Damien (12) Kader suite - 2
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien (12) Kader suite - 2
Quand je revins des toilettes, Kader était en train de se caresser.
Je montai sur le matelas, je me mis à genoux, je me baissai afin de reposer sur les avant-bras de telle sorte à avoir le postérieur en l'air puis j'écarta les cuisses et me cambrai pour m'offrir le mieux possible.
Kader me dit "C'est très bien mon petit pédé, tu tends bien ton cul pour recevoir ma bite, j'aime ça".
Mon amant s'agenouilla derrière moi, j'avoue que j'étais terriblement inquiet étant donné la taille du sexe qui allait s'enfoncer en moi.
Je fus surpris de ne pas sentir l'énorme gland s'insinuer dans ma raie, mon homme écarta mes fesses d'une de ses mains et glissa son majeur dans mon sillon.
Cet attouchement me fit frémir, mon mec s'en aperçut et me dit "Je vois que tu es une véritable jouisseuse salope, il suffit que je te touche pour que tu vibres, tu dois être une superbe baiseuse".
Kader agaça quelque temps mon œillet de son doigt, ce qui eu pour effet de le faire s'ouvrir et de me faire pousser un soupir.
Mon amant ôta son doigt et me caressant les fesses me dit "C'est très joli de voir ton petit trou de salope s'ouvrir comme ça, j'en suis sur tu es une vraie petite pute".
Mon homme écarta de nouveau mes lobes charnus et enfouit son visage entre elles.
Il commença à me saliver dans la raie puis sa langue râpeuse se mit à me titiller l'anus.
Contrairement à ce que j'avais imaginé mon mec était très doux, il prenait son temps de me préparer à recevoir son fabuleux phallus.
Sous ses caresses expertes je sentis ma rondelle s'ouvrir et des bouffées de chaleur commencèrent à envahir mon être.
J'écartais encore plus les cuisses et tendis mon arrière-train au maximum pour m'offrir encore plus aux baiser lingués que Kader échangeaient avec ma corolle tout en poussant de petits gémissements de félicité.
Longtemps mon amant m'effeuilla de la sorte, j'étais complètement en nage et je commençais à tortiller du cul pour venir à la rencontre de cette langue qui m'affolait.
Quand la bouche de mon homme m'abandonna j'étais si excité que le moindre frôlement sur ma peau me faisait pousser de lourds gémissements de bonheur.
Mon mec posta son majeur contre mon ouverture anale et me pénétra lentement.
Cette intromission me fit frémir et je cambrai encore plus mes reins.
Kader fit aller et venir son majeur en moi tout en salivant dessus pour me lubrifier.
Un deuxième doigt puis un troisième et enfin un quatrième vinrent rejoindre le premier desserrant mon sphincter.
Quand les quatre doigts coulissèrent en moi, mon amant fit tourner sa main pour dilater mon anneau, j'avais fermé les yeux et je me laissais emporter dans un tourbillon de désir.
Mon homme continua plusieurs minutes ses mouvements, la tête posé sur les draps je poussai des râles de bien-être tout en roulant lascivement des hanches.
Quand mon mec retira ses doigts je me sentis poussai un soupir et lui dit "Pourquoi, c'est si bon ?
- Tout simplement parce que maintenant ton trou de balles est suffisamment pour prendre mon zob sans te faire mal.
- Je t'en supplie ne me laisse pas comme ça, je suis en feu, tu m'as tellement excité que j'ai l'impression de devenir folle.
- N'aie pas peur, je ne vais pas te laisser mais au contraire je vais t'enculer ma petite salope.
- Oui baise-moi, je veux ta queue, j'ai le cul en feu.
- Je vais te baiser salope, je vois bien que tu as le cul en feu de la manière dont tu le bouges, prépare toi à prendre mon gros zob dans ton zouk de petite pédale en chaleur".
J'entendis Kader se racler la gorge, il écarta de nouveau mes miches bouillantes puis il cracha.
Son jet de salive frappa contre l'ouverture de mon tunnel intime et mon amant le fit entrer à l'intérieur de son doigt.
Je sentis l'extraordinaire gland glisser dans ma raie trempée pour se positionner contre ma pastille.
