Curieuse cure 11
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-02-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Curieuse cure 11
- Bon, je t’écoute. Mais n’essaie plus de m’embobiner ou je te dépose sur le prochain parking d’autoroute. Ça te donnera l’occasion de rencontrer des camionneurs en manque de sexe et d’accroître tes connaissances en relations sexuelles extraconjugales. Généralement ils ont une fameuse réputation de mâles expérimentés, dégainent volontiers et attirent les femmes en mal de sensations fortes. Tu es exactement leur idéal : tu peux tromper ton mari sans état d’âme, les remords ne t’étouffent pas quand tu baises.
- Oh ! Non, Jean. Ne m’écrase pas avec tes sarcasmes. Je reconnais avoir failli. Pitié, ne sois pas méchant. Tu as le beau jeu; j’ai tous les torts. La cruauté te procurera des joies de courte durée. Ne me terrasse pas avant de m’avoir laissé te raconter comment a commencé mon histoire.
Après un nouveau torrent de larmes, avec une allure de chien battu, Julie se lance dans son récit par une question:
-Te souviens-tu de Marie Joséphine ?
- Comment oublier un prénom aussi original ! Il s’agit de celle de tes copines qui a fait un beau mariage avec un homme d’affaires de quinze ans plus âgé qu’elle, si ma mémoire est bonne.
- Oui, tu as une mémoire fidèle.
- Une mémoire fidèle, juste bonne à retenir tout ce qui n’est plus fidèle dans ma vie. Qu’est devenue cette femme ? Il y a des lustres que tu ne m’a pas parlé d’elle. Est-ce un modèle pour toi? Qu’a-t-elle à faire dans ton escapade amoureuse de cougar ?
- Bien plus que tu ne crois. Il y a quelques mois, par hasard, je l’ai rencontrée à l’intérieur de notre grande surface. Elle m’a reconnue, appelée par mon prénom, est venue m’embrasser, m’a invitée à la cafétéria Nous sommes passées par la case « Comment vas-tu ? » et sommes arrivées au récit de sa vie mouvementée. Elle a posé ses valises un peu partout dans le monde, dans le sillage de son riche mari. Pourtant ce Raoul a tenu moins de place dans ses bavardages que son fils. C’ est une mère comblée, elle a accouché d’un enfant prodige, intelligent, beau, aimable, enfin, une des merveilles du monde. Comme toutes les mères du monde elle est en adoration devant le fruit de ses entrailles, sans notion d’exagération. Ce garçon adoré de sa mère, l’adore en retour. Malgré ses diplômes M-J ( NDR : Marie Joséphine mais aussi Marie-Jo ) a cessé de travailler dès le début de sa grossesse et a ensuite consacré sa vie, ses forces et son amour à ce magnifique rejeton. Les absences fréquentes du père ont contribué à rapprocher de façon extraordinaire la mère et le fils.
Elle l’a élevé comme le voulait la mode à l’époque, l’a nourri au sein pour le vacciner contre les maladies infantiles, l’a beaucoup porté contre elle, l’a habitué à prendre son bain avec elle. Ainsi il a grandi choyé et instruit des différences entre un homme et une femme dès sa plus tendre enfance, de façon continue grâce à sa proximité avec sa maman. Pour compléter son éducation sexuelle elle a fréquenté, parfois avec le père, toujours avec l’enfant les plages naturistes. Heureusement, lorsque le garçon a grandi, elle a fait appel à une nurse et a pu respirer plus librement, voir du monde, se faire des amis. Mais le gamin ne supportait pas sa nurse. Il fallut en changer à plusieurs reprises. Elles quittaient leur emploi et l’une a prétexté des attouchements libertins du gamin. « Une folle nécessairement » selon M-J. En désespoir de cause M-J dut se passer de ce service et l’assurer elle-même pour aider son enfant à s’épanouir. Elle se plaint de difficultés inattendues dans ce contexte :
- Maintenant, dit M-J, c’est devenu un très beau jeune homme, la fierté de sa mère. Il a cependant un défaut désolant. En dehors de maman, il ne veut fréquenter aucune jeune fille. Je m’inquiète, je crains de l’entendre faire son coming out comme c’est devenu une mode nouvelle en ce début de 21e siècle. Raoul, son père, veut un héritier et des descendants. Je cherche une solution pour mettre mon grand en relation avec une femme qui saurait lui donner le goût de l’amour et des filles. Et toi, combien d’enfants as-tu?
