De jeune fille sage à petite salope... 4

- Par l'auteur HDS Jennifer2 -
Récit érotique écrit par Jennifer2 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : De jeune fille sage à petite salope... 4 Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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De jeune fille sage à petite salope... 4
Je ne vais pas vous raconter toutes mes aventures de l'été, mais j'ai rencontré une femme de 35 ans avec qui j'ai eu ma première expérience lesbienne. C'était très agréable, une vraie découverte d'une certaine tendresse dans les rapports charnels.
Mais j'ai une autre histoire à vous raconter sur mon été.
Suite à ma découverte du plaisir féminin, (j'ai passé 5 jours chez Michelle) je suis retournée chez mon oncle un peu en manque de bites. J'ai décidé de réaliser un autre de mes fantasmes. Sortir le soir en tenue sexy et me faire embarquer par un ou plusieurs inconnus qui pourraient profiter de moi. Bref jouer la proie.
J'ai eu plusieurs aventures d'une nuit avec des mecs croisés en boite ou dans des bars. Aucune ne m'a laissé de souvenirs mémorables même si j'ai dans l'ensemble passé de bonnes soirées. Il me manquait le coté docile, les mecs n'étant malheureusement pas tous des salauds, (je n'arrive pas à croire que j'écris ça !) ils profitaient juste de ma disponibilité essayant de se trouver une copine pour le reste de leur vacances ou plus. Mais ce n'était pas ce que je voulais.
Puis arrivèrent les fêtes de Bayonne. Je décidais de profiter au maximum de ces trois jours. Je m'habillais ultra sexy, en blanc et rouge bien sûr, et je m'installais à une table d'un café pour guetter les groupes qui passait. A un moment, je vis un groupe de 5 gars et deux filles, déjà un peu allumés, qui chantaient et dansaient au carrefour. J'aimais bien leur ambiance et je décidais de les suivre.
Assez rapidement, alors qu'une musique basque de type bourrée retentissait l'un d'eux me prit par la main et nous avons commencé à danser. Tout en circulant dans la ville, je me suis petit à petit jointe au groupe.
Après une heure de fête, ils ont décidé d'aller manger. Une des filles (Marie) s'est tournée vers moi et m'a demandé si je voulais venir avec eux. J'ai bien sur accepté. Pendant le diner nous avons fait connaissance et à un moment Marie m'a demandé si je n'avais pas peur de passer pour une salope avec une jupe aussi courte. J'ai répondu que j'aimais bien jouer un peu la salope… Tout le monde a rigolé puis Marie m'a demandé si je jouais juste la salope ou si j'étais un peu une salope. J'ai répondu que je pouvais faire plus que "jouer" la salope si on me guidait bien. Marie m'a alors demandé de venir près d'elle. Nous étions dans un recoin un peu calme d'une pizzeria. J'étais debout près d'elle et tous les autres me regardaient. Tu as une culotte ? Oui. Fait voir. Je relevais un peu ma jupe pour montrer ma petite culotte bleu ciel. Marie s'est exclamée Mais qu'est ce que c'est que ça ? On ne doit porter que du rouge et blanc pendant les fêtes. Je te la confisque. Et d'autorité, elle m'a baissé la culotte et l'a mise dans son sac. Elle m'a fait assoir à côté d'elle en disant. Bon là tu vas vraiment pouvoir jouer à la salope et on va voir si tu en es une…
Pendant la fin du repas, je sentais sa main qui me caressait le genou et la cuisse. Elle montait de plus en plus haut pour tester ma réaction. A la fin elle mit sa main sur ma chatte. Mais tu es trempée, dis moi, ça t'excite d'être cul nu ? Oui. Tu es à l'hôtel ? Non. Tu veux finir la soirée avec nous ? Oui, même les trois jours si vous voulez. Et tu seras ma petite salope pendant trois jours ? Oui si tu veux. Tous mes copains pourront te baiser ? Oui si tu le veux, tu seras ma maitresse. Elle me prit la tête par derrière et m'embrassa goulument. Allez vient cochonne, on va rentrer.
Le feeling était tout de suite passé entre nous. Nous avions envie de jouer au même jeu ensemble.
Ils logeaient chez les parents de Fred qui étaient en vacances et leur avait laissé la maison.
Une fois installés dans le salon, Marie m'a fait lever et répéter que je voulais être une petite salope pendant les 3 jours. J'ai répété que j'étais à leur disposition.
Je ne rentrerais pas dans les détails des trois jours, j'ai sucé et je me suis fait prendre par 4 des 5 gars (Michel était en couple avec Sophie et s'ils ont parfois observé la chose, ils n'ont pas voulu participer).
Une fois les réjouissances finies, j'allais me coucher avec Marie et nous faisions l'amour, nous nous découvrions.
Une fois les fêtes terminées, j'ai emmené Marie chez mon oncle. Nous avons passé une semaine toutes les deux, seules, avec piscine, bouffe et baise au programme.
Chacune notre tour nous avons été soumise ou maitresse, même si c'était plus souvent moi la soumise.
