Damien 35 - Abdou 3
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien 35 - Abdou 3
Mon amant me prit par les aisselles, me releva et me dit : "Tu suces comme une déesse, tu es une vraie salope.
- Je suis une folle de bite.
- Je le sais pute, allez maintenant on va s'occuper de ton petit trou du cul de pute, mets-toi sur le lit à plat ventre.
- Avec joie.
- Prépare-toi à prendre ma grosse bite dans ton petit trou du cul de salope folle de bite noire.
- J'ai vraiment envie de la sentir me casser le cul.
- T'inquiètes pas ça va arriver, je vais te défoncer, tu verras demain matin tu auras le trou du cul complètement cassé salope".
Je pris la position demandée, Abdou m'écarta les jambes puis il glissa un coussin sous mon ventre afin de faire ressortir ma croupe rebondie.
Mon amant posa ses mains sur mes fesses bouillantes et les ouvrit en me disant "Tu as vraiment un joli petit trou du cul de pute".
Aussitôt sa langue râpeuse investit la raie de mon derrière, salivant abondamment dedans tout en s'attardant sur mon œillet.
Sous cette caresse buccale je sentis mon tunnel s'entrouvrir et je ne pus m'empêcher de pousser un lourd soupir.
Pendant quelques minutes mon homme s'appliqua à me bouffer le cul, sous ces attouchements lingués je sentis une vague de chaleur enflammer mon corps et je me cambrais pour m'offrir encore plus.
Mon mec pratiqua ses doux baisers tout en ma malaxant les miches qui devinrent brûlantes.
Au bout de quelques instants, quand Abdou abandonna mon arrière train, j'étais complètement en feu et je gémissais, il me dit "On voit que tu aimes ça te faire enculer, tu es une véritable salope".
Soudain sans prévenir mon amant m'enfonça son majeur dans l'anus, cette intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rire mon homme qui me dit "Tu vas voir ce que tu vas gueuler quand je vais te mettre ma grosse bite dans le cul".
Mon mec se mit à faire aller et venir son doigt en moi sans ménagement.
Je sentis mon canal de décontracter puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier.
Au bout de quelques instants, j'avais quatre doigts qui coulissaient en moi.
Abdou faisait tourner sa main dans mon rectum pour l'ouvrir tout en faisant un mouvement de piston, sous ces caresses je sentis mon être s'embraser et je ne pus retenir de lourds râles de bien-être.
Jugeant que les préliminaires avaient assez durés, mon amant ôta ses doigts et se mit à me fesser avec son majestueux sexe.
Il me dit "Maintenant on va passer aux choses sérieuses, je vais te défoncer la rondelle".
Je sentis quelque de chose d'énorme, de chaud et de doux que je reconnus comme le gland de mon homme glisser dans le sillon de ma croupe.
Bien que je sois très ouvert et habitué à me faire enculer, je fus pris de panique quand je réalisais la taille de ce qui allait forcer mon anneau, jamais je n'avais senti quelque chose d'aussi gros contre mon petit trou.
Mon mec s'aperçut de mon trouble et me dit "N'aie pas peur, ton beau petit trou du cul de pédé va avaler ma grosse saucisse, je sais je vais te casser le cul mais ça va rentrer et puis que veux-tu faire, tu es là couché devant moi, le cul offert à ma bite, tu n'as plus qu'à accepter.
- Je le sais mais c'est énorme.
- Oui mais tout à l’heure quand ton cul sera bien cassé, tu en redemanderas.
- Je sais mais là il est encore fermé.
- C'est vrai mais ce n'est pas grave, il va s'ouvrir".
Abdou positionna son colossal bout durci à l'orée de mon trou de balle, il resta immobile sans forcer tout en continuant à me masser les fesses.
Alors que je commençais à me détendre, mon amant commença à peser sur ma pastille.
Quand la monstrueuse tête écarta mes chairs, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux, une brûlure intense s'insinua en moi et je poussai un hurlement de douleur tentant de me dérober.
Mon homme les mains posées sur mes fesses suspendit son mouvement et me dit "Où veux-tu aller petite salope, je suis en train de rentrer dans ton trou du cul de pédé et rien de ce que tu peux faire m'empêchera de te défoncer la rondelle laisse-toi faire, ce n'est pas la première fois que tu te fais enculer, tu sais bien que c'est un mauvais moment à passer mais qu'après c'est toi qui va demander que je t'encule encore plus".
D'un violent coup de reins qui m'arracha braillement de souffrance, mon mec introduit son fabuleux gland.
J'avais l'impression d'être coupé en deux tant j'avais mal au cul, de gros sanglots s'échappaient de mes yeux.
Abdou fit entrer en sortir plusieurs fois son gigantesque bout durci pour m'assouplir l'anneau m'arrachant à chaque fois des cris de douleur.