De fil en aiguille, Marie Joséphine en est venue à rêver de me charger de réaliser l’éducation sexuelle de son fils. Je devrais l’initier au baiser, à ses suites jusqu’à la consommation de relations charnelles. Le projet me semblait fou, impossible. Elle a fait valoir que la proximité d’un homme jeune pourrait compenser chez moi le manque de progéniture. Recevoir, en plus de l’amour de mon mari, la vénération et la reconnaissance de son adorable fils serait source de bonheur pour moi. Et d’ajouter :
-Cela se pratique couramment entre amies. Si tu avais un grand fils, je te rendrais ce service avec grande joie.
Ces bourgeoises sont stupéfiantes et je le déclare à Julie :
- Tu parles d’une connerie ! Elle n’a pas peur de mourir de honte, cette cinglée ? Ne me dis pas que son fils s’appelle Marco . Tu hoches la tête ? Tu te moques de moi? Tu as écouté ses balivernes et…
- Oh! Jean, on dirait que tu ne sais pas que c’est un service courant entre amies. Enfin pour m’en persuader, elle me donna des exemples. Oui, j’ai cru que dans certains milieu cela pouvait exister, bien que ce fût invérifiable.
- Pas possible. Je tombe des nues. Je te croyais censée, je te prêtais un minimum de bon sens. Pour le plaisir d’une ex copine, sortie d’un passé oublié, tu devais initier un gamin à l’amour, aux relations sexuelles. En t’appuyant sur quelle expérience personnelle ? Tu t’es sentie apte à endosser cette responsabilité ? Et moi, dans ta machination, qu’est-ce que je devenais, pour la mère, pour le garçon et pour toi ? Un cocu ! Y as-tu pensé ? Trois fois cocu, puisque connu comme tel par M-J, par son fils et par toi, agent actif de cette promotion sociale .Comme gage de discrétion cela se pose là !
- C’était à ce moment un vague projet. Le but n’était pas de te tromper. Jamais je n’ai eu cette intention. Ce n’était pas dirigé contre toi, j’envisageais cette formation de façon positive. Normalement je remplissais une mission, après quoi tout rentrait dans l’ordre;. Tu ne saurais rien, personne ne serait informé.
- Je vais me sentir obligé de te décerner une médaille. C’est incroyable, qu’est-ce que tu es naïve ! Non, tu me racontes une fable cauchemardesque. Tu ne peux pas croire toi-même à ton invention. Je préfère le silence à ce genre de mensonge. Je mettrai ma menace à exécution dans vingt kilomètres, tu te débrouilleras pour aller raconter ça à d’autres qui te riront au nez.
- Comment te convaincre avant ce parking. Je me dépêche. Tu sauras, je le veux pour la paix de ton esprit. Après plusieurs rencontres et conversations téléphoniques M-J a réussi à me persuader de rencontrer Marco. Rendez-vous fut pris pour un premier contact au bal de la fête du printemps. Tu partis éteindre l’incendie. Je me retrouvai seul avec ce jeune cœur à la réputation d’individu farouche, timide, peu enclin à perdre son temps à séduire une fille. La mère pour faciliter notre contact s’éclipsa. J’avais prévu d’apprivoiser le tourtereau par étapes, de lui faire désirer une certaine intimité avec les représentantes du sexe féminin, de mettre en évidence les qualités des filles de son âge. Si nécessaire, je lui apprendrais l’art du baiser pour qu’il puisse vaincre sa timidité maladive; je le pousserais à en faire profiter de charmantes demoiselles avant de le voir prendre son envol au bras d’une beauté appétissante.
- Quel altruisme. Noble intention perdue en route, puisque la fille appétissante s’est transformée en quadragénaire mariée.
- Bien entendu, tout est allé de travers. Pour le reconduire à la villa parentale, sa mère étant absente, j’empruntai la voiture. En route le timide se mit à parler, à me complimenter pour un tas de qualités qu’il me prêtait. Mon visage le charmait, mes seins l’émouvaient par la grâce de leurs formes. Je dansais magnifiquement avec une élégance naturelle, ma taille souple et l’harmonie de mes mouvements lui avaient inspiré des pas de danse étonnants. J’étais d’une gentillesse attendrissante, comme une deuxième mère. Cette soirée serait un de ses meilleurs souvenirs et il espérait avoir bientôt la chance de danser avec moi. Je le déposai devant sa propriété, je dus descendre du véhicule pour le saluer. Il avait dansé correctement, sans rechercher les contacts trop proches, à distance. Je n’avais pas de raison particulière de ne pas être affable.
- . Affable ! Ça sonne un peu comme affabulation. Tu brodes, je ne vois pas quelle consolation mon esprit pourrait tirer de ton verbiage. Laisse la courtoisie au garçon. Pourquoi quitter le volant aussi tard. Tu avais déjà des picotements entre les cuisses, les flatteries t‘avaient tourné la tête et excité les sens?
- J’ai peu de temps, ne m’interromps pas, s’il te plaît. « Vous ne m’embrassez pas ? » Dit-il.
