Le vendeur aime ce qu'il voit
Récit érotique écrit par Kalogan [→ Accès à sa fiche auteur]
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Le vendeur aime ce qu'il voit
Alex était un jeune homme de 22 ans, avec un corps athlétique sculpté par des heures de gym, et une queue bien épaisse qui ne passait jamais inaperçue. Ce jour-là, il avait décidé d'aller dans un grand magasin pour renouveler sa collection de sous-vêtements. Il flânait dans le rayon homme, attrapant des boxers, des slips et des trucs plus osés, imaginant déjà comment ils mettraient en valeur son paquet massif.
Il entra dans la cabine d'essayage, un petit espace exigu avec un rideau fin qui séparait à peine du reste du magasin. Il enfila un slip basique, noir, taille M, qui moulait parfaitement ses couilles et sa bite au repos, formant une bosse impressionnante. Mais il voulait être sûr, alors il appela : "Excusez-moi, vous pourriez me donner un avis ?"
Un vendeur s'approcha, un mec d'une quarantaine d'années, bien foutu, avec des épaules larges et un torse musclé sous sa chemise ajustée. Il avait l'air pro, sourire commercial, mais ses yeux trahissaient une certaine faim. "Bien sûr, monsieur. En quoi puis-je vous aider ? Des conseils sur la taille, le style ?"
Alex ouvrit légèrement le rideau, se montrant en slip, les jambes écartées pour bien exhiber son gros paquet qui tendait le tissu. "Vous en pensez quoi ? C'est la bonne taille ?"
Le vendeur, appelons-le Marc, jeta un œil professionnel, mais impossible de ne pas mater. Ses pupilles s'attardèrent sur cette bosse énorme, imaginant sans doute ce qui se cachait dessous. Il déglutit discrètement, sentant sa propre queue remuer dans son pantalon. "Ça a l'air parfait, monsieur. Le tissu épouse bien les formes sans comprimer. Si vous voulez plus ample, je peux vous apporter une taille au-dessus."
Alex remarqua le regard furtif, le léger rougissement sur les joues de Marc. "Putain, il mate grave," se dit-il en souriant intérieurement. Il décida de jouer un peu, de pousser le truc pour voir jusqu'où ça irait. "Ouais, apportez-moi la taille L, s'il vous plaît."
Marc revint vite avec le slip, le passa par l'ouverture du rideau. Alex l'enfila, mais cette fois, quand il rouvrit le rideau pour demander l'avis, il avait enlevé le bas complètement. Il se tenait là, nu de la taille aux pieds, sa queue épaisse pendouillant entre ses cuisses musclées, ses couilles lourdes bien visibles. "Et celui-là, qu'en dites-vous ?"
Marc sursauta, ses yeux rivés sur cette bite massive, veinée, avec un gland rose qui semblait déjà un peu gonflé. Il essaya de rester pro : "Euh, monsieur, vous devriez peut-être... refermer." Mais il matait bien, sa respiration s'accélérant, et il referma le rideau d'un geste rapide, pas sans avoir jeté un dernier regard vorace.
Alex rigola dans sa barbe, excité par le jeu. Il recommença le manège plusieurs fois : demander une autre taille, ouvrir le rideau à poil, queue à l'air, forçant Marc à mater à chaque fois. Le vendeur restait pro en surface, mais ses mains tremblaient un peu, et Alex remarqua la bosse grandissante dans son pantalon. Les autres clients n'étaient pas loin, des voix étouffées dans le rayon, ce qui rendait le truc encore plus bandant.
Enfin, Alex essaya un slip spécial, un de ces modèles old-school avec une poche à l'avant, une petite ouverture discrète pour sortir la bite sans tout enlever. Il l'enfila, sentant le tissu frotter contre sa queue qui commençait à durcir. Il appela Marc : "Hé, venez voir, j'ai une question sur ce modèle."
Marc approcha, un peu rouge, visiblement excité sous son air composé. "Oui, monsieur ?"
Alex ouvrit le rideau juste assez pour que Marc voie. "C'est quoi cette ouverture devant ? À quoi ça sert exactement ?"
Marc déglutit, ses yeux fixés sur le slip tendu par le paquet d'Alex. "C'est... euh, pour faciliter l'accès, monsieur. Pour uriner sans enlever le sous-vêtement." Il était gêné, mais sa voix tremblait d'excitation. Pour illustrer, il tendit le bout des doigts, tira doucement sur le tissu du slip, effleurant presque la peau d'Alex, montrant l'ouverture béante.
Alex en profita direct : il glissa sa main dedans et sortit sa queue par le trou, la laissant pendre là, épaisse et veinée, déjà à moitié dure. "Ah ouais ? Genre comme ça ?"
Marc, planté dans l'ouverture du rideau, mata la bite qui sortait du slip, hypnotisé. "O-Oui, c'est exactement ça, monsieur. Très... bien comme ça." Ses yeux brillaient, et sans pouvoir se retenir plus longtemps, il tendit la main, effleura du bout des doigts cette belle queue chaude, la caressant lentement, sentant la peau douce et les veines pulser.