Bien que je sois bien ouvert par les attouchements de mon homme et extrêmement excité, je fus pris d'un sentiment de panique quand je me rendis compte de la taille de ce qui allait rentrer dans mon anus.
Jamais je n'avais pris un sexe de cette taille, mon mec sentit ma peur et me dit "Ne t'en fais pas, je vais te faire le moins mal possible ma petite poupée.
- Je t'en prie, fais doucement, ta bite est énorme.
- Je le sais ma salope mais tu vas voir elle va rentrer toute entière dans ton trou du cul de pédale.
- Je le sais mais j'ai peur.
- N'importe comment c'est trop tard pour avoir peur, la tête de mon zob est contre ta fente et je suis excité comme un âne, c'est fini tu ne peux plus reculer, que tu le veuilles ou non il faut que je t’encule.
- Je veux que tu m'encules mais j'ai quand même peur.
- AH AH AH !! T’inquiètes pas salope, tu n'es pas la première pédale que j'encule et en plus toi je sais que tu es une vraie baiseuse, ton cul est fait pour la bite, j'ai vu comment il s'ouvre et surtout comment tu aimes qu'on s'occupe de ton joli petit zouk de pute, tu me dis que tu as peur mais moi quand je vois comment ton cul est chaud et ton petit trou s'ouvrir et se fermer, lui il n'a pas peur, il a envie que ma grosse bite le défonce.
- Tu as raison, je sens bien mon anus palpiter, je suis très excité, je veux que tu me baise, je veux sentir ta merveilleuse pine me défoncer le cul mais c'est la première fois que je vais prendre quelque de si gros et long dans mon cul.
- Ce n'est rien, allez comme je te l'ai dit maintenant c'est trop tard pour reculer, je vais t'enculer ma putain".
Kader posa une de ses mains sur le haut de mon derrière bouillant et de l'autre il maintint son splendide phallus contre ma corolle et commença à peser dessus.
Une douleur effroyable m'envahit quand la l'énorme tête du pénis écarta mes chairs, je poussai un hurlement et je criai "Aie aiieee aaiiieeee !!!!!, doucement, je t'en supplie arrête, j'ai mal, ta bite est trop grosse, tu vas me déchirer, aaaiiiieeeee !!!".
Mon amant suspendit sa poussée et aussitôt la douleur diminua, il me dit "Calme-toi, tu as mal parce que tu as peur, je sais que ma bite est très grosse, je sais que c'est la première fois que ton petit cul reçoit une bite aussi grosse mais je suis sur que ton trou du cul peut la prendre et je te le répète c'est trop tard pour arrêter, maintenant je dois t’enculer".
Malgré la souffrance que je venais d'éprouver mon homme avait raison j'avais été trop loin pour arrêter maintenant et j'étais tellement excité, je lui répondis "Mais je ne veux pas arrêter, au contraire je veux que tu me baises, mais je t'en supplie fais doucement, c'est très douloureux.
- Bien sur ma petite pédale que je vais faire doucement je ne veux pas casser ce joyau qu'est ton cul, allez détends-toi, abandonne-toi et tu verras ça fera beaucoup moins mal".
Mon mec se remit de nouveau à pousser, lentement millimètre par millimètre le fabuleux gland me pénétra, je mordais les draps pour ne pas hurler tant j'avais mal.
Quand enfin le gigantesque bout durci fut en moi je pleurais en silence, Kader resta immobile quelques instants puis doucement il sortit son sexe de mon antre et l'introduit de nouveau.
Ce mouvement eut pour effet de m'assouplir la rondelle et petit à petit la douleur disparut pour faire place à une douce langueur.
Mon amant s'en aperçut et me demanda "Alors ça va mieux, tu vois que j'avais raison, la tête de ma bite est dans ton cul, tu sais le reste est très long mais c'est moins gros et je me rends compte que tu es contente salope, tu veux toujours que j'arrête ?".
Mon homme avait raison, j'avais le cul en l'air complètement offert au mâle tel une chienne en chaleur, je ne voulais plus qu'une chose c'était de me faire baiser comme une salope, je ne voulais plus que ça, et je répondis "Non je ne veux pas que tu arrêtes, je veux que tu t'enfonces entièrement en moi, je veux sentir ta bite me baiser.
