Damien (25) Abidjan – Sandji (1)
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien (25) Abidjan – Sandji (1)
Je pris quelques jours de repos et l'avant veille de mon départ je me dis qu'avant de quitter Abidjan, j'avais une promesse à tenir, il fallait que je couche avec le réceptionniste.
Ce n'était pas simplement la promesse à tenir, j'avoue que je commençais à avoir le cul qui me démangeait.
Ce matin après avoir pris mon petit déjeuner, j'allais voir Sandji.
Je le trouvais à son poste, il lisait le journal, je lui dis "ça va monsieur Sandji.
- Oui merci et vous le séjour ?
- Très bien.
- Alors tout va bien.
- je voulais vous demander quelque chose.
- Oui ?
- Vous vous rappelez l'autre jour quand je vous ai dit
qu'avant de partir je goûterai à votre bite.
- Je me rappelle bien.
- Eh bien si vous le voulez, je crois que le moment est venu.
- Ça alors, bien je crois qu'on peut oublier le vouvoiement,
je vais aller chercher un cousin à moi pour me remplacer et
je reviens te voir dans dix minutes, remonte dans ta
chambre et attends-moi.
- Si tu veux.
- A tout de suite petite pute".
Effectivement dix minutes après Sandji frappait à ma porte, il me dit "ça y est je suis libre pour la journée et même la
nuit, allez viens avec moi.
- Mais il y a ce qu'il faut ici.
- Non je ne baise jamais dans mon hôtel, suis-moi.
- D'accord".
Je suivis l'homme jusqu'à sa maison, c'était une maison un peu délabrée mais je m'en foutais, la seule chose qui comptait pour moi c'était de prendre la bite de Sandji dans le cul.
A peine étions-nous entrés que l'homme me dit "Bon on ne va
pas faire de chichis, déshabille-toi".
J'obéis, la pièce où nous nous trouvions était sale et exhalait une vague odeur de pourriture.
Quand je fus nu, Sandji me dit "C'est vrai que tu as un beau
cul.
- Et je sais bien m'en servir.
- Je n'en doute pas et ta bouche elle suce ?
- Oui très bien.
- Alors viens par-là".
Nous entrâmes dans la chambre où des vêtements traînaient par terre, cela sentait une odeur de pieds et il flottait une obscure effluve de sperme et de merde.
Sandji me dit "Oui je sais ce n'est pas Versailles mais ici on
sera bien, tu seras bien enculée ma petite pute blanche".
Mon amant ôta son tee-shirt et baissa son short, il ne portait pas de slip et je vis, émergeant d'une forêt de poils noirs, une verge longue et épaisse encore au repos.
Mon homme vit mon regard et me dit "C'est un beau morceau et
tu vas voir quand elle va être dressée, j'ai l'une des plus
belle bite du pays, tout ça rien que pour ton petit trou du
cul de salope de pédale".
Mon mec se caressa un peu puis il se planta debout devant moi et me dit "Allez petite pute, à genoux et suce".
Je m'exécutai, je m'avançai devant Sandji et m'agenouillai, j'étais juste au niveau.
Je portai une main sur ses testicules poilus que je savais gorgés de sève.
Cette caresse eut pour effet de faire se dresser un peu le phallus noir, mon amant me dit "Fais-moi bien bander salope".
Je pris le sexe à la base et commençai à le branler doucement tout en continuant à porter de légères caresses sur les couilles duveteuses.
En un rien de temps le pénis prit des dimensions colossales, mon homme ne m'avait pas dit de mensonges tout à l'heure, son membre était d'une taille monstrueuse, il dépassait de loin celui de Lamine tant en longueur qu'en grosseur.
Le gland était particulièrement gros, on aurait dit une mandarine et au bout du méat commençait à perler quelques gouttes de liqueur translucide.
Mon mec soupira et me dit "Tu as l'air de savoir y faire avec
les mecs ma petite salope, tu caresses bien ma grosse bite.
Hein elle est grosse ?
- Elle n'est pas grosse, elle est énorme, elle est belle.
- Je suis content qu'elle te plaise, tu vas voir quand tu vas
la prendre dans le cul tout à l'heure.
- J'ai hâte.
- Chaque chose en son temps salope, d'abord fais-moi monter
le lait avec ta bouche que je tire dans ta gueule de pute,
Allez maintenant suce putain".
Voyant que Sandji s'impatientait j'avançai mon visage vers le priape démesuré, un relent de sexe mal lavé m'agressa et j'eus un mouvement de recul.
