Damien (20) Abidjan – Lamine (2)
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien (20) Abidjan – Lamine (2)
Je fis mettre mon mec à plat ventre, je me mis à cheval sur sa queue et frottai mon cul à sa bite.
Aussitôt je sentis sa bite bander sous mes fesses et devenir raide.
Je me mis à faire des ondulations et le monstrueux phallus retrouva ses phénoménales dimensions.
Je me soulevai légèrement et crachant dans mes doigts je me mis à enduire la biroute de salive.
Lamine, profitant du fait que je me sois levé, m'enfonça deux de ses doigts dans le trou du cul.
Cette soudaine intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon amant.
J'avais compris qu'avec mon homme ce ne se ferait pas dans la douceur, mon mec était une être frustre et pour lui la seule chose qui comptait c'était de m'enfoncer sa bite dans l'anus et de tirer son coup.
Lamine m'enfonça un troisième doigt et fis tourner sa main pour m'élargir la pastille.
Je commençai à être en feu et je ne pus m'empêcher de pousser un lourd soupir de bien-être.
Mon amant jugeant que les prémisses avaient assez duré m'écarta les fesses, il positionna son gland turgescent à l'entré de ma grotte et me dit "Allez salope empale-toi sur mon gros boudin".
Lentement je commençai à peser sur le puissant bout durci, je sentis ma fente s'ouvrir.
Quand la colossale tête de son sexe écarta mes chairs et commença à me pénétrer, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux et je poussai un hurlement de douleur et me redressai pour soulager le mal qui se propageait dans tout mon corps.
Mon homme me dit "Alors sale pute, tu vas te l'enfoncer dans ton joli cul blanc ou il faut que je le fasse".
Je redescendis et petit à petit, en serrant les dents pour ne pas crier je sentis cet énorme gland rentrer dans mon cul.
Quand enfin l'imposant bout durci fut en moi, j'avais l'impression qu'un fer porté au rouge était planté au fond de mes entrailles et je pleurais à chaudes larmes.
Mon mec jugeant que ce n'était pas suffisant commença à s'activer faisant entrer sa queue de plus en plus dans mon trou.
J'ai le cul complètement défoncé, mais mettant mes mains en dessous je me rendis compte que sa queue n'était pas rentrée à fond.
Lamine poussa encore et je me retrouvai assis sur ses couilles.
Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi rempli, je sentais au fond de moi cette virilité considérable palpiter.
La souffrance qui me tenaillait était telle que je ne pouvais m'arrêter de pleurer, mon amant en riant me dit "C'est bien petite pédale, tu as réussi à prendre toute ma bite dans ton joli petit trou du cul, tu as mal mais c'est normal, tu vas voir quand je vais bien t'enculer après ton joli petit trou de salope blanche va s'ouvrir et tu vas bien aimer la grosse bite de Lamine.
- Je le sais mais putain tu me fais mal, tu me déchires
- T'inquiète pas, ton trou va s'ouvrir, je vais le casser".
Nous restâmes un moment immobiles, je sentais mon anneau céder peu à peu, et la douleur commença à laisser place à une douce langueur.
Mon homme me dit "Il me semble putain que ma queue est un peu moins serrée, ta rondelle commence un peu à s'ouvrir, vas-y décontracte-toi et laisse-toi faire, je vais bien te baiser comme tu le mérite petite pute".
Tout en gardant sa queue dans mon cul, mon mec me retourna.
Il me mit les jambes en l'air et commença à me baiser en de longs mouvements de va et vient m'arrachant à chaque passage des couinements de douleur.
Au bout de quelques instants de ce traitement mon anus céda complètement et la gigantesque pine put coulisser en moi sans gène aucune.
Je sentis le désir m'envahir et dis à Lamine "Défonce-moi, elle est bonne ta grosse queue, mets-moi ta queue, je veux ta queue".
Mon amant se mit à me baiser superbement bien, c'était trop bon de sentir ce superbe phallus d'ébène me ramoner m'ouvrant un peu plus le fion chaque fois qu'il plongeait jusqu'à la garde
Le plaisir que je sentais monter était si fort que j'avais l'impression de jouir du cul.
En réalité vu les dimensions de ce qui me forait les reins, sa pénétration était tellement profonde que mes pertes anales lubrifiaient mon cul et souillaient sa bite.
