Curieuse cure 4
Récit érotique écrit par Accent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2015 dans la catégorie Plus on est
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Curieuse cure 4
La cure 4
. Oh ! Si vous saviez ... j'ai des démangeaisons là et là . Ça vous dit ? souffle Julie
Elle est gourmande, je suis en forme.: pourquoi pas? Moqueur, Marco sort de derrière son rideau et se porte au bord de notre lit, à proximité du corps nu et découvert de Julie, plaisante et prend l'avantage:
- Tu auras attrapé des morpions en te faisant prendre par n'importe qui.
- Le seul qui ait pu m'en refiler, c'est toi petit con qui dragues les morpionnes dès que je tourne le dos. Comment oses-tu m'accuser d'infidélité devant Jean ? Est-ce une vengeance parce que j'ai choisi de rester avec lui. Viens ici, effronté, examine ma touffe et montre-moi une bestiole si tu en trouves.
Toujours nu, Marco se penche sur le pubis de Julie et se met à fouiller entre les poils. Il s'amuse comme un fou, passe et repasse de droite à gauche, de haut en bas, entre les cuisses, sur la vulve. Je me suis arrêté à la porte de la douche pour assister à l'examen. J'ai vite l'impression que le garçon oublie ce qu'il cherche et cherche où il ne risque pas de trouver les parasites, s'il y en a. De l'auriculaire et du pouce de la main droite il écarte les nymphes pour promener l'index de l'autre main entre les petites lèvres à la peau nacrée, rouge luisante d'avoir été si souvent frottées par une verge au cours de la journée. Le malin tournoie sur la pointe du clitoris comme si le nid de petites bêtes se cachait là. Le bassin de Julie se lève pour permettre un examen plus proche pendant que ma femme plaque une main sur sa bouche. Ces deux- là se paient ma tête ? Je m'avance, bouscule Marco sans ménagement, je mets fin aux simagrées et je l'envoie à la douche
- Va donc te laver la queue, elle est couverte de merde. Laisse-moi faire. Julie, ton amant est un mauvais chercheur. Ouvre bien l'angle. C'est mon rôle de t'épouiller.
Elle a bien compris que j'ai deviné l'orientation de l'opération. Puisqu'elle laissait Marco chatouiller ses parties sensibles et était un peu complice de la tournure prise par l'événement, je reprends l'exercice à mon compte après un coup d'oeil vers la salle de bain :
-- Qu'attends-tu, Marco? Va, entre, ferme la porte et nettoie ta bite et ses ailes. Tu dois avoir sur l'ensemble plusieurs couches de foutre et de cyprines variées, au moins trois ont séché et laissé des traces, si tu t'es contenté de faire la fête à Amélie, à Loulou et à ma Julie. C'est sans compter l'enrobage de chocolat de ton dernier coup dans le fondement de ma femme. Julie ne propose pas de te lécher, tu es trop sale.
Julie me fixe, choquée de la vulgarité de mes propos et surprise du tremblement de colère dans ma voix . Pourquoi juge-t-elle nécessaire de justifier ?
-Chéri, c'est lui qui ...faisait l'idiot
-Je sais. Et maintenant c'est moi. J'ai vu que ça ne te déplaisait pas; tu vas être servie par le seul détenteur officiel du droit de visiter ton intimité dans tous ses recoins.
J'ai pris position de manière à poser mon pouce droit sur le clitoris éveillé par Marco et, entre les nymphes, j'ai fait pénétrer et pivoter doucement mon index et mon majeur. Mais bien à fond. Empreintes digitales dirigées vers le haut , mes deux doigts recherchent avidement le point G où pourraient se dissimuler les intrus, coupables de démangeaisons. Julie a de bonnes raisons de lever ses fesses, d'agiter ses hanches et d'étouffer ses gémissements avec sa main collée à la bouche. Je touille dans l'humidité, je grouille dans les derniers dépôts de sperme du matin, et de l'après midi laissés par Marco et mélangés à ma récente éjaculation. Les parois du vagin sont gluantes, souples. leurs terminaisons nerveuses transmettent des décharges électriques qui secouent tout le corps allongé. Je n'arrête mon exploration que lorsque Julie, en pleurs, s'affale comme morte sur le drap.