Mon amant s'en aperçut et me prenant à la nuque il me força à emboucher sa hampe érigée en disant "Tu as compris salope
pourquoi je veux que tu me suces, c'est simplement pour me
laver la bite avec ce qui te sert de langue".
Surmontant mon dégoût, j'ouvris la bouche et commençai à lécher le bout durci de mon homme tout en comprimant les lèvres autour.
Mon mec sembla apprécier l'attouchement et me dit "C'est bien
pute, allez prends ma bite dans ta gueule et pompe".
J'enfournai la fabuleuse pine et commençai une lente fellation en enroulant du mieux que je pouvais ma langue autour de la colonne de chair tuméfiée et en la mordillant.
Sandji avait posé sa main sur ma tête et me laissait le sucer de cette manière tout en soupirant d'aise.
Pendant plusieurs minutes j'effectuais une lente pipe sur l'imposant phallus d'ébène.
De temps en temps je sortais le pénis brillant de salive de ma bouche et le léchai sur toute sa longueur.
Du méat du gigantesque gland coulait une quantité considérable de sperme translucide, mon amant mouillait beaucoup.
Soudain mon homme bloqua ma tête entre ses deux mains et se mit à aller et venir entre mes lèvres, me pinant la bouche à une vitesse folle.
Il enfonçait tellement loin sa verge en moi que ma respiration me manquait et je me mis à avoir des haut-le-cœur.
Mon mec le vit et continua de plus belle à ma baiser la bouche, ce qui devait arriver arriva, je me mis à vomir aspergeant le ventre de Sandji qui rigola en disant "Alors
salope, ma bite est trop grosse pour ta gueule de pédale".
Au bout de plusieurs minutes de ce traitement je me laissais faire sans réaction.
Mon amant semblait apprécier ce petit jeu car il enfonçait son vit au fond de ma gorge et restait immobile jusqu'à ce qu'il sente que j'allais étouffer pour me libérer me laissant reprendre ma respiration.
Je ne sais combien de temps dura ce supplice mais soudain mon homme plaqua mon visage contre son pubis souillé de vomit et éjacula et feulant.
Je reçus une formidable giclée de sperme au fond de la gorge que j'avalais avec délice.
Mon mec me maintint comme ça jusqu'à ce que son membre se soit complètement vidé puis il me relâcha et me dit "Tu es une
bonne salope, allez mets-toi à quatre pattes que je
m'occupe de ton joli petit trou du cul de pute".
Ce n'était pas simplement la promesse à tenir, j'avoue que je commençais à avoir le cul qui me démangeait.
Ce matin après avoir pris mon petit déjeuner, j'allais voir Sandji.
Je le trouvais à son poste, il lisait le journal, je lui dis "ça va monsieur Sandji.
- Oui merci et vous le séjour ?
- Très bien.
- Alors tout va bien.
- je voulais vous demander quelque chose.
- Oui ?
- Vous vous rappelez l'autre jour quand je vous ai dit
qu'avant de partir je goûterai à votre bite.
- Je me rappelle bien.
- Eh bien si vous le voulez, je crois que le moment est venu.
- Ça alors, bien je crois qu'on peut oublier le vouvoiement,
je vais aller chercher un cousin à moi pour me remplacer et
je reviens te voir dans dix minutes, remonte dans ta
chambre et attends-moi.
- Si tu veux.
- A tout de suite petite pute".
Effectivement dix minutes après Sandji frappait à ma porte, il me dit "ça y est je suis libre pour la journée et même la
nuit, allez viens avec moi.
- Mais il y a ce qu'il faut ici.
- Non je ne baise jamais dans mon hôtel, suis-moi.
- D'accord".
Je suivis l'homme jusqu'à sa maison, c'était une maison un peu délabrée mais je m'en foutais, la seule chose qui comptait pour moi c'était de prendre la bite de Sandji dans le cul.
A peine étions-nous entrés que l'homme me dit "Bon on ne va
pas faire de chichis, déshabille-toi".
J'obéis, la pièce où nous nous trouvions était sale et exhalait une vague odeur de pourriture.
Quand je fus nu, Sandji me dit "C'est vrai que tu as un beau
cul.
- Et je sais bien m'en servir.
- Je n'en doute pas et ta bouche elle suce ?
- Oui très bien.
- Alors viens par-là".
Nous entrâmes dans la chambre où des vêtements traînaient par terre, cela sentait une odeur de pieds et il flottait une obscure effluve de sperme et de merde.
Sandji me dit "Oui je sais ce n'est pas Versailles mais ici on
sera bien, tu seras bien enculée ma petite pute blanche".
