Copain, ami, confident… amant
Récit érotique écrit par Gouineur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-05-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
Copain, ami, confident… amant
Nous ne l’avons jamais fait Lucile et moi. Malgré les apparences et sa façon coquine. Même très coquine.
Elle me faisait rédiger des annonces sur le net pour elle. Dans un coin dans sa tête, elle me disait sûrement gay, elle ne cherchait pas plus loin.
Une amitié exceptionnelle nous liait, sans aucune barrière. Sauf mon état d’âme.
Elle corrigeait mes rédactions…les pimentaient. Sans gêne ni pudeur.
Elle voulait que je lui lève un mâle pour elle. Elle me montrait ce quelle attendait de lui.
Elle se projetait en lui idéalement.
Bien des fois Lucile n’arrivait plus interrompre son entrain… et elle jouissait devant moi. Les caresses imaginées quelle attendait de l’inconnu, la pourvoyait bien des fois, moi, j’étais invité à corser les paroles, détailler au plus prêt les besoins de Lucile.
Jamais Lucile s’était dénudée, elle se caressait ses seins, son minou, son corps entier, sous son t-shirt, sa culotte. Sa nudité, je me la devais imaginer.
Sortant de ses défaillances jouissives, Lucile me donnait un bisou amical. Même sur les lèvres…familiale, rien de plus. Sorti de son vertige, elle se plotait contre moi.
Elle me disait que j’étais privilégié de par sa confiance sans aucune limite. Je savais tout d’elle. Mes rédactions de plus en plus peaufinées m’ont appris à connaître son esprit, son corps, ses attentes.
Aucune autre personne ne pouvait jouer mon rôle. Sûrement remplaçable certes le jour quand elle aura trouvé son âme-sœur. Ce jour-là, je devrais lui céder ma place au mieux.
Un jour quand Lucile voyait ma bosse, habillée d’un grand sourire malin, y portait sa main dessus : - Danny, tu va le trouver, ton havre, j’en suis sûr. On a qu’à chercher dans le net en même temps, hein ?
Puis elle revenait sur le PC. C’est Lucile qui accouchait une annonce :« Beau mâle, la vingtaine, blond, 1m80, sportif, chercher belle femme courageuse… » …puis Lucile interrompe sa rédaction :
- Euh… ! Est-ce elle comment da verge Danny ? Faudrait que je le sache pour l’annonce ! Tu peux me la montrer ? On est entre nous ?!
Lucile n’attend pas ma réponse, car j’en étais incapable, sidéré de son audace. Elle s’active. Ceinture déjà défaite, elle s’agenouille, déboutonne, son regard rivé au déballage.
Elle me fait enlever le jean, même sort à mon boxer. Sorti de mon cagibi, ma verge saillant, les veines gonflées, se projette vers son visage comme un ressort.
- Waouh Danny ! Tu vas faire un malheur avec ça !
Bouche bée elle reste un instant en admiration, ce qui ne fait qu’aggraver mon état. Comme subjuguée Lucile y pose deux mains, presque formées comme une prière au long de ma tige, coulisse mon prépuce.
Elle ne pouvait plus quitter ma protubérance des yeux. Devant mon gland congestionné elle montre la niaque, porta ses lèvres dessus, accueille prémices érectiles, l’englouti.
Lucile sort un sein et porta son téton sur le nœud palpitant, enleva son t-shirt et emprisonne ma verge, assigne un aller-retour, elle baisa ses nibards, accueillant le gland dans sa bouche.
Lucile me provoqua mon non-retour au bout de deux minutes, ventousa ma sève, aspire la gaine porteur de ma semence jusqu’au la dernière goutte.
C’est à ce moment là Lucile me regarda pour la première fois dans les jeux. J’y voyais un bonheur indicible, un sourire complice. Elle poursuivait ses préliminaires, Lucile se dénude dans le quart heure qui suivait :
- Viens la mettre dans mon panier Danny chéri,…vite, vite…je n’en peux plus !
Elle m’enjambe, dos tourné, plaçant mon gland dans le centre du plaisir de son marécage vaginal que je voyais pour la première fois, aussitôt Lucile m’inonda de son effluve de cyprine.
Les hallucinâtes lèvres coulissent sur mon hampe, s’asphyxient dessus, aux mouvements nirvanas. Ses plaintes augmentent, sous ses cadences amazoniennes, Lucile me baise. Ondulant son bassin, raclant son fond profond et partant dans un orgasme tonitruant.
Ses cris me stimulent, sans se quitter, on se lève se positionne en « mystérieuse entrevue » debout, puis elle se pencha, mais sur le sol, le soulevant aux tibias.
Dans posture de « Brouette » notre étreinte devienne encore plus saillante, j’ose même la tourner en « Bateau ivre », position effectivement délirante pour Lucile, spécialement pourvue à œuvrer sur son point ultrasensible autour de son urètre. Nous nous gratifiant d’une jouissance commune aussi cyclonique que terrifiante.
Terrassé ensuite, Lucile me tira, me dirigea en tête-bêche au sol à poursuivre langoureusement un soixante-neuf. Basculant de coté, nos langues parcourent nos orifices séparés par le périnée, corolle, vulve et clitoris se couvrent de caresses et léchouilles, sa magne anale soutient ma raideur, son habilité tactile et buccal vida une ultime fois ma sève.
Lors de notre repos mérité, Lucile, effaça toutes les brouillons d’annonces qu’on avait élaborés.
- On n’en a plus besoin chéri ! Me dit-elle.
- Oui, mon amour !
- Tu as mis du temps pour comprendre, chéri. Mais on y est parvenu !
