De jeune fille sage à petite salope... 3 - histoire érotique

J'avais bien l'intention de profiter de ces vacances pour étrenner cette liberté sexuelle récente. Jusque là j'avais été très "classique" dans ma sexualité, ne me laissant pas aller, essayant de me comporter comme je pensais qu'une fille devait se comporter. Désormais, j'assumai pleinement que j'étais une nana qui "aime ça", qui peut baiser sans aucun sentiment, juste pour le cul et qui aimait être une proie.
La première partie de mes vacances en famille est sans intérêt. Mes parents habitent dans une ville moyenne du sud-ouest de la France et j'ai passé les premiers 15 jours chez eux, heureuse de retrouver ma famille pour une période plus longue que les WE que j'y passe dans l'année.
Un de mes oncles possède une propriété près de Biarritz. Il a une grande maison avec des dépendances dont un petit appartement au fond du parc avec une entrée privée. Je suis la seule qui l'utilise l'été et comme mon oncle n'est quasiment jamais là pendant les vacances, ça me fait un pied à terre proche de la mer.
J'avais décidé que ces vacances allaient être l'occasion d'expérimenter mes nouvelles dispositions. Deux choses m'attiraient spécialement; essayer avec des femmes et jouer la petite salope pour des messieurs un peu murs.
Je profitais de mes 15 jours de tranquillité pour chercher sur des sites d'annonces avec qui j'allais pouvoir m'amuser.
Je répondis à l'annonce d'un monsieur "Bon niveau, expérimenté, dominateur qui cherchait JF ou F pour moments de qualité". Je lui dis que j'étais une jeune fille en quête d'expériences et que je voulais bien m'en remettre à lui une fois les limites fixées.
Il m'a donné son tel et nous avons vite compris que nous allions passé du bon temps. Je lui racontais à peu près tout, il me dit qu'il avait 50 ans, de l'expérience et qu'il saurait jouer de mon corps comme d'un violon pour une symphonie de plaisir… Ouah !!!!
Il me proposa un dîner à Biarritz pour faire connaissancequalité "sans engagement" mais il me donna une phrase clé que je pouvais prononcer pendant la soirée si je voulais que les choses commencent tout de suite.
Il me précisa que je devais m'habiller pour lui montrer ma détermination mais avec de la classe. Il me tutoierait, mais je devais le vouvoyer.
Je me préparais fébrilement, je m'épilais complètement le sexe, je mis une jupe bien courte sur un tanga blanc, un SG assorti et un petit corsage.
Nous avions rendez-vous dans un grand restaurant donnant sur la plage. Il m'accueillit avec un baise main, me dit que j'étais ravissante. Nous avons commencé à diner et je suis tombée sous le charme. Il était intéressant, pas pressé d'en venir à ce pourquoi nous étions là, il s'intéressait à moi, à ma vie, bref, au moment du dessert, je prononçais la phrase clé.
Son ton changea sur le champ. Tu as une culotte ? Oui. Enlève là. Ici ? Oui. Je regardais autour de moi, nous étions sur la terrasse, visibles par les autres clients et certains promeneurs qui nous surplombaient. La nappe masquait un peu les choses mais pas complètement. Je le regardais avec pitié, mais il me dit allez, obéis.
Je pris milles précautions pour relever ma courte jupe afin d'atteindre les bords de ma culotte puis je me tortillais pour la faire passer sous mes fesses. Mes gesticulations avaient du attirer l'attention mais je gardais mon nez plongé dans mon assiette pour ne pas avoir à confronter les éventuels regards. Une fois les fesses passées, il fallait faire descendre l'objet le long de mes jambes, cette fois-ci au vu de tous et la ramasser le plus vite possible. Une fois le bout de tissu dans ma main, je relevais les yeux vers Marc. Donne la moi. Il me tendit la main au-dessus de la table. Rouge de confusion, je lui déposais ma culotte en boule dans la main. A ce moment là, un serveur s'approcha de nous (il l'avait appelé pendant que je m'escrimais à ramasser l'objet) et Marc lui dit : Amenez-nous vite l'addition, cette petite salope a tellement envie de se faire baiser qu'elle a déjà enlevé sa culotte. Et il déplia mon tanga pour montrer la réalité de ses propos au serveur. Les tables autour de nous ne purent pas ne pas entendre. J'étais cramoisie.
Le serveur me jeta un regard amusé et répondit : Tout de suite monsieur.
Les trois minutes qu'il mit à apporter l'addition furent un cauchemar. Plusieurs clients des tables environnantes me dévisageaient, j'entendais qu'ils faisaient des commentaires même si je ne les comprenais pas. Je regrettais de m'être mise dans cette situation, mais pourtant j'étais excitée comme une puce. Marc me regardait droit dans les yeux, sans rien dire, jaugeant ma réaction.