- Eh ! bien, non, je n'ai pas trouvé de morpions, ma chère. Marco avait examiné l'extérieur, la surface poilue de ton pubis et de tes lèvres, j'ai exploré l'intérieur. Rien ! Les fluides ont séché sur ta peau et sont responsables vraisemblablement de ces démangeaisons gênantes. Prenons, nous aussi, une douche.
Je l'aide à se lever du lit et chasse Marco de la douche:
- Hé ! Marco, qu'est-ce que tu fabriques? Laisse-nous la place. Mais tu bandes: tu te masturbais? Tu as un sacré tempérament.
- Oui, quand Julie pousse ses petits cris, je bande. Pour pouvoir débander je fais cracher mon engin. C'est comme ça. Sa voix qui chevrote quand elle fait l'amour. me bouleverse donc je bande, donc je me branle.
-Pauvre ! Rince-toi les doigts et essuie-toi. Va coucher. Julie, viens je vais t'aider sous la douche.
J'ai affirmé mon autorité. Le choix de Julie a fait du cocu, que j'étais devenu par sa grâce, le mâle dominant qui ordonne,impose ou sait prier aimablement et obtenir le résultat attendu. Je m'améliore. On verra bien qui est le maître. Je suis venu, j'ai vu et j'ai vaincu. Ça s'appelle remettre de l'ordre chez soi. Julie a intérêt à marcher droit si son choix est sincère. Tout laisse à penser que le message est passé cinq sur cinq, sans élever la voix. L'énumération froide de mes observations a suffi à lui indiquer que je serais sans faiblesse au cas où elle recommencerait son erreur. J'ai admis Marco dans notre chambre, c'est pour mieux l'avoir à l'oeil : je le contrôle. Je le contrôlerai aussi longtemps qu'il sera membre de notre trio : ici et chez nous.
Dans une cabine de douche pas trop large, nous sommes tout proches. Marco affirme réagir sexuellement aux gémissements de Julie ? Il n'a pas fini de s'astiquer le guignol, Julie va gémir, je le veux.. Après une douche normale pour deux corps savonnés et en contact permanent en raison de l'exiguïté du lieu, Julie arrose copieusement l'extérieur de son sexe. Je sors de la cabine afin de lui permettre d'envoyer des jets d'eau en elle. Elle sait s'ouvrir d'une main et plaquer la pomme de douche contre ses chairs pressées, aux bords étanches ou presque. La méthode est efficace si elle n'est pas recommandable: il faut voir s'écouler avec l'eau des filaments glaireux pour s'en convaincre. Nous nous baignions souvent ensemble à la maison, Julie n'avait jamais recouru à ce procédé. Elle se déclare nettoyée. Je la rejoins dans le bac, je la serre contre moi et je l'embrasse. Son retour en grâce met des étoiles dans ses yeux., adoucit ses baisers, la rend langoureuse.
Un baiser chargé d'amour et de désir la détend. Elle aime ma caresse sur ses seins, elle rit de plaisir quand je suce ses aréoles. j'insiste, je mordille un tétin. Pour échapper à la morsure elle pivote, me tourne le dos et me présente les rondeurs de ses fesses de quadragénaire en bonne santé. Cette peau est douce pour mes mains. Je pousse le haut du dos vers la cloison, instinctivement Julie appuie les paumes de ses mains contre le carrelage. Je tire sur les hanches, les pieds de Julie et son fessier reculent vers moi. Il me suffit de plier les genoux et ma verge, revigorée par les contacts réguliers, les attouchements et par mon intention, trouve l'intervalle entre les cuisses, avance dans cet espace soumis, tâtonne dans la fente de l'abricot. Julie m'aide d'une main, et m'introduit dans son sexe.
