Titre de l'histoire érotique : La soubrette coquine
Récit érotique écrit par Alexandra [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-11-2016 dans la catégorie Fétichisme
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Titre de l'histoire érotique : La soubrette coquine
Certaines rencontres vous marquent plus que d'autres. Ca arrive une fois de temps en temps et ça provoque en vous un raz de marée d'émotions et de sentiments que vous pensiez ne plus pouvoir éprouver pour quelqu'un.
J'ai rencontré Anton (prénom d'emprunt) il y a 2 ans lors d'une après-midi "Translips" à Anvers. Nous avions tenté ce jour-là une approche mais le fait de "faire ça" devant tout le monde lui coupait un peu ses moyens.
Je l'avais alors retrouvé à la salle de bains/vestiaire au moment où il décidait de partir et là, à l'abri des regards, nous étions parvenu à nos fins. Je m'en souviens comme si c'était hier. J'étais debout, jambes écartées et les mains en appui sur le bord de la baignoire. Lui me prenait tout en profitant pleinement de la scène au travers d'un grand miroir. Au final je m'étais agenouillée devant lui et il avait joui dans ma bouche avant que j'avale tout en le regardant droit dans les yeux.
Depuis ce jour, nous sommes resté en contact mais nous n'avons pas eu l'occasion de nous revoir car il vit à 120kms de chez moi et qu'il a des horaires de travail un peu décalés qui lui laissent peu de liberté pour les sorties, que ce soit en journée ou en soirée.
Mais il y a quelques mois, nous nous sommes retrouvés au New Ridderhof, un club libertin situé en Flandres. Les choses se sont bien passées, une fois de plus et nous avons pris rendez-vous au même endroit le mois suivant.
Au terme de cette 2ème soirée en club, Anton me fit comprendre qu'il aurait aimé passer un moment avec moi en tête à tête, dans un autre contexte qu'un club libertin.
Je me suis alors mise en quête d'un endroit qui pourrait convenir et j'ai choisi de réserver une nuit dans un appartement situé non loin de la gare du midi à Bruxelles.
Cet endroit présente plusieurs avantages : c'est situé non loin de chez moi, c'est propre, moderne et spacieux, relativement bon marché, et chaque appartement est muni d'un grand lit, de plusieurs confortables divans, et d'un coin cuisine, entre autres. Il accepta de me retrouver là.
Anton me rejoignit à 17h et m'embrassa tendrement avant de détailler ma tenue.
Je lui avais demandé lors de nos échanges pour préparer cette rencontre s'il aimait les uniformes et il m'avait répondu positivement. C'est donc en "french maid" que je l'accueillis et je sus directement que j'avais fait le bon choix.
"Tu veux boire quelque chose ?"
"Avec plaisir, un verre de vin blanc si tu as ça"
Le cubis était déjà bien entamé (j'étais arrivée quelques heures avant lui à l'appart) mais il en restait suffisamment.
Nous nous asseyons dans le plus grand des divans et discutons un peu mais Anton a les mains baladeuses, c'est plus fort que lui. Il est tombé amoureux de mes formes généreuses le jour de notre rencontre 2 ans plus tôt.
Il m'a déjà expliqué plusieurs fois que d'habitude il est attiré par les petits culs menus mais que dans mon cas particulier, mon fessier plus charnu exerce sur lui une fascination sans limite. D'ailleurs j'ai déjà remarqué que lorsque nous buvons un verre dans un club, il ne cesse de me tapoter le popotin, c'en est presque devenu un tic !
Mais j'apprécie beaucoup cette petite manie et je suis toute heureuse d'être responsable de cette addiction somme toute assez bénigne.
Je me rends compte qu'il est déjà prêt à passer à l'acte, il déboutonne son pantalon, ôte ses chaussures.
Je lui propose de pimenter notre rencontre en exploitant le fait que je porte un costume de soubrette.
"Si tu veux, je fais mine de faire le ménage et tu en profites pour me sauter hihi"
"Bonne idée !"
