D'aventures en aventures, chapitre 5 - histoire érotique

Je m’appelle Antoine, je suis le compagnon de Marina et cette année, je passe la première partie de Noël chez ses parents. Après avoir pris ma douche, j’ai surpris ma compagne dans notre chambre d’ami avec ses cousins. Au début, ils jouaient, se faisaient des chatouilles, puis à un moment donner.

L’intrépide Jean a clairement mis sa main dans le décolleté de ma compagne, Louis le deuxième cousin a fait la même chose, puis en guise de surprise familiale. Les deux garçons ont eu droit à une fellation jusqu’à la jouissance.

Pris d’une colère noire, je ne pouvais pas faire grand-chose, n’étant pas chez moi, je ne peux pas me permettre de faire un scandale
Ensuite lors de l’ouverture des cadeaux, les deux lascars lui ont offert une robe sexy avec une ouverture géante dans le dos, montrant légèrement le haut de ses fesses. Ce qui n’a pas manqué d’attirer la convoitise. Alors que nous arrivions à la fin du repas, Brigitte la mère de ma compagne a diffusé diverses musiques d’ambiance.

Tout le monde dansait avec joie, mais les effets de l’alcool m’ont poussé à aller me soulager aux toilettes. Et en cinq minutes, les trois compères n’étaient plus dans la pièce.

J’ai alors demandé à sa mère et son père où était passée leur fille, aucune réponse, puis sa tante Chantal ne m’a pas apporté plus de réponses. Je suis donc parti à sa recherche, naïvement, j’ai pensé qu’ils étaient dans la chambre d’ami, puis j’avais oublié la présence d’une salle de jeu dans le sous-sol, avec des canapés, un bar, un billard et j’en passe.

Je suis à présent dans cette pièce, caché derrière le paravent. J’entends des ricanements, des petits cris, et je commence à rougir de colère. J’essaye de me trouver une ouverture afin de voir ce qui se passe. En faisant des pas de chats, je me dissimule dans un creux du mur.
Je vois à présent la scène qui s’offre à moi.

Marina est assise sur le canapé, les deux cousins se défient au billard. D’après ce que j’ai compris, celui qui perd la partie, à le gage de s’enlever un vêtement. Louis semble plus fort que son frère qui est au bout de la troisième série en caleçon.

Puis ce dernier se rattrape, finalement au bout de six à sept parties, les deux garçons se retrouvent en sous-vêtements.
Le trio se sert du champagne, puis ma compagne essaye de faire une partie de billard.
Étant maladroite, elle a régulièrement besoin d’un coup de main. Bien entendu, l’alcool aidant, Jean mime une levrette à chaque fois qu’il se positionne derrière Marina ou alors passe sa main délicatement de haut en bas du dos de celle-ci.

À chaque fois, un frisson semble lui parcourir le corps puisqu’elle frémit à chaque attouchement.
Louis qui est assis sur le canapé, regarde de façon obscène sous la robe de sa cousine, puis s’aperçoit que celle-ci n’a pas de culotte. Effectivement avec la tenue qu’elle porte ça serait clairement une faute de goût. Il ne manque pas l’occasion de le dire à haute voix.

Un peu gênée, Marina essaye de tendre sa robe vers le bas en le traitant simplement de petit coquin.
Je suis abasourdi par sa réaction, je m’attendais à plus de véhémences de sa part. Malgré cette remarque, elle continue de jouer. Après tout, ils sont cousins, elle ne voit pas de mal entendu comme elle le dit clairement. Les boules sont quasiment toutes mises dans les trous.
L’une d’entre elles semble hors de portée. Elle s’allonge comme elle peut sur le tapis, son cousin tente de la maintenir par les jambes pour ne pas qu’elle tombe, puis au moment du tir, elle rate son coup.

Tout le monde rit en cœur. Jean tente une approche audacieuse, effectivement, il essaye d’embrasser Marina sur la bouche. Elle ne le repousse pas.

Bien au contraire, elle en redemande, puis cette fois-ci, elle y met la langue. Il la retourne, contre le billard, soulève la robe et s’aperçoit effectivement qu’elle n’a pas de culotte.
Il ne tarde pas à se mettre à genoux, pour glisser sa tête entre les fesses de sa cousine.

Louis de son côté, tente de s’asseoir sur le meuble, jambes écartées, caleçon baissé, et membre dressé. Elle n’attend pas une seconde pour le prendre en bouche.
Elle prend du plaisir puisque je l’entends gémir de plaisir. Jean se relève, lui assène une série de fessées et change de place avec Louis qui semble être un peu plus bestial.

Je le vois s’agiter sur la vulve de ma compagne, puis le trio s’installe sur le canapé.
Jean s’assoit avec un membre bien dressé, puis Marina enlève sa robe. Elle s’empale sur le membre de son cousin, fait des allers-retours, pendant que l’autre cousin se fait sucer.

Jean ne se prive pas, il donne tout ce qu’il peut, et elle lui rend bien. Les deux cousins changent de position, et Louis semble exciter comme un puceau.

Marina se place contre le billard, tourne le dos à ses complices, qui lui font une levrette qui semble bien appréciable. Ses seins ballottent de droite à gauche. Et de mon côté, je sens comme une sorte d’excitation, alors que je suis dans une colère noire, je ne comprends pas ce double sentiment.

Bref, le trio a encore changé de position, ils sont à présent sur le canapé, elle est en chandelier sur le membre de Louis, et je vois clairement Jean qui lèche l’anus de la jeune femme. Je suis surpris, car elle refuse souvent ce genre de chose avec moi.

Puis, il se met accroupi derrière elle et prend un peu de cyprine qu’il met sur son membre.
Il pousse un peu, puis entre dans les entrailles de Marina. Les deux cousins la comblent de plaisir puisqu’elle jouit assez fort. Mais comme la pièce est insonorisée, cela ne dérange donc personne, je suis seul, ici, à voir ce spectacle.
J’ai même honte d’en parler de la sorte.

Ils sont toujours en double pénétration, les deux hommes transpirent, et ma compagne aussi, les minutes ressemblent à des heures. Le trio s’arrête un instant, puis Louis en premier se positionne à l’entrée du vagin de Marina, il s’active comme un fou, puis joui dans les entrailles de la jeune femme, Jean qui attend derrière fait de même.

En l’espace d’une seconde, je fuis comme un chat, fais exprès de claquer la porte puis par dans la chambre d’ami. Je fais les cent pas, la colère a repris le dessus sur les autres sentiments possible à l’instant t.

Marina entre dans la pièce, vient m’embrasser, je la repousse, je lui dis que je suis au courant de tout et que demain, je retournerai chez mes parents sans aucune concession.

Elle tente par tous les moyens de me convaincre du pourquoi du comment, et sincèrement, je ne veux rien entendre. Je m’assois sur un fauteuil, dans la chambre, puis le lendemain a six heures, je pars définitivement. Je me dépêche de rentrer à l’appartement, prend mes affaires les plus importantes puis rentre chez mes parents qui ont accueilli cette nouvelle comme une sorte de cadeau de Noël.