Confidences après l’orgie 08- LA MÉTAMORPHOSE
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-11-2017 dans la catégorie Plus on est
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Confidences après l’orgie 08- LA MÉTAMORPHOSE
Confidences après l’orgie 08- LA MÉTAMORPHOSE
Après l’orgie de la veille chez Katte, Angel et Franck sont rentrés chez eux épuisés, sans avoir pu s’entretenir de l’expérience vécue.
Il est presque dix heures du matin lorsque j'ouvre un œil. Angel s'est déjà levée, c'est très récent car je sens la bonne odeur du café qui vient de couler dans la cafetière. Je l'appelle pour lui faire comprendre que je suis réveillé. Elle arrive aussitôt, enveloppée d'un déshabillé vaporeux qu'elle met rarement, surtout depuis que nous ne faisons plus l'amour. Elle s'agenouille sur le lit et me demande.
- Vous avez bien dormi Monsieur ? Après cette nuit de dévergondage, j'espère que vous allez pouvoir vous occuper de votre épouse préférée ?
J'écarte les pans du déshabillé et je contemple avec ravissement le corps voluptueux de mon épouse. Je détaille sa poitrine généreuse, admirant les globes saillants qui s'allongent vers moi dans une invite muette, alors que sa posture, les genoux écartés sur le lit me laisse entr'apercevoir son entrecuisse. J'examine la forêt de poils frisés et bruns d'où émerge sa vulve entrouverte qui palpite d'excitation. Trois de mes doigts de ma main droite s'enfoncent immédiatement dans la fente qui bave déjà d'une abondante sécrétion, alors que ma main gauche va à la recherche d'un mamelon qu'elle malaxe immédiatement et que ma bouche attrape l'autre bourgeon en le mordillant délicatement.
Mon épouse adorée s'abandonne entièrement à mes attouchements libidineux. En voyant mon sexe qui s'est dressé au-dessus de mon ventre, elle m'enjambe, puis prenant ma verge dans une main, elle écarte de l'autre ses grandes lèvres et s'introduit elle-même le membre qui glisse dans la moiteur de son vagin dilaté.
J'éprouve une impression exaltante, en savourant la vision que m’offre la vulve qui s'empale sur mon pénis redevenu enfin érectile, et en me délectant de la posture provocante qu'Angel m'offre aussi insolemment. Je ne peux détacher mes yeux de la vulve écartelée par ma verge qui repousse le renflement congestionné du clitoris dont le gros bourgeon rouge vif laisse deviner l’excitation extrême. Le gros bourrelet des grosses lèvres est bordé des poils bruns frisés qui forment une couronne de fourrure à la chair diaphane, accentuant encore l’impudicité et l’obscénité indécente de mon sexe qui s’aventure dans l’ouverture orangée de l’orifice vaginal. J'enserre sa taille avec mes bras et je l'attire contre moi en l'embrassant langoureusement, tout en soulevant mon ventre en avant pour que ma pine puisse s'enfoncer au plus profond de sa matrice. Nous nous agitons presque simultanément, prenant un plaisir inouï à cette copulation délicieuse. Enfin, lorsque j'éjacule, me projetant en fin de course dans sa grotte brûlante, elle s'écroule sur moi, me couvrant de baisers en me lançant des « Je t'aime ! - Je t'aime ! ».
Recouverts du drap de lit, nous restons enlacés plusieurs minutes avant que nous puissions passer en revue les différentes étapes de notre vie sexuelle. Angel se laisse aller à des confidences et m'avoue quelques fantasmes presque inavouables. Tout du moins de son point de vue car, en la poussant dans ses derniers retranchements, j'apprends avec plaisir qu'elle a de temps à autres des envies de viol, attachée comme nous l'avons fait sur les suggestions de Katte.
Elle a aussi un certain attrait pour les punitions corporelles : la fessée ou le fouet sur son derrière charnu ne serait pas pour lui déplaire. Enfin, bien qu'elle me le refuse depuis de nombreuses années, elle rêve d'être contrainte à la sodomie, alors que parfois, elle délire sur la tentation d'être prise par deux hommes en même temps. Elle est troublée de ce désir malsain qui la fait aussi frémir d'épouvante à l'idée de cette double intromission qu’elle pressent monstrueuse.
Je la caresse et l'embrasse tendrement, la rassurant sur ses fantasmes en lui disant que j'ai eu bien souvent les mêmes. D’ailleurs elle vient déjà d'en réaliser un, en se faisant presque violer par un étranger alors qu'elle était sans défense, attachée par les poignets et les yeux bandés, alors que Katte et moi-même nous lui tenions les jambes grandes ouvertes pour que la queue de l’inconnu puisse la pénétrer. À ce rappel, elle frissonne entre mes bras et m'avoue qu'elle n'avait jamais joui autant auparavant. Enfin elle se laisse aller à me confier qu'elle a été très étonnée des agissements de Katte, qui depuis qu'elle la connaît, ne lui avait jamais paru avoir d’attirances lesbiennes.