Jamais je n'avais joui du cul comme cette fois-ci.
Mon homme sortait et entrait sa hampe ce qui me laissait entrevoir mon anus ouvert.
Je savais que mon anus était un véritable trou béant, un vrai cul avaleur de bites de toutes sortes mais une grosse noire comme celle-là, c'était la première fois.
Sous les assauts répétés de mon mec, le désir ne fut pas long à prendre possession de mon être, le pénis coulissait maintenant sans aucune gène dans mon étroit tunnel et chaque poussée me faisait gémir, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à cette merveilleuse verge qui me ramonait, le plaisir montait en moi par vagues successives, j'avais rejeté la tête en arrière, les yeux clos je ronronnais de bonheur chaque fois que le membre turgescent se plantait au plus profond de moi, mon amant me tringlait de toute la longueur de son sexe le faisant sortir presque entièrement de mon trou pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante, je commençais à rouler des hanches en cadence.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me besognait mais le bonheur qu'il me donnait était tel que je voulais qu'il me bourre indéfiniment, j'avais perdu le sens des réalités, seul comptait pour moi ce magnifique priape qui me forait les reins, j'avais les fesses en fusion et l'anus complètement dilaté et je me mis à râler sous ses puissants coups de bite qui m'ouvraient chaque fois plus le fondement suppliant celui qui m'enfessait de me défoncer encore plus, mais sourd à mes râles il continuait à me limer avec une régularité de métronome.
Soudain une boule de chaleur se forma au creux de mon estomac et remonta vers ma figure, le plaisir m'envahissait totalement je me mis à hurler toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant me balaya, je me cambrais au maximum pour m'offrir totalement à mon amant, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh" et je perdis connaissance.
Quand je revins à moi, Lamine était toujours en train de me sodomiser en de lents va et viens, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu, tout mon être brûlait littéralement.
Mon amant ressortit sa grosse pine merdeuse de mon fion explosé, je lui dis: "Donne-moi ta queue, je veux te la sucer".
Il me fourra son pieu dans la bouche, sa bite avait le goût de mon cul, elle était souillée de mon ramonage anal mais contrairement à d'habitude je n'éprouvai aucun dégoût à sucer un sexe sale.
Je nettoyai l'énorme priape avec ma langue et mes lèvres puis progressivement je l'enfonçai dans ma gorge et l'avalai du plus profond que je pouvais.
Je me mis à tailler une pipe à mon homme avec passion et amour.
J’étais littéralement folle de cette bite et je dis à mon mec "Je veux que tu deviennes mon homme, Lamine, je t'appartiens, pour toujours, je suis à toi.
- Mais non salope tu n'es pas à moi, tu es une véritable chienne qui ne veut que de la bite, le jour où tu vas trouver une autre bite noire aussi grosse que la mienne, tu m'oublieras.
- Tu as raison.
- Allez donne-moi encore ton joli petit trou du cul".
Nous nous sommes mis en 69, il me mit un doigt dans le cul pendant que je le suçai vigoureusement.
J'avais la bouche grande ouverte ne pouvant que garder son gland tout en passant ma langue sur son frein puis je pris cette partie sensible du gland entre mes lèvres.
En le pompant par à-coups, je lui dis " Je t'en prie, viens dans ma bouche, décharge, vide tes couilles.
- Non petite pute, c'est dans ton trou du cul explosé que je veux vider mes couilles.
- Oh oui je suis en feu, baises-moi encore fort
- Oui salope je vais te baiser très fort"
Lamine me mit sur le dos, il prit mes jambes et le replia vers ma tête de sorte à ce que mon œillet ressorte, puis d'un violent coup de reins il s'enfonça entièrement en moi me faisant gémir et prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l'arrière-train avec des "HAN" de bûcheron.
Je voyais entre mes cuisses son phallus entrer en sortir de moi à toute vitesse, ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul, je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j'avais l'anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s'insinuer en moi sourdement, ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m'assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon, me cambrant le plus possible, j'avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m'alésait le trou de balles, de ma bouche ne sortait plus qu'un "ahhhhhhhhhhhhhhhh" continu.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu'il continue, jamais au cours d'une enculade je n'avais joui autant, je sentais monter en moi un fade immense, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et viens effrénés, des gouttes de sueur marbraient le front de mon mec et les grimaces qu'il faisait chaque fois qu'il m'enfessait montraient le pied qu'il prenait était intense, sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés, j'avais atteint le paroxysme de la jouissance, je planais littéralement sous les coups de pine redoublées, tout à mon plaisir je me mis à délirer.
