Damien 41 - Omar 3
Récit érotique écrit par Kati [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Damien 41 - Omar 3
Je me mis à genoux la tête reposant sur le sol, les cuisses écartées et le cul en l'air, attendant sagement ce qui allait se passer.
Un homme entra dans la pièce, il était très grand et épais, il exhalait de lui une forte odeur de transpiration, il baissa son pantalon.
Il positionna son gros sexe érigé contre ma fente et d'un violent coup de reins m'enfila jusqu'à la garde.
L'homme me pistonna lentement pendant quelques minutes.
Mon baiseur augmenta le rythme de ses va et viens et plaquant sa panse contre mon fessier éjacula en râlant.
Il se retira et me mettant une légère claque sur les fesses il me dit "T’es une bonne pute toi".
Il remit son pantalon et sortit.
Un autre entra, c'était un maghrébin, il dégageait une effluve d'égout, il ouvrit la braguette de son jeans et sortit un phallus énorme qu'il me passa sous le nez.
Le membre ne devait pas avoir été lavé depuis longtemps car il avait une puanteur immonde.
L'homme se mit à genoux derrière moi et me défonça d'un violent coup de reins puis posant ses mains sur mes hanches il se mit à me sodomiser à une vitesse inouïe jusqu'au moment où plaquant son ventre contre mon postérieur il explosa en feulant.
Le mec se retira continuant de gicler contre mes fesses, il me donna deux coups sur les miches avec son pénis encore tendu et me dit "Tu es une bonne salope".
Le type se rajusta et sortit.
Pendant toute la nuit les hommes se succédèrent dans mon cul.
Tout ce passait en silence quelques grognements, une petite tape de temps en temps ou une phrase du style "Bonne pute" et c'est tout.
Quand arriva la fin j'avais le cul qui dégoulinait de foutre.
Je n'avais jamais eu aussi mal au cul.
J’allais me relever quand Omar me dit "Reste en position salope, tends bien ton cul".
J'obéis, un l'homme entra dans la pièce et déballa un phallus phénoménal.
Pendant plusieurs minutes, l’homme me tringla terminant par une éjaculation extrêmement abondante, il se retira, se rajusta et me dit "Tu es une très bonne pute, on voit que tu aimes la bite à bientôt salope".
Quand je retournais dans la petite pièce, il faisait grand jour, j’avais du mal à marcher tellement ma pastille était douloureuse.
Je me rhabillais et rentrais chez moi où je pris une longue douche pour ôter de mon corps toute trace de cette nuit de sexe, puis après avoir enduit mon anneau de baume réparateur, je me couchais et m’endormis.
Quand je m’éveillais il faisait nuit, je vis que j’avais dormi pendant 15 heures.
Je me levais, une douleur me cisailla le bas-ventre et les évènements de la nuit précédente remontèrent à mon esprit.
J’allais dans la salle de bains et me penchais pour regarder mon anus, il était à peine moins enflé et pas encore refermé.
Je mangeais quelques fruits et retournais me coucher.
Pendant 14 mois chaque week-end je fis ces plans cul avec Abdou et ses amis, des fois deux nuits par week-end.
Il y avait foule, j'étais devenu la préférée de tous les copains.
A la fin, j'avais le trou du cul tellement ouvert que même quand j'étais debout, mon anus écartait mes fesses.
Pendant la semaine j’étais obliger de me garnir comme une femme qui a ses règles car même en mangeant du sans résidus j'avais des pertes.
C’est à ce moment que je pris conscience que j’étais sur une mauvaise pente, en plus ce n’était pas faire l’amour, ce que je subissais était une série d'enculades bestiales où il n'y avait aucune place pour le plaisir du moins pour le mien.
Je n'avais plus joui ni n'avais eu le plaisir de sucer une bite amoureusement depuis le jour où j'avais commencé ces plans cul avec Abdou et ses potes.
Je le dit à Abdou qui comprit et qui me dit "C’est dommage tu es une sacrée baiseuse, tous mes potes t'adorent mais je comprends ton point de vue, à partir d’aujourd’hui je ne t’inviterais plus".
Mon anus était complètement démoli, j'ai consulté un médecin qui m'a dit que pour que mon trou du cul se referme il faudrait au moins 3 à quatre 4 mois d'abstinence.