- Hé! Hé! Un renard fait face à une poule sans cervelle.
Elle continue d‘une voix tremblante.:
- Le mignon coquin s’arrangea pour détourner la tête de manière à poser ses lèvres sur les miennes. Je sus aussitôt que je n’aurais rien à lui apprendre, ni sur la façon d’unir les bouches ni sur la manière d’immobiliser sa partenaire pour prolonger le contact. Il était beau, tu ne diras pas le contraire, il était fort il embrassait comme un dieu. Son attaque me surprit, me laissa démunie.
- Ah ! Te voilà pauvre victime, innocente initiatrice bénévole. Toi, à quarante balais, prisonnière du premier baiser d’un gamin ! Comme c’est touchant. Évidemment, tu l’as bousculé, remis en place comme le fait toute honnête épouse ?
-Non, je n’ai pas pu. Avoue que nos baisers de couple ancien ne sont plus aussi voluptueux, savoureux, voluptueux, appuyés, interminables. Or Marco a fait subitement renaître des sensations un peu oubliées, m’a fichu des frissons. Il n’arrêtait pas, je me réjouissais d’avoir rempli aussi rapidement la mission confiée par sa mère. Je crus pouvoir laisser passer l’orage pour épuiser la fougue juvénile.
-Jouez violons, madame savoure ! Et l’irrésistible apprenti emporte la dame au paradis au premier coup de lèche museau. En prime j’apprends que mes baisers sont fades et par conséquent je dois être responsable de mon cocuage. L’affaire était ficelée dès le départ par la mère. Tu n’aurais pas dû écouter ses histoires.
-Quelle imprudence, je le reconnais maintenant. Marco voulait étaler l’étendue de ses talents, ses mains se mirent à voyager dans mon dos, sur mes fesses, bondirent sur ma poitrine, s’emparèrent de ma taille. Ce jeune devait être extravagant. Je tolérai ces excès imputables à l’âge, à un enthousiasme soudain promis à une fin rapide, comme un feu de paille. Quand une main passa entre mes jambes, força le passage entre mes cuisses et atteignit le gousset de mon string, je pris peur. Il était trop tard. Il caressait fermement mon bas ventre, glissait l’index sous le tissu et se déplaçait vers le jardin d’agrément. Il connaissait parfaitement l’endroit, me fit atterrir sur un banc de bois, se jeta à mes pieds et sa tête disparut sous ma robe. A travers le string sa bouche se mit à souffler le chaud. Avec une maîtrise surprenante, il baissa ma ceinture, me délesta de l’ultime défense en soulevant mes fesses, m’arracha ma mince culotte et sa bouche et ses doigts reprirent caresses et succions; puis sa langue me lécha la vulve, se glissa entre mes petites lèvres, monta chatouiller mon clitoris , descendit reconnaître l’entrée du vagin, me rendit molle.
- Donc le premier à te mettre la main au panier te fout le feu au cul : tu trouves ça naturel, et tu lui trouves des excuses. . Nous voilà bien partis pour aborder le retour à une vie normale. Nous dessinerons sur tes parures une flèche dans la bonne direction et tu seras à la disposition des plus audacieux. Nous écrirons « Suivez la flèche, je suis à vous ». Rien ne t’a choquée dans la conduite de ton enfant timide, craignant les filles, auquel on te demandait d’apporter une initiation sexuelle de qualité?
- Fallait-il avoir honte, le repousser et perdre le bénéfice des progrès fulgurants accomplis en une soirée.
- Ho, ho, ho ! Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre ! Tiens, je dépasse ce parking, tu es vraiment trop rigolote, il y aura d’autres arrêts, le trajet est long. Continue, fais-moi rire d’avoir la veine d’être un cocu heureux.
Elle persiste :
-Fallait-il, par un excès de vertu, renvoyer ce brave garçon à sa solitude, au plaisir solitaire peut-être ? Imagine la détresse d’un jeune homme condamné à se masturber.
-Tu as préféré le plaisir partagé, car « A deux, c’est mieux » Ta conscience « professionnelle » dans cette activité nouvelle est incommensurable, comme ta mauvaise foi. Tu voulais te faire un petit jeune, c’est tout. Admets que tu n’étais plus sexuellement satisfaite avec moi, que tu fantasmais sur la possibilité de changer de partenaire et d’en choisir un « beau, jeune, frais, intelligent etc. » : celui-là avait en plus l’avantage d’une réputation de timidité et l’attrait particulier d’avoir besoin d’une conversion à l’envie de ton sexe. Soupçonné par sa mère d’avoir des tendances homosexuelles, c’était pour toi une gloire de le ramener à l’hétérosexualité : Un vrai challenge pour une femme approchant doucement de la ménopause. Tu étais vouée à succomber aux charmes de n’importe quel puceau. Cesse d’en faire pour moi un devoir moral, c’est ridicule. Ouvre les yeux sur tes motivations réelles de mal baisée, car c’est ainsi que tu qualifiais et qualifie encore notre vie sexuelle de « couple ancien ». Tu auras bientôt fini ton conte?