S'enfonçant au plus profond de mon rectum, Lamine explosa en feulant, son foutre crémeux m'inondant le fondement m'électrisa, un orgasme dévastateur déferla en moi, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la source qui continuait de couler entre mes fesses, mes jambes battirent l'air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge puis je retombai lourdement sur le sol yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance, Lamine se retira de sur moi.
Quand après plusieurs minutes, je refis surface, je trouvai mon homme étendu à mes côtés, il me sourit et me dit "Tu es vraiment la reine des putes.
- Merci, c'est vrai ce fut super bon, j'ai pris un pied du tonnerre.
- Ça je l'ai vu et entendu, ça n'avait pas l'air de te déplaire.
- Bien au contraire, c'est plutôt que j'en redemanderai.
- Mais tu vas en avoir encore.
- J'y compte bien car j'ai très envie.
- T'inquiètes pas, je vais t'en donner de la bite noire mais dis- moi qui es-tu ?
- Je ne comprends pas.
- Je n'ai jamais vu un pédé comme toi, quand on te baise on croit baiser une pute.
- Quand je me fais baiser je suis comme une pute, j'adore la bite.
- Ca je le sais
- C'est pour ça que je suis venu en Cote d'Ivoire car ce que je veux c'est des grosses bites et il est dit que c'est vous qui avez les plus grosses bites du monde.
- C'est ce qu'on dit.
- Voilà je suis folle de la bite, donc je suis venu ici en vacances pour me faire baiser jusqu'à ce que j’aie le cul complètement éclaté.
- Pour ça tu peux être tranquille, ton trou du cul est déjà complètement éclaté.
- je le sais mais je veux que ce soit comme ça tous les jours pendant lesquels je vais rester ici.
- Et tu comptes rester combien de temps ?
- deux mois.
- Ouah !!
- Et oui.
- Et des partouzes ça te branche ?
- Bien sur surtout si les autres sont aussi bien montés que toi.
- Il y en a qui sont encore mieux montés que moi
- Super.
- Et après que vas-tu faire ?
- Je vais rentrer en France où j'ai l'intention de trouver du boulot et bien sur continuer à me faire sauter.
- Tu sais si ça t'intéresse j'ai un cousin à Paris, il s'appelle Abdou, il pourra te trouver quelques plans cul.
- Tu es sur ?
- Oui, il connaît pas mal de monde et je crois qu'il connaît quelques mecs qui habitent un squat.
- Tu veux dire que ton cousin pourrait m’introduire ?
- Pour t’introduire, si tu le rencontres ça c’est sur il va t’introduire.
- AH AH AH !!
- Tu sais dans ce genre d’endroit, ce n’est pas le luxe
- Je le sais, moi ce qui m'intéresse, c'est de me faire bien baiser.
- Dans ce cas il n'y a pas de problème, tu seras servi.
- C'est tout ce que je demande, comment faire pour rencontrer ton cousin.
- Bon puisque tu es d'accord, je vais passer un coup de fil à Abdou
- Oh oui mais comment ça se passe la première fois ?
- La première fois c'est Abdou qui t'ouvre le cul, si tu lui parais convenir il te présente à ses copains.
- Super.
- On se fait une autre petite baise et après si tu veux on ira passer la nuit chez des copains.
- D'accord, j'ai encore très envie de sentir ta superbe bite me ramoner le fion et d'accord aussi pour ce soir.
- OK je vais me baigner et je reviens.
- Je vais en faire autant".
Aussitôt je sentis sa bite bander sous mes fesses et devenir raide.
Je me mis à faire des ondulations et le monstrueux phallus retrouva ses phénoménales dimensions.
Je me soulevai légèrement et crachant dans mes doigts je me mis à enduire la biroute de salive.
Lamine, profitant du fait que je me sois levé, m'enfonça deux de ses doigts dans le trou du cul.
Cette soudaine intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rigoler mon amant.
