Croisière sur le Nil Chapitre 11
Récit érotique écrit par Le comte [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2021 dans la catégorie A dormir debout
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Croisière sur le Nil Chapitre 11
Chapitre 11
A la sortie du souterrain un soleil de plomb nous assomme littéralement . Immédiatement nous comprenons la gravité de la sitation , une crue soudaine du Nil semble avoir rétréci de moitié l'ile de Philae .
Nous apercevons au loin notre bateau tanguant fortement alors que des silhouettes s'agitent sur le pont supérieur.
Vite ! vite ! courrez ! nous devons partir !
Salah , prenant les sacs de toile des deux jeunes femmes s'élance sur le sentier sablonneux.
Tout en courant Mathilde qui est juste devant moi me souffle ; " eh bien mon ami vous sembliez fort à votre aise au fond de ce tombeau , peut-être qu'en tressant mes cheveux pourrais je vous intéresser de la sorte ? " N'attendant pas ma réponse et forçant ça course elle s'éloigne de moi alors que nous arrivons au Steam ship Soudan ..
Thérésa retrouvant sir Wiston entrain de monter la passerelle de bois me lance un regard énigmatique , en un éclair je revois mon membre durci entrant et sortant de sa bouche alors que ses grands yeux sombres me fixent intensément.
Eh bien ! Aidez moi donc !
Mon Dieu ! je n'ai pas même remarqué que ma charmante épouse, sa robe boueuse collée à ses sensuelles courbes se bat pour hisser une malle d'osier sur le pont de teck .
Mais déjà les grandes roues à haubes du vapeur brassent l'eau chargée de boue et de limon du fleuve sacré , la passerelle repliée nous nous dégageons rapidement de la jetée de pierre et de bois .
De retour dans la luxueuse cabine je constate que Mathilde est déjà dans la salle d'eau .
Sur le pont le spectacle du Nil en crue est impressionnant , accoudé à la rambarde d'acajou je sort ma petite boîte d'argent qui m'accompagne partout et m'allume un cigare de Cuba .
Quelle expédition incroyable ! bien sûr nous n'avons pas atteint notre but archéologique mais d'un certain point de vue ce fût mémorable !
Le soleil semble se poser maintenant sur l'horizon désertique qui me fait face , un effleurement me sort de ma rêverie , Mathilde est là , magnifique , son regard d'un bleu profond plonge dans le mien et immédiatement je remarque qu'une longue natte blonde fait le tour de sa nuque avant de descendre entre les courbes de ses seins.
Sans un mot je saisi son épaisse tresse , la fixant intensément tout en tirant sur sa natte elle baisse son regard en signe de soumission . Je la tire fermement en direction de notre cabine dont la porte de bois vernis est restée ouverte .
D'un coup de pied je referme le vantail latté derrière nous et force Mathilde à s'agenouiller à mes pieds . Tout en la maintenant fermement par sa natte je dégrafe ma ceinture faisant tomber mon lourd pantalon de toile à mes pieds.
Mon membre ainsi libéré se dresse immédiatement , je pose son extrémité ronde et gonflée sur le visage de Mathilde qui essaie de l'attraper de ses lèvres rouges , d'un geste sec je stop ses mouvements et savourant l'instant je reste quelque secondes ainsi avant de m'enfoncer profondément dans la bouche de mon épouse parfaitement soumise .
Ces profonds va et vient et cette position de domination totale me procure un plaisir indescriptible , après quelques longues minutes ma jouissance se répand en de longs traits saccadés remplissant la bouche de ma femme agenouillée.
Les grands yeux bleus de Mathilde se lèvent pour la première fois , me regardant intensément elle avale en un lent mouvement la chaude offrande que je viens de lui faire .
Lâchant sa natte je la laisse ainsi et disparaîs derrière les lourds rideaux de lin séparant le sas de la cabine .
Monsieur ! Monsieur !
Une voix féminine et des coups sur notre porte retentissent bruyamment ...
A la sortie du souterrain un soleil de plomb nous assomme littéralement . Immédiatement nous comprenons la gravité de la sitation , une crue soudaine du Nil semble avoir rétréci de moitié l'ile de Philae .
Nous apercevons au loin notre bateau tanguant fortement alors que des silhouettes s'agitent sur le pont supérieur.
Vite ! vite ! courrez ! nous devons partir !
Salah , prenant les sacs de toile des deux jeunes femmes s'élance sur le sentier sablonneux.
Tout en courant Mathilde qui est juste devant moi me souffle ; " eh bien mon ami vous sembliez fort à votre aise au fond de ce tombeau , peut-être qu'en tressant mes cheveux pourrais je vous intéresser de la sorte ? " N'attendant pas ma réponse et forçant ça course elle s'éloigne de moi alors que nous arrivons au Steam ship Soudan ..
Thérésa retrouvant sir Wiston entrain de monter la passerelle de bois me lance un regard énigmatique , en un éclair je revois mon membre durci entrant et sortant de sa bouche alors que ses grands yeux sombres me fixent intensément.
Eh bien ! Aidez moi donc !
Mon Dieu ! je n'ai pas même remarqué que ma charmante épouse, sa robe boueuse collée à ses sensuelles courbes se bat pour hisser une malle d'osier sur le pont de teck .
Mais déjà les grandes roues à haubes du vapeur brassent l'eau chargée de boue et de limon du fleuve sacré , la passerelle repliée nous nous dégageons rapidement de la jetée de pierre et de bois .
De retour dans la luxueuse cabine je constate que Mathilde est déjà dans la salle d'eau .
Sur le pont le spectacle du Nil en crue est impressionnant , accoudé à la rambarde d'acajou je sort ma petite boîte d'argent qui m'accompagne partout et m'allume un cigare de Cuba .
Quelle expédition incroyable ! bien sûr nous n'avons pas atteint notre but archéologique mais d'un certain point de vue ce fût mémorable !
Le soleil semble se poser maintenant sur l'horizon désertique qui me fait face , un effleurement me sort de ma rêverie , Mathilde est là , magnifique , son regard d'un bleu profond plonge dans le mien et immédiatement je remarque qu'une longue natte blonde fait le tour de sa nuque avant de descendre entre les courbes de ses seins.
Sans un mot je saisi son épaisse tresse , la fixant intensément tout en tirant sur sa natte elle baisse son regard en signe de soumission . Je la tire fermement en direction de notre cabine dont la porte de bois vernis est restée ouverte .
D'un coup de pied je referme le vantail latté derrière nous et force Mathilde à s'agenouiller à mes pieds . Tout en la maintenant fermement par sa natte je dégrafe ma ceinture faisant tomber mon lourd pantalon de toile à mes pieds.
Mon membre ainsi libéré se dresse immédiatement , je pose son extrémité ronde et gonflée sur le visage de Mathilde qui essaie de l'attraper de ses lèvres rouges , d'un geste sec je stop ses mouvements et savourant l'instant je reste quelque secondes ainsi avant de m'enfoncer profondément dans la bouche de mon épouse parfaitement soumise .
Ces profonds va et vient et cette position de domination totale me procure un plaisir indescriptible , après quelques longues minutes ma jouissance se répand en de longs traits saccadés remplissant la bouche de ma femme agenouillée.
Les grands yeux bleus de Mathilde se lèvent pour la première fois , me regardant intensément elle avale en un lent mouvement la chaude offrande que je viens de lui faire .
Lâchant sa natte je la laisse ainsi et disparaîs derrière les lourds rideaux de lin séparant le sas de la cabine .
Monsieur ! Monsieur !
Une voix féminine et des coups sur notre porte retentissent bruyamment ...
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