-Aurais-je voulu me sauver, cela n’aurait plus été possible. Après l’étonnement, j’éprouvai un plaisir trop intense, paralysant. Ma tête tournait, mon corps était soulevé et, par une sorte de tour de magie, je descendais, jambes situées de part et d’autre de son pantalon. Mon sexe rencontra une verge tenue par une main et j’entendis :
-Allez, Julie, guide-moi, prends-moi en toi. Je t’aime, je suis fou de toi.
Tout à coup le garçon respectueux me tutoyait. Comme hypnotisée j’envoyais une main remplacer la sienne, je le mettais sur la bonne voie et je laissais la pesanteur faire le reste, m‘unir à lui. Il était assis sur le banc, j’étais assise, chevillée sur son sexe palpitant d’homme que j‘avais cru vierge, maintenue par une main plaquée dans mon dos. Nous étions en phase d’observation, unis, encore immobiles. Lorsque un ongle vint titiller ma rose, je fus soulevée et, par poussées venues de lui ou par réflexe de mon corps, nous nous sommes lancés dans un trot vite transformé en galop époustouflant.
Tout cela me semble extravagant et je persifle :
- Tu ne voudrais pas me faire une petite démonstration avant notre séparation. Je sais désormais comment gagner ton cœur. Une main là, le contournement de la culotte, des caresses de l’entrejambe, un cunnilingus et hop ! je te gratouille la pastille et je te tringle. Tu as des souvenirs précis; tu pourras les utiliser pour te masturber quand tu auras divorcé en attendant ton prochain amant. Mais je te dispense des détails scabreux.
- Tout à coup Marie Joséphine s ‘ est dressée à côté du banc et s’est écriée
- Ah ! La salope ! Tu lui confies ton fils pour quelques danses et tu la retrouves en train de le violer dans ton parc. Marco, repousse cette putain. Je t’interdis de la revoir. C’est dégoûtant. Je vais porter plainte pour détournement.
Marco m’a remise sur mes jambes, s’est levé, a toisé sa mère. Elle a eu recours à un argument décisif
- Faut-il dénoncer à ton père ta faiblesse avec cette dominatrice? File et que je ne t’y reprenne plus.
Il m’a vaguement saluée et s’en est allé la queue entre les jambes. La mère indignée m’a regardée et a déclaré avec une infinie gentillesse :
- Ma chère Julie, jamais je n’aurais cru possible une telle transformation. En une soirée tu as réussi un retournement de situation formidable. D’autres s’étaient cassé les dents en vain, tu arrives et aussitôt mon fils de puceau devient un homme. Tu as un véritable don.
.
-Mais
- Non, tout va bien. A un certain âge un enfant pour s’émanciper a besoin de transgresser les ordres. L’interdiction faite à Marco de te revoir va devenir pour lui un commandement à enfreindre. A la première occasion, il va courir chez toi et voudra consolider votre lien. Mieux vaut une femme bien élevée et à la conscience morale sure que n’importe quelle péronnelle légère ou malintentionnée intéressée par les biens de l‘héritier. Je vous ai interrompus aujourd’hui, l’envie de te posséder n’en deviendra que plus forte chez Marco. Attends-toi à le recevoir bientôt chez toi.
- Comme prévu, il est venu, m’a fait cocu. Et pendant environ trois mois, je n’ai rien vu. Ose me dire que tu ne m’as rien dit parce que tu m’aimes ! C’est du foutage de gueule, tu m’insultes en essayant de te disculper . Reste à éclaircir pourquoi ce type, si bien traité, a montré tant d’animosité à ton égard.
- Comme annoncé, je crois avoir saisi la cause de son changement brutal d’attitude envers moi; ne me jette pas de l’auto et tu seras étonné.
- Oh ! Non, Jean. Ne m’écrase pas avec tes sarcasmes. Je reconnais avoir failli. Pitié, ne sois pas méchant. Tu as le beau jeu; j’ai tous les torts. La cruauté te procurera des joies de courte durée. Ne me terrasse pas avant de m’avoir laissé te raconter comment a commencé mon histoire.
Après un nouveau torrent de larmes, avec une allure de chien battu, Julie se lance dans son récit par une question:
-Te souviens-tu de Marie Joséphine ?
- Comment oublier un prénom aussi original ! Il s’agit de celle de tes copines qui a fait un beau mariage avec un homme d’affaires de quinze ans plus âgé qu’elle, si ma mémoire est bonne.
