Dans le train ( I )
Récit érotique écrit par Belinda [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2009 dans la catégorie Plus on est
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Dans le train ( I )
Je devais prendre le train de 11 heures pour me rendre quelques jours chez une copine pendant les vacances. J’avais une heure et demi d'avance que je voulais mettre à profit pour quelques emplettes. Je descendis l’escalier en courant et croisai Georges, le chauffeur qui était de retour.
- vos parents sont arrivés à destination mademoiselle. Me dit-il
« Sains et saufs ? » lui lançai-je pour plaisanter. Il ne trouva pas cela drôle et me le fit remarquer.
« Vous avez raison, Georges… Bon je vais faire rapidement quelques courses et je prendrai le train de 11 heures. »
- dans cette tenue ? S’inquiéta t-il. Votre jupe est beaucoup trop courte pour effectuer un voyage.
« Ah bon…parce qu’il y a une longueur de jupe homologuée pour les voyages ? Et que diriez-vous si je vous montrais que je ne porte rien en dessous ? » Je soulevai ma jupe sous laquelle bien entendu il n’y avait que ma peau.
Il resta un moment la bouche ouverte puis voulu s’approcher de moi.
« Désolée, je vais être en retard. Déposez moi plus tôt au super marché près de la gare de train ». Il ne se fit pas prier deux fois.
Dans la voiture, je relevai exprès ma jupe et commença à me masturber en lui disant de rester concentré. Il n’eut pas de suite.
Après mes achats je m’engouffrai dans le train en attendant son départ.
Un homme d’une quarantaine d’années partageait mon compartiment.
Il ne mit pas longtemps à comprendre que je ne portais rien sous ma jupe.
Il mit sa main sur la bosse qui venait de se former sous son pantalon et se caressa.
Je fis semblant de ne rien voir et ouvrit un journal devant moi.
Quand je l’abaissai deux minutes plus tard, l’homme tenait sa bite dans la main droite et se masturbait sans se gêner. Le train venait à peine de prendre son départ.
Je me levai, me retournai et m’assis sur son pénis bien dur.
Il étouffa un cri et me saisit les hanches.
J’ajustai les bords de ma jupe afin que les passants dans l’allée ne se doute de rien.
Il ne tenait pas sur ses fesses.
« Du calme, nous avons deux heures de route » lui dis-je.
Le contrôleur arriva dans notre compartiment et demanda nos tickets.
Mon baiseur (que j’appellerai Serge) avait le sien dans la poche de sa chemise. Il le présenta.
Le mien par contre était dans mon sac à main resté sur le siège d’en face.
Je voulu demander au contrôleur de me passer le sac mais je décidai de passer à la vitesse supérieur…
Je me levai pour prendre mon sac, découvrant ainsi le sexe bandé et luisant de Serge.
Le contrôleur sourit en prenant mon ticket et dit : « c’est toujours comme ça avec les nouveaux couples, ils ne peuvent pas attendre. Faites attention tout de même ».
Il s’en alla et je me rassis sur la bite de Serge qui s’enfonça en moi. Il ne mit même pas trois minutes. Comprenant qu’il allait éjaculer je me relevai rapidement. C’était moins une, il m’aspergea la jupe et mes jambes.
« Tu vois coco, tu es beaucoup trop pressé ». Il se rhabilla et s’étira.
Le contrôleur revint nous demander si on avait besoin de quelque chose.
« Non » répondis-je. Puis me ravisant, je lui demandai d’approcher pour que je lui montre quelque chose.
Il s’exécuta. Comme j’étais assise, sa braguette se retrouva juste à hauteur de mon visage.
Je posai la main sur sa fermeture éclaire et la descendis. Il jeta un regard inquiet en direction de Serge.
« Nous ne nous connaissons pas. C’est la même chose qui vous arrive mon gars ! » Rassura Serge.
Il avait un membre d’une proportion intéressante. Je le pris dans la bouche et le suçai en caressant ses testicules. Il se répandit dans ma bouche quelques minutes plus tard. Je n’en perdis aucune goutte (histoire de redonner envie à mon compagnon de compartiment.