J'endurai un véritable supplice, jamais je n'ai eu aussi mal au cours d'une enculade, même pas la première fois.
Décidant que j'étais suffisamment préparé mon amant poussa et s'enfonça en moi jusqu'à la garde.
Quand je sentis les poils follets de son pubis contre mes miches bouillonnantes je sus qu'il était en moi entièrement.
J'avais tellement mal que je pleurais à chaudes larmes, le corps secoué de frissons.
Mon homme s'immobilisa me laissant m'habituer à la phénoménale présence qui m'obstruait le fondement et me dit "Arrête de pleurer, ça y est ton trou du cul a pris toute ma grosse bite.
- J'ai mal.
- Je le sais mais ce n'est pas grave, après quelques coups de reins ton trou de salope va céder et je vais pouvoir t'enculer.
- Je le sais.
- Alors arrête de pleurer".
Pendant ce temps là, le mal s'était quelque peu dissipé, je sentais mon anus se détendre.
Mon mec s'en aperçut et me dit "Je suis sur que maintenant tu as déjà moins mal, je me sens moins serré par ta rondelle, bientôt je vais t'enculer comme jamais tu n'as été enculé ma petite salope blanche".
Petit à petit mon antre se relâcha et je sentis une douce langueur prendre possession de mon corps.
J'avais envie que Abdou me baise afin de me faire prendre mon pied et je lui dis "Vas-y baise-moi fais-moi du bien, défonce-moi.
- Tu vois on y est arrivé, je vais bien t'enculer ma petite pédale, je vais bien casser ton trou du cul".
Posant ses mains sur mes épaules mon amant commença à aller et venir en moi lentement de toute la longueur de sa sensationnelle verge érigé m'arrachant à chaque passage de petits cris de douleur.
Au bout de quelques instants, mon sphincter céda complètement et le volumineux membre pu coulisser en moi sans aucune gène.
Le mal fit place à une douce volupté et je sentis mon être s'embraser.
Chaque fois que mon homme plongeait son formidable phallus au tréfonds de mes entrailles, m'ouvrant un peu plus la grotte, je sombrais dans un univers de plaisir et je me mis à pousser de petits gémissements.
Mon mec me possédait en de lents mais virils coup de reins me faisant monter au septième ciel.
Mon œillet était maintenant complètement dilaté et je savourais les vagues de félicité qui prenaient naissance dans mon bas-ventre pour venir éclater vers mon visage en de multiples bulles de couleur.
Sentir cette formidable hampe me forer les reins me procurait un bonheur intense.
Abdou me besognait de toute la longueur de son fabuleux pénis, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Je commençais à perdre pied sous les coups de boutoirs que je recevais et mes gémissements s'étaient transformés en lourds râles de délectation.
Mon amant me pilonnait le cul, je sentais l'extraordinaire priape me défoncer le rectum comme jamais on ne me l'avait fait.
A chaque assaut je sentais mon orifice s'ouvrir encore plus, et je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant mon derrière pour m'offrir encore plus.
J'avais le fion complètement éclaté et la superbe queue me rendait fou de désir.
Pendant de longues minutes mon homme me travailla le cul de cette manière, de ma bouche grande ouverte ne sortait plus que des cris de plaisir.
Tout mon être n'était plus qu'un immense brasier, je ne vivais plus que pour et par la gigantesque pine qui me bourrait.
Chaque fois que l'imposant membre s'enfonçait au fond de mes entrailles en fusion je glissais un peu plus dans le plaisir.
J'étais tellement excité que je tremblais comme une feuille sous les coups de bite que mon mec m'assénait.
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts de ce splendide sexe qui m'éclatait un peu plus le cul chaque fois.
J'étais en plein extase, je me sentais partir, pour moi rien ne comptait que cette énorme bite qui me possédait.
J'étais dans un tel état que j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mes entrailles, j'avais l'impression de mouiller du cul tant j'étais en nage.
Abdou me baisait comme jamais on ne m'avait baisé, ce n'était pas seulement du à la longueur et la grosseur de sa pine mais plutôt de la manière dont il se servait de son sexe.
Mon amant alternait les violent coups de reins et les lents va et viens, me faisant chaque fois grimper aux rideaux, il sortait parfois complètement sa verge de mon antre la faisant glisser le long de ma raie pour me la ré enfoncer d'un brutal coup de reins.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Je sentis une boule de feu exploser sur mon visage, un spasme me foudroya et un orgasme déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon homme pour accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge et je sombrais dans l'inconscience.
- Je suis une folle de bite.
- Je le sais pute, allez maintenant on va s'occuper de ton petit trou du cul de pute, mets-toi sur le lit à plat ventre.
