Croisière sur le Nil chapitre 12 - histoire érotique

Chapitre 12
J'ouvre promptement la porte de notre cabine car le ton de cette voix me semble fort désespéré.
Une jeune femme apparemment terrorisée se jette littéralement à mes pieds , elle enserre violemment mes jambes de ses bras avec une force ma fois peu commune !
Monsieur ! ,monsieur !  la jeune femme qui semble être une autochtone répète ces mots avec un fort accent tout en regardant derrière elle d'un air apeuré.
Faisant un pas en arrière en la trainant avec moi je referme le vantail d'acajou sèchement et le verrouille .
Je remarque alors que la jeune femme est partiellement dénudée car sa robe est en grande partie déchirée .
Malgré la rapidité de l'action la sensualité de ce corps juvénile et exotique me trouble immédiatement.
Mathilde nous rejoignant m'interroge du regard et me demande ; cher ami   connaissez vous cette personne ? Mais que peut elle bien fuir de la sorte !
Eh bien  ! ne restez pas là comme une statue antique !
Se penchant vers la jeune femme elle me designe d'un regard le fusil appuyé à coté de la porte .
Le saissant promptement je bondis sur le pont faiblement éclairé du bateau .
Après en avoir fais le tour je descends sur les quais sombres et inspecte les abords du vapeur . Mes recherches n'ayant aboutis à aucuns résultats je me résous à revenir à la cabine .
En pénétrant à l'intérieur un quasi silence règne , je remarque immédiatement dans la semi pénombre le bloc note de Mathilde posé verticalement sur le petit secrétaire d'acajou faisant face à l'entrée .
Le saissisant , je découvre ce qui me semble être une suite de mots dénués de  sens .
Seuls quelques bruits d'eau viennent briser le silence de cette mystérieuse nuit égyptienne.
C'est alors que j'aperçois le petit miroir en argent dont Mathilde se sert pour se coiffer posé à côté de l'hermétique message . Me souvenant des énigmes de mon enfance que mon grand grand-père nous préparait dans son manoir , je l'incline contre le feuillet , des mots parfaitement compréhensibles apparaissent alors .
" Ô bête inconnue viens chercher tes esclaves tu en es le Maitre , attaches les car elle n'aiment pas la liberté " Me dirigeant vers la salle d'eau , je remarque que la luxueuse cabine est uniquement éclairée par un clair de lune lui donnant un aspect plus mystérieux que jamais .
Ouvrant lentement la porte sur la pièce d'eau richement habillée de marbre et de boiseries je découvre deux femmes assises sur leurs talons à même le sol me tournant le dos .
Ces deux corps entièrement nus me frappent par leur beautés si différentes , l'une blanche comme de l'ivoire et l'autre d'un bronze mat agissant l'une sur l'autre comme un révélateur fascinant.  Une longue chevelure blonde d'un coté et son pandant noir de l'autre tombant de la même façon sur leurs fesses magnifiques .
La finesse de leurs deux tailles et le galbe de leurs hanches me tourne la tête immédiatement. Mon sang bat furieusement dans mes tempes et dans mon membre délaissant mon cerveau et aveuglant mon esprit .
Le souffle de l'animal inonde mes poumons d'un air brûlant.
Les poignets de mon esclave blonde sont liés derrière elle par une grossière corde de chanvre , un bandeau couvre ses yeux .
Mon autre esclave dont je ne connais pas le nom n'est pas attachée mais une corde est posée à côté de ses pieds.
Sans un mot j'enlève lentement tout mes vêtements , d'un geste j'ouvre le grand hublot de cuivre faisant pénétrer la fraîcheur du fleuve sacré et la lumière de l'astre de nuit .
Détachant les poignets de la femme aux yeux bandés je transforme leurs liens en deux laisses sommaires que je sers rapidement autour du cou des deux créatures silencieuses et soumises.
Tirant sur les deux longes je sort de la salle d'eau , arrivé sur l'épais tapis grenat et noir devant le lit aux imposantes colonnes torsadées  je me retourne , le spectacle qui s'offre à mes yeux me rends fou de désir , deux magnifiques jeunes femme en laisse à quatre pattes ,leurs croupes cambrées me donne immédiatement envie de les contourner et de les prendre tel un vil babouin mais je me retiens  , saisissant les épaules de la femme au corps d'ivoire je la redresse et attache ses poignetas au dessus de sa tête à l'une des quatre colonne d'ébène .
Je détache le bandeau couvrant ses yeux et l'attache sur sa bouche le transformant en bâillon.
Sans un regard pour elle je me retourne et force l'esclave sombre à venir à mes piedsTirant lentement sur la corde de chanvre je la contraint à coller son visage sous mes bourses .
Ses grands yeux sombres ne semble trahir aucune peur et déjà sa langue bien plus clair que sa peau lèche mes lourds attributs.
Je sais que mon épouse nous regarde et que sa responsabilité doit la troubler mais  surtout l'exciter de la plus vive des façons . Debout , le sexe tendu je tourne mon regard vers mon femme entravée . Ses yeux bleus brillent d'une étrange lueur mêlant colère et excitation.
Tout en savourant l'instant je tire brutalement sur la laisse de chanvre plaçant le beau visage de mon esclave aux yeux noirs devant mon sexe dressé .
Baissant les yeux elle ouvre sa délicieuse bouche et se fige , immobile et magnifique ses lourds seins sombres montants et descendant au rythme de sa respiration .
Saisant ma verge aux veines gonflées  j'introduis mon gland lentement ,le glissant  entre les lèvres chaudes et brillantes de mon esclave d'une nuit .
Mathilde toujours attachée à trois pieds de nous ne rate rien du spectacle .je peux distinguer dans la faible lumiere des photophores son sexe brillant d'excitation