous nous dirigions vers le parking ou était garé notre SUV « Oui, ça, pour être intéressés ils l’étaient, ils ne donnent pas que des cours, ils pensent aussi à s’amuser… ils organisent des sorties entre monos et emmènent quelquefois des clients pour parfaire les leçons, dans un chalet qui appartient aux parents d’un des jeunes... ça pourrait être sympa » elle me regardait en coin, avec un petit sourire, l’air rêveuse …

« Très sympa même, j’imagine qu’ils emmènent surtout des clientes, et qu’aucune ne s’est plainte », mon épouse éclata d’un rire complice « On ne peut rien te cacher » « Et ils sont combien lors de ces sorties ? »

« D’après eux ça varie, entre 3 et 7, il y a une dizaine de couchages dans le chalet, je comprendrais que tu sois réticent à l’idée de me laisser tout un week-end avec des jeunes, mais nous avons le temps pour prendre une décision les sorties ne débutent qu’en décembre »

Je souriais à mon tour nous étions alors dans notre 3008 « Tu penses qu’ils vont pouvoir attendre jusqu’à décembre ils semblaient très pressés de te faire progresser dans tous les domaines et cela sans ton mari » ajoutais-je, en faisant allusion à la conversation. Elle éclata de rire « idiot ! Si ça se trouve c’est moi qui ne pourrais pas attendre, mon mari ne s’occupe plus de moi comme quand il avait 25 ans »

Je la regardais dans les yeux en lui murmurant « A l’époque tu étais beaucoup moins... cokine... ça serait dommage d’attendre décembre pour commencer cette formation »

Elle éclata de rire en me disant « tu es vraiment un cochon, quand tu dis coquine j’entends salope, et vraiment dans ta bouche ça m’excite » et elle m’embrassa fougueusement…

Elle ne m’avait pas parlé du tract donné par le mono ou devait figurer son 06, je me doutais bien qu’à la première occasion elle prendrait contact avec lui pour mieux faire connaissance et cela m’excitait vraiment… Nous rentrâmes à la maison pour vaquer à nos occupations, retrouver nos enfants, préparer le repas. La journée passa doucement, j’étais bercé par des images assez salaces ou mon épouse jouait le rôle principal.

Ce ne fut que le soir, alors que nous nous apprêtions à nous coucher, que Sandrine relança la conversation sur le club de ski. « C’est sûr que c’est vraiment tentant cette sortie ski en week-end je n’arrête pas d’y penser », elle me regardait en souriant, attendant ma réaction…

Je m’approchais d’elle la saisissant contre moi « Moi aussi je n’ai pas arrêté d’y penser, c’est nouveau cette envie de jeunesse » le contact de sa nuisette en satin rose m’électrifia, je sentais ses tétons qui pointaient sous le tissus, elle levait la tête avec un sourire arrogant,

