Damien 58 - Pascal 5
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-07-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien 58 - Pascal 5
Mon amant rentra dans le salon et me dit "Maintenant qu'on est propre tous les deux tu vas me faire une bonne pipe et après je m'occuperai encore de ton fion de salope. Mais d'abord viens par ici".
J'approchai et mon homme prit une des ceintures qu'il avait ramené de la chambre, il me la mit autour du cou et me dit "Maintenant je suis sur de bien t'avoir en main, allez mets-toi à genoux et pompe moi le dard".
Je m'exécutai et tout en caressant les bourses duveteuses je me mis à porter des petits coups de langue sur le priape à demi flaccide.
En tirant sur la ceinture mon mec m'obligea à emboucher sa pine et me maintenant contre lui il se mit à me pisser dans la bouche.
Dans la position où j'étais je ne pus rien faire d'autre que d'avaler son urine, quand il eut terminé Pascal me relâcha et me dit "Eh bien voilà après avoir donné à boire de la bière à ton cul je t'ai donné à boire de la bière maison, maintenant ma salope tu vas te foutre à quatre pattes sur le tapis et tendre bien ton fion que je t'en foutes un bon coup".
Je pris la position demandée et attendis la peur au ventre, Pascal s'agenouilla derrière moi et glissant un doigt dans ma raie il me dit "Voilà vraiment un beau cul tout propre et je vais bien le baiser. Maintenant que je me suis bien amusé avec toi je vais te baiser longtemps et tu vas prendre ton pied ma pute".
Ecartant mes deux lobes charnus mon homme enfouit son visage entre eux et sa langue râpeuse vint darder mon antre bouillante, cette douceur inhabituelle chez mon mec me surprit et m'électrisa.
Mon amant, les mains posées sur mes miches, suçait le sillon de mes fesses, quand il s'arrêtait contre mon anus, il le titillait faisant pénétrer le bout de sa langue.
Qu'un homme me bouffe le cul est l'une des caresses que je préfère avec le massage des fesses et là Pascal faisait les deux en même temps, j'étais aux anges et un gémissement langoureux s'échappa de ma gorge.
Mon mec s'arrêta et me dit "Tu aimes ça.
- Oh oui continue, fais-moi du bien."
Tout en continuant à me masser la croupe mon homme recommença à cajoler mon petit trou.
Sous ces attouchements répétés je sentais le désir monter en moi, une boule naissante au creux de mes reins remontait pour éclater en mille feux vers mon visage.
Tout à mon plaisir je me mis à ronronner tout en tendant mon cul vers celui qui me caressait.
Au bout de quelques instants de ce traitement je râlais sans discontinuer me cambrant au maximum pour m'offrir totalement à mon amant.
Celui-ci jugeant que j'étais à point, remplaça sa langue par un de ses doigts qu'il m'enfonça lentement dans le canal, cette intromission m'arracha un gémissement profond.
Mon mec fit aller et venir son doigt dans ma grotte puis un deuxième et un troisième vinrent rejoindre le premier, Pascal bougea quelques instants ses doigts en moi puis commença à faire tourner sa main pour agrandir mon tunnel.
J'avais le corps complètement brûlant, j'étais tellement excité que chaque parcelle de ma peau frémissait chaque fois que Pascal me touchait.
Les doigts se retirèrent de mon fondement et furent remplacés par quelque chose de dur doux et énorme que je reconnus comme le gland de mon amant.
Mon mec posta son bout durci à l'orée de ma corolle palpitante et je lui dis "Prends-moi, encule-moi, lime-moi fais-moi du bien".
Posant ses mains sur mes hanches Pascal commença à peser sur mon antre béante, quand son gland écarta mes chairs je poussai un petit cri et tendis encore plus mon cul vers le pal qui s'enfonçait lentement en moi.
L'introduction du pénis fut lente et délicieuse et quand je sentis contre mes fesses chauffées à blanc les poils follets du pubis de mon homme je sus qu'il était en moi entièrement.
Pascal resta immobile et je sentais au tréfonds de moi le membre palpiter, n'y tenant plus je dis à mon mec d'une toute petite voix "Vas-y défonce-moi, il me faut ta bite, baise-moi bien, fais-moi jouir".
Mon amant commença à me faire aller et venir lentement sur toute la longueur de sa hampe érigé, sortant entièrement de mon tunnel pour m'enfesser de nouveau afin de m'assouplir la pastille.
Sentir ce pénis coulisser en moi fit naître en moi une voluptueuse sensation et un râle langui pulsa de ma gorge.