- Je sais ! Mais je ne voulais pas perdre ton amitié en me montrant ardent !
- J’ai mis trois mois. Mais je t’ai eu !
Elle me faisait rédiger des annonces sur le net pour elle. Dans un coin dans sa tête, elle me disait sûrement gay, elle ne cherchait pas plus loin.
Une amitié exceptionnelle nous liait, sans aucune barrière. Sauf mon état d’âme.
Elle corrigeait mes rédactions…les pimentaient. Sans gêne ni pudeur.
Elle voulait que je lui lève un mâle pour elle. Elle me montrait ce quelle attendait de lui.
Elle se projetait en lui idéalement.
Bien des fois Lucile n’arrivait plus interrompre son entrain… et elle jouissait devant moi. Les caresses imaginées quelle attendait de l’inconnu, la pourvoyait bien des fois, moi, j’étais invité à corser les paroles, détailler au plus prêt les besoins de Lucile.
Jamais Lucile s’était dénudée, elle se caressait ses seins, son minou, son corps entier, sous son t-shirt, sa culotte. Sa nudité, je me la devais imaginer.
Sortant de ses défaillances jouissives, Lucile me donnait un bisou amical. Même sur les lèvres…familiale, rien de plus. Sorti de son vertige, elle se plotait contre moi.
Elle me disait que j’étais privilégié de par sa confiance sans aucune limite. Je savais tout d’elle. Mes rédactions de plus en plus peaufinées m’ont appris à connaître son esprit, son corps, ses attentes.
Aucune autre personne ne pouvait jouer mon rôle. Sûrement remplaçable certes le jour quand elle aura trouvé son âme-sœur. Ce jour-là, je devrais lui céder ma place au mieux.
Un jour quand Lucile voyait ma bosse, habillée d’un grand sourire malin, y portait sa main dessus : - Danny, tu va le trouver, ton havre, j’en suis sûr. On a qu’à chercher dans le net en même temps, hein ?
Puis elle revenait sur le PC. C’est Lucile qui accouchait une annonce :« Beau mâle, la vingtaine, blond, 1m80, sportif, chercher belle femme courageuse… » …puis Lucile interrompe sa rédaction :
- Euh… ! Est-ce elle comment da verge Danny ? Faudrait que je le sache pour l’annonce ! Tu peux me la montrer ? On est entre nous ?!
Lucile n’attend pas ma réponse, car j’en étais incapable, sidéré de son audace. Elle s’active. Ceinture déjà défaite, elle s’agenouille, déboutonne, son regard rivé au déballage.
Elle me fait enlever le jean, même sort à mon boxer. Sorti de mon cagibi, ma verge saillant, les veines gonflées, se projette vers son visage comme un ressort.
- Waouh Danny ! Tu vas faire un malheur avec ça !
Bouche bée elle reste un instant en admiration, ce qui ne fait qu’aggraver mon état. Comme subjuguée Lucile y pose deux mains, presque formées comme une prière au long de ma tige, coulisse mon prépuce.
Elle ne pouvait plus quitter ma protubérance des yeux. Devant mon gland congestionné elle montre la niaque, porta ses lèvres dessus, accueille prémices érectiles, l’englouti.
Lucile sort un sein et porta son téton sur le nœud palpitant, enleva son t-shirt et emprisonne ma verge, assigne un aller-retour, elle baisa ses nibards, accueillant le gland dans sa bouche.
Lucile me provoqua mon non-retour au bout de deux minutes, ventousa ma sève, aspire la gaine porteur de ma semence jusqu’au la dernière goutte.
C’est à ce moment là Lucile me regarda pour la première fois dans les jeux. J’y voyais un bonheur indicible, un sourire complice. Elle poursuivait ses préliminaires, Lucile se dénude dans le quart heure qui suivait :
- Viens la mettre dans mon panier Danny chéri,…vite, vite…je n’en peux plus !
Elle m’enjambe, dos tourné, plaçant mon gland dans le centre du plaisir de son marécage vaginal que je voyais pour la première fois, aussitôt Lucile m’inonda de son effluve de cyprine.
Les hallucinâtes lèvres coulissent sur mon hampe, s’asphyxient dessus, aux mouvements nirvanas. Ses plaintes augmentent, sous ses cadences amazoniennes, Lucile me baise. Ondulant son bassin, raclant son fond profond et partant dans un orgasme tonitruant.
Ses cris me stimulent, sans se quitter, on se lève se positionne en « mystérieuse entrevue » debout, puis elle se pencha, mais sur le sol, le soulevant aux tibias.
Dans posture de « Brouette » notre étreinte devienne encore plus saillante, j’ose même la tourner en « Bateau ivre », position effectivement délirante pour Lucile, spécialement pourvue à œuvrer sur son point ultrasensible autour de son urètre. Nous nous gratifiant d’une jouissance commune aussi cyclonique que terrifiante.
Terrassé ensuite, Lucile me tira, me dirigea en tête-bêche au sol à poursuivre langoureusement un soixante-neuf. Basculant de coté, nos langues parcourent nos orifices séparés par le périnée, corolle, vulve et clitoris se couvrent de caresses et léchouilles, sa magne anale soutient ma raideur, son habilité tactile et buccal vida une ultime fois ma sève.
Lors de notre repos mérité, Lucile, effaça toutes les brouillons d’annonces qu’on avait élaborés.
- On n’en a plus besoin chéri ! Me dit-elle.
- Oui, mon amour !
- Tu as mis du temps pour comprendre, chéri. Mais on y est parvenu !
- Je sais ! Mais je ne voulais pas perdre ton amitié en me montrant ardent !
- J’ai mis trois mois. Mais je t’ai eu !
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