L'appartement met à disposition des locataires le strict minimum pour préparer à manger et faire la vaisselle, mais pour ce qui est de l'entretien général, je ne trouve pas grand chose, pas même du Sopalin. Qu'à cela ne tienne, je n'ai pas l'intention de tout nettoyer de fond en comble, je ne suis pas là pour ça. Mais il me faut trouver quelque chose pour donner le change. Je me rabats sur la seule option qui m'est offerte : un peu de papier toilette. En fouillant bien sous l'évier de la cuisine je trouve également une brosse et une ramassette. C'est parfait, ça fera l'affaire !
Anton est toujours assis dans le divan, il arbore un air faussement détaché lorsque je pénètre dans la partie salon où il se trouve.
"Je vais un peu nettoyer la table si vous le permettez, monsieur"
"Oui ok, elle en a besoin !"
Je commence à frotter la table, tournant le dos à mon complice. Je me doute qu'il est probablement en train de me reluquer de bas en haut. En dehors de la petite robe de soubrette en satin noir et blanc, je porte un mini-string dont la petite corde me rentre dans les fesses, des bas résilles tenus au moyen d'un porte-jaretelles, et mes talons hauts préférés, ceux à bouts ouverts laissant paraître mes orteils. Une petite coiffe blanche et un mini tablier "Sexy room service" complètent ma tenue.
La plaque en verre qui protège la table est à présent toute propre, il est temps que je m'attaque au parquet. Je me mets à 4 pattes, toujours le dos tourné et je rassemble les miettes et la poussière fictive avec la brosse et la ramassette. Je ne dois pas patienter longtemps pour sentir le bas de ma tenue se relever tout doucement. Anton est en train de me découvrir le fessier et ses mains se posent doucement sur la partie la plus charnue de mon anatomie. Il approche lentement son visage et pose un doux baiser sur l'une de mes fesses.
Je feins d'être surprise mais sûrement pas offusquée par son comportement. Doucement mais fermement, il m'invite à me cambrer un peu plus, de sorte à ce qu'il puisse me lécher l'entre fesses. Au moment où sa langue entre en contact avec mon petit trou, je pousse un petit gémissement de plaisir. Il se délecte de ce que j'ai à lui offrir et à présent son visage est bien enfoui et sa langue à l'affût. Il va me lécher l'anus comme ça pendant quelque minutes.
Ensuite, il m'invite à me relever et à prendre place sur le canapé pendant qu'il ôte son pantalon. Ma bouche est grande ouverte pour accueillir son membre pour le moment encore un peu flasque mais plus pour longtemps.
Le prenant en bouche mes mains se posent sur ses fesses afin de l'attirer à moi. Son sexe est à présent totalement invisible, il est bien au chaud au fond de ma gorge et il commence à bien durcir à tel point qu'Anton a déjà envie de me pénètrer. Je n'y vois pas d'inconvénient, bien au contraire, et je m'agenouille sur le divan de sorte à ce qu'il puisse se placer derrière moi. J'écarte bien les fesses, dans l'attente de son membre qui a, à présent, atteint la taille "adulte".
Posant ses mains sur mes hanches, il se fraye doucement un chemin dans mon petit tunnel et, lorsqu'il est bien dedans, il enclenche le rythme de croisière. Les va-et-vient sont énergiques sans être brutaux. Je commence à prendre mon pied à me faire labourer de la sorte par ce jeune homme au corps élancé et imberbe. A présent il incline le buste et se penche sur moi, je sens le contact de son bas ventre sur mes fesses, il me baise encore plus fort que tout à l'heure. Lorsqu'il ralentit le tempo après quelques minutes, c'est pour me demander de me placer dans une autre position, à 4 pattes sur le fauteuil qui, de par sa largeur surdimensionnée, le permet aisément. Il monte sur le fauteuil et me prend en levrette pendant quelques minutes.
Il me regarde ensuite d'un petit air coquin et m'annonce qu'il a apporté quelques jouets avec lui. J'avais en effet remarqué à son arrivée qu'il portait une grande sacoche sous le bras.
"Ah oui ? Et bien montre les moi !"
Il sort de la sacoche 3 accessoires : un petit plug en verre, un gode réaliste par son aspect et sa taille et un autre gode gonflable, muni d'une pompe.
"Tu veux essayer quelque chose ?"