Ça me prit un peu de temps, mais je finis par le regarder droit dans les yeux, acceptant sa domination, me livrant à lui. Il sourit. Le serveur arriva avec l'addition et en composant son code sur la machine il me dit : Tu es une salope ? Je répondis aussitôt : Oui je suis une salope. Tu es ma salope ce soir ? Oui monsieur, je suis votre salope ce soir.
Nous nous sommes levés et nous avons traversé toute la terrasse, passant devant toutes les tables. Le silence s'était fait, tous les yeux étaient braqués sur nous. Arrivés au bout de la terrasse, il s'arrêta, me retourna face à la salle, me dit enlève ton corsage. J'obéis sur le champ. Ton soutien gorge maintenant. Je m'exécutais sous les regards de tous les clients. J'exposais mes seins à tous. Il me rendit mon corsage en échange de mon soutien gorge. Allez, rhabille toi avant de provoquer un scandale, et suis moi, on va s'occuper de ton petit cul.
Je n'en pouvais plus, je sentais mon excitation me couler du sexe. En quittant le restaurant, je regardais franchement tous ceux qui avaient les yeux sur moi, fière d'avoir osé exprimer ma soumission, de leur montrer que j'étais une salope assumée.
Dans la voiture, il me dit qu'il était fier de moi, que je montrais de bonnes dispositions, que je ne devais pas me toucher pour le moment, que j'allais être récompensée.
Une fois chez lui, il m'ordonna d'ôter ma jupe et mon corsage et de me tenir nue devant lui, mains sur la tête, jambes écartées, offerte à son inspection. Il était toujours habillé, un whisky à la main, il me tournait autour, commentant mon corps, comme un expert décrivant un tableau, il pinçait un sein, caressait une fesse. Tu aimes être exhibée ? Oui monsieur. Ça t'a excité de montrer à tout le monde que tu étais une salope ? Il me pinçait un téton en posant la question. Ouuuiiii. Tu es excitée là ? Je suis sur que tu es trempée petite salope. Ouuuuuiiiiiii il pinçait de plus en plus fort. Tu veux de la bite ? Ouuuiiii monsieur, tu veux sucer ma bite ? Ouuuiiii monsieur. C'est bien, à genoux, on va voir si tu suces comme il faut.
Je tombais à genoux et commençais à enlever sa ceinture, ouvrir sa braguette, sortir son sexe. Sa bite était déjà raide, une belle bite, veinée, plutôt imposante sans être hors norme, je l'embouchais aussitôt. Doucement petite pute, apprends à la déguster, caresse là, lèche là, fait lui la cour, apprivoise là, prends ton temps. Je me mis à suivre ses ordres, j'apprenais à faire une fellation, pas à simplement sucer une bite. Il s'assit sur le canapé avec son verre à la main, je me prosternais devant lui en reprenant mon ouvrage. Tu vois, il faut que tu me fasses jouir d'abord, seulement après tu auras le droit de te faire baiser.
Je faisais de mon mieux, je me rendais compte que j'avais beaucoup à apprendre en matière de pipe. Jusqu'à présent, j'avais plutôt considérer la pipe soit comme un moyen de faire plaisir à mon partenaire, un moyen de le faire durcir avant de passer aux choses sérieuses qu'une activité sexuelle à part entière. Je me découvrais un désir de lui faire plaisir à cette bite, je voulais qu'elle soit heureuse dans ma bouche. Je m'appliquais à la titiller, la lécher, l'engloutir, la pomper, la mordiller. Marc me guidait, il me donnait des indications en sirotant son whisky. J'aimais être à ses pieds à servir sa queue.
Je l'entendis soudain parler : Salut Fred, tu es chez toi ? …… Oui, je t'appelle parce que j'ai une petite salope en train de me sucer la bite en remuant son p'tit cul et je suis sur qu'elle voudrait que tu viennes lui percer la rondelle ! …… oui je te la passe elle va te confirmer ça elle-même.
Il me tendit son portable. Allo ? Salut, alors c'est vrai que tu es une petite salope ? Oui monsieur, je suis une petite salope. Et tu veux que je vienne prendre ton p'tit cul ? Oui monsieur, il est à votre disposition, j'aime quand on m'encule. J'arrive… Repasse-moi Marc. Je redonnais le téléphone à Marc qui me dit, allez, ne laisse pas ma bite à l'air libre.
Alors, tu arrives ? Ok à tout de suite.
