Cruising humide
Récit érotique écrit par Kalogan [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-11-2025 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Cruising humide
Alex était un habitué des spots de cruising gay de sa ville. À 28 ans, avec son corps athlétique et son regard malicieux, il adorait l'excitation de l'inconnu, le frisson de se laisser aller complètement. Ce qu'il aimait par-dessus tout, c'était se faire enculer sans retenue, et pendant que ça arrivait, il se lâchait pour pisser, peu importe si son pantalon était baissé ou non. Ça ajoutait une couche de tabou, de dépravation qui le faisait bander encore plus fort.
Ce soir-là, il s'était garé près d'un parc boisé, un lieu connu pour ses sentiers sombres et ses buissons complices. Il portait un jean slim qui moulait ses fesses, et une chemise ouverte sur son torse lisse.
L'air était frais, chargé d'une odeur de terre humide et de feuillages. Il s'enfonça entre les arbres, son cœur battant la chamade. Bientôt, il repéra une silhouette : un mec baraqué, la quarantaine, avec une barbe et un air dominant. Leurs regards se croisèrent, et sans un mot, ils s'approchèrent.
Le type l'approcha doucement en carrossable discrètement la bosse dans son pantalon. "T'es venu pour quoi ?" demanda l'inconnu doucement. "Pour me faire démonter," murmura Alex, les yeux brillants. L'homme souris d'un coup et ouvrit sa braguette.
Il déboutonna le jean d'Alex, le baissant juste assez pour libérer son cul, mais laissant le pantalon entraver ses chevilles. Alex adorait cette sensation de vulnérabilité, piégé par ses propres vêtements.
L'inconnu cracha dans sa main, enduisant sa bite épaisse avant de la presser contre l'entrée d'Alex. "Prêt ?" demanda-t-il, mais c'était rhétorique. D'un coup sec, il s'enfonça, arrachant un cri de plaisir à Alex. La bite le remplissait, étirant ses parois, et Alex se cambra, s'empalant plus profondément. "Putain, ouais, baise-moi fort," haleta-t-il, ses mains agrippant l'écorce.
Pendant que l'homme le pilonnait, enfonçant sa queue jusqu'à la garde à chaque va-et-vient, Alex sentit la queue qu'il avait dans le cul taper contre sa vessie. Il avait bu exprès avant de venir, pour ce moment précis. "Je vais... je vais pisser," murmura-t-il, mais l'inconnu ne ralentit pas, au contraire, il accéléra, grognant : "Vas-y, lâche-toi, salope." Alex se détendit, et soudain, un jet chaud jaillit de sa bite à moitié molle, trempant l'intérieur de son pantalon baissé. L'urine coulait le long de ses cuisses, imprégnant le tissu, formant une flaque à ses pieds. L'odeur âcre se mêlait à celle de la sueur et du sexe, et ça le rendait fou. Il pissait en continu, son corps secoué par les coups de reins, chaque poussée faisant gicler un peu plus.
L'inconnu riait, excité par le spectacle. "T'es une vraie chienne, hein ? Pisser comme ça pendant que je t'encule." Il accéléra encore, claquant ses hanches contre les fesses d'Alex, qui gémissait sans retenue. Mais Alex voulait plus de déchéance. "Attends," dit-il entre deux halètements. L'homme se retira un instant, et Alex remonta son pantalon mouillé, le refermant sur sa queue encore dégoulinante. "Baise-moi comme ça," ordonna-t-il, se retournant contre l'arbre.
L'inconnu ne se fit pas prier. Il baissa juste le jean au niveau des fesses, exposant le cul d'Alex, et replongea dedans d'un coup brutal. Alex cria de plaisir, sentant la bite le ravager à nouveau. Et là, avec son pantalon remonté, il se lâcha complètement. L'urine recommença à couler, mais cette fois, coincée dans le tissu, elle imprégnait tout : son boxer, son jean, ruisselant le long de ses jambes jusqu'à ses chaussures. Il pissait abondamment, le jet chaud se frayant un chemin à travers les vêtements, pendant que l'homme le martelait sans pitié. "Oh putain, oui, je pisse partout," gémit Alex, son corps tremblant d'extase.
L'inconnu grogna, ses mains serrant les hanches d'Alex, et enfin, il jouit, déversant sa semence chaude au fond de lui. Alex suivit presque aussitôt, sa queue pulsant dans son pantalon trempé, mélangeant sperme et pisse dans un chaos humide. Ils restèrent ainsi un moment, haletants, avant que l'homme ne se retire, remontant le jean d'Alex sur son cul encore dégoulinant.