Angel, très gêné, ne me cache pas qu'elle a éprouvé des sensations inconnues jusqu'alors et qu'elle n'a pu s'empêcher de goûter aux sécrétions intimes de son amie tout en lui suçant le clitoris, décuplant ainsi son propre plaisir. Elle me susurre aussi que bien que toujours un peu jalouse, elle a été très émoustillée en me voyant brouter la chatte de sa meilleure amie.
En veine de confidences, elle me confie aussi que lorsque nous l'avons tenue pour qu'elle se fasse baiser par Roland, elle a pris un pied terrible en sentant cette grosse verge qui fouillait ses chairs, tout en se complaisant à ne pouvoir s’échapper pendant que le jeune homme la violentait devant son amie Katte, alors que j’étais présent. Elle est encore étonnée qu'un si jeune et bel homme se soit complu à faire l’amour à une femme de son âge.
En l'occurrence, je pense sérieusement que c'est pour cela qu'Angel s'est débarrassé de ses inhibitions. Le fait qu'à cinquante ans, elle puisse être désiré par des hommes beaucoup plus jeunes qu'elle, ainsi que la volupté incroyable qu'elle a pu en ressentir, tout cela a été un déclencheur pulvérisant sa libido refoulée depuis de nombreuses années.
Elle me dit tout de même sa honte à rencontrer à nouveau Katte et surtout le beau Roland. Je la rassure en lui disant qu'ils n'en étaient certainement pas à leur première expérience d'accouplements multiples. Elle se tait soudain, me demandant amoureusement de parler d'autre chose, car elle se sent encore très perturbée par les confidences qu'elle n'a pu s'empêcher de me faire.
Lorsque dans la matinée, elle s'absente pour faire des courses, je téléphone à Katte pour tout d'abord la remercier, et enfin pour lui faire part des craintes d'Angel à la rencontrer à nouveau, ainsi que son petit ami Roland. Katte me rassure en me disant qu'elle va appeler son amie sur son portable dès que j'aurai raccroché et qu'elle espère ainsi la tranquilliser et la décider à nous revoir bientôt, tous les trois dans un premier temps, car la belle amie de mon épouse compte bien faire l'amour avec moi, en échange de ce qu'elle a bien voulu accorder à mon épouse. Je l'assure que ce sera un plaisir pour moi de pouvoir la baiser et même la sodomiser, car je lui laisse entendre que je suis sûr qu'elle en raffole. Elle me traite en riant de salaud et de gros cochon, ce en quoi elle n'a pas tort. Une heure après, lorsqu’Angel est de retour, elle m'annonce que Katte vient de l’appeler, que tout va bien et qu'elle l'a invitée pour dîner le surlendemain.
Lorsque Katte débarque à la maison le surlendemain soir, Angel se montre tout d'abord réservée, mais son amie l'embrasse sur les deux joues en riant, l'assurant qu'elle la trouve superbe, puis elle m'embrasse avec un petit clin d'œil complice alors qu'Angel nous tourne le dos. Mon épouse s'est habillée sobrement, elle porte une robe ajustée noire, comportant un décolleté en carré mettant en valeur sa gorge pigeonnante. Elle a mis sur mes conseils des bas fumés à jarretières et même, mais il a fallu que je me montre intransigeant, elle a accepté de retirer sa culotte. Katte, a revêtu un corsage en fine dentelle blanche qui laisse apercevoir son soutien-gorge noir et, comme à son habitude elle porte une minijupe. Cette fois-ci elle est vert pomme alors que sa forme en corolle laisse apercevoir quasiment le haut de ses cuisses lorsqu'elle se déplace.
Après le dîner succulent que nous a préparé ma chère et tendre, nous allons dans le salon pour déguster un café et des friandises. Lorsque Katte s'assoit dans le profond canapé, on ne peut ignorer qu’elle a mis elle aussi des bas, mais cette fois-ci ils sont attachés sur un porte-jarretelles noir lui aussi. La peau albâtre du haut de ses cuisses est nettement visible alors que l'on devine l'antre de sa petite chatte qui n'est recouverte d'aucun voile. Angel devient cramoisie en voyant sa meilleure amie s'exposer devant nous sans aucune pudeur. Je m'assieds sur un fauteuil lui faisant face alors qu'Angel prend place à côté de son amie. Katte un peu narquoise s'adresse alors à sa copine.