Je suivis le conseil du docteur et arrêtais toute activité sexuelle pendant le temps qu’il faudrait afin que mon cul retrouve une forme normale.
Un homme entra dans la pièce, il était très grand et épais, il exhalait de lui une forte odeur de transpiration, il baissa son pantalon.
Il positionna son gros sexe érigé contre ma fente et d'un violent coup de reins m'enfila jusqu'à la garde.
L'homme me pistonna lentement pendant quelques minutes.
Mon baiseur augmenta le rythme de ses va et viens et plaquant sa panse contre mon fessier éjacula en râlant.
Il se retira et me mettant une légère claque sur les fesses il me dit "T’es une bonne pute toi".
Il remit son pantalon et sortit.
Un autre entra, c'était un maghrébin, il dégageait une effluve d'égout, il ouvrit la braguette de son jeans et sortit un phallus énorme qu'il me passa sous le nez.
Le membre ne devait pas avoir été lavé depuis longtemps car il avait une puanteur immonde.
L'homme se mit à genoux derrière moi et me défonça d'un violent coup de reins puis posant ses mains sur mes hanches il se mit à me sodomiser à une vitesse inouïe jusqu'au moment où plaquant son ventre contre mon postérieur il explosa en feulant.
Le mec se retira continuant de gicler contre mes fesses, il me donna deux coups sur les miches avec son pénis encore tendu et me dit "Tu es une bonne salope".
Le type se rajusta et sortit.
Pendant toute la nuit les hommes se succédèrent dans mon cul.
Tout ce passait en silence quelques grognements, une petite tape de temps en temps ou une phrase du style "Bonne pute" et c'est tout.
Quand arriva la fin j'avais le cul qui dégoulinait de foutre.
Je n'avais jamais eu aussi mal au cul.
J’allais me relever quand Omar me dit "Reste en position salope, tends bien ton cul".
J'obéis, un l'homme entra dans la pièce et déballa un phallus phénoménal.
Pendant plusieurs minutes, l’homme me tringla terminant par une éjaculation extrêmement abondante, il se retira, se rajusta et me dit "Tu es une très bonne pute, on voit que tu aimes la bite à bientôt salope".
Quand je retournais dans la petite pièce, il faisait grand jour, j’avais du mal à marcher tellement ma pastille était douloureuse.
Je me rhabillais et rentrais chez moi où je pris une longue douche pour ôter de mon corps toute trace de cette nuit de sexe, puis après avoir enduit mon anneau de baume réparateur, je me couchais et m’endormis.
Quand je m’éveillais il faisait nuit, je vis que j’avais dormi pendant 15 heures.
Je me levais, une douleur me cisailla le bas-ventre et les évènements de la nuit précédente remontèrent à mon esprit.
J’allais dans la salle de bains et me penchais pour regarder mon anus, il était à peine moins enflé et pas encore refermé.
Je mangeais quelques fruits et retournais me coucher.
Pendant 14 mois chaque week-end je fis ces plans cul avec Abdou et ses amis, des fois deux nuits par week-end.
Il y avait foule, j'étais devenu la préférée de tous les copains.
A la fin, j'avais le trou du cul tellement ouvert que même quand j'étais debout, mon anus écartait mes fesses.
Pendant la semaine j’étais obliger de me garnir comme une femme qui a ses règles car même en mangeant du sans résidus j'avais des pertes.
C’est à ce moment que je pris conscience que j’étais sur une mauvaise pente, en plus ce n’était pas faire l’amour, ce que je subissais était une série d'enculades bestiales où il n'y avait aucune place pour le plaisir du moins pour le mien.
Je n'avais plus joui ni n'avais eu le plaisir de sucer une bite amoureusement depuis le jour où j'avais commencé ces plans cul avec Abdou et ses potes.
Je le dit à Abdou qui comprit et qui me dit "C’est dommage tu es une sacrée baiseuse, tous mes potes t'adorent mais je comprends ton point de vue, à partir d’aujourd’hui je ne t’inviterais plus".
Mon anus était complètement démoli, j'ai consulté un médecin qui m'a dit que pour que mon trou du cul se referme il faudrait au moins 3 à quatre 4 mois d'abstinence.
Je suivis le conseil du docteur et arrêtais toute activité sexuelle pendant le temps qu’il faudrait afin que mon cul retrouve une forme normale.
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