Damien 39 - Omar 1 : les plans cul black
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien 39 - Omar 1 : les plans cul black
Abdou me contacta pour le vendredi soir.
J’arrivais vers 19 heures, je montais au 5ème où Abdou m’attendait.
Il me dit "Tu as bonne mine.
- Merci.
- Et ton cul ?
- Tu veux voir ?
- Non simplement savoir.
- ça va, il est bien refermé et a retrouvé toute son élasticité.
- Bien, donc tu sais ce que tu as à faire.
- Oui.
- Bon tu as 15 minutes avant de me rejoindre dans la pièce au 2ème, vas te préparer".
Je descendis dans la pièce qu’Abdou m’avait montré la 1ère fois que j’étais venu, je me dévêtis et je m’assis.
J’avoue que j’avais une certaine appréhension car je ne savais pas ce qui m’attendait réellement derrière la porte.
Au bout de quelques instants, j’entendis la voix d’Abdou qui me dit de venir.
J’ouvris la porte et entrai dans la pièce adjacente.
Il n’y avait qu’une seul personne et je fus déçu, je m’attendais à rencontrer plusieurs hommes.
L’homme présent était un colosse noir, il me regarda d’un regard lubrique et me dit "Bonsoir, je m’appelle Omar
- Moi c’est Damien.
- Oui je le sais, alors comme ça salope tu veux faire des plans cul avec des blacks.
- Oui.
- Alors montre-moi un peu ton cul".
Je me retournais, me penchais en avant tout en ondulant du bassin.
Omar me dit "Tu as un joli cul, j'en ai rarement vu un aussi cambré, tes miches sont bien fermes".
Omar écarta mes fesses et passa un doigt sur mon anneau ce qui me fit frémir, il dit "Et jouisseuse en plus donc bonne baiseuse".
Sans prévenir Omar m'enfonça le majeur dans l'anus, l'intromission de ce doigt volumineux me fit pousser un petit cri de douleur qui eu pour effet de faire rire l'homme qui me dit "Attends avant de gueuler, attends que je te mette la bite".
Omar ôta son doigt et me dit "Tu m'as l'air d'être bonne à baiser salope, je suis sur qu'une fois ton trou du cul ouvert tu vas être bonne, allez mets-toi à quatre pattes sur le tapis que je t'enfile".
Je me rendis compte que j'étais dans un univers où je n'étais qu'un cul à bourrer de n'importe quelle manière.
Je me mis à genoux sur le tapis, j'écartais les cuisses cambrant mes reins pour faire ressortir ma croupe rebondie et j'attendis.
Omar dit "Tu es une bonne petite pute, c'est bien de te voir comme ça en train de tendre ton cul pour qu'on t'encule.
J'entendis le bruit significatif d'un pantalon qu'on enlève puis Omar passa devant moi et me dit "Regarde salope ce que tu vas prendre dans ton cul de pédale".
Ce que je vis dépassait l'entendement, jamais je n'avais vu une bite aussi grosse, elle était moins longue que celle d’Abdou mais elle était au moins deux fois plus grosse.
En plus ce pénis ne devait pas être lavé tous les jours, il exhalait une odeur de pourriture.
Je contemplais cette pine avec horreur, Omar ne m'avait absolument pas préparé l'anus, il allait me déchirer mais je l'avais voulu, j'étais à quatre pattes sur ce tapis haute laine attendant qu'un membre immonde me fende le derche.
Omar passa derrière moi, il glissa son gland turgescent dans la raie de mon cul et s'arrêta contre mon œillet.
Il posa les mains sur mes hanches, un sentiment de panique m'envahit et je tentai de me dérober.
Omar me maintenant solidement me dit "Où veux-tu aller sale pute tu es à quatre pattes devant ma bite et je vais l'enfoncer dans ton joli petit trou du cul de pédale, tu as crié tout à l'heure avec mon doigt mais là tu vas gueuler tout ce que tu as quand je vais te casser la rondelle".
L'homme se releva et me dit "Ne bouge pas pute".
Il s'approcha de la table de salon, finit son verre et revint vers moi.