Chaque fois que mon homme me plaquait contre son pubis je sentais mon anneau céder un peu plus et je me cambrais pour accentuer la pénétration.
Mon mec s'en aperçut et me dit : "On voit que tu aimes la baise salope, rien qu'à te voir tendre ton fion comme ça me fait bander encore plus fort et me donne envie de t'enfiler jusqu'à que mes couilles soient vides".
Posant ses mains sur mon fessier brûlant Pascal se mit à me posséder virilement me faisant sombrer un peu plus dans le bonheur chaque fois qu'il plongeait son sexe démesuré au fond de mon cul en fusion.
Sous les coups de boutoir répétés que je recevais je me sentais perdre pied de plus en plus, une vague de plaisir montait en moi par vagues successives.
Le ventre plat de mon mec claquait contre mes miches en feu à me faire mal, et je râlais maintenant sans discontinuer sous les assauts qui m'ouvraient un peu plus le trou de balle à chaque poussée.
J'avais atteint la plénitude rectale, tout mon être enfiévré ne vivait plus que pour et par le phallus qui me forait les reins.
Pascal me besognait de plus en plus vigoureusement, dans la pièce en dehors de mes râles et soupirs, on entendait les bruits de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le priape gorgé de sang.
J'étais fou de plaisir, pour augmenter la pénétration j'avais pris appui sur mes avant-bras de telle sorte que j'avais le cul en l'air cambré en totalement offert à celui qui me tringlait.
Chaque fois que le puissant membre s'enfonçait au fond de mon rectum en fusion je tendais ma croupe vers lui tout en roulant des hanches en cadence et en poussant de petits cris de bonheur.
Derrière moi j'entendais mon amant qui disait "Quel cul tu as mais quel cul tu as ma salope, tu es faite pour la baise, allez continue tends bien ton fion que je te bourre à fond".
Mon mec me pilonnait l'arrière train de toute la longueur de sa bite érigée, je me sentais partir un peu plus chaque fois qu'il m'enculait à fond.
Une boule de feu avait pris naissance dans le creux de mes reins et explosait vers mon visage en une multitude d'étoiles, j'avais atteint la plénitude rectale et je me mis à hurler de plaisir.
Mes cris semblaient décupler l'ardeur de mon amant, il me possédait avec des "HANS" de bûcheron les mains crispées dans la chair tendre des mes hanches.
J'avais la fente complètement éclatée et je bramais sous les coups de boutoirs répétés que je recevais.
J'étais tellement excité que chaque fois que le pénis raide pénétrait en moi jusqu'à la garde je montais d'un cran dans le bonheur.
Je ne savais plus depuis combien de temps Pascal me défonçait mais ce que je ressentais était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Je ne vivais plus que pour et par le membre qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir hurlant et haletant à chaque enfilade.
Mon amant tout en me prenant avec rudesses me disait "Bien ma pute, vas-y tends encore plus ton cul que je te défonce".
Sous les assauts répétés qui m'ouvraient encore un peu plus le cul chaque fois je perdais totalement pied, je n'étais plus que jouissance, seul pour moi comptait le phallus érigé qui allait et venait en moi.
J'avais perdu le sens de toute réalité, je n'étais plus qu'un cul offert dans lequel brûlait un immense brasier qui je le savais ne pouvait être éteint que par la superbe hampe qui me limait.
Je planais littéralement sous les coups de reins que je recevais, le ventre plat de mon mec claquait contre mon derrière porté au rouge à me faire mal.
Pascal me baisait à une vitesse folle, son pénis sortait presque entièrement de mon antre tuméfiée pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Tout à mon plaisir j'étais cambré à l'extrême, les cuisses écartées au maximum pour me donner encore plus à celui qui me chevauchait.
Tout en moi appelait le mâle je voulais que cette fabuleuse queue gicle, qu'elle crache son lait au fond de mon rectum à vif et en même temps je voulais qu'elle m'encule encore longtemps.
Chaque fois que mon homme m'enfilait je venais à sa rencontre pour accentuer la pénétration, j'avais atteint le point de non retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mes entrailles Pascal explosa en râlant, d'abondants jets de semence crémeuse m'inondèrent le fondement, cela me provoqua un orgasme dévastateur, je rejetais la tête en arrière et un hurlement strident pulse de ma gorge puis je m'affalais lourdement sur le sol entraînant dans ma chute celui qui me montait.
Je sentis le corps de mon amant se lever de sur moi et je restai à plat ventre, cuisses écartées savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Quand je rouvris les yeux Pascal qui fumait me dit "Et bien on peut dire que tu es une vraie pute, ah tu aimes la bite ça se voit que tu aimes te faire casser le cul.