- Oui, tu as une mémoire fidèle.
- Une mémoire fidèle, juste bonne à retenir tout ce qui n’est plus fidèle dans ma vie. Qu’est devenue cette femme ? Il y a des lustres que tu ne m’a pas parlé d’elle. Est-ce un modèle pour toi? Qu’a-t-elle à faire dans ton escapade amoureuse de cougar ?
- Bien plus que tu ne crois. Il y a quelques mois, par hasard, je l’ai rencontrée à l’intérieur de notre grande surface. Elle m’a reconnue, appelée par mon prénom, est venue m’embrasser, m’a invitée à la cafétéria Nous sommes passées par la case « Comment vas-tu ? » et sommes arrivées au récit de sa vie mouvementée. Elle a posé ses valises un peu partout dans le monde, dans le sillage de son riche mari. Pourtant ce Raoul a tenu moins de place dans ses bavardages que son fils. C’ est une mère comblée, elle a accouché d’un enfant prodige, intelligent, beau, aimable, enfin, une des merveilles du monde. Comme toutes les mères du monde elle est en adoration devant le fruit de ses entrailles, sans notion d’exagération. Ce garçon adoré de sa mère, l’adore en retour. Malgré ses diplômes M-J ( NDR : Marie Joséphine mais aussi Marie-Jo ) a cessé de travailler dès le début de sa grossesse et a ensuite consacré sa vie, ses forces et son amour à ce magnifique rejeton. Les absences fréquentes du père ont contribué à rapprocher de façon extraordinaire la mère et le fils.
Elle l’a élevé comme le voulait la mode à l’époque, l’a nourri au sein pour le vacciner contre les maladies infantiles, l’a beaucoup porté contre elle, l’a habitué à prendre son bain avec elle. Ainsi il a grandi choyé et instruit des différences entre un homme et une femme dès sa plus tendre enfance, de façon continue grâce à sa proximité avec sa maman. Pour compléter son éducation sexuelle elle a fréquenté, parfois avec le père, toujours avec l’enfant les plages naturistes. Heureusement, lorsque le garçon a grandi, elle a fait appel à une nurse et a pu respirer plus librement, voir du monde, se faire des amis. Mais le gamin ne supportait pas sa nurse. Il fallut en changer à plusieurs reprises. Elles quittaient leur emploi et l’une a prétexté des attouchements libertins du gamin. « Une folle nécessairement » selon M-J. En désespoir de cause M-J dut se passer de ce service et l’assurer elle-même pour aider son enfant à s’épanouir. Elle se plaint de difficultés inattendues dans ce contexte :
- Maintenant, dit M-J, c’est devenu un très beau jeune homme, la fierté de sa mère. Il a cependant un défaut désolant. En dehors de maman, il ne veut fréquenter aucune jeune fille. Je m’inquiète, je crains de l’entendre faire son coming out comme c’est devenu une mode nouvelle en ce début de 21e siècle. Raoul, son père, veut un héritier et des descendants. Je cherche une solution pour mettre mon grand en relation avec une femme qui saurait lui donner le goût de l’amour et des filles. Et toi, combien d’enfants as-tu?
De fil en aiguille, Marie Joséphine en est venue à rêver de me charger de réaliser l’éducation sexuelle de son fils. Je devrais l’initier au baiser, à ses suites jusqu’à la consommation de relations charnelles. Le projet me semblait fou, impossible. Elle a fait valoir que la proximité d’un homme jeune pourrait compenser chez moi le manque de progéniture. Recevoir, en plus de l’amour de mon mari, la vénération et la reconnaissance de son adorable fils serait source de bonheur pour moi. Et d’ajouter :
-Cela se pratique couramment entre amies. Si tu avais un grand fils, je te rendrais ce service avec grande joie.
Ces bourgeoises sont stupéfiantes et je le déclare à Julie :
- Tu parles d’une connerie ! Elle n’a pas peur de mourir de honte, cette cinglée ? Ne me dis pas que son fils s’appelle Marco . Tu hoches la tête ? Tu te moques de moi? Tu as écouté ses balivernes et…
- Oh! Jean, on dirait que tu ne sais pas que c’est un service courant entre amies. Enfin pour m’en persuader, elle me donna des exemples. Oui, j’ai cru que dans certains milieu cela pouvait exister, bien que ce fût invérifiable.
- Pas possible. Je tombe des nues. Je te croyais censée, je te prêtais un minimum de bon sens. Pour le plaisir d’une ex copine, sortie d’un passé oublié, tu devais initier un gamin à l’amour, aux relations sexuelles. En t’appuyant sur quelle expérience personnelle ? Tu t’es sentie apte à endosser cette responsabilité ? Et moi, dans ta machination, qu’est-ce que je devenais, pour la mère, pour le garçon et pour toi ? Un cocu ! Y as-tu pensé ? Trois fois cocu, puisque connu comme tel par M-J, par son fils et par toi, agent actif de cette promotion sociale .Comme gage de discrétion cela se pose là !
