Fourreau Eléanore
Récit érotique écrit par Gouineur [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2015 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Fourreau Eléanore
J’ai vu cette étoile étincelante. Ce matin même, de retour du boulanger. Elle se disputait avec un déménageur. Il ne lui restait que du fourbi à remonter à ma nouvelle voisine. Le bonhomme lui refusait, car trop pressé dans son planning.
Je m’impose, Eléanore accepte. Elle ne voit pas le ‘trop lourd’ de mes printemps. Il lui fallait un homme. Moi j’étais là.
Une heure après, plus rien ne restait sur le trottoir. Moi j’étais chez elle. Eléanore était débordée, moi, disposé.
– Une bière Gil ?
Nous trinquons, canettes direct en main, je lui souhaite la bienvenue. On s’activait, rangeait. Perceptiblement, fur et à mesure l’ordre s’installe. Je branche ses appareils. Elle vient de retrouver les verres, Eléanore est claquée, elle s’assoit. On plaisante, on rigole, on se chamaille. Chouette cruche.
Je contrôle tous les fonctionnalités, tous marche, je laisse la sono, elle a presque les mêmes goûts que moi. Il est 11heures 30, rien à manger.
Je reviens à midi pile avec une bouteille, un repas, entrée, principal. Comme dessert, je lui ai dis, que prendrais elle. Eclat de rire. Un mot donne un autre. On continue jusqu’à 15heures, plus une aucune trace d’un carton. Tout est rangé, en place, Eléanore est chez elle, installée. Je sens une petite ivresse d’elle. Je pince mes couilles. Vas-y ! Sauf toi !
– Bon alors, à plus….
– Mais…tu ne vas pas me quitter comme ça, Gil ?
– Que veux tu Eléanore il est encore tôt. Tu connais la région ? Viens je t’emmène, on va faire un tour ?
– OK Gil, tu m’accepte comme ça ?
– Disons, que je n’ai pas le choix, je te préférais à poil.
Nouvel éclat de rire, elle prend son sac à main, s’embranche à mon bras, on y va. Le tour est vite fait, le village est petit, malgré son renommé internationale touristique. Ça cartonne, elle s’y plait, prend ses repères. On se fait un resto.
La patronne me complimente de ma compagnie, moi aussi je suis content.
Mille et une choses est passée en revue. Je lui demande :
– Comment un canon comme toi fait dans un tel coin perdu ?
– Le divorce, eh oui… heureusement on n’avait pas d’enfants.
– Tu n’as pas de voiture ? Ici l’infrastructure, c’est nulle. Comment tu te vas amuser ou travailler ?
– Pour le boulot c’est simple, j’ai mes filons virtuels. L’internet, ça marche pas mal.
– Bon, bien, on va rentrer bichette. Va rentabiliser ton loyer.
En rentrant, on se chicane, on rigole. Voilà rentré, je lui bisoute ses joues :
– Chao Bella, à plus !
– Ah non, Gil, tu ne va pas me laisser en friche comme ça. Il n’y a personne qui t’attend, on monte chez moi boire un coup.
– Non fillette, il faut que tu te repose. Appelle-moi quand tu veux.
Je m’en vais de mon coté, elle reste plantée sur place un moment et rentre chez elle. Je range la voiture, bricole deux trois trucs, rentre, écoute les messages :
« Je t’attends Gil, Eléanore. Dans une quarte heure. La douche est chez moi !«
– Pas croyable cette nénette ! Ce que femme veut, femme l’aura ! Surtout une comme elle, qui donnera bien envie la décrire tactilement. Tout est place chez elle, j’espère quelle aura de la braise au cul.
Je sonne. Elle ne m’ouvre pas. Je l’entends crier :
– Entre, c’est ouvert ! Viens sous la douche !
Je dépose la bouteille, me déshabille et j’entre, l’eau coule. Je la distingue à travers un nuage de vapeur. Je la rejoins.
– Alors Bébé, on a la bourde ?
– Non, moi je vais te schnouffer toi, mon veinard, tu verras. C’est quoi comme manière de me laisser en planque, non tu t’en tiras comme ça. Je suis ton dessert, t’as oublié bidouille de biffeton, hein ? Pas avec moi ! Je veux être mangé !
Elle se tourne, elle cale son corps contre le mien, elle plonge sa main, tire ma colonne de chair entre ses jambes, la mastouille dans ses cuisses, me tienne les mains sur ses monstres de nibars. Je sens ses tétons empierrer dans mes paumes. Un sacré secret de défense. Des cailloux pareils, là, je suis cuite. Elle se plote avec mes mains.
Moi qui réclamais de la braise, j’en suis servis. C’est un fourneau, prêt à fonctionner 24/24 heures.
Eléanore se pencha en avant, guida la baguette dans son fourreau, en s’appuyant au mur, elle lança un assaut sur ma bite mémorable.
Heureusement nos locations sont des maisons individuelles, sans trop réveiller le voisinage.
Latina comme elle est, Eléanore passe toute la gamme d’une trique houleuse.
Sa seule promesse quelle m’accordait était :
– Non, non, le dessert n’est pas encore fini…et encore pour longtemps.
On suit sa règle.
Pour la prochaine étape Eléanore s’est embranché une double bite dans sa chatte (gode ceinturon) pour me cingler mon fion.
Elle parvint en moins d’une minute à me faire éclaffer l’entrée, et badaboum Eléanore me clouait mon post derrière en performance professionnelle. Une main sur mon abdomen, l’autre astiquant ma manche.
Comme suite, une suspendue.
Une fois fourré mon nez dans son guêpier à elle, cuite par mon bouillon, je mangeais sa chatte goulûment comme dessert, agrémenté au parfum du remue ménage de son boyau.
