Dans la peau d'une actrice X
Récit érotique écrit par Alexandra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-10-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Dans la peau d'une actrice X
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Les préparatifs sont terminés. J'observe mes différents sacs en me remémorant leur contenu.
Il ne faudrait pas que j'oublie quelque chose. La journée s'annonce longue et bien remplie et un imprévu pourrait porter préjudice à son bon déroulement.
Ma première étape me mène à Nivelles, pour un tournage. Lorsque j'arrive, l'acteur est déjà là. Il s'est trompé dans l'horaire et est arrivé avec une heure d'avance.
La photographe et le caméraman sont également présents.
Nous allons pouvoir débuter sans tarder.
La première scène se déroule dans un donjon. Je suis sanglée aux poignets et chevilles avec des bracelets en cuir munis de boucles en métal. On m'attache les poignets à des chaines solidement arrimées au plafond. Docile, je me laisse faire. Je connais le traitement qui m'attend et, résignée, j'ai décidé de l'accepter sans broncher.
Le bourreau s'approche de moi, il m'observe un peu et me claque sur les fesses avant de relever brusquement ma mini-jupe en me traitant de salope. Mon sexe d'homme est au repos mais malgré cela, il déborde du string. Le Maître prend du plaisir à me tapoter les fesses, à présent nues, avec sa cravache. Parfois, le tapotement se transforme en une frappe beaucoup plus franche qui va laisser des marques sur ma peau blanche et lisse. Quand il frappe, je hurle de douleur et je tente de me débattre en pivotant, malgré mes entraves. C'est la seule échappatoire qui m'est permise, et elle n'est pas très efficace car la cravache me poursuit.
La caméra filme cette scène de torture où je joue le rôle de victime. L'acteur entre alors en scène et il s'adresse au bourreau en lui disant qu'il aimerait bien me baiser. Impuissante, je l'entends lui répondre : "Pas de problème, je vais t'arranger ça, cette pute sera bientôt à ta disposition". Lorsqu'on me défait de mes chaînes, je sais pertinemment que je suis loin d'être tirée d'affaire.
La scène suivante se déroule dans le living-room. L'homme est assis dans un fauteuil, il a ôté son pantalon et ne garde qu'une chemise et une cagoule noire. En bon dominant, il m'intime l'ordre de le sucer. A genoux à ses pieds, j'obéis sans broncher. Je prends sa queue en bouche et je la sens durcir entre mes lèvres. Lorsqu'elle a atteint sa taille maximale, l'homme place ses mains derrière ma tête et il la tire vers lui de sorte à ce que son sexe s'enfonce encore plus loin, jusqu'au fond de ma gorge. Les larmes me montent aux yeux, je salive et je tousse. Je suis proche du haut le coeur mais je ne peux pas vomir, la punition serait terrible. Alors je fais bonne figure et je m'applique pour tenir bon jusqu'à ce qu'il se décide à relâcher la pression.
L'heure est venue à présent de "passer à la casserole". L'homme m'indique le sofa où il veut que ça se passe. Je me positionne de telle sorte qu'il ait un accès direct à mon entre-fesses. Je l'ai bien préparé en le suçant et son érection est telle que la pénétration se fait sans aucune difficulté. Sa queue est dure et un peu courbée, je la sens bien pendant qu'il laboure mon cul en donnant des claques sur mes fesses. Ses assauts sont puissants et brutaux, ma chatte anale déguste ! L'homme sait que je suis à sa merci et que, parmi les personnes présentes, aucune ne prendra ma défense ou ne volera à mon secours. Il a le droit de me faire tout ce qui lui passe par la tête, il peut m'utiliser comme une poupée de sexe et je n'ai absolument rien à dire, je peux juste subir et accepter mon sort. Afin que la jouissance arrive plus vite, et pour mettre fin à mon calvaire (mais en est-ce vraiment un ?), je rentre dans son jeu et j'écarte bien mes fesses, de mes 2 mains. Lorsque nous changeons de position et qu'il se retrouve sur moi, je ne le quitte pas des yeux. Il me baise toujours le cul sans faiblir mais mon petit clito de trav ne grandit pas, lui. Je suis soumise et mon plaisir n'est qu'accessoire, il passe au second plan.
A présent que l'homme a bien pris son pied à me baiser le cul, il a envie de cracher son jus dans ma bouche. Une fois de plus, je me retrouve en position de soumise, à genoux à ses pieds, la bouche ouverte, la langue tirée, prête à récolter son foutre. Je le regarde dans les yeux pendant qu'il se branle et, lorsque ça vient, il enfonce à nouveau sa queue dans ma bouche. Ce sont plusieurs jets qui vont tapisser mon palais et ma langue. Lorsqu'il se retire, le trop-plein coule le long de mon menton et finit sa course sur le plancher.
Impérieux, il pointe son index vers le sol. Je baisse le regard pour suivre la trajectoire du doigt. Les mots sont inutiles, j'ai compris ce qu'il me veut. Il n'admet aucun gaspillage et je vais devoir donc nettoyer le sol. Je me penche et, tel une chienne le ferait avec une flaque d'eau, je lèche le sperme qui a débordé de mes lèvres. Lorsque je relève la tête, j'en ai sur le nez, sur le menton, et sur ma langue bien sûr. Je lui présente ma récolte avant de l'engouffrer et de l'avaler. Je recommence l'opération jusqu'à ce que le sol soit propre. Satisfait, l'homme me lance un torchon : "Nettoie le sol maintenant, et ensuite va te laver le visage, tu me dégoûtes avec ta gueule de pute pleine de foutre !""Coupez !" crie le réalisateur. Encore un tournage qui s'est très bien passé !
Mais je n'ai pas le temps de me réjouir, on m'attend déjà ailleurs dans 1h.