« Pas si nouveau que ça... tu sais je croise souvent les regards lubriques de certains lycéens et ça ne me laisse pas toujours indifférente » elle avait prononcé ces mots en toute innocence, et cela curieusement avait fait naître de nouvelles images coquines dans mon esprit. J’imaginais Sandrine agenouillée devant un lycéen en train de lui faire une fellation, et irrémédiablement mon sexe commença à gonfler, je laissais aller mon imagination et maintenant c’était le mono blond qui tenait la tête de mon épouse qui le suçait, elle agenouillée avec sa petite nuisette, lui imprimant un mouvement de va-et-vient à sa tête des deux mains, et mon sexe se dressa, bien tendu sous mon caleçon. Elle s’aperçut de mon trouble et dirigea sa main vers mon sexe, en sifflant « dis donc il n’y a pas que moi que cette situation excite ! Je suis sûre que toi aussi tu l’imagines en train de me faire des trucs » « Qui ça ton élève ? » « Non le mono de ski, Hugo » « parce que tu connais son prénom ? » « Oui il me l’a donné quand tu es parti, comme son numéro de téléphone aussi » elle caressa mon sexe « Ben dis donc ça ne te coupe pas la chique » « Non au contraire, j’adore l’idée que tu prennes contact avec lui, d’une manière disons moins clientéliste et... plus intime » elle prit ma main et la glissa sous sa nuisette, elle ne portait pas de string, sa vulve, nue était gonflée par le désir et humide, elle susurra « tu vois il n’y a pas que toi que cela excite… Si tu es bien sage peut être que je serai une bonne petite salope... dis-moi que tu veux que je les suce...» elle s’accroupit, dégagea mon sexe et commença à me sucer « Oui je veux que tu les suces… je veux qu’ils te baisent… je veux que tu rentres de ces week-ends en leur ayant servi de vide couilles… à toute la bande… mais surtout je veux que tu commences les entraînements dés maintenant… hummmm oui tu suces délicieusement bien… tu es la reine des suceuses... tu devrais leur montrer tes talents de suceuse… putain, ils vont se régaler les petits jeunes...» Et à cette évocation je me vidais entièrement dans la gorge de mon épouse, qui réussie, en déglutissant, à ne pas en perdre une goutte, avalant toute ma semence. Elle se redressa et essuya le bord de ses lèvres avec le bas de sa nuisette, puis me tendit sa bouche, yeux mi-clos, sourire mystérieux. Ma langue fouilla dans cette bouche poisseuse, le goût salé du sperme que je répugnais généralement à goûter envahit ma bouche, un frisson me parcourut, mes doigts fouillaient l’entrejambe trempé de mon épouse, elle saisit mon sexe qui reprenait de la vigueur et me branla énergiquement… « Si je suis la reine des suceuses, toi tu es vraiment le roi des cocus, mon amour, ça doit être rare les mecs qui bandent autant à l’idée d’être cocu… je ne vais pas te décevoir… humm tu bandes à nouveau… ça t’excite que je sois une vraie salope » Elle avait raison, mon sexe reprenait de la vigueur, elle me repoussa sur le lit et s’accroupit sur mon sexe, elle me chevaucha telle une amazone, en poussant de petits gémissements, yeux fermés, rêveuse en susurrant des « je suis sûre que tu vas bien me baiser, Hugo... si tu savais comme j’ai envie de ta queue bien raide... que tu me dises encore que je suis bandante... que tu as envie de fourrer ta queue dans tous mes orifices » Elle dégoulinait littéralement sur moi, et sa jouissance ne tarda pas à venir, coulant comme un fruit trop mur le long de ma queue agitée de soubresauts tandis que ma jouissance exultait.

Il nous fallut dix minutes pour reprendre nos esprits, après un court séjour à la salle de bain, nous nous retrouvâmes allongés côte à côte sur notre lit.

« C’est vrai qu’il t’a dit que tu étais bandante et qu’il avait envie de te fourrer par tous les orifices ? »

Elle souria, « à moitié vrai, il m’a dit que j’étais bandante, et ses yeux m’ont dit qu’il allait me baiser par tous les orifices… de toutes façons c’est bien ce que tu veux mon chéri ? »

« Bien sur ! Et tu attends quoi pour lui souhaiter une bonne nuit par texto? »

Elle se leva jusqu’à son sac, posé au pied du lit, en sortit le tract ainsi que son smartphone, puis se rallongea sur le lit en disant à haute voix ce qu’elle écrivait.

« Je n’ai pas arrêté de penser à toi et je n’arrive pas à trouver le sommeil, tu es dispo comment pour des leçons très privées, du genre coquines, comme tu me l’as promis ? »

Puis elle me tendit son smartphone et me dit d’un air malicieux « C’est toi qui envoies le message, mon cocu chéri »

Avec un sourire qui masquait sans doute peu mon trouble, c’est sans une hésitation, que j’appuyais sur la touche envoi.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super, j’attends la suite pour voir si cette femme est vraiment la salope qu’elle aimerait être !

Histoire Erotique
vivement la suite



Texte coquin : les monos
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