- C’était à ce moment un vague projet. Le but n’était pas de te tromper. Jamais je n’ai eu cette intention. Ce n’était pas dirigé contre toi, j’envisageais cette formation de façon positive. Normalement je remplissais une mission, après quoi tout rentrait dans l’ordre;. Tu ne saurais rien, personne ne serait informé.
- Je vais me sentir obligé de te décerner une médaille. C’est incroyable, qu’est-ce que tu es naïve ! Non, tu me racontes une fable cauchemardesque. Tu ne peux pas croire toi-même à ton invention. Je préfère le silence à ce genre de mensonge. Je mettrai ma menace à exécution dans vingt kilomètres, tu te débrouilleras pour aller raconter ça à d’autres qui te riront au nez.
- Comment te convaincre avant ce parking. Je me dépêche. Tu sauras, je le veux pour la paix de ton esprit. Après plusieurs rencontres et conversations téléphoniques M-J a réussi à me persuader de rencontrer Marco. Rendez-vous fut pris pour un premier contact au bal de la fête du printemps. Tu partis éteindre l’incendie. Je me retrouvai seul avec ce jeune cœur à la réputation d’individu farouche, timide, peu enclin à perdre son temps à séduire une fille. La mère pour faciliter notre contact s’éclipsa. J’avais prévu d’apprivoiser le tourtereau par étapes, de lui faire désirer une certaine intimité avec les représentantes du sexe féminin, de mettre en évidence les qualités des filles de son âge. Si nécessaire, je lui apprendrais l’art du baiser pour qu’il puisse vaincre sa timidité maladive; je le pousserais à en faire profiter de charmantes demoiselles avant de le voir prendre son envol au bras d’une beauté appétissante.
- Quel altruisme. Noble intention perdue en route, puisque la fille appétissante s’est transformée en quadragénaire mariée.
- Bien entendu, tout est allé de travers. Pour le reconduire à la villa parentale, sa mère étant absente, j’empruntai la voiture. En route le timide se mit à parler, à me complimenter pour un tas de qualités qu’il me prêtait. Mon visage le charmait, mes seins l’émouvaient par la grâce de leurs formes. Je dansais magnifiquement avec une élégance naturelle, ma taille souple et l’harmonie de mes mouvements lui avaient inspiré des pas de danse étonnants. J’étais d’une gentillesse attendrissante, comme une deuxième mère. Cette soirée serait un de ses meilleurs souvenirs et il espérait avoir bientôt la chance de danser avec moi. Je le déposai devant sa propriété, je dus descendre du véhicule pour le saluer. Il avait dansé correctement, sans rechercher les contacts trop proches, à distance. Je n’avais pas de raison particulière de ne pas être affable.
- . Affable ! Ça sonne un peu comme affabulation. Tu brodes, je ne vois pas quelle consolation mon esprit pourrait tirer de ton verbiage. Laisse la courtoisie au garçon. Pourquoi quitter le volant aussi tard. Tu avais déjà des picotements entre les cuisses, les flatteries t‘avaient tourné la tête et excité les sens?
- J’ai peu de temps, ne m’interromps pas, s’il te plaît. « Vous ne m’embrassez pas ? » Dit-il.
- Hé! Hé! Un renard fait face à une poule sans cervelle.
Elle continue d‘une voix tremblante.:
- Le mignon coquin s’arrangea pour détourner la tête de manière à poser ses lèvres sur les miennes. Je sus aussitôt que je n’aurais rien à lui apprendre, ni sur la façon d’unir les bouches ni sur la manière d’immobiliser sa partenaire pour prolonger le contact. Il était beau, tu ne diras pas le contraire, il était fort il embrassait comme un dieu. Son attaque me surprit, me laissa démunie.
- Ah ! Te voilà pauvre victime, innocente initiatrice bénévole. Toi, à quarante balais, prisonnière du premier baiser d’un gamin ! Comme c’est touchant. Évidemment, tu l’as bousculé, remis en place comme le fait toute honnête épouse ?
-Non, je n’ai pas pu. Avoue que nos baisers de couple ancien ne sont plus aussi voluptueux, savoureux, voluptueux, appuyés, interminables. Or Marco a fait subitement renaître des sensations un peu oubliées, m’a fichu des frissons. Il n’arrêtait pas, je me réjouissais d’avoir rempli aussi rapidement la mission confiée par sa mère. Je crus pouvoir laisser passer l’orage pour épuiser la fougue juvénile.
