Damien 51 - Nourredine 3
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien 51 - Nourredine 3
Je m'allongeais, relevais les jambes et prenant mes cuisses à deux mains je les repliais vers mon ventre et les écartais tout en tendant ma croupe rebondie, Nourredine s'essuya le sexe avec un kleenex et après s'être caressé pour redonner à sa pine une superbe érection me dit "Prépare toi à en prendre plein le cul et comme il est tout ouvert je vais pouvoir t'enculer tout de suite en force et à fond.
- Bien sur mon chéri".
Mon amant s'allongea sur moi, il guida son splendide phallus érigé dans la raie de mon cul et d'un violent coup de reins il s'enfonça en moi jusqu'à la garde me faisant gémir.
Mon anus éclaté et trempé de semence par notre précédente étreinte avala l'énorme membre sans gène aucune.
La bouche gourmande de mon homme s'empara de la mienne, nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Je nouais mes jambes dans le dos de mon homme et posais mes mains sur ses épaules musclées et fermant les yeux je m'abandonnais totalement au plaisir qui s'emparait de mon être enflammé.
Mon mec commença à aller et venir entre mes reins à une vitesse folle, fermais les yeux savourant le désir, qui un instant retombé, remontait en moi par vagues successives.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son fabuleux membre le sortant presque entièrement de ma grotte brûlante pour le replonger au fond de mes entrailles la seconde suivante.
Tout en continuant à m'embrasser et me lécher le visage Nourredine se mit à m'enculer en de brusques ruades.
J'avais le cul complètement éclaté, je poussais des cris de volupté chaque fois que le splendide phallus plongeait au tréfonds de mon cul en fusion.
Un brasier me consumait et je savais que seule la phénoménale queue qui me possédait pouvait l'éteindre.
J'étais tel un patin désarticulé sous les assauts répétés de cette fantastique bite.
Dans la chambre, en dehors de mes cris et gémissements, on entendait les bruits de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le fabuleux sexe qui me cassait un peu plus la rondelle à chaque saillie.
Mon amant me pilonnait le derche en de fougueux coups de reins, j'avais perdu tout sens des réalités et je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait me défonçant le fion.
Ce que je ressentais était extraordinaire, d'énormes boules de chaleur, prenant naissance dans mon bas ventre, remontaient vers mon visage en explosant en mille petites étoiles.
Je n'étais plus que plaisir, je ne vivais plus que pour et par le monumental pal qui me forait les reins.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon fondement et j'avais l'impression de mouiller comme une femme tant j'étais lubrifié par la biroute qui m'éclatait l'anus de plus en plus.
Mon homme se ruait dans mon cul avec une frénésie inouïe, ses couilles remplies de liqueur fouettaient mes fesses en feu, je sentais un plaisir immense s'emparer de moi et je plantais mes ongles dans la chair des épaules robustes de mon mec.
J'avais atteint la plénitude rectale et je hurlais mon bonheur à gorge déployée.
Chaque fois que Nourredine plantait sa verge érigée au fond de mon cul disloqué il disait "tiens salope encaisse, prends ça"
Tout à mon bonheur je relevais et tendais mon postérieur tout en ondulant.
Mon amant avait lové sa tête dans le creux de mon aisselle et me défonçait à une vitesse folle.
Je ne sais combien de temps dura cette copulation mais je ne voulais pas qu'elle s'arrête tant ce que je ressentais était bon.
Mon homme me limait consciencieusement en de brutaux mais toujours réguliers coup de boutoirs.
Dans mon cul béant couvait un énorme incendie, j'étais totalement en nage et je me sentais perdre entièrement pied sous les virils coups de reins de mon mec.
Tout en moi appelait le mâle, j'étais tellement excité que le moindre contact sur ma peau me faisait frémir, j'avais enserré Nourredine dans l'étau de mes cuisses poussant sur ses reins quand il enfonçait son monstrueux pénis au fond de mon intimité pour accroître la pénétration.
J'avais atteint le point de non retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Soudain s'enfonçant au fond de mon rectum en fusion mon amant éjacula en feulant, un abondant flot de sperme crémeux inonda mon canal me provoquant un orgasme dévastateur, mes ongles labourèrent les épaules de mon homme, mes jambes battirent l'air, une boule noua ma gorge, mon corps se tendit comme un arc sous celui qui me montait, je poussai un hurlement strident et je retombai sur la couche sombrant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis mon mec se lever de sur moi et je restais yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du plaisir autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux Nourredine était assis à côté de moi, il fumait et me regardait, je lui souris et il me dit "Alors ça y est revenu au pays des vivants.