Le gode réaliste est assez similaire à la queue de mon partenaire, je ne vais donc pas en faire usage pour l'instant. Le gode gonflable ne me fait pas trop envie, il reste le petit plug dont la base semble assez large et qui pourrait peut-être me poser un petit problème lors de l'insertion.
Mais bon, j'aime prendre des risques alors allons-y pour ce joujou.
J'ai pris l'habitude de protéger systématiquement les sex-toys que j'utilise. Je le fais avec ceux faisant partie de ma collection personnelle, et bien sûr avec ceux qu'on me prête comme dans le cas présent. Je recouvre donc le plug d'une capote et je me mets en position pour l'introduire.
Anton me regarde avec étonnement et me pose une question qui me surprend :
"Sans loupe ??"
Je me demande pourquoi il me pose cette question saugrenue.
"Ben oui, sans loupe, et même sans regarder, je connais assez bien cette partie de mon anatomie !"
"Non, je parle de "lube" (lubrifiant en anglais)"
"Aaaaahhhh, okay !!!!"
Et bien non pas besoin ni de loupe ni de lube - lol
De fait, le petit joujou trouve aisément son chemin et Anton est en admiration devant ce spectacle. Il me demande de mettre les fesses bien en évidence pour qu'il puisse profiter pleinement de la vue.
Nous allons ensuite passer au joujou suivant qui n'est autre qu'un gode de couleur et taille très réaliste. Une fois encore, je n'éprouve aucune difficulté à me l'introduire et c'est alors que me vient une idée. Le gode est profondément ancré mais je sens encore un peu d'espace dans mon orifice.
"J'ai envie d'essayer avec toi quelque chose qui me fait fantasmer depuis longtemps, une double pénétration anale !"
"Oh, ça devrait aller, il y a de la place !"
C'est donc tout naturellement que nous avons tenté l'expérience. Je ne m'attendais pas du tout à ce que j'en arrive là ce jour précis mais une chose en entraînant une autre, et vu la bonne entente et la décontraction totale, l'occasion était trop belle pour la laisser passer.
Anton a procédé de manière progressive, en appliquant suffisamment de gel pour faciliter la pénétration de son sexe dans mon petit trou, qui est encore beaucoup plus serré que d'habitude du fait de la présence du jouet.
Les sensations sont très fortes, j'ai à la fois envie de tout prendre mais j'ai peur de me blesser en y allant trop franchement. Alors nous préférons ne pas prendre de risque et après quelques minutes d'une "double" assez timide, nous décidons de passer à autre chose. Il vient de me donner beaucoup de plaisir, je décide de lui rendre la pareille en le suçant. Son sexe est encore couvert de la capote qui a labouré ma chatte de trav quelques minutes plus tôt quand je le prends en bouche, mais je la lui ôte rapidement. Je sais d'expérience que les sensations sont beaucoup plus forte lors d'une fellation "nature". Je m'applique et passe ma langue tout au long de la hampe de son sexe, je lui lèche également les couilles
N'y tenant plus, Anton a très envie de jouir mais il sait que je veux récolter son sperme sur le visage ou dans ma bouche. Il me prévient que c'est pour bientôt et, alors qu'il se tient debout, je suis à genoux devant lui, lui léchant à nouveau les couilles, prenant sa queue en bouche tout en le branlant. Je salive à un point tel que qu'un filet de bave ruisselle sur le parquet. Il va jouir enfin, une belle quantité de jus bien chaud que je vais récolter en partie sur le visage, le reste dégoulinant à terre. Avec les doigts, je récupère le sperme qui macule mes joues, mon menton, j'en ai même dans une narine ! A présent que mon visage est presque propre, je constate la présence d'une flaque de sperme sur le sol. Je me penche et me voilà occupée à lécher les lattes en bois pour en récupérer le foutre. Je ressemble à un petit animal domestique, chienne ou chatte, qui lape un liquide qui se serait répandu par inadvertance sur le sol. Sauf qu'ici c'est la petite soubrette qui a une technique bien particulière pour faire briller le parquet.
Lorsque je me redresse, je lis de l'incrédulité dans le regard d'Anton : "Mais tu es folle !"
"Non pas du tout, mais je n'aime pas le gaspillage, voilà tout !"