-Jouez violons, madame savoure ! Et l’irrésistible apprenti emporte la dame au paradis au premier coup de lèche museau. En prime j’apprends que mes baisers sont fades et par conséquent je dois être responsable de mon cocuage. L’affaire était ficelée dès le départ par la mère. Tu n’aurais pas dû écouter ses histoires.
-Quelle imprudence, je le reconnais maintenant. Marco voulait étaler l’étendue de ses talents, ses mains se mirent à voyager dans mon dos, sur mes fesses, bondirent sur ma poitrine, s’emparèrent de ma taille. Ce jeune devait être extravagant. Je tolérai ces excès imputables à l’âge, à un enthousiasme soudain promis à une fin rapide, comme un feu de paille. Quand une main passa entre mes jambes, força le passage entre mes cuisses et atteignit le gousset de mon string, je pris peur. Il était trop tard. Il caressait fermement mon bas ventre, glissait l’index sous le tissu et se déplaçait vers le jardin d’agrément. Il connaissait parfaitement l’endroit, me fit atterrir sur un banc de bois, se jeta à mes pieds et sa tête disparut sous ma robe. A travers le string sa bouche se mit à souffler le chaud. Avec une maîtrise surprenante, il baissa ma ceinture, me délesta de l’ultime défense en soulevant mes fesses, m’arracha ma mince culotte et sa bouche et ses doigts reprirent caresses et succions; puis sa langue me lécha la vulve, se glissa entre mes petites lèvres, monta chatouiller mon clitoris , descendit reconnaître l’entrée du vagin, me rendit molle.
- Donc le premier à te mettre la main au panier te fout le feu au cul : tu trouves ça naturel, et tu lui trouves des excuses. . Nous voilà bien partis pour aborder le retour à une vie normale. Nous dessinerons sur tes parures une flèche dans la bonne direction et tu seras à la disposition des plus audacieux. Nous écrirons « Suivez la flèche, je suis à vous ». Rien ne t’a choquée dans la conduite de ton enfant timide, craignant les filles, auquel on te demandait d’apporter une initiation sexuelle de qualité?
- Fallait-il avoir honte, le repousser et perdre le bénéfice des progrès fulgurants accomplis en une soirée.
- Ho, ho, ho ! Qu’est-ce qu’il ne faut pas entendre ! Tiens, je dépasse ce parking, tu es vraiment trop rigolote, il y aura d’autres arrêts, le trajet est long. Continue, fais-moi rire d’avoir la veine d’être un cocu heureux.
Elle persiste :
-Fallait-il, par un excès de vertu, renvoyer ce brave garçon à sa solitude, au plaisir solitaire peut-être ? Imagine la détresse d’un jeune homme condamné à se masturber.
-Tu as préféré le plaisir partagé, car « A deux, c’est mieux » Ta conscience « professionnelle » dans cette activité nouvelle est incommensurable, comme ta mauvaise foi. Tu voulais te faire un petit jeune, c’est tout. Admets que tu n’étais plus sexuellement satisfaite avec moi, que tu fantasmais sur la possibilité de changer de partenaire et d’en choisir un « beau, jeune, frais, intelligent etc. » : celui-là avait en plus l’avantage d’une réputation de timidité et l’attrait particulier d’avoir besoin d’une conversion à l’envie de ton sexe. Soupçonné par sa mère d’avoir des tendances homosexuelles, c’était pour toi une gloire de le ramener à l’hétérosexualité : Un vrai challenge pour une femme approchant doucement de la ménopause. Tu étais vouée à succomber aux charmes de n’importe quel puceau. Cesse d’en faire pour moi un devoir moral, c’est ridicule. Ouvre les yeux sur tes motivations réelles de mal baisée, car c’est ainsi que tu qualifiais et qualifie encore notre vie sexuelle de « couple ancien ». Tu auras bientôt fini ton conte?
-Aurais-je voulu me sauver, cela n’aurait plus été possible. Après l’étonnement, j’éprouvai un plaisir trop intense, paralysant. Ma tête tournait, mon corps était soulevé et, par une sorte de tour de magie, je descendais, jambes situées de part et d’autre de son pantalon. Mon sexe rencontra une verge tenue par une main et j’entendis :
-Allez, Julie, guide-moi, prends-moi en toi. Je t’aime, je suis fou de toi.
Tout à coup le garçon respectueux me tutoyait. Comme hypnotisée j’envoyais une main remplacer la sienne, je le mettais sur la bonne voie et je laissais la pesanteur faire le reste, m‘unir à lui. Il était assis sur le banc, j’étais assise, chevillée sur son sexe palpitant d’homme que j‘avais cru vierge, maintenue par une main plaquée dans mon dos. Nous étions en phase d’observation, unis, encore immobiles. Lorsque un ongle vint titiller ma rose, je fus soulevée et, par poussées venues de lui ou par réflexe de mon corps, nous nous sommes lancés dans un trot vite transformé en galop époustouflant.
