D'aventures en aventure, épisode 7 - histoire érotique

Je suis à présent en train de mettre en place ma petite vengeance personnelle, rien de trop sévère, ni méchant, mais je pense faire juste ce qu’il faut pour mettre un terme définitif à ma relation avec cette famille.

Je ne vous l’ai pas encore décrite, mais Chantal, c’est le genre de femme un peu fatale. Une belle brune d’environ un mètre soixante-dix, une paire de seins d’une générosité sans nom, je pense à un cent dix F faciles et puis elle a un fessier disons-le assez ferme visiblement.

Nous regardons autour de la voiture pour éveiller aucun soupçon, ce lieu reste tout de même un coin un peu coquin de la région où les couples infidèles et les routiers cherchent à trouver un peu de chaleur humaine.

Nous nous mettons donc à l’arrière du monospace, puis je commence une première approche avec mes lèvres, je commence à l’embrasser, mais elle semble hésitante. Me fais part de son inquiétude concernant notre différence d’âge, mais aussi de l’acte d’adultère qu’elle va commettre avec moi.
Effectivement, un petit détail peut paraître dérangeant puisqu’elle est mariée. Il me semble même qu’elle est la mère d’un des cousins incestueux.

Puis, j’insiste en lui disant qu’il est toujours sympa de se faire du bien, surtout avec un jeune homme comme moi. Je la vois bougonner en regardant par la fenêtre. Je tente de la prendre par l’épaule pour la rassurer, je me rapproche même pour lui faire quelques caresses sur la partie nue de son dos et sur le bras. Je vois bien qu’elle ne reste pas insensible puisqu’elle a la chair de poule. Je sens que je ne suis pas très loin de la faire craquer.

Puis, tout à coup, elle tourne son visage en ma direction, j’en profite alors pour l’embrasser de nouveau. Sauf, qu’à cet instant, elle ouvre sa bouche pour m’offrir sa langue, nous jouons ensemble pendant une bonne minute, à tel point que la salive coule sur le haut de sa poitrine généreuse.

Son excitation monte au fur et à mesure de nos baisers, je mets ma main sous son débardeur, je touche dans un premier temps son ventre puis je remonte lentement, mais sûrement en direction de ses gros seins. Je les malaxe, je les caresse, puis je lui enlève ses deux barrières de vêtements. Elle est à présent là, à côté de moi à demi-nu.

Elle s’allonge légèrement sur le dos, je me positionne entre ses jambes, et je me mets à jouer avec ses énormes seins. Je les embrasse, je mordille ses tétons qui pointent maintenant fièrement.
Elle commence à pousser des petits gémissements de plaisir. Et moi de mon côté, j’ai une bosse énorme qui est apparu dans mon pantalon. Je m’assois, pour libérer ma verge, Chantal commence à me masturber, puis se positionne à quatre pattes pour me faire une fellation que je décrirai volontiers d’anthologie.

On peut sentir ici, toute l’expérience d’une femme de quarante-cinq ans. Je pourrais presque dire que je suis en extase. Elle est toujours à quatre pattes lorsque j’aperçois à la fenêtre l’ombre de deux hommes qui se masturbent, certainement des habitués du coin. Je leur fais un signe avec mes doigts du genre deux minutes et ils se mettent un peu en retrait, dans ce que l’on peut appeler l’angle mort d’un véhicule de ce gabarit.

Chantal de son côté, se remet sur le dos, j’en profite pour lui enlever son string et plonger tête la première en direction de cet abricot qui me semble délicieux. Je ne me trompe pas, le goût de sa mouille est légèrement piquant, mais ça ne me dérange pas. Je savoure ce nectar avec plaisir. Je joue avec son clitoris, je trempe ma langue dans son vagin qui se contracte à chaque sensation. Et ce n’est qu’au bout de cinq minutes qu’elle pousse son premier cri de jouissance.

Je me sens fier. Il est temps de passer aux choses sérieuses, je soulève un peu plus sa jupe, puis je positionne mon sexe en face de sa vulve. Je la pénètre sans ménagement, je fais quelques aller-retour en elle, ses yeux se révulsent de plaisir. Et je dois dire que je prends énormément mon pied. Elle ondule parfaitement du bassin, et semble être en totale adéquation avec moi.

