Damien (22) Abidjan – La Partouze
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien (22) Abidjan – La Partouze
Quand Lamine fut parti, j'allais de nouveau me baigner, ce qui eu pour effet de me libérer de toutes les toxines accumulées et de soulager un peu mon trou de balle douloureux.
Je remis mon maillot et repris le chemin de mon hôtel tout en marchant les jambes écartées car j'avais le croupion en chou-fleur.
Quand le réceptionniste de l'hôtel me vit entrer il sourit et me dit "Alors monsieur on a trouvé une bonne bite noire pour
son petit cul.
- Mais...
- Allons, je sais bien que vous n'êtes pas un touriste, vous
êtes un pédé qui cherche des bites pour se faire bourrer
son petit cul.
- Et alors.
- Rien si un jour vous ne trouvez pas, dites-le moi, je vous
enculerai"
Avant que je ne réponde, il sortit un braquemart de son pantalon, cette pine était aussi grosse et longue que celle de Lamine, il me dit "Vous pouvez juger.
- Pour le moment j'ai trouvé mais je vous promets qu'avant de
repartir je goûterai à elle.
- Merci monsieur, bonne soirée".
A sept heures j'étais devant la gare quand je vis Lamine arriver, il me dit "Ca va ?
- Oui
- Toujours d'accord pour une petite partouze.
- Oui.
- bien alors allons-y".
Nous arrivâmes devant la porte d'un immeuble vieillot et montâmes au quatrième étage à pied puis Lamine sonna à la porte où était marquée Samba Coulibaly.
Un grand noir très athlétique ouvrit la porte, il sourit à Lamine et dit "Vous êtes juste à l'heure, entrez
- Non je suis juste venu pour t'apporter ce pédé mon frère,
moi je m'en vais, amusez-vous bien" dit Lamine.
L'appartement était petit et pas très propre, Samba se tourna vers moi et demanda "Veux-tu un verre ?
- Je veux bien merci.
- Je n'ai que du rouge, ça ira ?
- Oui, un demi-verre.
- C'est tout ?
- Oui avant l'amour, je n'aime pas trop boire.
- AH AH AH AH !!, l'amour, la baise tu veux dire, eh bien moi
je bois avant, pendant et après.
- Tu fais ce que tu veux.
- Encore heureux".
Je commençai à me demander ce que j'étais venu faire, mais c'était plus fort que moi, j'avais très envie de ce type, après avoir bu plusieurs verres de vin Samba me dit "Veux-tu
un joint ?
- Non merci.
- Tant pis pour toi, moi je vais en fumer un, parce que après
je baise comme un taureau.
- Si ça ne te gène pas, je vais fumer une cigarette.
- Vas-y fume ma sœur, tout à l'heure ce n’est pas une
cigarette que tu fumeras, ce sera un bon cigare AH AH AH AH
AH".
Nous fumâmes en silence, l'odeur du kif emplissait la pièce quand Samba eut fini, il rota, but à même la bouteille puis me dit "Allons dans la chambre".
Nous entrâmes dans la pièce, le lit était défait, une odeur de pied flottait, je vis que des chaussettes et des slips sales jonchaient le sol, s'approchant de moi Samba ouvrit ma braguette et fis descendre mon pantalon et ma culotte, je voulus continuer à me déshabiller mais d'un geste il m'arrêta et me dit "C'est pas la peine, je me fous de ton dos et de ta
poitrine, les deux seules choses qui m'intéressent ce sont
ton cul et ta bouche, mets-toi plutôt sur le pieu à quatre
pattes".
J'obéis, il ôta son boubou, son sexe était très long et très gros, depuis que je faisais l'amour avec des hommes jamais je n'avais un phallus aussi énorme, et voyant comment il agissait, j'eus peur car je savais qu'avec lui il n'y aurait aucune préparation.
Alors que j'attendais qu'il se positionne derrière moi et me sodomise violemment, il vint devant moi et me mit son priape contre les lèvres, j'ouvris la bouche et essayais de l'enfourner mais le pénis était tellement gros que je ne pouvais pas, son gland était aussi volumineux qu'un poing, avec lui j'avais la bouche entièrement remplie, je commençais à sucer son bout durci avec lenteur, ce qui me paru plaire à mon amant, j'avais un peu mal aux mâchoires car je devais les garder grandes ouvertes, pendant plusieurs minutes je m'appliquais à lui astiquer le gland quand soudain il se retira et me dit "je reviens tout de suite, reste comme ça".
