Consultation (3/3)
Récit érotique écrit par Volcano [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Consultation (3/3)
Il me fait face et me caresse la vulve, je comprends alors qu'il dérive très loin de la consultation médicale !
Il ouvre sa blouse, déboutonne son pantalon puis baisse son slip.
Je ne vois rien car sa blouse blanche masque ses intentions !
Sa main gauche sur ma cuisse, il entrouvre les pans de sa blouse pour poser son sexe sur ma vulve. J'avais certes un petit copain de mon âge mais je n'avais jamais vu le sexe d'un homme de la quarantaine.
J'étais impressionné par la taille et la sensation de puissance qu'il dégageait.
Je voyais posé sur mon ventre une queue très large. Au-dessous, deux gros testicules formaient une bourse rasée, pendante et très volumineuse.
Il commence à me caresser avec sa verge. Lorsque son gland est à la hauteur de mon nombril je ressens ses testicules frotter sur mes fesses.
Pris de panique, je lui dis que je ne voulais pas, que j'avais un amoureux.
Il continue son mouvement et au bout d'un temps il me répond qu'il ne soignerait plus mon père si je n'obéissais pas à ses désirs.
J'étais déchirée entre l'idée de sauver mon père ou d'échapper à cette situation humiliante et terrifiante.
Coincée dans cette position, je ne pouvais pas détourner le regard lorsqu'il présenta son gland à l'entrée de mon vagin.
Je n'opposais alors aucune résistance et lui laissa l'initiative.
Je pensais qu'il allait me déchirer avec un sexe aussi massif. Je serrai fort la culotte au creux de ma main.
Je me mis à pleurer et crier. Il saisit un cousin pour étouffer mes cris, car d'autres patients étaient dans la salle d'attente. Je manquais d’oxygène.
Avec la quantité de gel qu'il avait appliqué précédemment, il n'eut aucun mal à planter son membre de plus en plus loin.
A chaque coup de butoir, je sentais ses testicules très lourds frapper mes fesses.
Il me parlait peu sauf pour me dire que j'avais une chatte très serrée. Il devenait obscène dans ses propos.
Il me dit que la prochaine fois, mon copain n'aurait aucun mal pour me baiser et qu'il m'avait bien élargie.
Il était de plus en plus vigoureux. Je commençais à avoir mal et à être fatiguée.
J'entendis un râle puis sentie cette queue gonflée à l'extrême s'immobiliser au plus loin de mon vagin.
Complètement dilatée, je ne pensais pas que mon intimité aurait résisté à un tel assaut !
Il remit rapidement son pantalon et s'installa à son bureau comme si de rien n'était.
J'attrape mes vêtements à la hâte, complètement perturbée, je traverse la salle d'attente comme une zombie.
Arrivée à la maison, ma mère me demande si tout allait bien. Elle trouve sa fille un peu perturbée et se doute qu'elle a été auscultée au niveau gynécologique.
C'est pour cela qu'elle ne souhaitait pas être présente à ce rendez-vous. Elle savait que c'était éprouvant pour une jeune fille de se dévoiler intimement devant un homme de cet âge.
Elle même était suivi par ce médecin et la dernière fois elle l'avait trouvé très insistant lorsqu’elle accompagnait sa fille pour une bronchite. Il lui avait rappelé qu'il ne l'avait pas ausculté depuis un an. Il lui donna rendez-vous en fin de journée le lendemain. Elle accepta.
Lors de la consultation il lui avait demandé de se dévêtir complètement et elle avait senti qu'il profitait de cet examen pour la toucher.
Ses gestes étaient à la limite des caresses obscènes, elle ne dit rien car son mari avait trop besoin de son suivi médical.
Ma mère attend ma réponse en souriant, je réponds brièvement 'oui, il n'a rien trouvé' et je monte rapidement dans ma chambre.
En me déshabillant, je sens que le fond de ma culotte est collé à la peau de mon entrejambe.
J'écarte mes lèvres et découvre une grosse quantité de gel blanc qui coule de mon vagin. Je n'avais jamais vu de sperme et trouvais que l'odeur était assez forte.
Ma vulve est irritée et rouge. Je prends une douche pour me laver et oublier.
Le soir je me couche tôt, je n'arrive pas à chasser de mon esprit l'image de mon sexe offert dans une position humiliante.
Je ressens encore cette masse qui me dilate la vulve et le vagin.
Je pensais à mon amoureux à qui j'avais toujours refusé de caresser les testicules et là je n'arrivais pas à chasser de mon esprit le contact des deux grosses couilles qui s'écrasaient entre mes fesses.
Je compris que le râle de cet homme avait marqué le moment où il avait éjaculé cette grande quantité de sperme. Et si cette semence était encore en moi ?
Je n'aurai jamais dû demander cette consultation médicale. Il ne fallait surtout pas que j'en parle à mes parents ou mon copain.
Il ouvre sa blouse, déboutonne son pantalon puis baisse son slip.
Je ne vois rien car sa blouse blanche masque ses intentions !
Sa main gauche sur ma cuisse, il entrouvre les pans de sa blouse pour poser son sexe sur ma vulve. J'avais certes un petit copain de mon âge mais je n'avais jamais vu le sexe d'un homme de la quarantaine.
J'étais impressionné par la taille et la sensation de puissance qu'il dégageait.
Je voyais posé sur mon ventre une queue très large. Au-dessous, deux gros testicules formaient une bourse rasée, pendante et très volumineuse.