- Oui j'aime ça.
- C'est dingue je n'aurais jamais cru qu'un mec pouvait jouir comme une gonzesse et pourtant si, pendant je croyais que je baisais une gonzesse et pas par le cul mais par la moule, tu es vraiment une salope.
- Tu sais quand je baise je suis une femme.
- Une femme tu parles, tu es une pute ça oui pas une femme car les femmes ne se font pas mettre comme toi, tu es une vraie pute.
- Tu as raison je suis une pute et j'aime me faire baiser.
- Ca je l'ai vu, plus je te défonçais plus tu en voulais, c'est dingue, quelle salope mais quelle salope.
- Et toi est-ce que tu as pris du plaisir.
- Si j'ai pris du plaisir mais oui je te l'ai dit je croyais me faire une pute par la moule, et bien non c'était un pédé par le cul mais c'était aussi bon.
- Je suis content que tu ais pris du plaisir.
- Toi je ne te le demande pas.
- Non ce n'est pas la peine, j'ai joui comme un fou.
- Ca je l'ai vu et tu sais ce qu'on va faire.
- Non.
- On va aller se laver, on va bouffer quelque chose et boire un coup et après j'ai envie de te défoncer encore le cul.
- Si tu veux tu peux rester cette nuit.
- Tu veux que je reste ?
- Oui mais si tu me promets d'être gentil, simplement de me baiser et de me laisser te sucer car je ne veux pas qu'on recommence comme tout à l'heure.
- Ne t'inquiète pas, je n'ai plus envie de te faire du mal, maintenant je veux te faire du bien c'est tout.
- Alors tu peux rester.
- D'accord".
Nous partîmes en direction de la salle de bains où nous rendîmes à nos corps une propreté toute suédoise.
Pascal m'aida à remettre la chambre en état et vers 5 heures tout fut terminé, nous décidâmes de manger tôt afin de profiter complètement de la nuit.
Après avoir bu quelques verres nous dînâmes, la nuit qui suivit fut superbe, Pascal me prit 5 fois et quand il m'abandonna au petit matin j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds et j'avais l'anus totalement éclaté mais comblé.
Pascal partit dans la matinée et je passai le reste de la journée à soigner mon trou de balle.
J'approchai et mon homme prit une des ceintures qu'il avait ramené de la chambre, il me la mit autour du cou et me dit "Maintenant je suis sur de bien t'avoir en main, allez mets-toi à genoux et pompe moi le dard".
Je m'exécutai et tout en caressant les bourses duveteuses je me mis à porter des petits coups de langue sur le priape à demi flaccide.
En tirant sur la ceinture mon mec m'obligea à emboucher sa pine et me maintenant contre lui il se mit à me pisser dans la bouche.
Dans la position où j'étais je ne pus rien faire d'autre que d'avaler son urine, quand il eut terminé Pascal me relâcha et me dit "Eh bien voilà après avoir donné à boire de la bière à ton cul je t'ai donné à boire de la bière maison, maintenant ma salope tu vas te foutre à quatre pattes sur le tapis et tendre bien ton fion que je t'en foutes un bon coup".
Je pris la position demandée et attendis la peur au ventre, Pascal s'agenouilla derrière moi et glissant un doigt dans ma raie il me dit "Voilà vraiment un beau cul tout propre et je vais bien le baiser. Maintenant que je me suis bien amusé avec toi je vais te baiser longtemps et tu vas prendre ton pied ma pute".
Ecartant mes deux lobes charnus mon homme enfouit son visage entre eux et sa langue râpeuse vint darder mon antre bouillante, cette douceur inhabituelle chez mon mec me surprit et m'électrisa.
Mon amant, les mains posées sur mes miches, suçait le sillon de mes fesses, quand il s'arrêtait contre mon anus, il le titillait faisant pénétrer le bout de sa langue.
Qu'un homme me bouffe le cul est l'une des caresses que je préfère avec le massage des fesses et là Pascal faisait les deux en même temps, j'étais aux anges et un gémissement langoureux s'échappa de ma gorge.
Mon mec s'arrêta et me dit "Tu aimes ça.
- Oh oui continue, fais-moi du bien."
Tout en continuant à me masser la croupe mon homme recommença à cajoler mon petit trou.
Sous ces attouchements répétés je sentais le désir monter en moi, une boule naissante au creux de mes reins remontait pour éclater en mille feux vers mon visage.
Tout à mon plaisir je me mis à ronronner tout en tendant mon cul vers celui qui me caressait.
Au bout de quelques instants de ce traitement je râlais sans discontinuer me cambrant au maximum pour m'offrir totalement à mon amant.