- Bien te voilà devenue raisonnable ma petite putain, tu vas voir je vais bien te faire jouir ma salope".
Posant ses mains sur mes lobes charnus mon homme s'enfonça en moi jusqu'à la garde.
Lorsque je sentis les poils follets de son pubis contre mon prose brûlant je sus qu'il était en moi complètement.
Mon mec resta collé à moi, immobile me laissant m'habituer à la monstrueuse présence qui m'obstruait le fondement, j'avais l'impression que mes fesses allaient se détacher tant j'étais distendu par la queue fichée en moi, jamais je ne m'étais senti rempli comme ça, au fond de mes entrailles le membre colossal palpitait et cela me fit monter encore d'un cran dans le plaisir.
Au bout de quelques instants je sentis mon anneau de détendre, Kader s'en aperçut aussi et me dit "On dirait que ton petit trou du cul est en train de s'agrandir, il comprime moins ma bite, je vais pouvoir commencer à t'enculer.
- Oui vas-y baise-moi fais-moi du bien, je veux que tu me défonces le cul et que tu me fasses bien jouir.
- D'accord ma putain, je vais te donner ta mère, je vais bien casser ta petite rondelle de sale petite pédale, je vais éclater complètement ton joli cul de tapette".
Mon amant commença à aller et venir lentement dans mon rectum bouillant m'arrachant à chaque mouvement des petits cris de douleur qui peu à peu se muèrent en gémissements.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son pénis turgescent, le sortant entièrement de mon fondement pour le replonger au fond de mon cul la seconde suivante.
Au bout de quelques temps de ce traitement mon anus céda complètement et le superbe Priape pu coulisser en moi sans gêne aucune.
Sentir cette pine roide coulisser en moi me faisait basculer dans un univers de plaisir, il me semblait que mon corps flottait dans un océan de félicité.
Kader, les mains posés sur mes hanches, me possédait avec une régularité de métronome, chaque fois que la fabuleuse verge s'enfonçait au fond de mes entrailles, je poussai de lourds gémissements, j'avais le sentiment que seul mon cul existait.
Sentir la fabuleuse bite de mon amant s'enfoncer en moi me procurait une indescriptible effervescence, j'étais complètement offert à l'homme qui me donnait un plaisir immense.
Sous les coups de boutoir répétés de mon mec je sentis la volupté prendre possession de mon être, chaque fois que la pine roide s'enfonçait aux tréfonds de mes entrailles je me sentais perdre pied un peu plus et je poussai de lourds râles de joie.
J'avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière savourant l'incroyable bien-être qui m'envahissait par tous les pores de ma peau excitée à l'extrême.
Kader, les mains crispées dans la chair de mes hanches, me besognait toujours lentement, il sortait son sexe entièrement de mon antre en fusion pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
J'avais le cul complètement éclaté et j'avais l'impression que de la lave coulait dans mon rectum en fusion, tout mon corps était en feu et je savais que seul le phallus qui me forait les reins pouvait éteindre l'énorme brasier qui me consumait.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me baisait mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment et je me cambrai au maximum pour me donner encore plus au formidable pénis qui me défonçait.
Chaque fois que l'énorme membre plongeait entre mes fesses bouillantes m'ouvrant la corolle un peu plus, je sentais les testicules gorgées de sève de mon mec me caressaient les miches.
Jamais je n'avais ressenti un tel plaisir, j'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts que mon homme m'assénait.
A chaque poussée je me sentais sombrer un peu plus dans un univers où seul comptait le Priape qui cassait le fion, tout mon corps tremblait et la bouche grande ouverte je criai mon plaisir.
Kader avait posé ses mains sur mon postérieur et écartait mes deux lobes charnus pour augmenter sa pénétration, je me sentais perdre totalement pied, je ne vivais plus que pour et par la magnifique pine qui me bourrait.
Perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases de la félicité par lesquelles je passai.
Je sentis une boule de feu exploser sur mon visage, un spasme me foudroya et un orgasme déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon amant pour accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge et je sombrai dans l'inconscience.