Tout cela me semble extravagant et je persifle :
- Tu ne voudrais pas me faire une petite démonstration avant notre séparation. Je sais désormais comment gagner ton cœur. Une main là, le contournement de la culotte, des caresses de l’entrejambe, un cunnilingus et hop ! je te gratouille la pastille et je te tringle. Tu as des souvenirs précis; tu pourras les utiliser pour te masturber quand tu auras divorcé en attendant ton prochain amant. Mais je te dispense des détails scabreux.
- Tout à coup Marie Joséphine s ‘ est dressée à côté du banc et s’est écriée
- Ah ! La salope ! Tu lui confies ton fils pour quelques danses et tu la retrouves en train de le violer dans ton parc. Marco, repousse cette putain. Je t’interdis de la revoir. C’est dégoûtant. Je vais porter plainte pour détournement.
Marco m’a remise sur mes jambes, s’est levé, a toisé sa mère. Elle a eu recours à un argument décisif
- Faut-il dénoncer à ton père ta faiblesse avec cette dominatrice? File et que je ne t’y reprenne plus.
Il m’a vaguement saluée et s’en est allé la queue entre les jambes. La mère indignée m’a regardée et a déclaré avec une infinie gentillesse :
- Ma chère Julie, jamais je n’aurais cru possible une telle transformation. En une soirée tu as réussi un retournement de situation formidable. D’autres s’étaient cassé les dents en vain, tu arrives et aussitôt mon fils de puceau devient un homme. Tu as un véritable don.
.
-Mais
- Non, tout va bien. A un certain âge un enfant pour s’émanciper a besoin de transgresser les ordres. L’interdiction faite à Marco de te revoir va devenir pour lui un commandement à enfreindre. A la première occasion, il va courir chez toi et voudra consolider votre lien. Mieux vaut une femme bien élevée et à la conscience morale sure que n’importe quelle péronnelle légère ou malintentionnée intéressée par les biens de l‘héritier. Je vous ai interrompus aujourd’hui, l’envie de te posséder n’en deviendra que plus forte chez Marco. Attends-toi à le recevoir bientôt chez toi.
- Comme prévu, il est venu, m’a fait cocu. Et pendant environ trois mois, je n’ai rien vu. Ose me dire que tu ne m’as rien dit parce que tu m’aimes ! C’est du foutage de gueule, tu m’insultes en essayant de te disculper . Reste à éclaircir pourquoi ce type, si bien traité, a montré tant d’animosité à ton égard.
- Comme annoncé, je crois avoir saisi la cause de son changement brutal d’attitude envers moi; ne me jette pas de l’auto et tu seras étonné.
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4 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Julie est en train de mesurer les conséquences de sa conduite. Elle a accepté une mission, elle a débordé, s'est beaucoup trop investie, a été plus qu'initiatrice, est devenue maîtresse : elle tente de faire accepter l'inacceptable pour un mari ordinaire. Nous sommes dans une voiture pour un long trajet.La menace d'être déposée en route lui fait peur, elle brode un peu, annonce des révélations, cherche aussi à expliquer pourquoi elle a pu s'attacher à Marco dans un premier temps et pourquoi elle considère avoir pris conscience de son erreur dans le but d'échapper au divorce.
Elle continue à aimer Jean ; c'est étrange, est-ce impossible.
Dans le paquet de ses arguments de défense elle va mettre en avant la conduite troublante de la mère de Marco, responsable des troubles de son fils.
Permettez-moi de vous inviter à lire les trois commentaires de lecteurs ou lectrice : les avis divergent. Il n'y a pas de doute, j'aurais pu résumer; ou m'abstenir d'écrire.Ceux qui voudront continuer la lecture auront droit à au moins deux chapitres encore.
Elle continue à aimer Jean ; c'est étrange, est-ce impossible.
Dans le paquet de ses arguments de défense elle va mettre en avant la conduite troublante de la mère de Marco, responsable des troubles de son fils.
Permettez-moi de vous inviter à lire les trois commentaires de lecteurs ou lectrice : les avis divergent. Il n'y a pas de doute, j'aurais pu résumer; ou m'abstenir d'écrire.Ceux qui voudront continuer la lecture auront droit à au moins deux chapitres encore.
super histoire
Autant l'histoire précédente dont (et ce n'est que mon avis) l'épilogue a été vraiment baclé cette dernière histoire se traine en longueur sans vraiment d'interet
Inhabituel de la part de cet auteur???
Inhabituel de la part de cet auteur???
suspens intenable insupportable
la suite , les suites viiiiiiiiite !
la suite , les suites viiiiiiiiite !