- Avec joie.
- Prépare-toi à prendre ma grosse bite dans ton petit trou du cul de salope folle de bite noire.
- J'ai vraiment envie de la sentir me casser le cul.
- T'inquiètes pas ça va arriver, je vais te défoncer, tu verras demain matin tu auras le trou du cul complètement cassé salope".
Je pris la position demandée, Abdou m'écarta les jambes puis il glissa un coussin sous mon ventre afin de faire ressortir ma croupe rebondie.
Mon amant posa ses mains sur mes fesses bouillantes et les ouvrit en me disant "Tu as vraiment un joli petit trou du cul de pute".
Aussitôt sa langue râpeuse investit la raie de mon derrière, salivant abondamment dedans tout en s'attardant sur mon œillet.
Sous cette caresse buccale je sentis mon tunnel s'entrouvrir et je ne pus m'empêcher de pousser un lourd soupir.
Pendant quelques minutes mon homme s'appliqua à me bouffer le cul, sous ces attouchements lingués je sentis une vague de chaleur enflammer mon corps et je me cambrais pour m'offrir encore plus.
Mon mec pratiqua ses doux baisers tout en ma malaxant les miches qui devinrent brûlantes.
Au bout de quelques instants, quand Abdou abandonna mon arrière train, j'étais complètement en feu et je gémissais, il me dit "On voit que tu aimes ça te faire enculer, tu es une véritable salope".
Soudain sans prévenir mon amant m'enfonça son majeur dans l'anus, cette intromission me fit pousser un petit cri de douleur qui fit rire mon homme qui me dit "Tu vas voir ce que tu vas gueuler quand je vais te mettre ma grosse bite dans le cul".
Mon mec se mit à faire aller et venir son doigt en moi sans ménagement.
Je sentis mon canal de décontracter puis un deuxième doigt vint rejoindre le premier.
Au bout de quelques instants, j'avais quatre doigts qui coulissaient en moi.
Abdou faisait tourner sa main dans mon rectum pour l'ouvrir tout en faisant un mouvement de piston, sous ces caresses je sentis mon être s'embraser et je ne pus retenir de lourds râles de bien-être.
Jugeant que les préliminaires avaient assez durés, mon amant ôta ses doigts et se mit à me fesser avec son majestueux sexe.
Il me dit "Maintenant on va passer aux choses sérieuses, je vais te défoncer la rondelle".
Je sentis quelque de chose d'énorme, de chaud et de doux que je reconnus comme le gland de mon homme glisser dans le sillon de ma croupe.
Bien que je sois très ouvert et habitué à me faire enculer, je fus pris de panique quand je réalisais la taille de ce qui allait forcer mon anneau, jamais je n'avais senti quelque chose d'aussi gros contre mon petit trou.
Mon mec s'aperçut de mon trouble et me dit "N'aie pas peur, ton beau petit trou du cul de pédé va avaler ma grosse saucisse, je sais je vais te casser le cul mais ça va rentrer et puis que veux-tu faire, tu es là couché devant moi, le cul offert à ma bite, tu n'as plus qu'à accepter.
- Je le sais mais c'est énorme.
- Oui mais tout à l’heure quand ton cul sera bien cassé, tu en redemanderas.
- Je sais mais là il est encore fermé.
- C'est vrai mais ce n'est pas grave, il va s'ouvrir".
Abdou positionna son colossal bout durci à l'orée de mon trou de balle, il resta immobile sans forcer tout en continuant à me masser les fesses.
Alors que je commençais à me détendre, mon amant commença à peser sur ma pastille.
Quand la monstrueuse tête écarta mes chairs, j'eus l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux, une brûlure intense s'insinua en moi et je poussai un hurlement de douleur tentant de me dérober.
Mon homme les mains posées sur mes fesses suspendit son mouvement et me dit "Où veux-tu aller petite salope, je suis en train de rentrer dans ton trou du cul de pédé et rien de ce que tu peux faire m'empêchera de te défoncer la rondelle laisse-toi faire, ce n'est pas la première fois que tu te fais enculer, tu sais bien que c'est un mauvais moment à passer mais qu'après c'est toi qui va demander que je t'encule encore plus".
D'un violent coup de reins qui m'arracha braillement de souffrance, mon mec introduit son fabuleux gland.
J'avais l'impression d'être coupé en deux tant j'avais mal au cul, de gros sanglots s'échappaient de mes yeux.
Abdou fit entrer en sortir plusieurs fois son gigantesque bout durci pour m'assouplir l'anneau m'arrachant à chaque fois des cris de douleur.
J'endurai un véritable supplice, jamais je n'ai eu aussi mal au cours d'une enculade, même pas la première fois.
Décidant que j'étais suffisamment préparé mon amant poussa et s'enfonça en moi jusqu'à la garde.