Je montai sur le matelas, je me mis à genoux, je me baissai afin de reposer sur les avant-bras de telle sorte à avoir le postérieur en l'air puis j'écarta les cuisses et me cambrai pour m'offrir le mieux possible.
Kader me dit "C'est très bien mon petit pédé, tu tends bien ton cul pour recevoir ma bite, j'aime ça".
Mon amant s'agenouilla derrière moi, j'avoue que j'étais terriblement inquiet étant donné la taille du sexe qui allait s'enfoncer en moi.
Je fus surpris de ne pas sentir l'énorme gland s'insinuer dans ma raie, mon homme écarta mes fesses d'une de ses mains et glissa son majeur dans mon sillon.
Cet attouchement me fit frémir, mon mec s'en aperçut et me dit "Je vois que tu es une véritable jouisseuse salope, il suffit que je te touche pour que tu vibres, tu dois être une superbe baiseuse".
Kader agaça quelque temps mon œillet de son doigt, ce qui eu pour effet de le faire s'ouvrir et de me faire pousser un soupir.
Mon amant ôta son doigt et me caressant les fesses me dit "C'est très joli de voir ton petit trou de salope s'ouvrir comme ça, j'en suis sur tu es une vraie petite pute".
Mon homme écarta de nouveau mes lobes charnus et enfouit son visage entre elles.
Il commença à me saliver dans la raie puis sa langue râpeuse se mit à me titiller l'anus.
Contrairement à ce que j'avais imaginé mon mec était très doux, il prenait son temps de me préparer à recevoir son fabuleux phallus.
Sous ses caresses expertes je sentis ma rondelle s'ouvrir et des bouffées de chaleur commencèrent à envahir mon être.
J'écartais encore plus les cuisses et tendis mon arrière-train au maximum pour m'offrir encore plus aux baiser lingués que Kader échangeaient avec ma corolle tout en poussant de petits gémissements de félicité.
Longtemps mon amant m'effeuilla de la sorte, j'étais complètement en nage et je commençais à tortiller du cul pour venir à la rencontre de cette langue qui m'affolait.
Quand la bouche de mon homme m'abandonna j'étais si excité que le moindre frôlement sur ma peau me faisait pousser de lourds gémissements de bonheur.
Mon mec posta son majeur contre mon ouverture anale et me pénétra lentement.
Cette intromission me fit frémir et je cambrai encore plus mes reins.
Kader fit aller et venir son majeur en moi tout en salivant dessus pour me lubrifier.
Un deuxième doigt puis un troisième et enfin un quatrième vinrent rejoindre le premier desserrant mon sphincter.
Quand les quatre doigts coulissèrent en moi, mon amant fit tourner sa main pour dilater mon anneau, j'avais fermé les yeux et je me laissais emporter dans un tourbillon de désir.
Mon homme continua plusieurs minutes ses mouvements, la tête posé sur les draps je poussai des râles de bien-être tout en roulant lascivement des hanches.
Quand mon mec retira ses doigts je me sentis poussai un soupir et lui dit "Pourquoi, c'est si bon ?
- Tout simplement parce que maintenant ton trou de balles est suffisamment pour prendre mon zob sans te faire mal.
- Je t'en supplie ne me laisse pas comme ça, je suis en feu, tu m'as tellement excité que j'ai l'impression de devenir folle.
- N'aie pas peur, je ne vais pas te laisser mais au contraire je vais t'enculer ma petite salope.
- Oui baise-moi, je veux ta queue, j'ai le cul en feu.
- Je vais te baiser salope, je vois bien que tu as le cul en feu de la manière dont tu le bouges, prépare toi à prendre mon gros zob dans ton zouk de petite pédale en chaleur".
J'entendis Kader se racler la gorge, il écarta de nouveau mes miches bouillantes puis il cracha.
Son jet de salive frappa contre l'ouverture de mon tunnel intime et mon amant le fit entrer à l'intérieur de son doigt.
Je sentis l'extraordinaire gland glisser dans ma raie trempée pour se positionner contre ma pastille.
Bien que je sois bien ouvert par les attouchements de mon homme et extrêmement excité, je fus pris d'un sentiment de panique quand je me rendis compte de la taille de ce qui allait rentrer dans mon anus.
