Première sodomie 12- LA MÉTAMORPHOSE
Récit érotique écrit par VIEULOU [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-12-2017 dans la catégorie Plus on est
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Première sodomie 12- LA MÉTAMORPHOSE
Première sodomie 12- LA MÉTAMORPHOSE
Angel et Franck se retrouvent chez Katte pour une partie carrée avec le beau Roland qui doit initier mon épouse chérie à la sodomie si redoutée.
Heureusement que celle-ci est pourvue d'un lit de très grande largeur, en effet il est aussi large que long ce qui va permettre à notre quatuor de s'ébattre en toute quiétude. Pour cette circonstance, où le postérieur de son amie Angel doit être déflorée, Katte a disposé sur la vaste couche, une grande toile plastifiée, afin que la transpiration des participants, ainsi que les onguents et le foutre qui ne vont pas manquer de souiller les corps, évitent de tacher les draps en satin dans lesquels les deux couples doivent s’étendre à l'issue de leur orgie.
Angel, en voyant cet immense lupanar préparé spécialement à son intention, se sent soudain affolée, à l'idée que Roland va enfoncer son gros bâton noueux entre ses fesses. Katte qui a bien senti son hésitation, la prend dans ses bras, et, ne lui laissant pas la possibilité de réfléchir, la bascule avec elle sur le lit, et lui souffle des paroles apaisantes dans le creux de son oreille.
• Ma chérie calme-toi ! - Tu es plus que prête. - Ton mari m'a assurée que toute cette semaine, il a foré et élargi ton petit trou mignon. - Je suis certaine que tu vas adorer ça ! Comme moi ma chérie. - Tu vas voir, Roland te la rentrera subtilement entre les fesses pendant que je te boufferai ta délicieuse petite chatte mon amour.
Tout en finissant de la rassurer, Katte retourne son amie sur elle, puis se glissant sous ses cuisses, elle les écarte pour infiltrer sa langue dans la vulve qui sursaute sous sa caresse provocante. Elle offre aussi son entrecuisse à son amie qui se décide à lécher, elle aussi, l'intimité de sa compagne.
À ce moment, Roland prend Angel par la taille et la relève en lui disant de se mettre à genoux et d'enjamber Katte. Dans cette position, son derrière est haut levé et ses fesses amplement écartées.
De mon côté, je me suis muni de notre caméscope, ayant bien l'intention de fixer pour la postérité ce moment mémorable. C’est ainsi que je filme en gros plan la pastille violette immaculée de mon épouse. Roland l’a enduite d’un gel à la xylocaïne, alors qu'avec un doigt, il en tartine le sphincter ainsi que l'intérieur du conduit rectal. Il élargit progressivement l'œillet qui se dilate sous ses doigts habiles, celui-ci s'ouvrant et se fermant alternativement.
Angel soupire sous les attouchements voluptueux des deux pervers qui tripotent ses deux orifices avec une grande sollicitude. Dans le viseur de ma caméra, je fixe à jamais la vulve qui palpite, alors que les grandes lèvres s'épanouissent en corolle de chair rose sous la langue avide de Katte. L’objectif remontant la raie culière où des poils noirs ont réapparu, le goulet étroit et dénudé de l'anus se déploie, laissant entr'apercevoir un gouffre mystérieux aux tons sombres, allant du rouge grenat au mauve en passant par les ocres brûlées. Lorsque le gland violacé de Roland s'approche lentement de la cavité dans lequel il va pénétrer, ma main tremble quelque peu sur le caméscope que je braque sur les fesses écartelées de mon épouse. Celles-ci se détachent parfaitement, soulignées seulement au-dessus par la dentelle de la guêpière qui s'arrête au-dessus des reins et par en dessous par la sombre pilosité de la raie culière qui laisse apparaître plus loin la vulve entrebaillée.
Roland appuie sa verge contre l'œillet boursouflé qui s'est entrouvert, le gland tâtonne quelque peu autour du trou resserré de l’anus, puis, d'un seul coup, je vois la tige qui s'engage inexorablement dans le goulet étroit, écartant les replis des sphincters contractés qui se dilatent entièrement sous la formidable poussée. Angel pousse un cri inhumain au moment où l’effroyable épieu abuse de son orifice anal.
