Consultation (1/3)
Récit érotique écrit par Volcano [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Consultation (1/3)
Cette histoire est inspirée de faits réels.
Agnès est adolescente dans les années 1980.
Sa famille vit dans un petit village en Bretagne.
------
Je souffre assez régulièrement de règles douloureuses et agacée par mes complaintes sur ces périodes ma mère me conseilla de consulter le médecin de famille.
Il venait souvent à la maison pour soigner mon père qui faisait une récidive de cancer. Il suivait toute la famille depuis que nous étions enfants.
Le rendez-vous fut pris au cabinet médical. A 18 ans, j'étais de plus en plus autonome et assez fière d'aller seule à cette consultation.
J'enfourche mon vélo et me dirige vers le centre du bourg.
Je patiente depuis quelques minutes dans la salle d'attente lorsque la porte du cabinet de consultation s'ouvre, le médecin me fait entrer.
Une fois assise il me demande des nouvelles de mon père et pourquoi je viens le consulter.
Je lui décris mes problèmes et il me propose de m'ausculter.
Il me demande de me déshabiller et de m'installer sur la table d'auscultation.
Il s'active à transformer sa table d'examen en baissant verticalement le dernier panneau et en insérant des étriers dans le châssis tubulaire.
Pendant que j'enlève timidement mes vêtements, il déroule une feuille à usage unique sur les coussins.
Je fais glisser mon pantalon le long de mes jambes et je repense à ma dernière consultation il a six mois.
J'étais venue avec ma mère pour un début de bronchite, il m'avait demandé de retirer mon pull et fait assoir le long de la table d'auscultation.
Dans mon dos il écoutait mes bronches avec son stéthoscope. Je portais une brassière car cela me permettait de minimiser mes seins que je jugeais un peu trop volumineux.
Je suis toute fine et mon 85C me faisait parfois honte, cette brassière me faisait perdre plus d'une taille de poitrine.
Le docteur fit mine d'être gêné lors de l'auscultation par ce sous vêtement, il dit alors à ma mère qu'il n'entendait pas bien.
Elle me dit "et oui Agnès, enlève ta brassière, cela sera plus facile pour le docteur".
Je fis remonter le sous vêtement au-dessus de ma tête et libera alors mes deux seins. Ils reprirent une forme parfaite. Volumineux et fermes ils retrouvaient leur liberté.
Même dans ce cadre médical, j'étais gênée et tendue de dévoiler ma poitrine à un homme. Mon copain qui aimait tant les faire rouler au creux de sa main serait surement jaloux.
Le médecin me fit alors face. Il regarde avec insistance ma poitrine, et me demande de m'allonger sur la table.
Il me touchait et me malaxait le buste pour positionner le bout glacé de son stéthoscope. Je me sentais à la fois gênée mais trouvais cette palpation assez troublante.
Cette fois-ci, il a fini son installation matérielle et je me présente face à lui avec ma petite culotte blanche en coton, seins nus.
Il me demande de m'installer, je m'assois comme dans un fauteuil de jardin. La position est très confortable.
Il commence par m'expliquer qu'il allait palper ma poitrine.
Mon regard est un peu dans le vide pendant que ses mains font des mouvements amples autour de mes mamelons.
Il descend ses mains pour palper mon ventre à hauteur des ovaires. Je sens qu'il passe ses doigts légèrement sous l'élastique de ma culotte.
Il me pose alors brusquement une question : tu as déjà eu un rapport sexuel ?
Je lui explique que j'ai un petit copain mais qu'une première expérience avait été laborieuse et compliquée.
----> à suivre
Agnès est adolescente dans les années 1980.
Sa famille vit dans un petit village en Bretagne.
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Je souffre assez régulièrement de règles douloureuses et agacée par mes complaintes sur ces périodes ma mère me conseilla de consulter le médecin de famille.
Il venait souvent à la maison pour soigner mon père qui faisait une récidive de cancer. Il suivait toute la famille depuis que nous étions enfants.
Le rendez-vous fut pris au cabinet médical. A 18 ans, j'étais de plus en plus autonome et assez fière d'aller seule à cette consultation.
J'enfourche mon vélo et me dirige vers le centre du bourg.
Je patiente depuis quelques minutes dans la salle d'attente lorsque la porte du cabinet de consultation s'ouvre, le médecin me fait entrer.
Une fois assise il me demande des nouvelles de mon père et pourquoi je viens le consulter.
Je lui décris mes problèmes et il me propose de m'ausculter.
Il me demande de me déshabiller et de m'installer sur la table d'auscultation.