Omar se repositionna derrière et après avoir posté son bout durci contre l'entrée de mon antre me dit "C'est le moment pédale, je vais t'exploser le cul".
Positionnant son énorme hampe contre mon œillet Omar me pénétra jusqu'à la garde d'un violent coup de reins sans aucune préparation.
Je crus que j'allais mourir, la douleur fut telle que ma respiration se bloqua.
J'avais l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux, quand l'air revint dans mes poumons je poussai un hurlement déchirant et me mis à pleurer à chaudes larmes tant j'avais mal.
Sans aucune considération pour moi Omar se mit à me besogner à une vitesse folle m'arrachant à chaque fois des cris de souffrance.
Omar me baisait avec une telle violence que j'avais peur qu'il me déchire complètement.
Au bout de quelques instants il plaqua son ventre contre mes fesses et éjacula en râlant.
Je n'avais ressenti aucun plaisir, il faut dire qu'il m'avait pris comme une bête cherchant simplement son plaisir.
Toujours fiché entre mes reins Omar me dit en me mettant une claque sur les fesses "Alors pédé tu vois que ce n’était pas la peine de faire doucement, tu as un bon cul ma bite est rentré comme dans du beurre.
- Mais tu m'as fait mal et d'ailleurs j'ai toujours mal.
- Ca je m'en fous tapette, moi par contre ça m'a fait du bien à la bite, mais tu sais ma bite est toujours dure et elle est toujours dans ton cul alors je vais encore te baiser sale petite pédale.
- Je t'en prie fais doucement, c...
- Ecoute petite pute je fais comme je veux avec ton cul, c'est moi l'homme toi tu es la pute alors je t'encule comme je veux si je veux faire doucement je fais doucement si je veux faire vite je fais vite. Tu as compris pédé ?
- Oui Omar.
- Tu dois dire 'oui mon homme'.
- Oui mon homme.
- Bien petite salope et écoute moi je ne t'ai rien demandé, c'est toi qui est venu me donner ton cul alors je vais t'enculer jusqu'à ce que ma bite soit vide, allez arrête de pleurer comme une petite pute tu vas voir ton cul va s'ouvrir à force que je le défonce".
Posant ses mains sur mes hanches Omar commença à aller et venir vivement en moi.
Il me possédait de toute la longueur de son fabuleux phallus, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger au tréfonds de mon cul la seconde suivante.
Au début chaque poussée me faisait crier de douleur mais peu à peu, sous les coups de boutoir redoublés, mon anneau céda et la bite turgescente put coulisser entre mes fesses sans gène aucune.
Sous les puissants assauts répétés de mon amant le plaisir commença à s'insinuer en moi et je me mis à gémir.
Omar s'en aperçut et me dit "Alors tu vois tapette, tu aimes bien que ma bite t'encule, t'inquiète pas je vais te donner ta mère tu vas voir".
Me prenant aux épaules mon homme se mit à me sodomiser encore plus violemment, son ventre musclé claquait contre mes miches portées au rouge à me faire mal.
Chaque coups de reins était ponctué de "Tiens petite tapette, prends ça dans ton cul de salope".
Je ne sais combien de temps mon mec m'encula de la sorte.
J'avais l'anus complètement éclaté et dans la pièce en dehors de mes râles langoureux on entendait les bruits de succion que faisait mon trou du cul lubrifié par la précédente enculade chaque fois qu'il avalait le priape distendu.
Sous cette rude possession je me sentis partir.
J'avais de plus en plus de mal à garder les sens des réalités et je me mis à crier de bonheur chaque fois qu'Omar s'enfonçait en moi jusqu'à la garde.
Les coups de bite que je recevais étaient si violents que j'avançais sur le tapis à chaque poussée.
Je planais littéralement sous les rapides va et viens que je recevais, je ne vivais plus que par et pour le pénis qui me forait les reins.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le plaisir qui m'envahissait.
J'avais atteint la plénitude rectale et pour moi seul comptait le fabuleux membre qui m'ouvrait un peu plus la pastille chaque fois qu'il plongeait dans mon intimité en fusion.
Les doigts crispés dans la chair de mes épaules Omar me pilonnait l'arrière-train avec des "HANS" de bûcherons, j'avais atteint le point de non-retour et je me suis mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon cul Omar explosa en feulant.