• Aiieeeeeee !... Noon !..... Nooooon..... Aaaaassez !... Je t'en supplie - Retire-toi ! J'ai trop mal ! Oh ! C'est affreux ! Ça me brûle ! Ah ! mon Dieu ! C'est horrible ! Là ! Ne bouge plus ! Je t'en prie ! Ah ! Reste sans bouger, je t'en supplie ! Ah ! Mon Dieu ! Ouf ……………!
Je vois la bite de Romain fichée presque jusqu'aux couilles dans le croupion de mon épouse, et je me délecte de la voir subir ce dernier outrage. Bien qu'elle ait souhaité furtivement être prise dans son anus, elle est contrainte à présent de subir la disproportion de la trique qui l'ébranle dans son fondement, sans pouvoir échapper à son enculeur qui ne la ménage pas. Si je pouvais, je voudrais entrer aussi ma queue par-dessus le marché, afin qu'elle sente deux bites dans son cul.
Je déraisonne, car il y a trop peu de temps que mon phallus s'est vidé de sa semence dans la vulve de Katte, et il n'est pas prêt à pouvoir servir à nouveau. Grâce à la succion de son amie qui mange son clitoris et qui a introduit deux doigts dans sa vulve, Angel pousse des petits cris plaintifs, alors que l'amalgame de la douleur et du plaisir, embrase conjointement ses sens exacerbés. Excitée malgré tout, elle commence à bouger d'elle-même en faisant ressortir à moitié la tige de Roland de son derrière.
Celui-ci, profitant des bonnes dispositions de sa proie, commence un doux aller et retour dans la gaine anale, assouplissant le goulet trop étroit et creusant encore un peu plus le cratère qui s'ouvre en totalité sous mes yeux écarquillés. Angel divague à présent sous l'enculage impitoyable de son jeune sodomite.
• Aaah ! Noon.... - Oui ! Continue ! - Doucement mon chéri ! - Va doucement ! - Oh ! Mon Dieu ! - Oui ! – Continue ! Oui ! Ouiiiii! .Ouiiiiiiiiiiiiii.......
Je ne peux qu'être en admiration, devant mon épouse qui prend un pied terrible à se faire enculer. Elle balance son bassin, facilitant ainsi l'exploration du mandrin qui perfore impitoyablement sa croupe. Ses cris inhumains excitent ses partenaires qui ne la ménagent plus, triturant et fouillant son corps à l'aide d'une bite, de deux bouches et de quatre mains qui la font se trémousser d'un plaisir merveilleux. Enfin, après un terrible galop endiablé, Roland éjacule son foutre pour partie dans le cul de ma femme, puis, se retirant du cratère béant, il en étale sur ses fesses rebondies et sur ses cuisses, maculant tout l'arrière-train encore agité de soubresauts spasmodiques. C’est alors que Katte, se redressant rapidement, tout en s’harnachant d'un gode de lesbienne, vient enfiler le postérieur de son amie, lui criant des propos obscènes.
• Tiens ! - Prends ça dans ton cul ma chérie ! - Moi aussi je t'encule ! - Tu sens ma verge salope ! – Allez ! - Remue ton popotin ! - Je te le casse ton petit cul ma belle ! - À c'est bon d'enculer sa meilleure amie ! - Je jouis ! Je jouis ! Oh ! Oui ! Oui ! Ouiiiii !.............
La belle Katte, qui s'est harnachée d'un double olisbos dont une extrémité ayant la forme d'une verge, est enfoncée au plus profond de son vagin, alors que l'autre bout, qui forme une énorme excroissance appuyée sur son pubis, apparaît comme une énorme bite en latex, est enfournée dans les entrailles de sa compagne. Elle coïte activement le cul de sa belle acolyte pendant plusieurs minutes, élargissant encore le trou qui bave de foutre et de pommade mélangés ; puis, épuisée après l'orgasme incroyable qu'elle vient de s'octroyer à elle même, elle se laisse glisser sur le côté. C'est le moment que je choisis pour prendre place devant les fesses de mon épouse, que je me propose aussi de profaner.