Alex rentra chez lui avec son pantalon souillé, l'odeur persistante lui rappelant sa nuit. Il savait qu'il reviendrait bientôt, pour revivre cette liberté totale, se faire enculer et pisser sans limites, pantalon baissé ou non. C'était son vice, et il l'assumait pleinement.
Ce soir-là, il s'était garé près d'un parc boisé, un lieu connu pour ses sentiers sombres et ses buissons complices. Il portait un jean slim qui moulait ses fesses, et une chemise ouverte sur son torse lisse.
L'air était frais, chargé d'une odeur de terre humide et de feuillages. Il s'enfonça entre les arbres, son cœur battant la chamade. Bientôt, il repéra une silhouette : un mec baraqué, la quarantaine, avec une barbe et un air dominant. Leurs regards se croisèrent, et sans un mot, ils s'approchèrent.
Le type l'approcha doucement en carrossable discrètement la bosse dans son pantalon. "T'es venu pour quoi ?" demanda l'inconnu doucement. "Pour me faire démonter," murmura Alex, les yeux brillants. L'homme souris d'un coup et ouvrit sa braguette.
Il déboutonna le jean d'Alex, le baissant juste assez pour libérer son cul, mais laissant le pantalon entraver ses chevilles. Alex adorait cette sensation de vulnérabilité, piégé par ses propres vêtements.
L'inconnu cracha dans sa main, enduisant sa bite épaisse avant de la presser contre l'entrée d'Alex. "Prêt ?" demanda-t-il, mais c'était rhétorique. D'un coup sec, il s'enfonça, arrachant un cri de plaisir à Alex. La bite le remplissait, étirant ses parois, et Alex se cambra, s'empalant plus profondément. "Putain, ouais, baise-moi fort," haleta-t-il, ses mains agrippant l'écorce.
Pendant que l'homme le pilonnait, enfonçant sa queue jusqu'à la garde à chaque va-et-vient, Alex sentit la queue qu'il avait dans le cul taper contre sa vessie. Il avait bu exprès avant de venir, pour ce moment précis. "Je vais... je vais pisser," murmura-t-il, mais l'inconnu ne ralentit pas, au contraire, il accéléra, grognant : "Vas-y, lâche-toi, salope." Alex se détendit, et soudain, un jet chaud jaillit de sa bite à moitié molle, trempant l'intérieur de son pantalon baissé. L'urine coulait le long de ses cuisses, imprégnant le tissu, formant une flaque à ses pieds. L'odeur âcre se mêlait à celle de la sueur et du sexe, et ça le rendait fou. Il pissait en continu, son corps secoué par les coups de reins, chaque poussée faisant gicler un peu plus.
L'inconnu riait, excité par le spectacle. "T'es une vraie chienne, hein ? Pisser comme ça pendant que je t'encule." Il accéléra encore, claquant ses hanches contre les fesses d'Alex, qui gémissait sans retenue. Mais Alex voulait plus de déchéance. "Attends," dit-il entre deux halètements. L'homme se retira un instant, et Alex remonta son pantalon mouillé, le refermant sur sa queue encore dégoulinante. "Baise-moi comme ça," ordonna-t-il, se retournant contre l'arbre.
L'inconnu ne se fit pas prier. Il baissa juste le jean au niveau des fesses, exposant le cul d'Alex, et replongea dedans d'un coup brutal. Alex cria de plaisir, sentant la bite le ravager à nouveau. Et là, avec son pantalon remonté, il se lâcha complètement. L'urine recommença à couler, mais cette fois, coincée dans le tissu, elle imprégnait tout : son boxer, son jean, ruisselant le long de ses jambes jusqu'à ses chaussures. Il pissait abondamment, le jet chaud se frayant un chemin à travers les vêtements, pendant que l'homme le martelait sans pitié. "Oh putain, oui, je pisse partout," gémit Alex, son corps tremblant d'extase.
L'inconnu grogna, ses mains serrant les hanches d'Alex, et enfin, il jouit, déversant sa semence chaude au fond de lui. Alex suivit presque aussitôt, sa queue pulsant dans son pantalon trempé, mélangeant sperme et pisse dans un chaos humide. Ils restèrent ainsi un moment, haletants, avant que l'homme ne se retire, remontant le jean d'Alex sur son cul encore dégoulinant.
Alex rentra chez lui avec son pantalon souillé, l'odeur persistante lui rappelant sa nuit. Il savait qu'il reviendrait bientôt, pour revivre cette liberté totale, se faire enculer et pisser sans limites, pantalon baissé ou non. C'était son vice, et il l'assumait pleinement.
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