Celui-ci jugeant que j'étais à point, remplaça sa langue par un de ses doigts qu'il m'enfonça lentement dans le canal, cette intromission m'arracha un gémissement profond.
Mon mec fit aller et venir son doigt dans ma grotte puis un deuxième et un troisième vinrent rejoindre le premier, Pascal bougea quelques instants ses doigts en moi puis commença à faire tourner sa main pour agrandir mon tunnel.
J'avais le corps complètement brûlant, j'étais tellement excité que chaque parcelle de ma peau frémissait chaque fois que Pascal me touchait.
Les doigts se retirèrent de mon fondement et furent remplacés par quelque chose de dur doux et énorme que je reconnus comme le gland de mon amant.
Mon mec posta son bout durci à l'orée de ma corolle palpitante et je lui dis "Prends-moi, encule-moi, lime-moi fais-moi du bien".
Posant ses mains sur mes hanches Pascal commença à peser sur mon antre béante, quand son gland écarta mes chairs je poussai un petit cri et tendis encore plus mon cul vers le pal qui s'enfonçait lentement en moi.
L'introduction du pénis fut lente et délicieuse et quand je sentis contre mes fesses chauffées à blanc les poils follets du pubis de mon homme je sus qu'il était en moi entièrement.
Pascal resta immobile et je sentais au tréfonds de moi le membre palpiter, n'y tenant plus je dis à mon mec d'une toute petite voix "Vas-y défonce-moi, il me faut ta bite, baise-moi bien, fais-moi jouir".
Mon amant commença à me faire aller et venir lentement sur toute la longueur de sa hampe érigé, sortant entièrement de mon tunnel pour m'enfesser de nouveau afin de m'assouplir la pastille.
Sentir ce pénis coulisser en moi fit naître en moi une voluptueuse sensation et un râle langui pulsa de ma gorge.
Chaque fois que mon homme me plaquait contre son pubis je sentais mon anneau céder un peu plus et je me cambrais pour accentuer la pénétration.
Mon mec s'en aperçut et me dit : "On voit que tu aimes la baise salope, rien qu'à te voir tendre ton fion comme ça me fait bander encore plus fort et me donne envie de t'enfiler jusqu'à que mes couilles soient vides".
Posant ses mains sur mon fessier brûlant Pascal se mit à me posséder virilement me faisant sombrer un peu plus dans le bonheur chaque fois qu'il plongeait son sexe démesuré au fond de mon cul en fusion.
Sous les coups de boutoir répétés que je recevais je me sentais perdre pied de plus en plus, une vague de plaisir montait en moi par vagues successives.
Le ventre plat de mon mec claquait contre mes miches en feu à me faire mal, et je râlais maintenant sans discontinuer sous les assauts qui m'ouvraient un peu plus le trou de balle à chaque poussée.
J'avais atteint la plénitude rectale, tout mon être enfiévré ne vivait plus que pour et par le phallus qui me forait les reins.
Pascal me besognait de plus en plus vigoureusement, dans la pièce en dehors de mes râles et soupirs, on entendait les bruits de succion que faisait mon anus chaque fois qu'il avalait le priape gorgé de sang.
J'étais fou de plaisir, pour augmenter la pénétration j'avais pris appui sur mes avant-bras de telle sorte que j'avais le cul en l'air cambré en totalement offert à celui qui me tringlait.
Chaque fois que le puissant membre s'enfonçait au fond de mon rectum en fusion je tendais ma croupe vers lui tout en roulant des hanches en cadence et en poussant de petits cris de bonheur.
Derrière moi j'entendais mon amant qui disait "Quel cul tu as mais quel cul tu as ma salope, tu es faite pour la baise, allez continue tends bien ton fion que je te bourre à fond".
Mon mec me pilonnait l'arrière train de toute la longueur de sa bite érigée, je me sentais partir un peu plus chaque fois qu'il m'enculait à fond.
Une boule de feu avait pris naissance dans le creux de mes reins et explosait vers mon visage en une multitude d'étoiles, j'avais atteint la plénitude rectale et je me mis à hurler de plaisir.
Mes cris semblaient décupler l'ardeur de mon amant, il me possédait avec des "HANS" de bûcheron les mains crispées dans la chair tendre des mes hanches.
J'avais la fente complètement éclatée et je bramais sous les coups de boutoirs répétés que je recevais.
J'étais tellement excité que chaque fois que le pénis raide pénétrait en moi jusqu'à la garde je montais d'un cran dans le bonheur.
Je ne savais plus depuis combien de temps Pascal me défonçait mais ce que je ressentais était si bon que je voulais qu'il continue indéfiniment.