Quand je sentis les poils follets de son pubis contre mes miches bouillonnantes je sus qu'il était en moi entièrement.
J'avais tellement mal que je pleurais à chaudes larmes, le corps secoué de frissons.
Mon homme s'immobilisa me laissant m'habituer à la phénoménale présence qui m'obstruait le fondement et me dit "Arrête de pleurer, ça y est ton trou du cul a pris toute ma grosse bite.
- J'ai mal.
- Je le sais mais ce n'est pas grave, après quelques coups de reins ton trou de salope va céder et je vais pouvoir t'enculer.
- Je le sais.
- Alors arrête de pleurer".
Pendant ce temps là, le mal s'était quelque peu dissipé, je sentais mon anus se détendre.
Mon mec s'en aperçut et me dit "Je suis sur que maintenant tu as déjà moins mal, je me sens moins serré par ta rondelle, bientôt je vais t'enculer comme jamais tu n'as été enculé ma petite salope blanche".
Petit à petit mon antre se relâcha et je sentis une douce langueur prendre possession de mon corps.
J'avais envie que Abdou me baise afin de me faire prendre mon pied et je lui dis "Vas-y baise-moi fais-moi du bien, défonce-moi.
- Tu vois on y est arrivé, je vais bien t'enculer ma petite pédale, je vais bien casser ton trou du cul".
Posant ses mains sur mes épaules mon amant commença à aller et venir en moi lentement de toute la longueur de sa sensationnelle verge érigé m'arrachant à chaque passage de petits cris de douleur.
Au bout de quelques instants, mon sphincter céda complètement et le volumineux membre pu coulisser en moi sans aucune gène.
Le mal fit place à une douce volupté et je sentis mon être s'embraser.
Chaque fois que mon homme plongeait son formidable phallus au tréfonds de mes entrailles, m'ouvrant un peu plus la grotte, je sombrais dans un univers de plaisir et je me mis à pousser de petits gémissements.
Mon mec me possédait en de lents mais virils coup de reins me faisant monter au septième ciel.
Mon œillet était maintenant complètement dilaté et je savourais les vagues de félicité qui prenaient naissance dans mon bas-ventre pour venir éclater vers mon visage en de multiples bulles de couleur.
Sentir cette formidable hampe me forer les reins me procurait un bonheur intense.
Abdou me besognait de toute la longueur de son fabuleux pénis, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger jusqu'à la garde la seconde suivante.
Je commençais à perdre pied sous les coups de boutoirs que je recevais et mes gémissements s'étaient transformés en lourds râles de délectation.
Mon amant me pilonnait le cul, je sentais l'extraordinaire priape me défoncer le rectum comme jamais on ne me l'avait fait.
A chaque assaut je sentais mon orifice s'ouvrir encore plus, et je me mis à rouler des hanches en cadence tout en tendant mon derrière pour m'offrir encore plus.
J'avais le fion complètement éclaté et la superbe queue me rendait fou de désir.
Pendant de longues minutes mon homme me travailla le cul de cette manière, de ma bouche grande ouverte ne sortait plus que des cris de plaisir.
Tout mon être n'était plus qu'un immense brasier, je ne vivais plus que pour et par la gigantesque pine qui me bourrait.
Chaque fois que l'imposant membre s'enfonçait au fond de mes entrailles en fusion je glissais un peu plus dans le plaisir.
J'étais tellement excité que je tremblais comme une feuille sous les coups de bite que mon mec m'assénait.
J'avais atteint la plénitude rectale et je planais littéralement sous les assauts de ce splendide sexe qui m'éclatait un peu plus le cul chaque fois.
J'étais en plein extase, je me sentais partir, pour moi rien ne comptait que cette énorme bite qui me possédait.
J'étais dans un tel état que j'avais l'impression que de la lave en fusion coulait dans mes entrailles, j'avais l'impression de mouiller du cul tant j'étais en nage.
Abdou me baisait comme jamais on ne m'avait baisé, ce n'était pas seulement du à la longueur et la grosseur de sa pine mais plutôt de la manière dont il se servait de son sexe.
Mon amant alternait les violent coups de reins et les lents va et viens, me faisant chaque fois grimper aux rideaux, il sortait parfois complètement sa verge de mon antre la faisant glisser le long de ma raie pour me la ré enfoncer d'un brutal coup de reins.
J'avais atteint le point de non-retour et je me mis à hurler toutes les phases du plaisir par lesquelles je passais.
Je sentis une boule de feu exploser sur mon visage, un spasme me foudroya et un orgasme déferla sur moi, je tendis ma croupe enflammée vers la bite de mon homme pour accentuer la pénétration, un hurlement pulsa de ma gorge et je sombrais dans l'inconscience.
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