Ses jets de sperme crémeux m'inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur.
Mon corps se tendit comme un arc, je me cambrai au maximum tendant mon postérieur vers la bite qui continuait à couler en moi pour accentuer la pénétration.
De ma gorge pulsa un hurlement strident et je m'écroulai au sol entraînant celui qui me montait.
Quand je rouvris les yeux j'étais allongé à plat ventre sur le sol.
Omar était toujours planté entre mes deux lobes charnus, je sentais palpiter en moi le sexe toujours en érection.
Mon amant me dit "Alors sale pédale, je vois que tu as aimé que je t'encule, mais ne t'en fais pas ma grosse bite est toujours bien dure dans ton cul et je vais continuer de te faire le cul comme une pastèque".
Je tournais la tête pour répondre mais ce que je vis m'a glacé.
Omar avait un regard de fou et je compris qu'il valait mieux ne rien dire et le laisser faire.
Il faut dire que bien qu'il ne soit pas très doux c'était quand même un drôle d'étalon.
Maintenant que j'avais le cul complètement éclaté il pouvait me prendre le plus violemment possible je n'aurais aucun mal.
Sans que nos corps ne se désunissent mon homme me souleva et me porta jusqu'à un fauteuil où il me déposa en travers de l'accoudoir.
Je me retrouvais le torse sur le siège et les jambes pendantes.
Me mettant une claque sur les fesses mon mec me dit "Voilà petit pédé tu es en position, je vais te niquer comme jamais on t'a niqué, tu vas voir ton cul va être bien ouvert et tout cassé, ah tu voulais de la bite et bien tu vas avoir de la bite, jamais tu ne vas oublier la grosse bite d'Omar, ton petit cul tout chaud va toujours se souvenir d'aujourd'hui".
Omar me prit encore 4 fois sans jamais sortir de mon antre béante.
Quand il m'abandonna, j'avais du sperme plein la raie et sur les cuisses.
J’arrivais vers 19 heures, je montais au 5ème où Abdou m’attendait.
Il me dit "Tu as bonne mine.
- Merci.
- Et ton cul ?
- Tu veux voir ?
- Non simplement savoir.
- ça va, il est bien refermé et a retrouvé toute son élasticité.
- Bien, donc tu sais ce que tu as à faire.
- Oui.
- Bon tu as 15 minutes avant de me rejoindre dans la pièce au 2ème, vas te préparer".
Je descendis dans la pièce qu’Abdou m’avait montré la 1ère fois que j’étais venu, je me dévêtis et je m’assis.
J’avoue que j’avais une certaine appréhension car je ne savais pas ce qui m’attendait réellement derrière la porte.
Au bout de quelques instants, j’entendis la voix d’Abdou qui me dit de venir.
J’ouvris la porte et entrai dans la pièce adjacente.
Il n’y avait qu’une seul personne et je fus déçu, je m’attendais à rencontrer plusieurs hommes.
L’homme présent était un colosse noir, il me regarda d’un regard lubrique et me dit "Bonsoir, je m’appelle Omar
- Moi c’est Damien.
- Oui je le sais, alors comme ça salope tu veux faire des plans cul avec des blacks.
- Oui.
- Alors montre-moi un peu ton cul".
Je me retournais, me penchais en avant tout en ondulant du bassin.
Omar me dit "Tu as un joli cul, j'en ai rarement vu un aussi cambré, tes miches sont bien fermes".
Omar écarta mes fesses et passa un doigt sur mon anneau ce qui me fit frémir, il dit "Et jouisseuse en plus donc bonne baiseuse".
Sans prévenir Omar m'enfonça le majeur dans l'anus, l'intromission de ce doigt volumineux me fit pousser un petit cri de douleur qui eu pour effet de faire rire l'homme qui me dit "Attends avant de gueuler, attends que je te mette la bite".
Omar ôta son doigt et me dit "Tu m'as l'air d'être bonne à baiser salope, je suis sur qu'une fois ton trou du cul ouvert tu vas être bonne, allez mets-toi à quatre pattes sur le tapis que je t'enfile".