Jamais je n'avais pris un sexe de cette taille, mon mec sentit ma peur et me dit "Ne t'en fais pas, je vais te faire le moins mal possible ma petite poupée.
- Je t'en prie, fais doucement, ta bite est énorme.
- Je le sais ma salope mais tu vas voir elle va rentrer toute entière dans ton trou du cul de pédale.
- Je le sais mais j'ai peur.
- N'importe comment c'est trop tard pour avoir peur, la tête de mon zob est contre ta fente et je suis excité comme un âne, c'est fini tu ne peux plus reculer, que tu le veuilles ou non il faut que je t’encule.
- Je veux que tu m'encules mais j'ai quand même peur.
- AH AH AH !! T’inquiètes pas salope, tu n'es pas la première pédale que j'encule et en plus toi je sais que tu es une vraie baiseuse, ton cul est fait pour la bite, j'ai vu comment il s'ouvre et surtout comment tu aimes qu'on s'occupe de ton joli petit zouk de pute, tu me dis que tu as peur mais moi quand je vois comment ton cul est chaud et ton petit trou s'ouvrir et se fermer, lui il n'a pas peur, il a envie que ma grosse bite le défonce.
- Tu as raison, je sens bien mon anus palpiter, je suis très excité, je veux que tu me baise, je veux sentir ta merveilleuse pine me défoncer le cul mais c'est la première fois que je vais prendre quelque de si gros et long dans mon cul.
- Ce n'est rien, allez comme je te l'ai dit maintenant c'est trop tard pour reculer, je vais t'enculer ma putain".
Kader posa une de ses mains sur le haut de mon derrière bouillant et de l'autre il maintint son splendide phallus contre ma corolle et commença à peser dessus.
Une douleur effroyable m'envahit quand la l'énorme tête du pénis écarta mes chairs, je poussai un hurlement et je criai "Aie aiieee aaiiieeee !!!!!, doucement, je t'en supplie arrête, j'ai mal, ta bite est trop grosse, tu vas me déchirer, aaaiiiieeeee !!!".
Mon amant suspendit sa poussée et aussitôt la douleur diminua, il me dit "Calme-toi, tu as mal parce que tu as peur, je sais que ma bite est très grosse, je sais que c'est la première fois que ton petit cul reçoit une bite aussi grosse mais je suis sur que ton trou du cul peut la prendre et je te le répète c'est trop tard pour arrêter, maintenant je dois t’enculer".
Malgré la souffrance que je venais d'éprouver mon homme avait raison j'avais été trop loin pour arrêter maintenant et j'étais tellement excité, je lui répondis "Mais je ne veux pas arrêter, au contraire je veux que tu me baises, mais je t'en supplie fais doucement, c'est très douloureux.
- Bien sur ma petite pédale que je vais faire doucement je ne veux pas casser ce joyau qu'est ton cul, allez détends-toi, abandonne-toi et tu verras ça fera beaucoup moins mal".
Mon mec se remit de nouveau à pousser, lentement millimètre par millimètre le fabuleux gland me pénétra, je mordais les draps pour ne pas hurler tant j'avais mal.
Quand enfin le gigantesque bout durci fut en moi je pleurais en silence, Kader resta immobile quelques instants puis doucement il sortit son sexe de mon antre et l'introduit de nouveau.
Ce mouvement eut pour effet de m'assouplir la rondelle et petit à petit la douleur disparut pour faire place à une douce langueur.
Mon amant s'en aperçut et me demanda "Alors ça va mieux, tu vois que j'avais raison, la tête de ma bite est dans ton cul, tu sais le reste est très long mais c'est moins gros et je me rends compte que tu es contente salope, tu veux toujours que j'arrête ?".
Mon homme avait raison, j'avais le cul en l'air complètement offert au mâle tel une chienne en chaleur, je ne voulais plus qu'une chose c'était de me faire baiser comme une salope, je ne voulais plus que ça, et je répondis "Non je ne veux pas que tu arrêtes, je veux que tu t'enfonces entièrement en moi, je veux sentir ta bite me baiser.