FIN.
J'ai rencontré Anton (prénom d'emprunt) il y a 2 ans lors d'une après-midi "Translips" à Anvers. Nous avions tenté ce jour-là une approche mais le fait de "faire ça" devant tout le monde lui coupait un peu ses moyens.
Je l'avais alors retrouvé à la salle de bains/vestiaire au moment où il décidait de partir et là, à l'abri des regards, nous étions parvenu à nos fins. Je m'en souviens comme si c'était hier. J'étais debout, jambes écartées et les mains en appui sur le bord de la baignoire. Lui me prenait tout en profitant pleinement de la scène au travers d'un grand miroir. Au final je m'étais agenouillée devant lui et il avait joui dans ma bouche avant que j'avale tout en le regardant droit dans les yeux.
Depuis ce jour, nous sommes resté en contact mais nous n'avons pas eu l'occasion de nous revoir car il vit à 120kms de chez moi et qu'il a des horaires de travail un peu décalés qui lui laissent peu de liberté pour les sorties, que ce soit en journée ou en soirée.
Mais il y a quelques mois, nous nous sommes retrouvés au New Ridderhof, un club libertin situé en Flandres. Les choses se sont bien passées, une fois de plus et nous avons pris rendez-vous au même endroit le mois suivant.
Au terme de cette 2ème soirée en club, Anton me fit comprendre qu'il aurait aimé passer un moment avec moi en tête à tête, dans un autre contexte qu'un club libertin.
Je me suis alors mise en quête d'un endroit qui pourrait convenir et j'ai choisi de réserver une nuit dans un appartement situé non loin de la gare du midi à Bruxelles.
Cet endroit présente plusieurs avantages : c'est situé non loin de chez moi, c'est propre, moderne et spacieux, relativement bon marché, et chaque appartement est muni d'un grand lit, de plusieurs confortables divans, et d'un coin cuisine, entre autres. Il accepta de me retrouver là.
Anton me rejoignit à 17h et m'embrassa tendrement avant de détailler ma tenue.
Je lui avais demandé lors de nos échanges pour préparer cette rencontre s'il aimait les uniformes et il m'avait répondu positivement. C'est donc en "french maid" que je l'accueillis et je sus directement que j'avais fait le bon choix.
"Tu veux boire quelque chose ?"
"Avec plaisir, un verre de vin blanc si tu as ça"
Le cubis était déjà bien entamé (j'étais arrivée quelques heures avant lui à l'appart) mais il en restait suffisamment.
Nous nous asseyons dans le plus grand des divans et discutons un peu mais Anton a les mains baladeuses, c'est plus fort que lui. Il est tombé amoureux de mes formes généreuses le jour de notre rencontre 2 ans plus tôt.
Il m'a déjà expliqué plusieurs fois que d'habitude il est attiré par les petits culs menus mais que dans mon cas particulier, mon fessier plus charnu exerce sur lui une fascination sans limite. D'ailleurs j'ai déjà remarqué que lorsque nous buvons un verre dans un club, il ne cesse de me tapoter le popotin, c'en est presque devenu un tic !
Mais j'apprécie beaucoup cette petite manie et je suis toute heureuse d'être responsable de cette addiction somme toute assez bénigne.
Je me rends compte qu'il est déjà prêt à passer à l'acte, il déboutonne son pantalon, ôte ses chaussures.
Je lui propose de pimenter notre rencontre en exploitant le fait que je porte un costume de soubrette.
"Si tu veux, je fais mine de faire le ménage et tu en profites pour me sauter hihi"
"Bonne idée !"
L'appartement met à disposition des locataires le strict minimum pour préparer à manger et faire la vaisselle, mais pour ce qui est de l'entretien général, je ne trouve pas grand chose, pas même du Sopalin. Qu'à cela ne tienne, je n'ai pas l'intention de tout nettoyer de fond en comble, je ne suis pas là pour ça. Mais il me faut trouver quelque chose pour donner le change. Je me rabats sur la seule option qui m'est offerte : un peu de papier toilette. En fouillant bien sous l'évier de la cuisine je trouve également une brosse et une ramassette. C'est parfait, ça fera l'affaire !