J'avais compris qu'avec mon homme ce ne se ferait pas dans la douceur, mon mec était une être frustre et pour lui la seule chose qui comptait c'était de m'enfoncer sa bite dans l'anus et de tirer son coup.
Lamine m'enfonça un troisième doigt et fis tourner sa main pour m'élargir la pastille.
Je commençai à être en feu et je ne pus m'empêcher de pousser un lourd soupir de bien-être.
Mon amant jugeant que les prémisses avaient assez duré m'écarta les fesses, il positionna son gland turgescent à l'entré de ma grotte et me dit "Allez salope empale-toi sur mon gros boudin".
Lentement je commençai à peser sur le puissant bout durci, je sentis ma fente s'ouvrir.
Quand la colossale tête de son sexe écarta mes chairs et commença à me pénétrer, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux et je poussai un hurlement de douleur et me redressai pour soulager le mal qui se propageait dans tout mon corps.
Mon homme me dit "Alors sale pute, tu vas te l'enfoncer dans ton joli cul blanc ou il faut que je le fasse".
Je redescendis et petit à petit, en serrant les dents pour ne pas crier je sentis cet énorme gland rentrer dans mon cul.
Quand enfin l'imposant bout durci fut en moi, j'avais l'impression qu'un fer porté au rouge était planté au fond de mes entrailles et je pleurais à chaudes larmes.
Mon mec jugeant que ce n'était pas suffisant commença à s'activer faisant entrer sa queue de plus en plus dans mon trou.
J'ai le cul complètement défoncé, mais mettant mes mains en dessous je me rendis compte que sa queue n'était pas rentrée à fond.
Lamine poussa encore et je me retrouvai assis sur ses couilles.
Jamais de ma vie je ne m'étais senti aussi rempli, je sentais au fond de moi cette virilité considérable palpiter.
La souffrance qui me tenaillait était telle que je ne pouvais m'arrêter de pleurer, mon amant en riant me dit "C'est bien petite pédale, tu as réussi à prendre toute ma bite dans ton joli petit trou du cul, tu as mal mais c'est normal, tu vas voir quand je vais bien t'enculer après ton joli petit trou de salope blanche va s'ouvrir et tu vas bien aimer la grosse bite de Lamine.
- Je le sais mais putain tu me fais mal, tu me déchires
- T'inquiète pas, ton trou va s'ouvrir, je vais le casser".
Nous restâmes un moment immobiles, je sentais mon anneau céder peu à peu, et la douleur commença à laisser place à une douce langueur.
Mon homme me dit "Il me semble putain que ma queue est un peu moins serrée, ta rondelle commence un peu à s'ouvrir, vas-y décontracte-toi et laisse-toi faire, je vais bien te baiser comme tu le mérite petite pute".
Tout en gardant sa queue dans mon cul, mon mec me retourna.
Il me mit les jambes en l'air et commença à me baiser en de longs mouvements de va et vient m'arrachant à chaque passage des couinements de douleur.
Au bout de quelques instants de ce traitement mon anus céda complètement et la gigantesque pine put coulisser en moi sans gène aucune.
Je sentis le désir m'envahir et dis à Lamine "Défonce-moi, elle est bonne ta grosse queue, mets-moi ta queue, je veux ta queue".
Mon amant se mit à me baiser superbement bien, c'était trop bon de sentir ce superbe phallus d'ébène me ramoner m'ouvrant un peu plus le fion chaque fois qu'il plongeait jusqu'à la garde
Le plaisir que je sentais monter était si fort que j'avais l'impression de jouir du cul.
En réalité vu les dimensions de ce qui me forait les reins, sa pénétration était tellement profonde que mes pertes anales lubrifiaient mon cul et souillaient sa bite.
Jamais je n'avais joui du cul comme cette fois-ci.
Mon homme sortait et entrait sa hampe ce qui me laissait entrevoir mon anus ouvert.
Je savais que mon anus était un véritable trou béant, un vrai cul avaleur de bites de toutes sortes mais une grosse noire comme celle-là, c'était la première fois.