- Bien te voilà devenue raisonnable ma petite putain, tu vas voir je vais bien te faire jouir ma salope".
Posant ses mains sur mes lobes charnus mon homme s'enfonça en moi jusqu'à la garde.
Lorsque je sentis les poils follets de son pubis contre mon prose brûlant je sus qu'il était en moi complètement.
Mon mec resta collé à moi, immobile me laissant m'habituer à la monstrueuse présence qui m'obstruait le fondement, j'avais l'impression que mes fesses allaient se détacher tant j'étais distendu par la queue fichée en moi, jamais je ne m'étais senti rempli comme ça, au fond de mes entrailles le membre colossal palpitait et cela me fit monter encore d'un cran dans le plaisir.
Au bout de quelques instants je sentis mon anneau de détendre, Kader s'en aperçut aussi et me dit "On dirait que ton petit trou du cul est en train de s'agrandir, il comprime moins ma bite, je vais pouvoir commencer à t'enculer.
- Oui vas-y baise-moi fais-moi du bien, je veux que tu me défonces le cul et que tu me fasses bien jouir.
- D'accord ma putain, je vais te donner ta mère, je vais bien casser ta petite rondelle de sale petite pédale, je vais éclater complètement ton joli cul de tapette".
Mon amant commença à aller et venir lentement dans mon rectum bouillant m'arrachant à chaque mouvement des petits cris de douleur qui peu à peu se muèrent en gémissements.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son pénis turgescent, le sortant entièrement de mon fondement pour le replonger au fond de mon cul la seconde suivante.
Au bout de quelques temps de ce traitement mon anus céda complètement et le superbe Priape pu coulisser en moi sans gêne aucune.
Sentir cette pine roide coulisser en moi me faisait basculer dans un univers de plaisir, il me semblait que mon corps flottait dans un océan de félicité.
Kader, les mains posés sur mes hanches, me possédait avec une régularité de métronome, chaque fois que la fabuleuse verge s'enfonçait au fond de mes entrailles, je poussai de lourds gémissements, j'avais le sentiment que seul mon cul existait.
Sentir la fabuleuse bite de mon amant s'enfoncer en moi me procurait une indescriptible effervescence, j'étais complètement offert à l'homme qui me donnait un plaisir immense.
Sous les coups de boutoir répétés de mon mec je sentis la volupté prendre possession de mon être, chaque fois que la pine roide s'enfonçait aux tréfonds de mes entrailles je me sentais perdre pied un peu plus et je poussai de lourds râles de joie.
J'avais fermé les yeux et rejeté la tête en arrière savourant l'incroyable bien-être qui m'envahissait par tous les pores de ma peau excitée à l'extrême.
Kader, les mains crispées dans la chair de mes hanches, me besognait toujours lentement, il sortait son sexe entièrement de mon antre en fusion pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
J'avais le cul complètement éclaté et j'avais l'impression que de la lave coulait dans mon rectum en fusion, tout mon corps était en feu et je savais que seul le phallus qui me forait les reins pouvait éteindre l'énorme brasier qui me consumait.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon amant me baisait mais c'était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment et je me cambrai au maximum pour me donner encore plus au formidable pénis qui me défonçait.
Chaque fois que l'énorme membre plongeait entre mes fesses bouillantes m'ouvrant la corolle un peu plus, je sentais les testicules gorgées de sève de mon mec me caressaient les miches.
Jamais je n'avais ressenti un tel plaisir, j'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts que mon homme m'assénait.
A chaque poussée je me sentais sombrer un peu plus dans un univers où seul comptait le Priape qui cassait le fion, tout mon corps tremblait et la bouche grande ouverte je criai mon plaisir.
Kader avait posé ses mains sur mon postérieur et écartait mes deux lobes charnus pour augmenter sa pénétration, je me sentais perdre totalement pied, je ne vivais plus que pour et par la magnifique pine qui me bourrait.
Perdant toute retenue je me mis à hurler toutes les phases de la félicité par lesquelles je passai.
Je sentis une boule de feu exploser sur mon visage, un spasme me foudroya et un orgasme déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon amant pour accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge et je sombrai dans l'inconscience.
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