Il s'active à transformer sa table d'examen en baissant verticalement le dernier panneau et en insérant des étriers dans le châssis tubulaire.
Pendant que j'enlève timidement mes vêtements, il déroule une feuille à usage unique sur les coussins.
Je fais glisser mon pantalon le long de mes jambes et je repense à ma dernière consultation il a six mois.
J'étais venue avec ma mère pour un début de bronchite, il m'avait demandé de retirer mon pull et fait assoir le long de la table d'auscultation.
Dans mon dos il écoutait mes bronches avec son stéthoscope. Je portais une brassière car cela me permettait de minimiser mes seins que je jugeais un peu trop volumineux.
Je suis toute fine et mon 85C me faisait parfois honte, cette brassière me faisait perdre plus d'une taille de poitrine.
Le docteur fit mine d'être gêné lors de l'auscultation par ce sous vêtement, il dit alors à ma mère qu'il n'entendait pas bien.
Elle me dit "et oui Agnès, enlève ta brassière, cela sera plus facile pour le docteur".
Je fis remonter le sous vêtement au-dessus de ma tête et libera alors mes deux seins. Ils reprirent une forme parfaite. Volumineux et fermes ils retrouvaient leur liberté.
Même dans ce cadre médical, j'étais gênée et tendue de dévoiler ma poitrine à un homme. Mon copain qui aimait tant les faire rouler au creux de sa main serait surement jaloux.
Le médecin me fit alors face. Il regarde avec insistance ma poitrine, et me demande de m'allonger sur la table.
Il me touchait et me malaxait le buste pour positionner le bout glacé de son stéthoscope. Je me sentais à la fois gênée mais trouvais cette palpation assez troublante.
Cette fois-ci, il a fini son installation matérielle et je me présente face à lui avec ma petite culotte blanche en coton, seins nus.
Il me demande de m'installer, je m'assois comme dans un fauteuil de jardin. La position est très confortable.
Il commence par m'expliquer qu'il allait palper ma poitrine.
Mon regard est un peu dans le vide pendant que ses mains font des mouvements amples autour de mes mamelons.
Il descend ses mains pour palper mon ventre à hauteur des ovaires. Je sens qu'il passe ses doigts légèrement sous l'élastique de ma culotte.
Il me pose alors brusquement une question : tu as déjà eu un rapport sexuel ?
Je lui explique que j'ai un petit copain mais qu'une première expérience avait été laborieuse et compliquée.
----> à suivre
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je viens de lire. ok. je comprends.
Je me permets juste une chose : une charte est une chose, c'est un règlement intérieur, qu'on accepte ou pas.
La loi est autre chose. Elle s'applique et s'impose à tout le monde et sur tout le territoire, qu'on l'accepte ou pas.
Légalement, une relation sexuelle entre une personne de 15 et + et une personne de 18 ans et + est autorisée, si et seulement si, les 2 sont consentants et qu'il n'y a pas de fait avéré ou de suspicion d'emprise du + de 18 ans sur le 15 ans et +. Il y a d'autres éléments de cette loi, mais je ne la connais pas par coeur.
Je me permets juste une chose : une charte est une chose, c'est un règlement intérieur, qu'on accepte ou pas.
La loi est autre chose. Elle s'applique et s'impose à tout le monde et sur tout le territoire, qu'on l'accepte ou pas.
Légalement, une relation sexuelle entre une personne de 15 et + et une personne de 18 ans et + est autorisée, si et seulement si, les 2 sont consentants et qu'il n'y a pas de fait avéré ou de suspicion d'emprise du + de 18 ans sur le 15 ans et +. Il y a d'autres éléments de cette loi, mais je ne la connais pas par coeur.
Non relisez la charte c’est bien précise dessus.
En réponse à la lectrice : Corrigez-moi si je me trompe, mais l'âge légal adulte sexuel n'est-il pas de 15 ans entre un mineur et un adulte s'ils sont tous les 2 consentants?
C'est une vraie question, pas une critique.
C'est une vraie question, pas une critique.
Votre histoire ne respecte pas la charte HDS qui interdit les rapports entre 1 mineur et 1 adulte !!!! Le medecin de famille est 1 pedophile donc bravo, vous etes fier vous ne devriez pas sauf si comme 1 forme de catharsis !!!
Le doc prends bien pour 1 con la famille de la gamine. Pour des soucis gyneco on consulte 1 gyneco et certainement pas 1 medecin de ville !!!
Le doc prends bien pour 1 con la famille de la gamine. Pour des soucis gyneco on consulte 1 gyneco et certainement pas 1 medecin de ville !!!