• Ma chérie ! Tu as sans doute remarqué que ton mari reluque sous mes jupes sans vergogne, tu pourrais au moins m'aider à le faire bander et retrousser ta robe. - J'espère que tu n'as pas mis de culotte qu'il puisse se régaler à la vue de nos deux minous…
À suivre…
Après l’orgie de la veille chez Katte, Angel et Franck sont rentrés chez eux épuisés, sans avoir pu s’entretenir de l’expérience vécue.
Il est presque dix heures du matin lorsque j'ouvre un œil. Angel s'est déjà levée, c'est très récent car je sens la bonne odeur du café qui vient de couler dans la cafetière. Je l'appelle pour lui faire comprendre que je suis réveillé. Elle arrive aussitôt, enveloppée d'un déshabillé vaporeux qu'elle met rarement, surtout depuis que nous ne faisons plus l'amour. Elle s'agenouille sur le lit et me demande.
- Vous avez bien dormi Monsieur ? Après cette nuit de dévergondage, j'espère que vous allez pouvoir vous occuper de votre épouse préférée ?
J'écarte les pans du déshabillé et je contemple avec ravissement le corps voluptueux de mon épouse. Je détaille sa poitrine généreuse, admirant les globes saillants qui s'allongent vers moi dans une invite muette, alors que sa posture, les genoux écartés sur le lit me laisse entr'apercevoir son entrecuisse. J'examine la forêt de poils frisés et bruns d'où émerge sa vulve entrouverte qui palpite d'excitation. Trois de mes doigts de ma main droite s'enfoncent immédiatement dans la fente qui bave déjà d'une abondante sécrétion, alors que ma main gauche va à la recherche d'un mamelon qu'elle malaxe immédiatement et que ma bouche attrape l'autre bourgeon en le mordillant délicatement.
Mon épouse adorée s'abandonne entièrement à mes attouchements libidineux. En voyant mon sexe qui s'est dressé au-dessus de mon ventre, elle m'enjambe, puis prenant ma verge dans une main, elle écarte de l'autre ses grandes lèvres et s'introduit elle-même le membre qui glisse dans la moiteur de son vagin dilaté.
J'éprouve une impression exaltante, en savourant la vision que m’offre la vulve qui s'empale sur mon pénis redevenu enfin érectile, et en me délectant de la posture provocante qu'Angel m'offre aussi insolemment. Je ne peux détacher mes yeux de la vulve écartelée par ma verge qui repousse le renflement congestionné du clitoris dont le gros bourgeon rouge vif laisse deviner l’excitation extrême. Le gros bourrelet des grosses lèvres est bordé des poils bruns frisés qui forment une couronne de fourrure à la chair diaphane, accentuant encore l’impudicité et l’obscénité indécente de mon sexe qui s’aventure dans l’ouverture orangée de l’orifice vaginal. J'enserre sa taille avec mes bras et je l'attire contre moi en l'embrassant langoureusement, tout en soulevant mon ventre en avant pour que ma pine puisse s'enfoncer au plus profond de sa matrice. Nous nous agitons presque simultanément, prenant un plaisir inouï à cette copulation délicieuse. Enfin, lorsque j'éjacule, me projetant en fin de course dans sa grotte brûlante, elle s'écroule sur moi, me couvrant de baisers en me lançant des « Je t'aime ! - Je t'aime ! ».
Recouverts du drap de lit, nous restons enlacés plusieurs minutes avant que nous puissions passer en revue les différentes étapes de notre vie sexuelle. Angel se laisse aller à des confidences et m'avoue quelques fantasmes presque inavouables. Tout du moins de son point de vue car, en la poussant dans ses derniers retranchements, j'apprends avec plaisir qu'elle a de temps à autres des envies de viol, attachée comme nous l'avons fait sur les suggestions de Katte.
Elle a aussi un certain attrait pour les punitions corporelles : la fessée ou le fouet sur son derrière charnu ne serait pas pour lui déplaire. Enfin, bien qu'elle me le refuse depuis de nombreuses années, elle rêve d'être contrainte à la sodomie, alors que parfois, elle délire sur la tentation d'être prise par deux hommes en même temps. Elle est troublée de ce désir malsain qui la fait aussi frémir d'épouvante à l'idée de cette double intromission qu’elle pressent monstrueuse.
Je la caresse et l'embrasse tendrement, la rassurant sur ses fantasmes en lui disant que j'ai eu bien souvent les mêmes. D’ailleurs elle vient déjà d'en réaliser un, en se faisant presque violer par un étranger alors qu'elle était sans défense, attachée par les poignets et les yeux bandés, alors que Katte et moi-même nous lui tenions les jambes grandes ouvertes pour que la queue de l’inconnu puisse la pénétrer. À ce rappel, elle frissonne entre mes bras et m'avoue qu'elle n'avait jamais joui autant auparavant. Enfin elle se laisse aller à me confier qu'elle a été très étonnée des agissements de Katte, qui depuis qu'elle la connaît, ne lui avait jamais paru avoir d’attirances lesbiennes.