Sous les assauts répétés de mon mec, le désir ne fut pas long à prendre possession de mon être, le pénis coulissait maintenant sans aucune gène dans mon étroit tunnel et chaque poussée me faisait gémir, je me cambrais pour offrir encore plus mon cul à cette merveilleuse verge qui me ramonait, le plaisir montait en moi par vagues successives, j'avais rejeté la tête en arrière, les yeux clos je ronronnais de bonheur chaque fois que le membre turgescent se plantait au plus profond de moi, mon amant me tringlait de toute la longueur de son sexe le faisant sortir presque entièrement de mon trou pour replonger jusqu'à la garde la seconde suivante, je commençais à rouler des hanches en cadence.
Je ne savais plus depuis combien de temps il me besognait mais le bonheur qu'il me donnait était tel que je voulais qu'il me bourre indéfiniment, j'avais perdu le sens des réalités, seul comptait pour moi ce magnifique priape qui me forait les reins, j'avais les fesses en fusion et l'anus complètement dilaté et je me mis à râler sous ses puissants coups de bite qui m'ouvraient chaque fois plus le fondement suppliant celui qui m'enfessait de me défoncer encore plus, mais sourd à mes râles il continuait à me limer avec une régularité de métronome.
Soudain une boule de chaleur se forma au creux de mon estomac et remonta vers ma figure, le plaisir m'envahissait totalement je me mis à hurler toutes les phases de la jouissance par lesquelles je passais.
Un spasme foudroyant me balaya, je me cambrais au maximum pour m'offrir totalement à mon amant, un hurlement de jouissance pulsa de ma gorge "aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh" et je perdis connaissance.
Quand je revins à moi, Lamine était toujours en train de me sodomiser en de lents va et viens, son ventre musclé claquant contre mon fessier en feu, tout mon être brûlait littéralement.
Mon amant ressortit sa grosse pine merdeuse de mon fion explosé, je lui dis: "Donne-moi ta queue, je veux te la sucer".
Il me fourra son pieu dans la bouche, sa bite avait le goût de mon cul, elle était souillée de mon ramonage anal mais contrairement à d'habitude je n'éprouvai aucun dégoût à sucer un sexe sale.
Je nettoyai l'énorme priape avec ma langue et mes lèvres puis progressivement je l'enfonçai dans ma gorge et l'avalai du plus profond que je pouvais.
Je me mis à tailler une pipe à mon homme avec passion et amour.
J’étais littéralement folle de cette bite et je dis à mon mec "Je veux que tu deviennes mon homme, Lamine, je t'appartiens, pour toujours, je suis à toi.
- Mais non salope tu n'es pas à moi, tu es une véritable chienne qui ne veut que de la bite, le jour où tu vas trouver une autre bite noire aussi grosse que la mienne, tu m'oublieras.
- Tu as raison.
- Allez donne-moi encore ton joli petit trou du cul".
Nous nous sommes mis en 69, il me mit un doigt dans le cul pendant que je le suçai vigoureusement.
J'avais la bouche grande ouverte ne pouvant que garder son gland tout en passant ma langue sur son frein puis je pris cette partie sensible du gland entre mes lèvres.
En le pompant par à-coups, je lui dis " Je t'en prie, viens dans ma bouche, décharge, vide tes couilles.
- Non petite pute, c'est dans ton trou du cul explosé que je veux vider mes couilles.
- Oh oui je suis en feu, baises-moi encore fort
- Oui salope je vais te baiser très fort"
Lamine me mit sur le dos, il prit mes jambes et le replia vers ma tête de sorte à ce que mon œillet ressorte, puis d'un violent coup de reins il s'enfonça entièrement en moi me faisant gémir et prenant appui sur mes mollets il se mit à me pilonner l'arrière-train avec des "HAN" de bûcheron.
Je voyais entre mes cuisses son phallus entrer en sortir de moi à toute vitesse, ses vigoureux coups de boutoir me faisaient avancer sur la couche chaque fois que son pénis érigé se fichait au plus profond de mon cul, je me tordais comme un damné sous celui qui me chevauchait, j'avais l'anus complètement éclaté et le plaisir se remit à s'insinuer en moi sourdement, ma tête ballottait de droite à gauche sous les virils assauts que mon amant m'assenait, je ne vivais plus que pour et par le sexe raide qui me forait les reins, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler tant le traitement que je subissais était bon, me cambrant le plus possible, j'avais relevé mon fessier venant à la rencontre de la magnifique bite qui m'alésait le trou de balles, de ma bouche ne sortait plus qu'un "ahhhhhhhhhhhhhhhh" continu.