Dans le sex-shop du boulevard de l'Hôpital, j'avais acheté entre autres, un gadget étonnant. Cet instrument impressionnant, permet aux hommes défaillants, d'introduire leur pénis en semi érection ou même complètement mou, dans ce phallus en latex creux. Attaché par des courroies à leurs cuisses et derrière leurs reins, ils peuvent aussi remplir les fausses bourses avec un liquide chaud qu'ils peuvent expulser au bon moment avec une poire fixée sur le côté. Le latex de la verge comporte des plis qui se retroussent à l'identique d'un modèle de chair et le gland est étonnamment réaliste. Le seul inconvénient est que cette fausse-verge est surtout utilisée pour des copulations vaginales, car son diamètre approche les cinq centimètres et sa longueur en atteint bien vingt. J'éprouve tout de même une certaine préoccupation à perforer l'anus de mon épouse avec cet engin diabolique. Mais Roland, s'est glissé sous le corps de celle-ci, et il broute habilement la vulve dégoulinante d'Angel qui réclame un organe entre ses reins.
• Oh ! Je jouis ! Je jouis ! – Encore ! - Foutez-moi ! - Enculez-moi ! - Oh qui veut venir m'enculer ! - Ne me laissez pas sans rien dans mon derrière. Oh ! Non ! Ah ! Ça fait trop mal ! Ah ! C'est affreux ! - C'est trop gros ! – Non ! Tu vas me déchirer ! – Aaah ! Tu me transperces Non ! – Aaarrrrrrrr !... Tu m'as fendu Mon Dieu ! – Oui ! Viens ! Encoorrrr ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiii........
Profitant du désir pervers de mon épouse, je me suis frayé un passage dans le cratère encore grand ouvert de son anus, poussant impitoyablement ma verge de latex dans les chairs meurtries qui s'écartent tout juste sous le trop gros membre qui bientôt pilonne sans arrêt ses entrailles, et lui arrache des hurlements vulgaires. Pourtant la fausse verge qui viole ainsi sa croupe lui procure des orgasmes successifs, aidée en cela par la succion de sa vulve et de son clitoris par la bouche de Roland qui ne lui laisse pas de répit.
Angel se découvre des aptitudes étonnantes, car, elle prend la verge flasque de son dépuceleur dans sa bouche et la tête jusqu'à ce qu'elle redevienne rigide (heureux âge, où l'érection peut revenir très vite et plusieurs fois par nuit), puis elle aspire et titille le gland turgescent du jeune homme. Celui-ci éjecte sans retard un jet de sperme qui barbouille le visage de mon épouse. Celle-ci n'a plus aucune répugnance, elle lèche la hampe dégoulinante de liqueur poisseuse, puis, prend le vit dans sa bouche, aspire et avale ce qui reste du foutre du jeune homme, pendant que j'éjecte au fond de son rectum le liquide bouillant qui provient des fausses bourses, la faisant se tortiller sous la jouissance qu'elle éprouve à ce déluge qui se répand dans ses muqueuses.
En me retirant, je contemple avec ravissement le cratère énorme qui palpite sous mes yeux, conséquence des trois enculages successifs qu'a reçu l'anus défloré de ma femme adorée. Nous l'obligeons à garder cette position humiliante, alors que nous discutons tous les trois des avantages de ce trou de balle offert avec complaisance depuis bientôt deux heures à nos manipulations graveleuses, aussi j’en profite pour filmer en gros plan les chairs distendues qui palpitent alors que la cavité béante rejette abondamment, gel, sperme et matière fécale.
Angel sanglote de honte à nos quolibets obscènes, mais avec nos bouches et nos doigts qui la fouillent au plus profond de ses entrailles, nous avons vite fait de la consoler, l'entraînant encore une fois dans une volupté diabolique. Une bonne partie de la nuit, nous nous mélangeons encore dans des positions incroyables, avant de nous assoupir, terrassés par l'orgie à laquelle nous nous sommes livrés.