Je me rendis compte que j'étais dans un univers où je n'étais qu'un cul à bourrer de n'importe quelle manière.
Je me mis à genoux sur le tapis, j'écartais les cuisses cambrant mes reins pour faire ressortir ma croupe rebondie et j'attendis.
Omar dit "Tu es une bonne petite pute, c'est bien de te voir comme ça en train de tendre ton cul pour qu'on t'encule.
J'entendis le bruit significatif d'un pantalon qu'on enlève puis Omar passa devant moi et me dit "Regarde salope ce que tu vas prendre dans ton cul de pédale".
Ce que je vis dépassait l'entendement, jamais je n'avais vu une bite aussi grosse, elle était moins longue que celle d’Abdou mais elle était au moins deux fois plus grosse.
En plus ce pénis ne devait pas être lavé tous les jours, il exhalait une odeur de pourriture.
Je contemplais cette pine avec horreur, Omar ne m'avait absolument pas préparé l'anus, il allait me déchirer mais je l'avais voulu, j'étais à quatre pattes sur ce tapis haute laine attendant qu'un membre immonde me fende le derche.
Omar passa derrière moi, il glissa son gland turgescent dans la raie de mon cul et s'arrêta contre mon œillet.
Il posa les mains sur mes hanches, un sentiment de panique m'envahit et je tentai de me dérober.
Omar me maintenant solidement me dit "Où veux-tu aller sale pute tu es à quatre pattes devant ma bite et je vais l'enfoncer dans ton joli petit trou du cul de pédale, tu as crié tout à l'heure avec mon doigt mais là tu vas gueuler tout ce que tu as quand je vais te casser la rondelle".
L'homme se releva et me dit "Ne bouge pas pute".
Il s'approcha de la table de salon, finit son verre et revint vers moi.
Omar se repositionna derrière et après avoir posté son bout durci contre l'entrée de mon antre me dit "C'est le moment pédale, je vais t'exploser le cul".
Positionnant son énorme hampe contre mon œillet Omar me pénétra jusqu'à la garde d'un violent coup de reins sans aucune préparation.
Je crus que j'allais mourir, la douleur fut telle que ma respiration se bloqua.
J'avais l'impression qu'on m'ouvrait le cul en deux, quand l'air revint dans mes poumons je poussai un hurlement déchirant et me mis à pleurer à chaudes larmes tant j'avais mal.
Sans aucune considération pour moi Omar se mit à me besogner à une vitesse folle m'arrachant à chaque fois des cris de souffrance.
Omar me baisait avec une telle violence que j'avais peur qu'il me déchire complètement.
Au bout de quelques instants il plaqua son ventre contre mes fesses et éjacula en râlant.
Je n'avais ressenti aucun plaisir, il faut dire qu'il m'avait pris comme une bête cherchant simplement son plaisir.
Toujours fiché entre mes reins Omar me dit en me mettant une claque sur les fesses "Alors pédé tu vois que ce n’était pas la peine de faire doucement, tu as un bon cul ma bite est rentré comme dans du beurre.
- Mais tu m'as fait mal et d'ailleurs j'ai toujours mal.
- Ca je m'en fous tapette, moi par contre ça m'a fait du bien à la bite, mais tu sais ma bite est toujours dure et elle est toujours dans ton cul alors je vais encore te baiser sale petite pédale.
- Je t'en prie fais doucement, c...
- Ecoute petite pute je fais comme je veux avec ton cul, c'est moi l'homme toi tu es la pute alors je t'encule comme je veux si je veux faire doucement je fais doucement si je veux faire vite je fais vite. Tu as compris pédé ?
- Oui Omar.
- Tu dois dire 'oui mon homme'.
- Oui mon homme.
- Bien petite salope et écoute moi je ne t'ai rien demandé, c'est toi qui est venu me donner ton cul alors je vais t'enculer jusqu'à ce que ma bite soit vide, allez arrête de pleurer comme une petite pute tu vas voir ton cul va s'ouvrir à force que je le défonce".
Posant ses mains sur mes hanches Omar commença à aller et venir vivement en moi.
Il me possédait de toute la longueur de son fabuleux phallus, le sortant presque entièrement de moi pour le replonger au tréfonds de mon cul la seconde suivante.