Il commence à me caresser avec sa verge. Lorsque son gland est à la hauteur de mon nombril je ressens ses testicules frotter sur mes fesses.
Pris de panique, je lui dis que je ne voulais pas, que j'avais un amoureux.
Il continue son mouvement et au bout d'un temps il me répond qu'il ne soignerait plus mon père si je n'obéissais pas à ses désirs.
J'étais déchirée entre l'idée de sauver mon père ou d'échapper à cette situation humiliante et terrifiante.
Coincée dans cette position, je ne pouvais pas détourner le regard lorsqu'il présenta son gland à l'entrée de mon vagin.
Je n'opposais alors aucune résistance et lui laissa l'initiative.
Je pensais qu'il allait me déchirer avec un sexe aussi massif. Je serrai fort la culotte au creux de ma main.
Je me mis à pleurer et crier. Il saisit un cousin pour étouffer mes cris, car d'autres patients étaient dans la salle d'attente. Je manquais d’oxygène.
Avec la quantité de gel qu'il avait appliqué précédemment, il n'eut aucun mal à planter son membre de plus en plus loin.
A chaque coup de butoir, je sentais ses testicules très lourds frapper mes fesses.
Il me parlait peu sauf pour me dire que j'avais une chatte très serrée. Il devenait obscène dans ses propos.
Il me dit que la prochaine fois, mon copain n'aurait aucun mal pour me baiser et qu'il m'avait bien élargie.
Il était de plus en plus vigoureux. Je commençais à avoir mal et à être fatiguée.
J'entendis un râle puis sentie cette queue gonflée à l'extrême s'immobiliser au plus loin de mon vagin.
Complètement dilatée, je ne pensais pas que mon intimité aurait résisté à un tel assaut !
Il remit rapidement son pantalon et s'installa à son bureau comme si de rien n'était.
J'attrape mes vêtements à la hâte, complètement perturbée, je traverse la salle d'attente comme une zombie.
Arrivée à la maison, ma mère me demande si tout allait bien. Elle trouve sa fille un peu perturbée et se doute qu'elle a été auscultée au niveau gynécologique.
C'est pour cela qu'elle ne souhaitait pas être présente à ce rendez-vous. Elle savait que c'était éprouvant pour une jeune fille de se dévoiler intimement devant un homme de cet âge.
Elle même était suivi par ce médecin et la dernière fois elle l'avait trouvé très insistant lorsqu’elle accompagnait sa fille pour une bronchite. Il lui avait rappelé qu'il ne l'avait pas ausculté depuis un an. Il lui donna rendez-vous en fin de journée le lendemain. Elle accepta.
Lors de la consultation il lui avait demandé de se dévêtir complètement et elle avait senti qu'il profitait de cet examen pour la toucher.
Ses gestes étaient à la limite des caresses obscènes, elle ne dit rien car son mari avait trop besoin de son suivi médical.
Ma mère attend ma réponse en souriant, je réponds brièvement 'oui, il n'a rien trouvé' et je monte rapidement dans ma chambre.
En me déshabillant, je sens que le fond de ma culotte est collé à la peau de mon entrejambe.
J'écarte mes lèvres et découvre une grosse quantité de gel blanc qui coule de mon vagin. Je n'avais jamais vu de sperme et trouvais que l'odeur était assez forte.
Ma vulve est irritée et rouge. Je prends une douche pour me laver et oublier.
Le soir je me couche tôt, je n'arrive pas à chasser de mon esprit l'image de mon sexe offert dans une position humiliante.
Je ressens encore cette masse qui me dilate la vulve et le vagin.
Je pensais à mon amoureux à qui j'avais toujours refusé de caresser les testicules et là je n'arrivais pas à chasser de mon esprit le contact des deux grosses couilles qui s'écrasaient entre mes fesses.
Je compris que le râle de cet homme avait marqué le moment où il avait éjaculé cette grande quantité de sperme. Et si cette semence était encore en moi ?
Je n'aurai jamais dû demander cette consultation médicale. Il ne fallait surtout pas que j'en parle à mes parents ou mon copain.
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12 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Laaa suiiite 🔥🔥 merciii
C est une honte ce clauchar il vaut le dénoncer...
J'avoue que la on est en plein descriptif d'un viol
Ah...je viens de voir le fameux champ facultatif
Donner mon email ici, non. Par contre, si vous avez un email spécifique pour ce site, donnez-le moi, je vous écris directement
Pour les lecteurs qui souhaitent connaitre de dénouement de l'histoire, merci de m'indiquer votre e-mail dans le champ facultatif.
Vous connaissez la femme en question?
Donc il faut faire 1 signalement à l’ordre des médecins et aux condes.
Sauf votre respect chère lectrice, le respect de la charte n'empêchera pas le gynéco de continuer ses méfaits...au moins cette histoire (si elle est vraie) permet de révéler ce crime. Après quoi faire? A part signaler au site...
Il faut signaler l’auteur pour le faire sauter pour le non respect de la charte.
Limite un viol?...non, c'est un viol, point...il mérite plus que de se faire sauter le diplôme...c'est du pénal...même après 20 ans (semble-t-il), car qui sait combien de patientes il a abusé sexuellement ou il abuse encore?
Le medecin a abusé de son statut et c'est limite 1 viol en plus il a été assez con pour niquer la gamine sans capotes c'est 1 enculé qui mériterait de se faire sauter son diplome et 1 signalement à l'ordre des medecins.
Votre histoire donne la gerbe.
Votre histoire donne la gerbe.