La position est acrobatique, à la limite elle serait dangereuse. Pourtant nous sommes bien emboîtés. C'est mon deuxième coup de la journée. Julie est-elle capable de dénombrer les siens avec Marco ? Je m'en fous : elle m'a choisi, je l'aime, je lui fais l'amour et, malgré une probable fatigue, elle participe. Sans me presser, avec une immense douceur, je vais et je viens dans son con, je lui parle, je lui dis mon bonheur de l'avoir regagnée, de l'avoir reprise à Marco. Elle n'en revient pas de recevoir des compliments quand elle attendait des reproches. Elle a toujours aimé faire durer les possessions et l'attention à la conduire à la jouissance. Je m'applique à être un amant prévenant, doux et ardent comme à l'époque de notre rencontre. Je veux qu'elle se souvienne des jours heureux de nos fiançailles et de notre mariage. Je lime, je rame, je l'aime.
Peu à peu son sang s'échauffe, ses nerfs se crispent, sa respiration devient plus profonde puis plus rapide et plus bruyante. Ses mains baissent de niveau sur le carrelage, ses reins se creusent, ses fesses deviennent son point culminant et soudain elle s'époumone en exclamations: "plus fort, ha!" ou en "oui, encore" ou en "c'est si bon, vas-y" .Nous terminons en roue libre, je gicle sur la plateforme de son dos en forme de violon. Une douche rapide nous lave de la transpiration et des autres sécrétions. Je sors de la salle de bain, J'entends Marco atterrir sur son lit et je glisse dans une flaque de liquide épais : l'animal est venu écouter à la porte et a laissé fuir ses dernières gouttes de sperme sur le sol. Par bonheur Julie est là et reçoit ma tête sur ses seins nus. je lui laisse le plaisir de me maintenir debout.
La journée a été longue et bien remplie. Marco se remet à ronfler. Julie pose sa tête sur mon torse et ferme une main sur mon membre mou. Je peux m'endormir, mon couple est sauvé.
. Oh ! Si vous saviez ... j'ai des démangeaisons là et là . Ça vous dit ? souffle Julie
Elle est gourmande, je suis en forme.: pourquoi pas? Moqueur, Marco sort de derrière son rideau et se porte au bord de notre lit, à proximité du corps nu et découvert de Julie, plaisante et prend l'avantage:
- Tu auras attrapé des morpions en te faisant prendre par n'importe qui.
- Le seul qui ait pu m'en refiler, c'est toi petit con qui dragues les morpionnes dès que je tourne le dos. Comment oses-tu m'accuser d'infidélité devant Jean ? Est-ce une vengeance parce que j'ai choisi de rester avec lui. Viens ici, effronté, examine ma touffe et montre-moi une bestiole si tu en trouves.
Toujours nu, Marco se penche sur le pubis de Julie et se met à fouiller entre les poils. Il s'amuse comme un fou, passe et repasse de droite à gauche, de haut en bas, entre les cuisses, sur la vulve. Je me suis arrêté à la porte de la douche pour assister à l'examen. J'ai vite l'impression que le garçon oublie ce qu'il cherche et cherche où il ne risque pas de trouver les parasites, s'il y en a. De l'auriculaire et du pouce de la main droite il écarte les nymphes pour promener l'index de l'autre main entre les petites lèvres à la peau nacrée, rouge luisante d'avoir été si souvent frottées par une verge au cours de la journée. Le malin tournoie sur la pointe du clitoris comme si le nid de petites bêtes se cachait là. Le bassin de Julie se lève pour permettre un examen plus proche pendant que ma femme plaque une main sur sa bouche. Ces deux- là se paient ma tête ? Je m'avance, bouscule Marco sans ménagement, je mets fin aux simagrées et je l'envoie à la douche
- Va donc te laver la queue, elle est couverte de merde. Laisse-moi faire. Julie, ton amant est un mauvais chercheur. Ouvre bien l'angle. C'est mon rôle de t'épouiller.