- Oui.
- Tu es incroyable.
- Pourquoi ?
- Tu sais j'en ai baisé des mecs dans ma vie mais jamais je n'ai vu quelqu'un comme toi.
- Que veux-tu dire ?
- Je n'avais jamais vu un mec jouir comme toi, on dirait une gonzesse, tu hurles de plaisir comme une vraie pute, c'est fou.
- Si tu es content..
- Si je suis content mais c'est bien plus que ça, je suis heureux de t'avoir baisé et j'espère encore bien te baiser cette nuit ma petite femelle.
- Mais moi aussi j'ai encore envie que tu me baises, tu m'as fait jouir comme une folle.
- Je le sais mes épaules aussi.
- Excuse-moi.
- Mais non au contraire plus tu es comme ça plus j'aime, pour moi tu es la reine des baiseuses, je n'ai jamais rien vu de pareil, tu jouis comme une femme, tu suces comme une déesse, tu as un cul fantastique et tu sais bien t'en servir, quand je te voyais onduler tu ne peux pas savoir quel effet cela me faisait, plus tu le faisais plus tu me donnais envie de te défoncer la raie.
- Et toi plus tu me baisais plus tu me donnais envie.
- Je l'ai bien vu ma petite chatte mais je t'assure tu es la meilleure.
- Merci toi aussi tu n'es pas mal, tu as une bite extraordinaire et tu t'en sers formidablement bien.
- Merci.
- Non je t'assure tu m'as fait prendre un pied incroyable.
- Et bien c'est bien puisque nous sommes contents tous les deux.
- Oh oui.
- Veux-tu boire quelque chose.
- Un whisky s'il te plait et une cigarette.
- D'accord ma choutte".
Nourredine se leva et je vis que sa bite bien qu'au repos était d'une superbe taille, elle était maculée de sécrétions anales et séminales.
Mon amant m'apporta ce que je lui avais demandé et me dit "Bon je vais aller me laver la queue, à tout à l'heure".
Quand mon homme revint son sexe était de nouveau tout propre, comme j'avais fini de boire et fumer je lui dis "Moi aussi je vais aller prendre un bonne douche.
- D'accord d'ailleurs c'est ce que j'allais te demander.
- T'inquiète pas moi aussi j'aime bien être propre, on baise mieux comme ça.
- Tu as raison".
- Bien sur mon chéri".
Mon amant s'allongea sur moi, il guida son splendide phallus érigé dans la raie de mon cul et d'un violent coup de reins il s'enfonça en moi jusqu'à la garde me faisant gémir.
Mon anus éclaté et trempé de semence par notre précédente étreinte avala l'énorme membre sans gène aucune.
La bouche gourmande de mon homme s'empara de la mienne, nos dents s'entre choquèrent, j'ouvris la bouche, nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.
Je nouais mes jambes dans le dos de mon homme et posais mes mains sur ses épaules musclées et fermant les yeux je m'abandonnais totalement au plaisir qui s'emparait de mon être enflammé.
Mon mec commença à aller et venir entre mes reins à une vitesse folle, fermais les yeux savourant le désir, qui un instant retombé, remontait en moi par vagues successives.
Mon homme me possédait de toute la longueur de son fabuleux membre le sortant presque entièrement de ma grotte brûlante pour le replonger au fond de mes entrailles la seconde suivante.
Tout en continuant à m'embrasser et me lécher le visage Nourredine se mit à m'enculer en de brusques ruades.
J'avais le cul complètement éclaté, je poussais des cris de volupté chaque fois que le splendide phallus plongeait au tréfonds de mon cul en fusion.
Un brasier me consumait et je savais que seule la phénoménale queue qui me possédait pouvait l'éteindre.
J'étais tel un patin désarticulé sous les assauts répétés de cette fantastique bite.
Dans la chambre, en dehors de mes cris et gémissements, on entendait les bruits de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le fabuleux sexe qui me cassait un peu plus la rondelle à chaque saillie.
Mon amant me pilonnait le derche en de fougueux coups de reins, j'avais perdu tout sens des réalités et je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait me défonçant le fion.
Ce que je ressentais était extraordinaire, d'énormes boules de chaleur, prenant naissance dans mon bas ventre, remontaient vers mon visage en explosant en mille petites étoiles.
Je n'étais plus que plaisir, je ne vivais plus que pour et par le monumental pal qui me forait les reins.
J'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mon fondement et j'avais l'impression de mouiller comme une femme tant j'étais lubrifié par la biroute qui m'éclatait l'anus de plus en plus.