Je continuais à satisfaire la queue que j'avais dans ma bouche et entre mes doigts. Marc me dit qu'il espérait que j'allais être une bonne salope pour son copain, que je ne le décevrais pas.
Je sortis son membre de ma bouche pour l'assurer que j'allais être une bonne salope, que mon cul, ma chatte, ma bouche, mes seins étaient à l'entière disposition de son ami comme de lui-même.
Ok, on va voir ça, continue à sucer.
J'étais toujours en train de m'activer sur la queue de Marc quand la sonnette retentit. Marc me dit de ne pas bouger. Il disparu 2 minutes et en revenant il me mit un bandeau sur les yeux.
Voilà, comme ça tu ne seras pas distraite, tu pourras te concentrer sur ce que tu as à faire.
Jamais je n'avais envisagé ça. Je sentis que quelqu'un se plaçait sur le canapé et une main guida ma tête vers une bite pas encore vraiment dure. Je recommençais à sucer. Je suçais la bite de quelqu'un que je ne connaissais pas, que je n'avais jamais vu. Ça m'excitait totalement.
Elle suce pas mal, hein cette petite salope ? Oui elle met de cœur à l'ouvrage ! Elle a encore des progrès à faire, mais le potentiel est là.
J'étais un objet sexuel, ils parlaient de moi comme si je n'étais pas là, et ça aussi m'excitait beaucoup. La bite dans ma bouche était maintenant bien dure, un peu plus fine que celle de Marc, mais il me semblait qu'elle était un peu plus longue.
Bon, redonne moi ma place, elle n'a pas finit de me sucer, je pense qu'elle meurt d'envie que tu lui ouvres le cul. Hein salope ? Dit il en me claquant les fesses assez fort. Ouuuiii ! Oui quoi, Oui je veux me faire enculer. Oui qui ? Oui monsieur, je veux me faire enculer. Demande mieux que ça. S'il vous plait monsieur, prenez moi le cul, défoncez moi, mettez votre grosse bite dans mon petit trou du cul.
Quand c'est si gentiment demandé j'ai du mal à résister dit Fred et il s'enfonça d'un seul coup, à sec dans mon rectum. La douleur me transperça et je criai assez fort, mais Marc qui s'était repositionné sur le canapé m'enfourna sa queue dans la bouche. Un peu de silence petite pute, si tu ameutes tous les voisins je serai obligé de les autoriser à te baiser ! Je suis sur qu'en plus ça te plairait, hein ? Ça te plairait salope ?
La douleur dans mon anus diminuait rapidement. Fred n'avait pas bougé et était toujours au fond de moi. Mon anneau, pas mal travaillé depuis, s'était assoupli et je commençais à me tortiller pour qu'il comprenne qu'il pouvait commencer à bouger.
Oui monsieur, si vous voulez appeler les voisins je serais leur salope aussi.
On verra ça une autre fois peut être, maintenant essaye de me faire jouir si tu veux que je te prenne la chatte. Je replongeais sur son sexe. Pendant ce temps, Fred avait commencé à me pilonner le cul. J'adorais cette sensation. Ma découverte, somme toute récente, des plaisirs de la sodomie était loin d'être terminée. Cette situation "en brochette" avec une queue de chaque côté était vraiment jouissive. Je m'appliquais de mon mieux pour extraire le jus de la queue de Marc, ma fellation étant rythmée par les coups de boutoir que je prenais par derrière. Les commentaires continuaient bon train.
Elle suce de mieux en mieux cette petite pute. Ah tu verrais son cul, il est bien serré c'est un régal. Vas-y plus fort, j'ai l'impression que plus tu l'encules, mieux elle suce.
Je sentis soudain Marc se tendre un peu. Elle va arriver à me faire jouir la salope. Ah ça y est elle m'a eu. La bite dans ma bouche cracha plusieurs jets de foutre que j'avalais pour n'en perdre aucune goute. Je gardais le dernier jet et le fis tournoyer dans mon palais pour en apprécier la saveur. Fred jouit lui aussi rapidement dans mon cul. Il sortit de mon orifice, enleva sa capote et me dit Puisque tu aimes ça, avale mon foutre aussi. J'avalais le contenu du préservatif, assise sur mes fesses devant les deux hommes.
Fred repartit aussitôt. J'ai pris une douche puis Marc et moi nous nous sommes couchés et il m'a fait l'amour doucement, tendrement et j'ai jouis rapidement avant de m'endormir.
Le lendemain, j'ai remercié Marc pour avoir si bien répondu à mes désirs, il m'a remercié de lui avoir offert mon corps et nous nous sommes quittés sur la promesse de remettre ça un de ces jours.