Angel et Franck se retrouvent chez Katte pour une partie carrée avec le beau Roland qui doit initier mon épouse chérie à la sodomie si redoutée.
Heureusement que celle-ci est pourvue d'un lit de très grande largeur, en effet il est aussi large que long ce qui va permettre à notre quatuor de s'ébattre en toute quiétude. Pour cette circonstance, où le postérieur de son amie Angel doit être déflorée, Katte a disposé sur la vaste couche, une grande toile plastifiée, afin que la transpiration des participants, ainsi que les onguents et le foutre qui ne vont pas manquer de souiller les corps, évitent de tacher les draps en satin dans lesquels les deux couples doivent s’étendre à l'issue de leur orgie.
Angel, en voyant cet immense lupanar préparé spécialement à son intention, se sent soudain affolée, à l'idée que Roland va enfoncer son gros bâton noueux entre ses fesses. Katte qui a bien senti son hésitation, la prend dans ses bras, et, ne lui laissant pas la possibilité de réfléchir, la bascule avec elle sur le lit, et lui souffle des paroles apaisantes dans le creux de son oreille.
• Ma chérie calme-toi ! - Tu es plus que prête. - Ton mari m'a assurée que toute cette semaine, il a foré et élargi ton petit trou mignon. - Je suis certaine que tu vas adorer ça ! Comme moi ma chérie. - Tu vas voir, Roland te la rentrera subtilement entre les fesses pendant que je te boufferai ta délicieuse petite chatte mon amour.
Tout en finissant de la rassurer, Katte retourne son amie sur elle, puis se glissant sous ses cuisses, elle les écarte pour infiltrer sa langue dans la vulve qui sursaute sous sa caresse provocante. Elle offre aussi son entrecuisse à son amie qui se décide à lécher, elle aussi, l'intimité de sa compagne.
À ce moment, Roland prend Angel par la taille et la relève en lui disant de se mettre à genoux et d'enjamber Katte. Dans cette position, son derrière est haut levé et ses fesses amplement écartées.
De mon côté, je me suis muni de notre caméscope, ayant bien l'intention de fixer pour la postérité ce moment mémorable. C’est ainsi que je filme en gros plan la pastille violette immaculée de mon épouse. Roland l’a enduite d’un gel à la xylocaïne, alors qu'avec un doigt, il en tartine le sphincter ainsi que l'intérieur du conduit rectal. Il élargit progressivement l'œillet qui se dilate sous ses doigts habiles, celui-ci s'ouvrant et se fermant alternativement.
Angel soupire sous les attouchements voluptueux des deux pervers qui tripotent ses deux orifices avec une grande sollicitude. Dans le viseur de ma caméra, je fixe à jamais la vulve qui palpite, alors que les grandes lèvres s'épanouissent en corolle de chair rose sous la langue avide de Katte. L’objectif remontant la raie culière où des poils noirs ont réapparu, le goulet étroit et dénudé de l'anus se déploie, laissant entr'apercevoir un gouffre mystérieux aux tons sombres, allant du rouge grenat au mauve en passant par les ocres brûlées. Lorsque le gland violacé de Roland s'approche lentement de la cavité dans lequel il va pénétrer, ma main tremble quelque peu sur le caméscope que je braque sur les fesses écartelées de mon épouse. Celles-ci se détachent parfaitement, soulignées seulement au-dessus par la dentelle de la guêpière qui s'arrête au-dessus des reins et par en dessous par la sombre pilosité de la raie culière qui laisse apparaître plus loin la vulve entrebaillée.
Roland appuie sa verge contre l'œillet boursouflé qui s'est entrouvert, le gland tâtonne quelque peu autour du trou resserré de l’anus, puis, d'un seul coup, je vois la tige qui s'engage inexorablement dans le goulet étroit, écartant les replis des sphincters contractés qui se dilatent entièrement sous la formidable poussée. Angel pousse un cri inhumain au moment où l’effroyable épieu abuse de son orifice anal.