C’est à ce moment-là que les deux hommes réapparaissent à la fenêtre pour admirer le spectacle qui leur est proposé. Ils doivent certainement se masturber à la vue du spectacle. Je positionne alors Chantal en face de ces messieurs, et je commence à la prendre en levrette. C’est au moment d’ouvrir les yeux qu’elle pousse un petit cri de peur, constatant la présence de ces deux inconnus. Je lui dis de ne pas s’inquiéter, car c’est une habitude dans ce coin coquin de voir ce genre de comportement. Je lui propose même d’ouvrir la portière de la voiture afin de leur faire une fellation histoire de ravir nos deux compères.

Elle me prend pour un fou, puis je lui sors un proverbe assez ridicule. « Plus on est, mieux c’est ». Elle me fait tout de même un sourire et je fais signe aux deux gars que c’est bon. Ils ne se font pas prier, depuis le temps qu’ils patientent dehors, ils doivent avoir le jus au bord du gland. Je les invite même à entrer dans la voiture, nous baissons les sièges arrières, ce qui nous permet d’avoir une place conséquente. Presque la taille d’un lit.

L’un s’appelle Robert, et l’autre Serge, ils ont la quarantaine et sont routiers. Chantal commence à leur faire une fellation, pendant que moi, je la reprends en missionnaire. La vision de la femme fatale un peu bourgeoise se faisant soumettre de la sorte m’excite énormément. Les deux hommes n’hésitent pas à lui pétrir les seins, à lui pincer le bout des tétons, l’un d’entre eux s’aventure même à lui faire une branlette espagnole. Cette magnifique poitrine est gâtée si je peux me permettre. Au bout d’un quart d’heure, je leur propose de prendre ma place.

Serge se positionne en premier entre les jambes de Chantal, il a une cadence infernale. La tante de Marina exprime très bien ce plaisir avec des cris de jouissance sans précédent. Mais cet homme qui devait avoir un trop-plein de sperme n’a pas mis plus de dix minutes avant de jouir dans les entrailles de la petite-bourgeoise.

Robert qui semble être un peu bourru dans son attitude, prend tout son temps, il savoure le nectar de la vulve à Chantal, la doigte pour enlever de façon un peu surprenante le sperme de son collègue, puis la pénètre sans ménagement. Elle mouille abondamment, il semble tenir une cadence beaucoup plus importante que Serge. Il se retire, prend de la cyprine pour en étaler sur la petite rondelle de Chantal. Puis sans demander son reste, lui fait une sodomie.

Il m’invite même à la prendre pour lui faire une double pénétration. Je n’hésite pas une seconde.
Je me positionne sur le dos, et lui a califourchon. Nos deux sexes sont au fond des entrailles de Chantal. Nous nous accordons pour lui donner le plus de plaisir possible. Je me positionne sur le dos, et lui a califourchon. Pendant plus d’un quart d’heure, nous sommes dans cette position.
Le corps de la femme tremble dans tous les sens, puis elle pousse un cri énorme de jouissance, mon sexe est noyé dans sa cyprine. Et je crois bien que Robert vient de décharger une quantité énorme de sperme. De mon côté, je ne mets pas plus de temps pour jouir.

Il nous faut bien dix minutes avant de retrouver nos esprits. Les deux hommes me remercient pour cette partie de jambes en l’air, et j’en profite même pour les inviter au réveillon du nouvel an, avec bien entendu l’accord de Chantal qui nous accompagnera. J’en profite pour prendre leurs coordonnées afin de faciliter les contacts pour les invitations.

Celle-ci, me traite de tous les noms, je suis un salaud, un enfoiré, mais dans le fond, je sais très bien qu’elle a pris un plaisir énorme. Il est presque dix-neuf heures, nous reprenons le chemin de mon domicile. Celle-ci, me traite de tous les noms, je suis un salaud, un enfoiré, mais dans le fond, je sais très bien qu’elle a pris un plaisir énorme.

Lorsque nous arrivons enfin à destination, je tente de l’embrasser, et contrairement à ce que je pensais, elle répond à cette demande, s’excuse pour les insultes et me remercie pour cette partie de jambes en l’air. Moi qui croyais que cette activité lui avait déplu, finalement, elle serait plus coquine que ce que j’avais pensé. Ma petite vengeance personnelle commence à prendre forme.