Elle a bien compris que j'ai deviné l'orientation de l'opération. Puisqu'elle laissait Marco chatouiller ses parties sensibles et était un peu complice de la tournure prise par l'événement, je reprends l'exercice à mon compte après un coup d'oeil vers la salle de bain :
-- Qu'attends-tu, Marco? Va, entre, ferme la porte et nettoie ta bite et ses ailes. Tu dois avoir sur l'ensemble plusieurs couches de foutre et de cyprines variées, au moins trois ont séché et laissé des traces, si tu t'es contenté de faire la fête à Amélie, à Loulou et à ma Julie. C'est sans compter l'enrobage de chocolat de ton dernier coup dans le fondement de ma femme. Julie ne propose pas de te lécher, tu es trop sale.
Julie me fixe, choquée de la vulgarité de mes propos et surprise du tremblement de colère dans ma voix . Pourquoi juge-t-elle nécessaire de justifier ?
-Chéri, c'est lui qui ...faisait l'idiot
-Je sais. Et maintenant c'est moi. J'ai vu que ça ne te déplaisait pas; tu vas être servie par le seul détenteur officiel du droit de visiter ton intimité dans tous ses recoins.
J'ai pris position de manière à poser mon pouce droit sur le clitoris éveillé par Marco et, entre les nymphes, j'ai fait pénétrer et pivoter doucement mon index et mon majeur. Mais bien à fond. Empreintes digitales dirigées vers le haut , mes deux doigts recherchent avidement le point G où pourraient se dissimuler les intrus, coupables de démangeaisons. Julie a de bonnes raisons de lever ses fesses, d'agiter ses hanches et d'étouffer ses gémissements avec sa main collée à la bouche. Je touille dans l'humidité, je grouille dans les derniers dépôts de sperme du matin, et de l'après midi laissés par Marco et mélangés à ma récente éjaculation. Les parois du vagin sont gluantes, souples. leurs terminaisons nerveuses transmettent des décharges électriques qui secouent tout le corps allongé. Je n'arrête mon exploration que lorsque Julie, en pleurs, s'affale comme morte sur le drap.
- Eh ! bien, non, je n'ai pas trouvé de morpions, ma chère. Marco avait examiné l'extérieur, la surface poilue de ton pubis et de tes lèvres, j'ai exploré l'intérieur. Rien ! Les fluides ont séché sur ta peau et sont responsables vraisemblablement de ces démangeaisons gênantes. Prenons, nous aussi, une douche.
Je l'aide à se lever du lit et chasse Marco de la douche:
- Hé ! Marco, qu'est-ce que tu fabriques? Laisse-nous la place. Mais tu bandes: tu te masturbais? Tu as un sacré tempérament.
- Oui, quand Julie pousse ses petits cris, je bande. Pour pouvoir débander je fais cracher mon engin. C'est comme ça. Sa voix qui chevrote quand elle fait l'amour. me bouleverse donc je bande, donc je me branle.
-Pauvre ! Rince-toi les doigts et essuie-toi. Va coucher. Julie, viens je vais t'aider sous la douche.
J'ai affirmé mon autorité. Le choix de Julie a fait du cocu, que j'étais devenu par sa grâce, le mâle dominant qui ordonne,impose ou sait prier aimablement et obtenir le résultat attendu. Je m'améliore. On verra bien qui est le maître. Je suis venu, j'ai vu et j'ai vaincu. Ça s'appelle remettre de l'ordre chez soi. Julie a intérêt à marcher droit si son choix est sincère. Tout laisse à penser que le message est passé cinq sur cinq, sans élever la voix. L'énumération froide de mes observations a suffi à lui indiquer que je serais sans faiblesse au cas où elle recommencerait son erreur. J'ai admis Marco dans notre chambre, c'est pour mieux l'avoir à l'oeil : je le contrôle. Je le contrôlerai aussi longtemps qu'il sera membre de notre trio : ici et chez nous.