Visages poissonneux nous nous sommes endormis, le réveille fut pimenté par Eléanore.
Je m’impose, Eléanore accepte. Elle ne voit pas le ‘trop lourd’ de mes printemps. Il lui fallait un homme. Moi j’étais là.
Une heure après, plus rien ne restait sur le trottoir. Moi j’étais chez elle. Eléanore était débordée, moi, disposé.
– Une bière Gil ?
Nous trinquons, canettes direct en main, je lui souhaite la bienvenue. On s’activait, rangeait. Perceptiblement, fur et à mesure l’ordre s’installe. Je branche ses appareils. Elle vient de retrouver les verres, Eléanore est claquée, elle s’assoit. On plaisante, on rigole, on se chamaille. Chouette cruche.
Je contrôle tous les fonctionnalités, tous marche, je laisse la sono, elle a presque les mêmes goûts que moi. Il est 11heures 30, rien à manger.
Je reviens à midi pile avec une bouteille, un repas, entrée, principal. Comme dessert, je lui ai dis, que prendrais elle. Eclat de rire. Un mot donne un autre. On continue jusqu’à 15heures, plus une aucune trace d’un carton. Tout est rangé, en place, Eléanore est chez elle, installée. Je sens une petite ivresse d’elle. Je pince mes couilles. Vas-y ! Sauf toi !
– Bon alors, à plus….
– Mais…tu ne vas pas me quitter comme ça, Gil ?
– Que veux tu Eléanore il est encore tôt. Tu connais la région ? Viens je t’emmène, on va faire un tour ?
– OK Gil, tu m’accepte comme ça ?
– Disons, que je n’ai pas le choix, je te préférais à poil.
Nouvel éclat de rire, elle prend son sac à main, s’embranche à mon bras, on y va. Le tour est vite fait, le village est petit, malgré son renommé internationale touristique. Ça cartonne, elle s’y plait, prend ses repères. On se fait un resto.
La patronne me complimente de ma compagnie, moi aussi je suis content.
Mille et une choses est passée en revue. Je lui demande :
– Comment un canon comme toi fait dans un tel coin perdu ?
– Le divorce, eh oui… heureusement on n’avait pas d’enfants.
– Tu n’as pas de voiture ? Ici l’infrastructure, c’est nulle. Comment tu te vas amuser ou travailler ?
– Pour le boulot c’est simple, j’ai mes filons virtuels. L’internet, ça marche pas mal.
– Bon, bien, on va rentrer bichette. Va rentabiliser ton loyer.
En rentrant, on se chicane, on rigole. Voilà rentré, je lui bisoute ses joues :
– Chao Bella, à plus !
– Ah non, Gil, tu ne va pas me laisser en friche comme ça. Il n’y a personne qui t’attend, on monte chez moi boire un coup.
– Non fillette, il faut que tu te repose. Appelle-moi quand tu veux.
Je m’en vais de mon coté, elle reste plantée sur place un moment et rentre chez elle. Je range la voiture, bricole deux trois trucs, rentre, écoute les messages :
« Je t’attends Gil, Eléanore. Dans une quarte heure. La douche est chez moi !«
– Pas croyable cette nénette ! Ce que femme veut, femme l’aura ! Surtout une comme elle, qui donnera bien envie la décrire tactilement. Tout est place chez elle, j’espère quelle aura de la braise au cul.
Je sonne. Elle ne m’ouvre pas. Je l’entends crier :
– Entre, c’est ouvert ! Viens sous la douche !
Je dépose la bouteille, me déshabille et j’entre, l’eau coule. Je la distingue à travers un nuage de vapeur. Je la rejoins.
– Alors Bébé, on a la bourde ?
– Non, moi je vais te schnouffer toi, mon veinard, tu verras. C’est quoi comme manière de me laisser en planque, non tu t’en tiras comme ça. Je suis ton dessert, t’as oublié bidouille de biffeton, hein ? Pas avec moi ! Je veux être mangé !
Elle se tourne, elle cale son corps contre le mien, elle plonge sa main, tire ma colonne de chair entre ses jambes, la mastouille dans ses cuisses, me tienne les mains sur ses monstres de nibars. Je sens ses tétons empierrer dans mes paumes. Un sacré secret de défense. Des cailloux pareils, là, je suis cuite. Elle se plote avec mes mains.
Moi qui réclamais de la braise, j’en suis servis. C’est un fourneau, prêt à fonctionner 24/24 heures.
Eléanore se pencha en avant, guida la baguette dans son fourreau, en s’appuyant au mur, elle lança un assaut sur ma bite mémorable.
Heureusement nos locations sont des maisons individuelles, sans trop réveiller le voisinage.
Latina comme elle est, Eléanore passe toute la gamme d’une trique houleuse.
Sa seule promesse quelle m’accordait était :
– Non, non, le dessert n’est pas encore fini…et encore pour longtemps.
On suit sa règle.
Pour la prochaine étape Eléanore s’est embranché une double bite dans sa chatte (gode ceinturon) pour me cingler mon fion.
Elle parvint en moins d’une minute à me faire éclaffer l’entrée, et badaboum Eléanore me clouait mon post derrière en performance professionnelle. Une main sur mon abdomen, l’autre astiquant ma manche.
Comme suite, une suspendue.
Une fois fourré mon nez dans son guêpier à elle, cuite par mon bouillon, je mangeais sa chatte goulûment comme dessert, agrémenté au parfum du remue ménage de son boyau.
Visages poissonneux nous nous sommes endormis, le réveille fut pimenté par Eléanore.
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