Je ne savais plus depuis combien de temps mon homme me bourrait mais je voulais qu'il continue, jamais au cours d'une enculade je n'avais joui autant, je sentais monter en moi un fade immense, mon corps était parcouru de soubresauts sous les va et viens effrénés, des gouttes de sueur marbraient le front de mon mec et les grimaces qu'il faisait chaque fois qu'il m'enfessait montraient le pied qu'il prenait était intense, sa respiration devenait saccadée et ses mouvements plus désordonnés, j'avais atteint le paroxysme de la jouissance, je planais littéralement sous les coups de pine redoublées, tout à mon plaisir je me mis à délirer.
S'enfonçant au plus profond de mon rectum, Lamine explosa en feulant, son foutre crémeux m'inondant le fondement m'électrisa, un orgasme dévastateur déferla en moi, mon corps s'arqua sous mon amant, je tendis ma croupe vers la source qui continuait de couler entre mes fesses, mes jambes battirent l'air et un strident hurlement de bonheur jaillit de ma gorge puis je retombai lourdement sur le sol yeux clos, cuisses écartées, flottant dans l'univers cotonneux de la jouissance, Lamine se retira de sur moi.
Quand après plusieurs minutes, je refis surface, je trouvai mon homme étendu à mes côtés, il me sourit et me dit "Tu es vraiment la reine des putes.
- Merci, c'est vrai ce fut super bon, j'ai pris un pied du tonnerre.
- Ça je l'ai vu et entendu, ça n'avait pas l'air de te déplaire.
- Bien au contraire, c'est plutôt que j'en redemanderai.
- Mais tu vas en avoir encore.
- J'y compte bien car j'ai très envie.
- T'inquiètes pas, je vais t'en donner de la bite noire mais dis- moi qui es-tu ?
- Je ne comprends pas.
- Je n'ai jamais vu un pédé comme toi, quand on te baise on croit baiser une pute.
- Quand je me fais baiser je suis comme une pute, j'adore la bite.
- Ca je le sais
- C'est pour ça que je suis venu en Cote d'Ivoire car ce que je veux c'est des grosses bites et il est dit que c'est vous qui avez les plus grosses bites du monde.
- C'est ce qu'on dit.
- Voilà je suis folle de la bite, donc je suis venu ici en vacances pour me faire baiser jusqu'à ce que j’aie le cul complètement éclaté.
- Pour ça tu peux être tranquille, ton trou du cul est déjà complètement éclaté.
- je le sais mais je veux que ce soit comme ça tous les jours pendant lesquels je vais rester ici.
- Et tu comptes rester combien de temps ?
- deux mois.
- Ouah !!
- Et oui.
- Et des partouzes ça te branche ?
- Bien sur surtout si les autres sont aussi bien montés que toi.
- Il y en a qui sont encore mieux montés que moi
- Super.
- Et après que vas-tu faire ?
- Je vais rentrer en France où j'ai l'intention de trouver du boulot et bien sur continuer à me faire sauter.
- Tu sais si ça t'intéresse j'ai un cousin à Paris, il s'appelle Abdou, il pourra te trouver quelques plans cul.
- Tu es sur ?
- Oui, il connaît pas mal de monde et je crois qu'il connaît quelques mecs qui habitent un squat.
- Tu veux dire que ton cousin pourrait m’introduire ?
- Pour t’introduire, si tu le rencontres ça c’est sur il va t’introduire.
- AH AH AH !!
- Tu sais dans ce genre d’endroit, ce n’est pas le luxe
- Je le sais, moi ce qui m'intéresse, c'est de me faire bien baiser.
- Dans ce cas il n'y a pas de problème, tu seras servi.
- C'est tout ce que je demande, comment faire pour rencontrer ton cousin.
- Bon puisque tu es d'accord, je vais passer un coup de fil à Abdou
- Oh oui mais comment ça se passe la première fois ?
- La première fois c'est Abdou qui t'ouvre le cul, si tu lui parais convenir il te présente à ses copains.
- Super.
- On se fait une autre petite baise et après si tu veux on ira passer la nuit chez des copains.
- D'accord, j'ai encore très envie de sentir ta superbe bite me ramoner le fion et d'accord aussi pour ce soir.
- OK je vais me baigner et je reviens.
- Je vais en faire autant".
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