Je me sentis frustré qu'il m'abandonne pour pensai-je aller boire, au bout de quelques instants il revint et me remit sa pine dans la bouche, je recommençai ma fellation quand je pris conscience d'une autre présence dans la pièce, avant que je puisse esquisser le moindre mouvement, deux mains solides empoignèrent mes hanches et une bite énorme se glissa dans la raie de mon cul.
Voyant que j'essayai de me soustraire à ce viol, Samba me bloqua la tête et se mit à aller et venir entre mes lèvres, pendant ce temps derrière moi, je sentais la pine érigée peser sur ma corolle, le membre se retira puis se repositionna et le mec poussa violemment, malgré ce que j'avais fait avec Lamine cet après-midi, j'eus l'impression que mon corps se coupait en deux quand le monstrueux vit pénétra en moi jusqu'à la garde.
Bien que ma bouche soit remplie par le zob de Samba un "aaaaaaiiiiiiieeeeeeee !!!!!" pulsa de ma gorge, l'homme se mit à me limer à une vitesse folle et à ce moment là Samba éjacula en râlant, il m'envoya une formidable giclée de foutre sur les amygdales que j'avalai avec délice, j'avais les larmes aux yeux tant celui qui me pilonnait le fondement me faisait mal, j'entendis la voix de Samba "Donc tu voulais faire
l'amour AH AH AH, eh bien tu vas le faire, crois-moi
tu vas en avoir plein le cul, j'ai appelé mes copains, ils
sont quinze et ils vont tous te passer dessus, à la fin tu
auras le cul tellement éclaté que tu ne pourras plus
marcher, ah tu veux de la bite alors on va t'en donner
petite pédale, tu vas sucer Diop et fais-le bien, tu as
intérêt".
Une verge immense se présenta devant moi, j'ouvris la bouche et me mis à la sucer, à cet instant, s'enfonçant au plus profond de mon rectum, celui qui me possédait déchargea en râlant et se retira, aussitôt une autre pine roide investit mon cul et commença à me besogner vigoureusement me faisant crier de douleur chaque fois qu'elle plongeait au plus profond de mon être, plaquant mon visage contre son pubis Diop explosa m'envoyant un flot de sperme au fond de la gorge, il se retira et un autre pénis gorgé de sang le remplaça, pendant ce temps celui qui s'activait en moi juta et me décula, un corps imposant se colla à mes fesses et me pénétra, cette pine était si grosse qu'une brûlure intense embrasa mon anus, je voulus me dérober à ce supplice mais mes deux bourreaux me maintenaient très solidement, j'étais totalement à leur merci, je subissais ce viol collectif tel un pantin désarticulé.
Les queues se succédèrent toute la nuit dans mon cul et ma bouche, j'avais les lèvres enflées à force de sucer et mon œillet entièrement à vif me brûlait, à chaque fois qu'une nouvelle bite m'enculait j'avais l'impression que s'enfonçait entre mes reins un fer porté au rouge, la semence dégoulinait entre mes cuisses, mes fesses bouillantes me faisaient souffrir tant les ventres les avaient claquées, dans la chambre flottait une odeur de merde mélangée au sperme, depuis longtemps j'étais sans réaction face aux douloureux assauts répétés de mes tourmenteurs hurlant mon plaisir à pleine gorge, ceux qui me bourraient étaient le faisait très sauvagement mais j'avais largement dépassé le stade où la douleur et le plaisir se rejoignent et je bramais mon bonheur mêlés de cris de souffrance.
En dehors de mes cris seuls les bruits de succion que faisait mon canal lubrifié chaque fois qu'une hampe roide le défonçait transperçaient le silence.
La pièce était plongée dans l'obscurité totale, les hommes étaient tous autour de moi, chacun attendant son tour pour me remplir la bouche ou l'arrière train.
Quand ils m'abandonnèrent au petit matin, j'étais ivre de fatigue et j'avais le corps complètement brisé.
Samba me dit "C'est bien pédé, tu es une véritable bonne
petite baiseuse, Lamine avait raison, allez rentre à ton
hôtel et dors, Lamine veut te voir cet après-midi à la
plage, il veut ton cul"
Péniblement je me levai et m'habillai puis je partis m'appuyant contre les murs pour marcher tant j'avais mal à l'anus.