• Aiieeeeeee !... Noon !..... Nooooon..... Aaaaassez !... Je t'en supplie - Retire-toi ! J'ai trop mal ! Oh ! C'est affreux ! Ça me brûle ! Ah ! mon Dieu ! C'est horrible ! Là ! Ne bouge plus ! Je t'en prie ! Ah ! Reste sans bouger, je t'en supplie ! Ah ! Mon Dieu ! Ouf ……………!
Je vois la bite de Romain fichée presque jusqu'aux couilles dans le croupion de mon épouse, et je me délecte de la voir subir ce dernier outrage. Bien qu'elle ait souhaité furtivement être prise dans son anus, elle est contrainte à présent de subir la disproportion de la trique qui l'ébranle dans son fondement, sans pouvoir échapper à son enculeur qui ne la ménage pas. Si je pouvais, je voudrais entrer aussi ma queue par-dessus le marché, afin qu'elle sente deux bites dans son cul.
Je déraisonne, car il y a trop peu de temps que mon phallus s'est vidé de sa semence dans la vulve de Katte, et il n'est pas prêt à pouvoir servir à nouveau. Grâce à la succion de son amie qui mange son clitoris et qui a introduit deux doigts dans sa vulve, Angel pousse des petits cris plaintifs, alors que l'amalgame de la douleur et du plaisir, embrase conjointement ses sens exacerbés. Excitée malgré tout, elle commence à bouger d'elle-même en faisant ressortir à moitié la tige de Roland de son derrière.
Celui-ci, profitant des bonnes dispositions de sa proie, commence un doux aller et retour dans la gaine anale, assouplissant le goulet trop étroit et creusant encore un peu plus le cratère qui s'ouvre en totalité sous mes yeux écarquillés. Angel divague à présent sous l'enculage impitoyable de son jeune sodomite.
• Aaah ! Noon.... - Oui ! Continue ! - Doucement mon chéri ! - Va doucement ! - Oh ! Mon Dieu ! - Oui ! – Continue ! Oui ! Ouiiiii! .Ouiiiiiiiiiiiiii.......
Je ne peux qu'être en admiration, devant mon épouse qui prend un pied terrible à se faire enculer. Elle balance son bassin, facilitant ainsi l'exploration du mandrin qui perfore impitoyablement sa croupe. Ses cris inhumains excitent ses partenaires qui ne la ménagent plus, triturant et fouillant son corps à l'aide d'une bite, de deux bouches et de quatre mains qui la font se trémousser d'un plaisir merveilleux. Enfin, après un terrible galop endiablé, Roland éjacule son foutre pour partie dans le cul de ma femme, puis, se retirant du cratère béant, il en étale sur ses fesses rebondies et sur ses cuisses, maculant tout l'arrière-train encore agité de soubresauts spasmodiques. C’est alors que Katte, se redressant rapidement, tout en s’harnachant d'un gode de lesbienne, vient enfiler le postérieur de son amie, lui criant des propos obscènes.
• Tiens ! - Prends ça dans ton cul ma chérie ! - Moi aussi je t'encule ! - Tu sens ma verge salope ! – Allez ! - Remue ton popotin ! - Je te le casse ton petit cul ma belle ! - À c'est bon d'enculer sa meilleure amie ! - Je jouis ! Je jouis ! Oh ! Oui ! Oui ! Ouiiiii !.............
La belle Katte, qui s'est harnachée d'un double olisbos dont une extrémité ayant la forme d'une verge, est enfoncée au plus profond de son vagin, alors que l'autre bout, qui forme une énorme excroissance appuyée sur son pubis, apparaît comme une énorme bite en latex, est enfournée dans les entrailles de sa compagne. Elle coïte activement le cul de sa belle acolyte pendant plusieurs minutes, élargissant encore le trou qui bave de foutre et de pommade mélangés ; puis, épuisée après l'orgasme incroyable qu'elle vient de s'octroyer à elle même, elle se laisse glisser sur le côté. C'est le moment que je choisis pour prendre place devant les fesses de mon épouse, que je me propose aussi de profaner.