Alex banda instantanément, sa bite gonflant sous les caresses, devenant énorme, raide comme un piquet. Marc, jetant un œil rapide autour pour s'assurer que personne ne voyait – les autres clients papotaient à quelques mètres –, empoigna la queue à pleine main et se mit à la branler discrètement. Ses doigts serraient fort, montant et descendant le long de la hampe épaisse, tirant sur le prépuce pour exposer le gland luisant. "Putain, quelle belle bite," murmura-t-il tout bas, excité comme un fou, sa propre queue dure comme du béton dans son froc.
Alex gémit doucement, poussant ses hanches en avant, laissant Marc le masturber avec vigueur, la main experte glissant sur la longueur, pressant les couilles à travers le slip. Le risque d'être surpris rendait le truc explosif, mais Marc était discret, son corps bloquant la vue. Alex sentait la pression monter, sa bite palpitant dans la poigne ferme du vendeur, prêt à cracher sa sauce chaude à tout moment. "Continue, branle-moi bien," souffla-t-il, perdu dans le plaisir de cette branlette improvisée au milieu du magasin.
Alex, les yeux mi-clos, sentait la pression monter comme une vague dans ses couilles gonflées. Marc accéléra le rythme de sa branlette, sa main serrant la bite énorme, pompant avec vigueur, le pouce frottant le gland sensible pour faire perler du pré-cum. "Vas-y, lâche tout," murmura Marc, excité, sentant la queue palpiter violemment.
Soudain, Alex explosa : un jet puissant de sperme épais jaillit, éclaboussant le miroir de la cabine en longues traînées blanches et crémeuses, dégoulinant lentement sur la surface. Le reste atterrit dans la paume de Marc, une grosse quantité chaude qui déborda entre ses doigts. "Putain, quelle charge," grogna Alex, haletant, sa bite encore dure et ruisselante.
Marc, les yeux brillants, porta sa main à sa bouche sans hésiter, léchant le sperme collant, savourant le goût salé et sucré, suçant chaque doigt pour tout nettoyer. Puis, avec un sourire complice, il referma le rideau d'un geste sec et reprit son travail comme si de rien n'était, servant les autres clients avec son air pro, la bite encore tendue dans son pantalon.
Il entra dans la cabine d'essayage, un petit espace exigu avec un rideau fin qui séparait à peine du reste du magasin. Il enfila un slip basique, noir, taille M, qui moulait parfaitement ses couilles et sa bite au repos, formant une bosse impressionnante. Mais il voulait être sûr, alors il appela : "Excusez-moi, vous pourriez me donner un avis ?"
Un vendeur s'approcha, un mec d'une quarantaine d'années, bien foutu, avec des épaules larges et un torse musclé sous sa chemise ajustée. Il avait l'air pro, sourire commercial, mais ses yeux trahissaient une certaine faim. "Bien sûr, monsieur. En quoi puis-je vous aider ? Des conseils sur la taille, le style ?"
Alex ouvrit légèrement le rideau, se montrant en slip, les jambes écartées pour bien exhiber son gros paquet qui tendait le tissu. "Vous en pensez quoi ? C'est la bonne taille ?"
Le vendeur, appelons-le Marc, jeta un œil professionnel, mais impossible de ne pas mater. Ses pupilles s'attardèrent sur cette bosse énorme, imaginant sans doute ce qui se cachait dessous. Il déglutit discrètement, sentant sa propre queue remuer dans son pantalon. "Ça a l'air parfait, monsieur. Le tissu épouse bien les formes sans comprimer. Si vous voulez plus ample, je peux vous apporter une taille au-dessus."
Alex remarqua le regard furtif, le léger rougissement sur les joues de Marc. "Putain, il mate grave," se dit-il en souriant intérieurement. Il décida de jouer un peu, de pousser le truc pour voir jusqu'où ça irait. "Ouais, apportez-moi la taille L, s'il vous plaît."
Marc revint vite avec le slip, le passa par l'ouverture du rideau. Alex l'enfila, mais cette fois, quand il rouvrit le rideau pour demander l'avis, il avait enlevé le bas complètement. Il se tenait là, nu de la taille aux pieds, sa queue épaisse pendouillant entre ses cuisses musclées, ses couilles lourdes bien visibles. "Et celui-là, qu'en dites-vous ?"
Marc sursauta, ses yeux rivés sur cette bite massive, veinée, avec un gland rose qui semblait déjà un peu gonflé. Il essaya de rester pro : "Euh, monsieur, vous devriez peut-être... refermer." Mais il matait bien, sa respiration s'accélérant, et il referma le rideau d'un geste rapide, pas sans avoir jeté un dernier regard vorace.
Alex rigola dans sa barbe, excité par le jeu. Il recommença le manège plusieurs fois : demander une autre taille, ouvrir le rideau à poil, queue à l'air, forçant Marc à mater à chaque fois. Le vendeur restait pro en surface, mais ses mains tremblaient un peu, et Alex remarqua la bosse grandissante dans son pantalon. Les autres clients n'étaient pas loin, des voix étouffées dans le rayon, ce qui rendait le truc encore plus bandant.