Une fois dans ma chambre, je me rendis dans la salle de bains où je m'examinai, j'étais rempli de foutre de la tête aux pieds mais quand je vis mon anneau j'eus peur, il était énormément ouvert et sanguinolent, je me soignai et me couchai.
Je remis mon maillot et repris le chemin de mon hôtel tout en marchant les jambes écartées car j'avais le croupion en chou-fleur.
Quand le réceptionniste de l'hôtel me vit entrer il sourit et me dit "Alors monsieur on a trouvé une bonne bite noire pour
son petit cul.
- Mais...
- Allons, je sais bien que vous n'êtes pas un touriste, vous
êtes un pédé qui cherche des bites pour se faire bourrer
son petit cul.
- Et alors.
- Rien si un jour vous ne trouvez pas, dites-le moi, je vous
enculerai"
Avant que je ne réponde, il sortit un braquemart de son pantalon, cette pine était aussi grosse et longue que celle de Lamine, il me dit "Vous pouvez juger.
- Pour le moment j'ai trouvé mais je vous promets qu'avant de
repartir je goûterai à elle.
- Merci monsieur, bonne soirée".
A sept heures j'étais devant la gare quand je vis Lamine arriver, il me dit "Ca va ?
- Oui
- Toujours d'accord pour une petite partouze.
- Oui.
- bien alors allons-y".
Nous arrivâmes devant la porte d'un immeuble vieillot et montâmes au quatrième étage à pied puis Lamine sonna à la porte où était marquée Samba Coulibaly.
Un grand noir très athlétique ouvrit la porte, il sourit à Lamine et dit "Vous êtes juste à l'heure, entrez
- Non je suis juste venu pour t'apporter ce pédé mon frère,
moi je m'en vais, amusez-vous bien" dit Lamine.
L'appartement était petit et pas très propre, Samba se tourna vers moi et demanda "Veux-tu un verre ?
- Je veux bien merci.
- Je n'ai que du rouge, ça ira ?
- Oui, un demi-verre.
- C'est tout ?
- Oui avant l'amour, je n'aime pas trop boire.
- AH AH AH AH !!, l'amour, la baise tu veux dire, eh bien moi
je bois avant, pendant et après.
- Tu fais ce que tu veux.
- Encore heureux".
Je commençai à me demander ce que j'étais venu faire, mais c'était plus fort que moi, j'avais très envie de ce type, après avoir bu plusieurs verres de vin Samba me dit "Veux-tu
un joint ?
- Non merci.
- Tant pis pour toi, moi je vais en fumer un, parce que après
je baise comme un taureau.
- Si ça ne te gène pas, je vais fumer une cigarette.
- Vas-y fume ma sœur, tout à l'heure ce n’est pas une
cigarette que tu fumeras, ce sera un bon cigare AH AH AH AH
AH".
Nous fumâmes en silence, l'odeur du kif emplissait la pièce quand Samba eut fini, il rota, but à même la bouteille puis me dit "Allons dans la chambre".
Nous entrâmes dans la pièce, le lit était défait, une odeur de pied flottait, je vis que des chaussettes et des slips sales jonchaient le sol, s'approchant de moi Samba ouvrit ma braguette et fis descendre mon pantalon et ma culotte, je voulus continuer à me déshabiller mais d'un geste il m'arrêta et me dit "C'est pas la peine, je me fous de ton dos et de ta
poitrine, les deux seules choses qui m'intéressent ce sont
ton cul et ta bouche, mets-toi plutôt sur le pieu à quatre
pattes".
J'obéis, il ôta son boubou, son sexe était très long et très gros, depuis que je faisais l'amour avec des hommes jamais je n'avais un phallus aussi énorme, et voyant comment il agissait, j'eus peur car je savais qu'avec lui il n'y aurait aucune préparation.
Alors que j'attendais qu'il se positionne derrière moi et me sodomise violemment, il vint devant moi et me mit son priape contre les lèvres, j'ouvris la bouche et essayais de l'enfourner mais le pénis était tellement gros que je ne pouvais pas, son gland était aussi volumineux qu'un poing, avec lui j'avais la bouche entièrement remplie, je commençais à sucer son bout durci avec lenteur, ce qui me paru plaire à mon amant, j'avais un peu mal aux mâchoires car je devais les garder grandes ouvertes, pendant plusieurs minutes je m'appliquais à lui astiquer le gland quand soudain il se retira et me dit "je reviens tout de suite, reste comme ça".