Le contrôleur prit congé et je m’étirai à mon tour sans vraiment être satisfaite...
- vos parents sont arrivés à destination mademoiselle. Me dit-il
« Sains et saufs ? » lui lançai-je pour plaisanter. Il ne trouva pas cela drôle et me le fit remarquer.
« Vous avez raison, Georges… Bon je vais faire rapidement quelques courses et je prendrai le train de 11 heures. »
- dans cette tenue ? S’inquiéta t-il. Votre jupe est beaucoup trop courte pour effectuer un voyage.
« Ah bon…parce qu’il y a une longueur de jupe homologuée pour les voyages ? Et que diriez-vous si je vous montrais que je ne porte rien en dessous ? » Je soulevai ma jupe sous laquelle bien entendu il n’y avait que ma peau.
Il resta un moment la bouche ouverte puis voulu s’approcher de moi.
« Désolée, je vais être en retard. Déposez moi plus tôt au super marché près de la gare de train ». Il ne se fit pas prier deux fois.
Dans la voiture, je relevai exprès ma jupe et commença à me masturber en lui disant de rester concentré. Il n’eut pas de suite.
Après mes achats je m’engouffrai dans le train en attendant son départ.
Un homme d’une quarantaine d’années partageait mon compartiment.
Il ne mit pas longtemps à comprendre que je ne portais rien sous ma jupe.
Il mit sa main sur la bosse qui venait de se former sous son pantalon et se caressa.
Je fis semblant de ne rien voir et ouvrit un journal devant moi.
Quand je l’abaissai deux minutes plus tard, l’homme tenait sa bite dans la main droite et se masturbait sans se gêner. Le train venait à peine de prendre son départ.
Je me levai, me retournai et m’assis sur son pénis bien dur.
Il étouffa un cri et me saisit les hanches.
J’ajustai les bords de ma jupe afin que les passants dans l’allée ne se doute de rien.
Il ne tenait pas sur ses fesses.
« Du calme, nous avons deux heures de route » lui dis-je.
Le contrôleur arriva dans notre compartiment et demanda nos tickets.
Mon baiseur (que j’appellerai Serge) avait le sien dans la poche de sa chemise. Il le présenta.
Le mien par contre était dans mon sac à main resté sur le siège d’en face.
Je voulu demander au contrôleur de me passer le sac mais je décidai de passer à la vitesse supérieur…
Je me levai pour prendre mon sac, découvrant ainsi le sexe bandé et luisant de Serge.
Le contrôleur sourit en prenant mon ticket et dit : « c’est toujours comme ça avec les nouveaux couples, ils ne peuvent pas attendre. Faites attention tout de même ».
Il s’en alla et je me rassis sur la bite de Serge qui s’enfonça en moi. Il ne mit même pas trois minutes. Comprenant qu’il allait éjaculer je me relevai rapidement. C’était moins une, il m’aspergea la jupe et mes jambes.
« Tu vois coco, tu es beaucoup trop pressé ». Il se rhabilla et s’étira.
Le contrôleur revint nous demander si on avait besoin de quelque chose.
« Non » répondis-je. Puis me ravisant, je lui demandai d’approcher pour que je lui montre quelque chose.
Il s’exécuta. Comme j’étais assise, sa braguette se retrouva juste à hauteur de mon visage.
Je posai la main sur sa fermeture éclaire et la descendis. Il jeta un regard inquiet en direction de Serge.
« Nous ne nous connaissons pas. C’est la même chose qui vous arrive mon gars ! » Rassura Serge.
Il avait un membre d’une proportion intéressante. Je le pris dans la bouche et le suçai en caressant ses testicules. Il se répandit dans ma bouche quelques minutes plus tard. Je n’en perdis aucune goutte (histoire de redonner envie à mon compagnon de compartiment.
Le contrôleur prit congé et je m’étirai à mon tour sans vraiment être satisfaite...
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