Dans une cabine de douche pas trop large, nous sommes tout proches. Marco affirme réagir sexuellement aux gémissements de Julie ? Il n'a pas fini de s'astiquer le guignol, Julie va gémir, je le veux.. Après une douche normale pour deux corps savonnés et en contact permanent en raison de l'exiguïté du lieu, Julie arrose copieusement l'extérieur de son sexe. Je sors de la cabine afin de lui permettre d'envoyer des jets d'eau en elle. Elle sait s'ouvrir d'une main et plaquer la pomme de douche contre ses chairs pressées, aux bords étanches ou presque. La méthode est efficace si elle n'est pas recommandable: il faut voir s'écouler avec l'eau des filaments glaireux pour s'en convaincre. Nous nous baignions souvent ensemble à la maison, Julie n'avait jamais recouru à ce procédé. Elle se déclare nettoyée. Je la rejoins dans le bac, je la serre contre moi et je l'embrasse. Son retour en grâce met des étoiles dans ses yeux., adoucit ses baisers, la rend langoureuse.
Un baiser chargé d'amour et de désir la détend. Elle aime ma caresse sur ses seins, elle rit de plaisir quand je suce ses aréoles. j'insiste, je mordille un tétin. Pour échapper à la morsure elle pivote, me tourne le dos et me présente les rondeurs de ses fesses de quadragénaire en bonne santé. Cette peau est douce pour mes mains. Je pousse le haut du dos vers la cloison, instinctivement Julie appuie les paumes de ses mains contre le carrelage. Je tire sur les hanches, les pieds de Julie et son fessier reculent vers moi. Il me suffit de plier les genoux et ma verge, revigorée par les contacts réguliers, les attouchements et par mon intention, trouve l'intervalle entre les cuisses, avance dans cet espace soumis, tâtonne dans la fente de l'abricot. Julie m'aide d'une main, et m'introduit dans son sexe.
La position est acrobatique, à la limite elle serait dangereuse. Pourtant nous sommes bien emboîtés. C'est mon deuxième coup de la journée. Julie est-elle capable de dénombrer les siens avec Marco ? Je m'en fous : elle m'a choisi, je l'aime, je lui fais l'amour et, malgré une probable fatigue, elle participe. Sans me presser, avec une immense douceur, je vais et je viens dans son con, je lui parle, je lui dis mon bonheur de l'avoir regagnée, de l'avoir reprise à Marco. Elle n'en revient pas de recevoir des compliments quand elle attendait des reproches. Elle a toujours aimé faire durer les possessions et l'attention à la conduire à la jouissance. Je m'applique à être un amant prévenant, doux et ardent comme à l'époque de notre rencontre. Je veux qu'elle se souvienne des jours heureux de nos fiançailles et de notre mariage. Je lime, je rame, je l'aime.
Peu à peu son sang s'échauffe, ses nerfs se crispent, sa respiration devient plus profonde puis plus rapide et plus bruyante. Ses mains baissent de niveau sur le carrelage, ses reins se creusent, ses fesses deviennent son point culminant et soudain elle s'époumone en exclamations: "plus fort, ha!" ou en "oui, encore" ou en "c'est si bon, vas-y" .Nous terminons en roue libre, je gicle sur la plateforme de son dos en forme de violon. Une douche rapide nous lave de la transpiration et des autres sécrétions. Je sors de la salle de bain, J'entends Marco atterrir sur son lit et je glisse dans une flaque de liquide épais : l'animal est venu écouter à la porte et a laissé fuir ses dernières gouttes de sperme sur le sol. Par bonheur Julie est là et reçoit ma tête sur ses seins nus. je lui laisse le plaisir de me maintenir debout.
La journée a été longue et bien remplie. Marco se remet à ronfler. Julie pose sa tête sur mon torse et ferme une main sur mon membre mou. Je peux m'endormir, mon couple est sauvé.
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