Anton est toujours assis dans le divan, il arbore un air faussement détaché lorsque je pénètre dans la partie salon où il se trouve.
"Je vais un peu nettoyer la table si vous le permettez, monsieur"
"Oui ok, elle en a besoin !"
Je commence à frotter la table, tournant le dos à mon complice. Je me doute qu'il est probablement en train de me reluquer de bas en haut. En dehors de la petite robe de soubrette en satin noir et blanc, je porte un mini-string dont la petite corde me rentre dans les fesses, des bas résilles tenus au moyen d'un porte-jaretelles, et mes talons hauts préférés, ceux à bouts ouverts laissant paraître mes orteils. Une petite coiffe blanche et un mini tablier "Sexy room service" complètent ma tenue.
La plaque en verre qui protège la table est à présent toute propre, il est temps que je m'attaque au parquet. Je me mets à 4 pattes, toujours le dos tourné et je rassemble les miettes et la poussière fictive avec la brosse et la ramassette. Je ne dois pas patienter longtemps pour sentir le bas de ma tenue se relever tout doucement. Anton est en train de me découvrir le fessier et ses mains se posent doucement sur la partie la plus charnue de mon anatomie. Il approche lentement son visage et pose un doux baiser sur l'une de mes fesses.
Je feins d'être surprise mais sûrement pas offusquée par son comportement. Doucement mais fermement, il m'invite à me cambrer un peu plus, de sorte à ce qu'il puisse me lécher l'entre fesses. Au moment où sa langue entre en contact avec mon petit trou, je pousse un petit gémissement de plaisir. Il se délecte de ce que j'ai à lui offrir et à présent son visage est bien enfoui et sa langue à l'affût. Il va me lécher l'anus comme ça pendant quelque minutes.
Ensuite, il m'invite à me relever et à prendre place sur le canapé pendant qu'il ôte son pantalon. Ma bouche est grande ouverte pour accueillir son membre pour le moment encore un peu flasque mais plus pour longtemps.
Le prenant en bouche mes mains se posent sur ses fesses afin de l'attirer à moi. Son sexe est à présent totalement invisible, il est bien au chaud au fond de ma gorge et il commence à bien durcir à tel point qu'Anton a déjà envie de me pénètrer. Je n'y vois pas d'inconvénient, bien au contraire, et je m'agenouille sur le divan de sorte à ce qu'il puisse se placer derrière moi. J'écarte bien les fesses, dans l'attente de son membre qui a, à présent, atteint la taille "adulte".
Posant ses mains sur mes hanches, il se fraye doucement un chemin dans mon petit tunnel et, lorsqu'il est bien dedans, il enclenche le rythme de croisière. Les va-et-vient sont énergiques sans être brutaux. Je commence à prendre mon pied à me faire labourer de la sorte par ce jeune homme au corps élancé et imberbe. A présent il incline le buste et se penche sur moi, je sens le contact de son bas ventre sur mes fesses, il me baise encore plus fort que tout à l'heure. Lorsqu'il ralentit le tempo après quelques minutes, c'est pour me demander de me placer dans une autre position, à 4 pattes sur le fauteuil qui, de par sa largeur surdimensionnée, le permet aisément. Il monte sur le fauteuil et me prend en levrette pendant quelques minutes.
Il me regarde ensuite d'un petit air coquin et m'annonce qu'il a apporté quelques jouets avec lui. J'avais en effet remarqué à son arrivée qu'il portait une grande sacoche sous le bras.
"Ah oui ? Et bien montre les moi !"
Il sort de la sacoche 3 accessoires : un petit plug en verre, un gode réaliste par son aspect et sa taille et un autre gode gonflable, muni d'une pompe.
"Tu veux essayer quelque chose ?"
Le gode réaliste est assez similaire à la queue de mon partenaire, je ne vais donc pas en faire usage pour l'instant. Le gode gonflable ne me fait pas trop envie, il reste le petit plug dont la base semble assez large et qui pourrait peut-être me poser un petit problème lors de l'insertion.
Mais bon, j'aime prendre des risques alors allons-y pour ce joujou.