Enfin, Alex essaya un slip spécial, un de ces modèles old-school avec une poche à l'avant, une petite ouverture discrète pour sortir la bite sans tout enlever. Il l'enfila, sentant le tissu frotter contre sa queue qui commençait à durcir. Il appela Marc : "Hé, venez voir, j'ai une question sur ce modèle."
Marc approcha, un peu rouge, visiblement excité sous son air composé. "Oui, monsieur ?"
Alex ouvrit le rideau juste assez pour que Marc voie. "C'est quoi cette ouverture devant ? À quoi ça sert exactement ?"
Marc déglutit, ses yeux fixés sur le slip tendu par le paquet d'Alex. "C'est... euh, pour faciliter l'accès, monsieur. Pour uriner sans enlever le sous-vêtement." Il était gêné, mais sa voix tremblait d'excitation. Pour illustrer, il tendit le bout des doigts, tira doucement sur le tissu du slip, effleurant presque la peau d'Alex, montrant l'ouverture béante.
Alex en profita direct : il glissa sa main dedans et sortit sa queue par le trou, la laissant pendre là, épaisse et veinée, déjà à moitié dure. "Ah ouais ? Genre comme ça ?"
Marc, planté dans l'ouverture du rideau, mata la bite qui sortait du slip, hypnotisé. "O-Oui, c'est exactement ça, monsieur. Très... bien comme ça." Ses yeux brillaient, et sans pouvoir se retenir plus longtemps, il tendit la main, effleura du bout des doigts cette belle queue chaude, la caressant lentement, sentant la peau douce et les veines pulser.
Alex banda instantanément, sa bite gonflant sous les caresses, devenant énorme, raide comme un piquet. Marc, jetant un œil rapide autour pour s'assurer que personne ne voyait – les autres clients papotaient à quelques mètres –, empoigna la queue à pleine main et se mit à la branler discrètement. Ses doigts serraient fort, montant et descendant le long de la hampe épaisse, tirant sur le prépuce pour exposer le gland luisant. "Putain, quelle belle bite," murmura-t-il tout bas, excité comme un fou, sa propre queue dure comme du béton dans son froc.
Alex gémit doucement, poussant ses hanches en avant, laissant Marc le masturber avec vigueur, la main experte glissant sur la longueur, pressant les couilles à travers le slip. Le risque d'être surpris rendait le truc explosif, mais Marc était discret, son corps bloquant la vue. Alex sentait la pression monter, sa bite palpitant dans la poigne ferme du vendeur, prêt à cracher sa sauce chaude à tout moment. "Continue, branle-moi bien," souffla-t-il, perdu dans le plaisir de cette branlette improvisée au milieu du magasin.
Alex, les yeux mi-clos, sentait la pression monter comme une vague dans ses couilles gonflées. Marc accéléra le rythme de sa branlette, sa main serrant la bite énorme, pompant avec vigueur, le pouce frottant le gland sensible pour faire perler du pré-cum. "Vas-y, lâche tout," murmura Marc, excité, sentant la queue palpiter violemment.
Soudain, Alex explosa : un jet puissant de sperme épais jaillit, éclaboussant le miroir de la cabine en longues traînées blanches et crémeuses, dégoulinant lentement sur la surface. Le reste atterrit dans la paume de Marc, une grosse quantité chaude qui déborda entre ses doigts. "Putain, quelle charge," grogna Alex, haletant, sa bite encore dure et ruisselante.
Marc, les yeux brillants, porta sa main à sa bouche sans hésiter, léchant le sperme collant, savourant le goût salé et sucré, suçant chaque doigt pour tout nettoyer. Puis, avec un sourire complice, il referma le rideau d'un geste sec et reprit son travail comme si de rien n'était, servant les autres clients avec son air pro, la bite encore tendue dans son pantalon.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il m'est arrivé un truc semblable dans une cabine d'essayage d'un grand magasin de sport.
Je cherchais un slip de bain Mais là, c'est le vendeur qui m' a drague. Un jeune rebeu magnifique, embauche pour les vacances...
Deja, il m'a conseille sur le modèle, puis il m'a dit qu'il me dirait si ça me va. Quand j'ai ouvery la cabine pour lui montrer, il s'est engoufré dedans et s'est mis direct à genoux...
Malheureusement, à ce moment là, on a entendu ses collégues qui le cherchaient.
Il m'a rejoint dans le rayon après et m'a donne son 06.
Le soir même, on baisait ensemble.
Et, depuis 3 ans, on vit ensemble. Tom
Je cherchais un slip de bain Mais là, c'est le vendeur qui m' a drague. Un jeune rebeu magnifique, embauche pour les vacances...
Deja, il m'a conseille sur le modèle, puis il m'a dit qu'il me dirait si ça me va. Quand j'ai ouvery la cabine pour lui montrer, il s'est engoufré dedans et s'est mis direct à genoux...
Malheureusement, à ce moment là, on a entendu ses collégues qui le cherchaient.
Il m'a rejoint dans le rayon après et m'a donne son 06.
Le soir même, on baisait ensemble.
Et, depuis 3 ans, on vit ensemble. Tom