Je ne vivais plus que pour et par le membre qui me ramonait le prose jusqu'à plus jouir hurlant et haletant à chaque enfilade.
Mon amant tout en me prenant avec rudesses me disait "Bien ma pute, vas-y tends encore plus ton cul que je te défonce".
Sous les assauts répétés qui m'ouvraient encore un peu plus le cul chaque fois je perdais totalement pied, je n'étais plus que jouissance, seul pour moi comptait le phallus érigé qui allait et venait en moi.
J'avais perdu le sens de toute réalité, je n'étais plus qu'un cul offert dans lequel brûlait un immense brasier qui je le savais ne pouvait être éteint que par la superbe hampe qui me limait.
Je planais littéralement sous les coups de reins que je recevais, le ventre plat de mon mec claquait contre mon derrière porté au rouge à me faire mal.
Pascal me baisait à une vitesse folle, son pénis sortait presque entièrement de mon antre tuméfiée pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Tout à mon plaisir j'étais cambré à l'extrême, les cuisses écartées au maximum pour me donner encore plus à celui qui me chevauchait.
Tout en moi appelait le mâle je voulais que cette fabuleuse queue gicle, qu'elle crache son lait au fond de mon rectum à vif et en même temps je voulais qu'elle m'encule encore longtemps.
Chaque fois que mon homme m'enfilait je venais à sa rencontre pour accentuer la pénétration, j'avais atteint le point de non retour et je me mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mes entrailles Pascal explosa en râlant, d'abondants jets de semence crémeuse m'inondèrent le fondement, cela me provoqua un orgasme dévastateur, je rejetais la tête en arrière et un hurlement strident pulse de ma gorge puis je m'affalais lourdement sur le sol entraînant dans ma chute celui qui me montait.
Je sentis le corps de mon amant se lever de sur moi et je restai à plat ventre, cuisses écartées savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.
Quand je rouvris les yeux Pascal qui fumait me dit "Et bien on peut dire que tu es une vraie pute, ah tu aimes la bite ça se voit que tu aimes te faire casser le cul.
- Oui j'aime ça.
- C'est dingue je n'aurais jamais cru qu'un mec pouvait jouir comme une gonzesse et pourtant si, pendant je croyais que je baisais une gonzesse et pas par le cul mais par la moule, tu es vraiment une salope.
- Tu sais quand je baise je suis une femme.
- Une femme tu parles, tu es une pute ça oui pas une femme car les femmes ne se font pas mettre comme toi, tu es une vraie pute.
- Tu as raison je suis une pute et j'aime me faire baiser.
- Ca je l'ai vu, plus je te défonçais plus tu en voulais, c'est dingue, quelle salope mais quelle salope.
- Et toi est-ce que tu as pris du plaisir.
- Si j'ai pris du plaisir mais oui je te l'ai dit je croyais me faire une pute par la moule, et bien non c'était un pédé par le cul mais c'était aussi bon.
- Je suis content que tu ais pris du plaisir.
- Toi je ne te le demande pas.
- Non ce n'est pas la peine, j'ai joui comme un fou.
- Ca je l'ai vu et tu sais ce qu'on va faire.
- Non.
- On va aller se laver, on va bouffer quelque chose et boire un coup et après j'ai envie de te défoncer encore le cul.
- Si tu veux tu peux rester cette nuit.
- Tu veux que je reste ?
- Oui mais si tu me promets d'être gentil, simplement de me baiser et de me laisser te sucer car je ne veux pas qu'on recommence comme tout à l'heure.
- Ne t'inquiète pas, je n'ai plus envie de te faire du mal, maintenant je veux te faire du bien c'est tout.
- Alors tu peux rester.
- D'accord".
Nous partîmes en direction de la salle de bains où nous rendîmes à nos corps une propreté toute suédoise.
Pascal m'aida à remettre la chambre en état et vers 5 heures tout fut terminé, nous décidâmes de manger tôt afin de profiter complètement de la nuit.
Après avoir bu quelques verres nous dînâmes, la nuit qui suivit fut superbe, Pascal me prit 5 fois et quand il m'abandonna au petit matin j'étais rempli de sperme de la tête aux pieds et j'avais l'anus totalement éclaté mais comblé.
Pascal partit dans la matinée et je passai le reste de la journée à soigner mon trou de balle.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
merci merci reprend ta plume lol fait nous rever merci encore
Salut, j'adore tes histoires, chacune me fait bander! C'est dommage que tu n'écrives plus, j'attends la suite avec impatience!
Bises
Bises
merci , a quand la suite , vite le 6