J'ai pris l'habitude de protéger systématiquement les sex-toys que j'utilise. Je le fais avec ceux faisant partie de ma collection personnelle, et bien sûr avec ceux qu'on me prête comme dans le cas présent. Je recouvre donc le plug d'une capote et je me mets en position pour l'introduire.
Anton me regarde avec étonnement et me pose une question qui me surprend :
"Sans loupe ??"
Je me demande pourquoi il me pose cette question saugrenue.
"Ben oui, sans loupe, et même sans regarder, je connais assez bien cette partie de mon anatomie !"
"Non, je parle de "lube" (lubrifiant en anglais)"
"Aaaaahhhh, okay !!!!"
Et bien non pas besoin ni de loupe ni de lube - lol
De fait, le petit joujou trouve aisément son chemin et Anton est en admiration devant ce spectacle. Il me demande de mettre les fesses bien en évidence pour qu'il puisse profiter pleinement de la vue.
Nous allons ensuite passer au joujou suivant qui n'est autre qu'un gode de couleur et taille très réaliste. Une fois encore, je n'éprouve aucune difficulté à me l'introduire et c'est alors que me vient une idée. Le gode est profondément ancré mais je sens encore un peu d'espace dans mon orifice.
"J'ai envie d'essayer avec toi quelque chose qui me fait fantasmer depuis longtemps, une double pénétration anale !"
"Oh, ça devrait aller, il y a de la place !"
C'est donc tout naturellement que nous avons tenté l'expérience. Je ne m'attendais pas du tout à ce que j'en arrive là ce jour précis mais une chose en entraînant une autre, et vu la bonne entente et la décontraction totale, l'occasion était trop belle pour la laisser passer.
Anton a procédé de manière progressive, en appliquant suffisamment de gel pour faciliter la pénétration de son sexe dans mon petit trou, qui est encore beaucoup plus serré que d'habitude du fait de la présence du jouet.
Les sensations sont très fortes, j'ai à la fois envie de tout prendre mais j'ai peur de me blesser en y allant trop franchement. Alors nous préférons ne pas prendre de risque et après quelques minutes d'une "double" assez timide, nous décidons de passer à autre chose. Il vient de me donner beaucoup de plaisir, je décide de lui rendre la pareille en le suçant. Son sexe est encore couvert de la capote qui a labouré ma chatte de trav quelques minutes plus tôt quand je le prends en bouche, mais je la lui ôte rapidement. Je sais d'expérience que les sensations sont beaucoup plus forte lors d'une fellation "nature". Je m'applique et passe ma langue tout au long de la hampe de son sexe, je lui lèche également les couilles
N'y tenant plus, Anton a très envie de jouir mais il sait que je veux récolter son sperme sur le visage ou dans ma bouche. Il me prévient que c'est pour bientôt et, alors qu'il se tient debout, je suis à genoux devant lui, lui léchant à nouveau les couilles, prenant sa queue en bouche tout en le branlant. Je salive à un point tel que qu'un filet de bave ruisselle sur le parquet. Il va jouir enfin, une belle quantité de jus bien chaud que je vais récolter en partie sur le visage, le reste dégoulinant à terre. Avec les doigts, je récupère le sperme qui macule mes joues, mon menton, j'en ai même dans une narine ! A présent que mon visage est presque propre, je constate la présence d'une flaque de sperme sur le sol. Je me penche et me voilà occupée à lécher les lattes en bois pour en récupérer le foutre. Je ressemble à un petit animal domestique, chienne ou chatte, qui lape un liquide qui se serait répandu par inadvertance sur le sol. Sauf qu'ici c'est la petite soubrette qui a une technique bien particulière pour faire briller le parquet.
Lorsque je me redresse, je lis de l'incrédulité dans le regard d'Anton : "Mais tu es folle !"
"Non pas du tout, mais je n'aime pas le gaspillage, voilà tout !"
FIN.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'adore tes histoires , je suis aussi de Bruxelles
Bravo chérie d'avoir si bien raconté cette superbe aventure
j'aurais aimé etre la pour te caresser, ouvrir ta raie à cette queue, lécher ta chatte....
j'aurais aimé etre la pour te caresser, ouvrir ta raie à cette queue, lécher ta chatte....