Mon amant ôta son tee-shirt et baissa son short, il ne portait pas de slip et je vis, émergeant d'une forêt de poils noirs, une verge longue et épaisse encore au repos.
Mon homme vit mon regard et me dit "C'est un beau morceau et
tu vas voir quand elle va être dressée, j'ai l'une des plus
belle bite du pays, tout ça rien que pour ton petit trou du
cul de salope de pédale".
Mon mec se caressa un peu puis il se planta debout devant moi et me dit "Allez petite pute, à genoux et suce".
Je m'exécutai, je m'avançai devant Sandji et m'agenouillai, j'étais juste au niveau.
Je portai une main sur ses testicules poilus que je savais gorgés de sève.
Cette caresse eut pour effet de faire se dresser un peu le phallus noir, mon amant me dit "Fais-moi bien bander salope".
Je pris le sexe à la base et commençai à le branler doucement tout en continuant à porter de légères caresses sur les couilles duveteuses.
En un rien de temps le pénis prit des dimensions colossales, mon homme ne m'avait pas dit de mensonges tout à l'heure, son membre était d'une taille monstrueuse, il dépassait de loin celui de Lamine tant en longueur qu'en grosseur.
Le gland était particulièrement gros, on aurait dit une mandarine et au bout du méat commençait à perler quelques gouttes de liqueur translucide.
Mon mec soupira et me dit "Tu as l'air de savoir y faire avec
les mecs ma petite salope, tu caresses bien ma grosse bite.
Hein elle est grosse ?
- Elle n'est pas grosse, elle est énorme, elle est belle.
- Je suis content qu'elle te plaise, tu vas voir quand tu vas
la prendre dans le cul tout à l'heure.
- J'ai hâte.
- Chaque chose en son temps salope, d'abord fais-moi monter
le lait avec ta bouche que je tire dans ta gueule de pute,
Allez maintenant suce putain".
Voyant que Sandji s'impatientait j'avançai mon visage vers le priape démesuré, un relent de sexe mal lavé m'agressa et j'eus un mouvement de recul.
Mon amant s'en aperçut et me prenant à la nuque il me força à emboucher sa hampe érigée en disant "Tu as compris salope
pourquoi je veux que tu me suces, c'est simplement pour me
laver la bite avec ce qui te sert de langue".
Surmontant mon dégoût, j'ouvris la bouche et commençai à lécher le bout durci de mon homme tout en comprimant les lèvres autour.
Mon mec sembla apprécier l'attouchement et me dit "C'est bien
pute, allez prends ma bite dans ta gueule et pompe".
J'enfournai la fabuleuse pine et commençai une lente fellation en enroulant du mieux que je pouvais ma langue autour de la colonne de chair tuméfiée et en la mordillant.
Sandji avait posé sa main sur ma tête et me laissait le sucer de cette manière tout en soupirant d'aise.
Pendant plusieurs minutes j'effectuais une lente pipe sur l'imposant phallus d'ébène.
De temps en temps je sortais le pénis brillant de salive de ma bouche et le léchai sur toute sa longueur.
Du méat du gigantesque gland coulait une quantité considérable de sperme translucide, mon amant mouillait beaucoup.
Soudain mon homme bloqua ma tête entre ses deux mains et se mit à aller et venir entre mes lèvres, me pinant la bouche à une vitesse folle.
Il enfonçait tellement loin sa verge en moi que ma respiration me manquait et je me mis à avoir des haut-le-cœur.
Mon mec le vit et continua de plus belle à ma baiser la bouche, ce qui devait arriver arriva, je me mis à vomir aspergeant le ventre de Sandji qui rigola en disant "Alors
salope, ma bite est trop grosse pour ta gueule de pédale".
Au bout de plusieurs minutes de ce traitement je me laissais faire sans réaction.
Mon amant semblait apprécier ce petit jeu car il enfonçait son vit au fond de ma gorge et restait immobile jusqu'à ce qu'il sente que j'allais étouffer pour me libérer me laissant reprendre ma respiration.
Je ne sais combien de temps dura ce supplice mais soudain mon homme plaqua mon visage contre son pubis souillé de vomit et éjacula et feulant.
Je reçus une formidable giclée de sperme au fond de la gorge que j'avalais avec délice.
Mon mec me maintint comme ça jusqu'à ce que son membre se soit complètement vidé puis il me relâcha et me dit "Tu es une
bonne salope, allez mets-toi à quatre pattes que je
m'occupe de ton joli petit trou du cul de pute".
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