Au début chaque poussée me faisait crier de douleur mais peu à peu, sous les coups de boutoir redoublés, mon anneau céda et la bite turgescente put coulisser entre mes fesses sans gène aucune.
Sous les puissants assauts répétés de mon amant le plaisir commença à s'insinuer en moi et je me mis à gémir.
Omar s'en aperçut et me dit "Alors tu vois tapette, tu aimes bien que ma bite t'encule, t'inquiète pas je vais te donner ta mère tu vas voir".
Me prenant aux épaules mon homme se mit à me sodomiser encore plus violemment, son ventre musclé claquait contre mes miches portées au rouge à me faire mal.
Chaque coups de reins était ponctué de "Tiens petite tapette, prends ça dans ton cul de salope".
Je ne sais combien de temps mon mec m'encula de la sorte.
J'avais l'anus complètement éclaté et dans la pièce en dehors de mes râles langoureux on entendait les bruits de succion que faisait mon trou du cul lubrifié par la précédente enculade chaque fois qu'il avalait le priape distendu.
Sous cette rude possession je me sentis partir.
J'avais de plus en plus de mal à garder les sens des réalités et je me mis à crier de bonheur chaque fois qu'Omar s'enfonçait en moi jusqu'à la garde.
Les coups de bite que je recevais étaient si violents que j'avançais sur le tapis à chaque poussée.
Je planais littéralement sous les rapides va et viens que je recevais, je ne vivais plus que par et pour le pénis qui me forait les reins.
J'avais rejeté la tête en arrière et les yeux clos je savourais le plaisir qui m'envahissait.
J'avais atteint la plénitude rectale et pour moi seul comptait le fabuleux membre qui m'ouvrait un peu plus la pastille chaque fois qu'il plongeait dans mon intimité en fusion.
Les doigts crispés dans la chair de mes épaules Omar me pilonnait l'arrière-train avec des "HANS" de bûcherons, j'avais atteint le point de non-retour et je me suis mis à délirer.
C'est à cet instant que s'enfonçant au plus profond de mon cul Omar explosa en feulant.
Ses jets de sperme crémeux m'inondèrent le fondement me déclenchant un orgasme dévastateur.
Mon corps se tendit comme un arc, je me cambrai au maximum tendant mon postérieur vers la bite qui continuait à couler en moi pour accentuer la pénétration.
De ma gorge pulsa un hurlement strident et je m'écroulai au sol entraînant celui qui me montait.
Quand je rouvris les yeux j'étais allongé à plat ventre sur le sol.
Omar était toujours planté entre mes deux lobes charnus, je sentais palpiter en moi le sexe toujours en érection.
Mon amant me dit "Alors sale pédale, je vois que tu as aimé que je t'encule, mais ne t'en fais pas ma grosse bite est toujours bien dure dans ton cul et je vais continuer de te faire le cul comme une pastèque".
Je tournais la tête pour répondre mais ce que je vis m'a glacé.
Omar avait un regard de fou et je compris qu'il valait mieux ne rien dire et le laisser faire.
Il faut dire que bien qu'il ne soit pas très doux c'était quand même un drôle d'étalon.
Maintenant que j'avais le cul complètement éclaté il pouvait me prendre le plus violemment possible je n'aurais aucun mal.
Sans que nos corps ne se désunissent mon homme me souleva et me porta jusqu'à un fauteuil où il me déposa en travers de l'accoudoir.
Je me retrouvais le torse sur le siège et les jambes pendantes.
Me mettant une claque sur les fesses mon mec me dit "Voilà petit pédé tu es en position, je vais te niquer comme jamais on t'a niqué, tu vas voir ton cul va être bien ouvert et tout cassé, ah tu voulais de la bite et bien tu vas avoir de la bite, jamais tu ne vas oublier la grosse bite d'Omar, ton petit cul tout chaud va toujours se souvenir d'aujourd'hui".
Omar me prit encore 4 fois sans jamais sortir de mon antre béante.
Quand il m'abandonna, j'avais du sperme plein la raie et sur les cuisses.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
très belle histoire j'aurais aimé être à sa place