Je me sentis frustré qu'il m'abandonne pour pensai-je aller boire, au bout de quelques instants il revint et me remit sa pine dans la bouche, je recommençai ma fellation quand je pris conscience d'une autre présence dans la pièce, avant que je puisse esquisser le moindre mouvement, deux mains solides empoignèrent mes hanches et une bite énorme se glissa dans la raie de mon cul.
Voyant que j'essayai de me soustraire à ce viol, Samba me bloqua la tête et se mit à aller et venir entre mes lèvres, pendant ce temps derrière moi, je sentais la pine érigée peser sur ma corolle, le membre se retira puis se repositionna et le mec poussa violemment, malgré ce que j'avais fait avec Lamine cet après-midi, j'eus l'impression que mon corps se coupait en deux quand le monstrueux vit pénétra en moi jusqu'à la garde.
Bien que ma bouche soit remplie par le zob de Samba un "aaaaaaiiiiiiieeeeeeee !!!!!" pulsa de ma gorge, l'homme se mit à me limer à une vitesse folle et à ce moment là Samba éjacula en râlant, il m'envoya une formidable giclée de foutre sur les amygdales que j'avalai avec délice, j'avais les larmes aux yeux tant celui qui me pilonnait le fondement me faisait mal, j'entendis la voix de Samba "Donc tu voulais faire
l'amour AH AH AH, eh bien tu vas le faire, crois-moi
tu vas en avoir plein le cul, j'ai appelé mes copains, ils
sont quinze et ils vont tous te passer dessus, à la fin tu
auras le cul tellement éclaté que tu ne pourras plus
marcher, ah tu veux de la bite alors on va t'en donner
petite pédale, tu vas sucer Diop et fais-le bien, tu as
intérêt".
Une verge immense se présenta devant moi, j'ouvris la bouche et me mis à la sucer, à cet instant, s'enfonçant au plus profond de mon rectum, celui qui me possédait déchargea en râlant et se retira, aussitôt une autre pine roide investit mon cul et commença à me besogner vigoureusement me faisant crier de douleur chaque fois qu'elle plongeait au plus profond de mon être, plaquant mon visage contre son pubis Diop explosa m'envoyant un flot de sperme au fond de la gorge, il se retira et un autre pénis gorgé de sang le remplaça, pendant ce temps celui qui s'activait en moi juta et me décula, un corps imposant se colla à mes fesses et me pénétra, cette pine était si grosse qu'une brûlure intense embrasa mon anus, je voulus me dérober à ce supplice mais mes deux bourreaux me maintenaient très solidement, j'étais totalement à leur merci, je subissais ce viol collectif tel un pantin désarticulé.
Les queues se succédèrent toute la nuit dans mon cul et ma bouche, j'avais les lèvres enflées à force de sucer et mon œillet entièrement à vif me brûlait, à chaque fois qu'une nouvelle bite m'enculait j'avais l'impression que s'enfonçait entre mes reins un fer porté au rouge, la semence dégoulinait entre mes cuisses, mes fesses bouillantes me faisaient souffrir tant les ventres les avaient claquées, dans la chambre flottait une odeur de merde mélangée au sperme, depuis longtemps j'étais sans réaction face aux douloureux assauts répétés de mes tourmenteurs hurlant mon plaisir à pleine gorge, ceux qui me bourraient étaient le faisait très sauvagement mais j'avais largement dépassé le stade où la douleur et le plaisir se rejoignent et je bramais mon bonheur mêlés de cris de souffrance.
En dehors de mes cris seuls les bruits de succion que faisait mon canal lubrifié chaque fois qu'une hampe roide le défonçait transperçaient le silence.
La pièce était plongée dans l'obscurité totale, les hommes étaient tous autour de moi, chacun attendant son tour pour me remplir la bouche ou l'arrière train.
Quand ils m'abandonnèrent au petit matin, j'étais ivre de fatigue et j'avais le corps complètement brisé.
Samba me dit "C'est bien pédé, tu es une véritable bonne
petite baiseuse, Lamine avait raison, allez rentre à ton
hôtel et dors, Lamine veut te voir cet après-midi à la
plage, il veut ton cul"
Péniblement je me levai et m'habillai puis je partis m'appuyant contre les murs pour marcher tant j'avais mal à l'anus.
Une fois dans ma chambre, je me rendis dans la salle de bains où je m'examinai, j'étais rempli de foutre de la tête aux pieds mais quand je vis mon anneau j'eus peur, il était énormément ouvert et sanguinolent, je me soignai et me couchai.
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