Angel, très gêné, ne me cache pas qu'elle a éprouvé des sensations inconnues jusqu'alors et qu'elle n'a pu s'empêcher de goûter aux sécrétions intimes de son amie tout en lui suçant le clitoris, décuplant ainsi son propre plaisir. Elle me susurre aussi que bien que toujours un peu jalouse, elle a été très émoustillée en me voyant brouter la chatte de sa meilleure amie.
En veine de confidences, elle me confie aussi que lorsque nous l'avons tenue pour qu'elle se fasse baiser par Roland, elle a pris un pied terrible en sentant cette grosse verge qui fouillait ses chairs, tout en se complaisant à ne pouvoir s’échapper pendant que le jeune homme la violentait devant son amie Katte, alors que j’étais présent. Elle est encore étonnée qu'un si jeune et bel homme se soit complu à faire l’amour à une femme de son âge.
En l'occurrence, je pense sérieusement que c'est pour cela qu'Angel s'est débarrassé de ses inhibitions. Le fait qu'à cinquante ans, elle puisse être désiré par des hommes beaucoup plus jeunes qu'elle, ainsi que la volupté incroyable qu'elle a pu en ressentir, tout cela a été un déclencheur pulvérisant sa libido refoulée depuis de nombreuses années.
Elle me dit tout de même sa honte à rencontrer à nouveau Katte et surtout le beau Roland. Je la rassure en lui disant qu'ils n'en étaient certainement pas à leur première expérience d'accouplements multiples. Elle se tait soudain, me demandant amoureusement de parler d'autre chose, car elle se sent encore très perturbée par les confidences qu'elle n'a pu s'empêcher de me faire.
Lorsque dans la matinée, elle s'absente pour faire des courses, je téléphone à Katte pour tout d'abord la remercier, et enfin pour lui faire part des craintes d'Angel à la rencontrer à nouveau, ainsi que son petit ami Roland. Katte me rassure en me disant qu'elle va appeler son amie sur son portable dès que j'aurai raccroché et qu'elle espère ainsi la tranquilliser et la décider à nous revoir bientôt, tous les trois dans un premier temps, car la belle amie de mon épouse compte bien faire l'amour avec moi, en échange de ce qu'elle a bien voulu accorder à mon épouse. Je l'assure que ce sera un plaisir pour moi de pouvoir la baiser et même la sodomiser, car je lui laisse entendre que je suis sûr qu'elle en raffole. Elle me traite en riant de salaud et de gros cochon, ce en quoi elle n'a pas tort. Une heure après, lorsqu’Angel est de retour, elle m'annonce que Katte vient de l’appeler, que tout va bien et qu'elle l'a invitée pour dîner le surlendemain.
Lorsque Katte débarque à la maison le surlendemain soir, Angel se montre tout d'abord réservée, mais son amie l'embrasse sur les deux joues en riant, l'assurant qu'elle la trouve superbe, puis elle m'embrasse avec un petit clin d'œil complice alors qu'Angel nous tourne le dos. Mon épouse s'est habillée sobrement, elle porte une robe ajustée noire, comportant un décolleté en carré mettant en valeur sa gorge pigeonnante. Elle a mis sur mes conseils des bas fumés à jarretières et même, mais il a fallu que je me montre intransigeant, elle a accepté de retirer sa culotte. Katte, a revêtu un corsage en fine dentelle blanche qui laisse apercevoir son soutien-gorge noir et, comme à son habitude elle porte une minijupe. Cette fois-ci elle est vert pomme alors que sa forme en corolle laisse apercevoir quasiment le haut de ses cuisses lorsqu'elle se déplace.
Après le dîner succulent que nous a préparé ma chère et tendre, nous allons dans le salon pour déguster un café et des friandises. Lorsque Katte s'assoit dans le profond canapé, on ne peut ignorer qu’elle a mis elle aussi des bas, mais cette fois-ci ils sont attachés sur un porte-jarretelles noir lui aussi. La peau albâtre du haut de ses cuisses est nettement visible alors que l'on devine l'antre de sa petite chatte qui n'est recouverte d'aucun voile. Angel devient cramoisie en voyant sa meilleure amie s'exposer devant nous sans aucune pudeur. Je m'assieds sur un fauteuil lui faisant face alors qu'Angel prend place à côté de son amie. Katte un peu narquoise s'adresse alors à sa copine.
• Ma chérie ! Tu as sans doute remarqué que ton mari reluque sous mes jupes sans vergogne, tu pourrais au moins m'aider à le faire bander et retrousser ta robe. - J'espère que tu n'as pas mis de culotte qu'il puisse se régaler à la vue de nos deux minous…
À suivre…
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