à suivre
Les préparatifs sont terminés. J'observe mes différents sacs en me remémorant leur contenu.
Il ne faudrait pas que j'oublie quelque chose. La journée s'annonce longue et bien remplie et un imprévu pourrait porter préjudice à son bon déroulement.
Ma première étape me mène à Nivelles, pour un tournage. Lorsque j'arrive, l'acteur est déjà là. Il s'est trompé dans l'horaire et est arrivé avec une heure d'avance.
La photographe et le caméraman sont également présents.
Nous allons pouvoir débuter sans tarder.
La première scène se déroule dans un donjon. Je suis sanglée aux poignets et chevilles avec des bracelets en cuir munis de boucles en métal. On m'attache les poignets à des chaines solidement arrimées au plafond. Docile, je me laisse faire. Je connais le traitement qui m'attend et, résignée, j'ai décidé de l'accepter sans broncher.
Le bourreau s'approche de moi, il m'observe un peu et me claque sur les fesses avant de relever brusquement ma mini-jupe en me traitant de salope. Mon sexe d'homme est au repos mais malgré cela, il déborde du string. Le Maître prend du plaisir à me tapoter les fesses, à présent nues, avec sa cravache. Parfois, le tapotement se transforme en une frappe beaucoup plus franche qui va laisser des marques sur ma peau blanche et lisse. Quand il frappe, je hurle de douleur et je tente de me débattre en pivotant, malgré mes entraves. C'est la seule échappatoire qui m'est permise, et elle n'est pas très efficace car la cravache me poursuit.
La caméra filme cette scène de torture où je joue le rôle de victime. L'acteur entre alors en scène et il s'adresse au bourreau en lui disant qu'il aimerait bien me baiser. Impuissante, je l'entends lui répondre : "Pas de problème, je vais t'arranger ça, cette pute sera bientôt à ta disposition". Lorsqu'on me défait de mes chaînes, je sais pertinemment que je suis loin d'être tirée d'affaire.
La scène suivante se déroule dans le living-room. L'homme est assis dans un fauteuil, il a ôté son pantalon et ne garde qu'une chemise et une cagoule noire. En bon dominant, il m'intime l'ordre de le sucer. A genoux à ses pieds, j'obéis sans broncher. Je prends sa queue en bouche et je la sens durcir entre mes lèvres. Lorsqu'elle a atteint sa taille maximale, l'homme place ses mains derrière ma tête et il la tire vers lui de sorte à ce que son sexe s'enfonce encore plus loin, jusqu'au fond de ma gorge. Les larmes me montent aux yeux, je salive et je tousse. Je suis proche du haut le coeur mais je ne peux pas vomir, la punition serait terrible. Alors je fais bonne figure et je m'applique pour tenir bon jusqu'à ce qu'il se décide à relâcher la pression.
L'heure est venue à présent de "passer à la casserole". L'homme m'indique le sofa où il veut que ça se passe. Je me positionne de telle sorte qu'il ait un accès direct à mon entre-fesses. Je l'ai bien préparé en le suçant et son érection est telle que la pénétration se fait sans aucune difficulté. Sa queue est dure et un peu courbée, je la sens bien pendant qu'il laboure mon cul en donnant des claques sur mes fesses. Ses assauts sont puissants et brutaux, ma chatte anale déguste ! L'homme sait que je suis à sa merci et que, parmi les personnes présentes, aucune ne prendra ma défense ou ne volera à mon secours. Il a le droit de me faire tout ce qui lui passe par la tête, il peut m'utiliser comme une poupée de sexe et je n'ai absolument rien à dire, je peux juste subir et accepter mon sort. Afin que la jouissance arrive plus vite, et pour mettre fin à mon calvaire (mais en est-ce vraiment un ?), je rentre dans son jeu et j'écarte bien mes fesses, de mes 2 mains. Lorsque nous changeons de position et qu'il se retrouve sur moi, je ne le quitte pas des yeux. Il me baise toujours le cul sans faiblir mais mon petit clito de trav ne grandit pas, lui. Je suis soumise et mon plaisir n'est qu'accessoire, il passe au second plan.
A présent que l'homme a bien pris son pied à me baiser le cul, il a envie de cracher son jus dans ma bouche. Une fois de plus, je me retrouve en position de soumise, à genoux à ses pieds, la bouche ouverte, la langue tirée, prête à récolter son foutre. Je le regarde dans les yeux pendant qu'il se branle et, lorsque ça vient, il enfonce à nouveau sa queue dans ma bouche. Ce sont plusieurs jets qui vont tapisser mon palais et ma langue. Lorsqu'il se retire, le trop-plein coule le long de mon menton et finit sa course sur le plancher.
Impérieux, il pointe son index vers le sol. Je baisse le regard pour suivre la trajectoire du doigt. Les mots sont inutiles, j'ai compris ce qu'il me veut. Il n'admet aucun gaspillage et je vais devoir donc nettoyer le sol. Je me penche et, tel une chienne le ferait avec une flaque d'eau, je lèche le sperme qui a débordé de mes lèvres. Lorsque je relève la tête, j'en ai sur le nez, sur le menton, et sur ma langue bien sûr. Je lui présente ma récolte avant de l'engouffrer et de l'avaler. Je recommence l'opération jusqu'à ce que le sol soit propre. Satisfait, l'homme me lance un torchon : "Nettoie le sol maintenant, et ensuite va te laver le visage, tu me dégoûtes avec ta gueule de pute pleine de foutre !""Coupez !" crie le réalisateur. Encore un tournage qui s'est très bien passé !
Mais je n'ai pas le temps de me réjouir, on m'attend déjà ailleurs dans 1h.
à suivre
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