Mon homme se ruait dans mon cul avec une frénésie inouïe, ses couilles remplies de liqueur fouettaient mes fesses en feu, je sentais un plaisir immense s'emparer de moi et je plantais mes ongles dans la chair des épaules robustes de mon mec.
J'avais atteint la plénitude rectale et je hurlais mon bonheur à gorge déployée.
Chaque fois que Nourredine plantait sa verge érigée au fond de mon cul disloqué il disait "tiens salope encaisse, prends ça"
Tout à mon bonheur je relevais et tendais mon postérieur tout en ondulant.
Mon amant avait lové sa tête dans le creux de mon aisselle et me défonçait à une vitesse folle.
Je ne sais combien de temps dura cette copulation mais je ne voulais pas qu'elle s'arrête tant ce que je ressentais était bon.
Mon homme me limait consciencieusement en de brutaux mais toujours réguliers coup de boutoirs.
Dans mon cul béant couvait un énorme incendie, j'étais totalement en nage et je me sentais perdre entièrement pied sous les virils coups de reins de mon mec.
Tout en moi appelait le mâle, j'étais tellement excité que le moindre contact sur ma peau me faisait frémir, j'avais enserré Nourredine dans l'étau de mes cuisses poussant sur ses reins quand il enfonçait son monstrueux pénis au fond de mon intimité pour accroître la pénétration.
J'avais atteint le point de non retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Soudain s'enfonçant au fond de mon rectum en fusion mon amant éjacula en feulant, un abondant flot de sperme crémeux inonda mon canal me provoquant un orgasme dévastateur, mes ongles labourèrent les épaules de mon homme, mes jambes battirent l'air, une boule noua ma gorge, mon corps se tendit comme un arc sous celui qui me montait, je poussai un hurlement strident et je retombai sur la couche sombrant dans l'univers cotonneux de la jouissance.
Je sentis mon mec se lever de sur moi et je restais yeux clos, cuisses écartées savourant les dernières contractions du plaisir autour de ma corolle ravagée.
Quand je rouvris les yeux Nourredine était assis à côté de moi, il fumait et me regardait, je lui souris et il me dit "Alors ça y est revenu au pays des vivants.
- Oui.
- Tu es incroyable.
- Pourquoi ?
- Tu sais j'en ai baisé des mecs dans ma vie mais jamais je n'ai vu quelqu'un comme toi.
- Que veux-tu dire ?
- Je n'avais jamais vu un mec jouir comme toi, on dirait une gonzesse, tu hurles de plaisir comme une vraie pute, c'est fou.
- Si tu es content..
- Si je suis content mais c'est bien plus que ça, je suis heureux de t'avoir baisé et j'espère encore bien te baiser cette nuit ma petite femelle.
- Mais moi aussi j'ai encore envie que tu me baises, tu m'as fait jouir comme une folle.
- Je le sais mes épaules aussi.
- Excuse-moi.
- Mais non au contraire plus tu es comme ça plus j'aime, pour moi tu es la reine des baiseuses, je n'ai jamais rien vu de pareil, tu jouis comme une femme, tu suces comme une déesse, tu as un cul fantastique et tu sais bien t'en servir, quand je te voyais onduler tu ne peux pas savoir quel effet cela me faisait, plus tu le faisais plus tu me donnais envie de te défoncer la raie.
- Et toi plus tu me baisais plus tu me donnais envie.
- Je l'ai bien vu ma petite chatte mais je t'assure tu es la meilleure.
- Merci toi aussi tu n'es pas mal, tu as une bite extraordinaire et tu t'en sers formidablement bien.
- Merci.
- Non je t'assure tu m'as fait prendre un pied incroyable.
- Et bien c'est bien puisque nous sommes contents tous les deux.
- Oh oui.
- Veux-tu boire quelque chose.
- Un whisky s'il te plait et une cigarette.
- D'accord ma choutte".
Nourredine se leva et je vis que sa bite bien qu'au repos était d'une superbe taille, elle était maculée de sécrétions anales et séminales.
Mon amant m'apporta ce que je lui avais demandé et me dit "Bon je vais aller me laver la queue, à tout à l'heure".
Quand mon homme revint son sexe était de nouveau tout propre, comme j'avais fini de boire et fumer je lui dis "Moi aussi je vais aller prendre un bonne douche.
- D'accord d'ailleurs c'est ce que j'allais te demander.
- T'inquiète pas moi aussi j'aime bien être propre, on baise mieux comme ça.
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nourredine jte veut dans mon lit