Dans le sex-shop du boulevard de l'Hôpital, j'avais acheté entre autres, un gadget étonnant. Cet instrument impressionnant, permet aux hommes défaillants, d'introduire leur pénis en semi érection ou même complètement mou, dans ce phallus en latex creux. Attaché par des courroies à leurs cuisses et derrière leurs reins, ils peuvent aussi remplir les fausses bourses avec un liquide chaud qu'ils peuvent expulser au bon moment avec une poire fixée sur le côté. Le latex de la verge comporte des plis qui se retroussent à l'identique d'un modèle de chair et le gland est étonnamment réaliste. Le seul inconvénient est que cette fausse-verge est surtout utilisée pour des copulations vaginales, car son diamètre approche les cinq centimètres et sa longueur en atteint bien vingt. J'éprouve tout de même une certaine préoccupation à perforer l'anus de mon épouse avec cet engin diabolique. Mais Roland, s'est glissé sous le corps de celle-ci, et il broute habilement la vulve dégoulinante d'Angel qui réclame un organe entre ses reins.
• Oh ! Je jouis ! Je jouis ! – Encore ! - Foutez-moi ! - Enculez-moi ! - Oh qui veut venir m'enculer ! - Ne me laissez pas sans rien dans mon derrière. Oh ! Non ! Ah ! Ça fait trop mal ! Ah ! C'est affreux ! - C'est trop gros ! – Non ! Tu vas me déchirer ! – Aaah ! Tu me transperces Non ! – Aaarrrrrrrr !... Tu m'as fendu Mon Dieu ! – Oui ! Viens ! Encoorrrr ! Oui ! Ouiiiiiiiiiiiiii........
Profitant du désir pervers de mon épouse, je me suis frayé un passage dans le cratère encore grand ouvert de son anus, poussant impitoyablement ma verge de latex dans les chairs meurtries qui s'écartent tout juste sous le trop gros membre qui bientôt pilonne sans arrêt ses entrailles, et lui arrache des hurlements vulgaires. Pourtant la fausse verge qui viole ainsi sa croupe lui procure des orgasmes successifs, aidée en cela par la succion de sa vulve et de son clitoris par la bouche de Roland qui ne lui laisse pas de répit.
Angel se découvre des aptitudes étonnantes, car, elle prend la verge flasque de son dépuceleur dans sa bouche et la tête jusqu'à ce qu'elle redevienne rigide (heureux âge, où l'érection peut revenir très vite et plusieurs fois par nuit), puis elle aspire et titille le gland turgescent du jeune homme. Celui-ci éjecte sans retard un jet de sperme qui barbouille le visage de mon épouse. Celle-ci n'a plus aucune répugnance, elle lèche la hampe dégoulinante de liqueur poisseuse, puis, prend le vit dans sa bouche, aspire et avale ce qui reste du foutre du jeune homme, pendant que j'éjecte au fond de son rectum le liquide bouillant qui provient des fausses bourses, la faisant se tortiller sous la jouissance qu'elle éprouve à ce déluge qui se répand dans ses muqueuses.
En me retirant, je contemple avec ravissement le cratère énorme qui palpite sous mes yeux, conséquence des trois enculages successifs qu'a reçu l'anus défloré de ma femme adorée. Nous l'obligeons à garder cette position humiliante, alors que nous discutons tous les trois des avantages de ce trou de balle offert avec complaisance depuis bientôt deux heures à nos manipulations graveleuses, aussi j’en profite pour filmer en gros plan les chairs distendues qui palpitent alors que la cavité béante rejette abondamment, gel, sperme et matière fécale.
Angel sanglote de honte à nos quolibets obscènes, mais avec nos bouches et nos doigts qui la fouillent au plus profond de ses entrailles, nous avons vite fait de la consoler, l'entraînant encore une fois dans une volupté diabolique. Une bonne partie de la nuit, nous nous mélangeons encore dans des positions incroyables, avant de nous assoupir, terrassés par l'orgie à laquelle nous nous sommes livrés.
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