Marie m'attachait au lit, jambes passées sous mes bras, offrant ma chatte et mon cul à ses investigations. Elle m'a régulièrement dilaté le cul avec les bâtonnets de plastique, m'en enfonçant un de plus régulièrement. Elle aimait me bâillonner avec sa culotte pendant ces séances. J'étais immobilisée, cul ouvert, sans pouvoir parler. Elle me traitait de tous les noms, enfonçait un autre bâton puis disait tient je vais aller me baigner, me laissant en position 15 ou 20 minutes, revenait me donnait une fessée, introduisait un autre bâton, léchait le jus qui coulait de mon sexe, me mettait une pince à linge sur le clitoris, bref, elle s'amusait au mieux avec mes orifices. Et moi je jouissais.
Un jour, nous sommes allées nous balader à Pau. Toute l'après-midi, en visitant et en faisant les magasins, nous nous sommes "chauffées". Vers 19h00, nous sommes passées devant un sex-shop et Marie m'y a entrainée en disant qu'elle voulait acheter un gode-ceinture pour mieux me baiser. Juste avant d'entrer dans la boutique, elle m'a embrassée et m'a dit (ordonné plutôt) d'enlever ma culotte. Je me suis exécutée rapidement et nous sommes entrées.
Le gérant avait dans les 50 ans, un peu d'embonpoint mais sans plus. Il y avait trois clients qui feuilletaient des magazines ou regardaient des titres de DVD. Notre entrée a bien évidemment attiré les regards. Marie s'est approchée du comptoir et a demandé assez fort pour que tout le monde entende : Je voudrais un gode-ceinture pour baiser ma petite salope. J'étais à la fois confuse et excitée. Evidemment les clients ne s'occupaient plus de leurs revues, ils me regardaient intensément.
Le patron est sorti du comptoir pour guider Marie vers le présentoir où se trouvaient les godes. Il lui a montré plusieurs modèles et elle a fini par en choisir un où l'on pouvait changer le gode. Elle en a pris deux. Elle faisait des commentaires à haute voix et le patron était rentré dans le jeu.
En revenant vers le comptoir, Marie s'est arrêtée devant le rayon où pendaient des martinets et des fouets. Elle s'adressa à moi : qu'est ce tu penses de prendre un martinet ? Je suis sûre que ton p'tit cul adorerait ça, non ? J'étais rouge pivoine. Si tu veux répondis-je. Non, c'est si toi tu veux, est-ce que tu veux que je te fouette le cul ? J'étais en transe, excitée au possible, je savais qu'elle voulait que je dise bien fort que je voulais me faire fouetter.
Oui, je veux que tu me fouettes le cul. Elle discuta 1 minute à voix basse avec le patron puis me dit : Parfait, mais il faut d'abord trouver le bon martinet. Vient là-bas. Elle m'entraînât dans une partie du magasin invisible depuis l'entrée. Tous les clients (un autre était entré entre temps) suivirent le mouvement.
A 4 pattes ! J'obéis, humiliée d'être fouettée en public, mais très excitée bien évidemment. Epaules par terre, offre moi ton cul, je pris la position, la tête sur le sol (à ce moment là, le patron m'apporta un petit coussin pour poser ma tête) cuisses écartées. Relève ta jupe, montre ton cul à tout le monde, salope. Je m'exécutais, offrant à toute l'audience la vue de mon sexe gonflé de désir et mon cul attendant d'être fouetté.
Regardez moi ça, elle mouille comme une cochonne, ça l'excite de montrer son cul, pas vrai p'tite pute ? Je gémis sans répondre et je reçu mon premier coup de martinet. Aie ! Réponds salope, tu aimes montrer ton cul ? Oui ! Tu veux que je te fouette le cul ? Ouiii !
Elle se mit à me fouetter doucement, puis de plus en plus fort. Ça restait supportable, mais petit à petit mes fesses s'échauffaient et je suppose qu'elles devenaient bien rouges pour les voyeurs. Je ne pus m'empêcher de glisser une main vers ma chatte pour me caresser tellement j'étais excitée.
Et en plus elle veut se branler la salope ! Tu aimes ça, putain, te faire fouetter le cul devant tout le monde ? Oui ! Tu veux qu'on achète ce martinet pour que je te fouette encore salope ? OOuuuiiiii ! Mais tu n'as pas assez d'argent sur toi pour ça ! Comment faire ?
Pendant ce temps, elle continuait à me fouetter doucement, régulièrement, maintenant mes fesses à une température qui me faisait approcher de la jouissance sans vraiment la déclencher. Trois des quatre clients avaient sortis leur queue et se caressait en me regardant. Ça aussi participait à mon excitation.
J'ai une idée, peut être qu'un de ces messieurs voudrait bien t'offrir ce martinet et pour le remercier tu pourrais lui demander de t'enculer ? Je ne répondis rien, surprise par la proposition de Marie. Il était évident que j'avais assez d'argent pour acheter l'objet, mais ça faisait partie du scénario de Marie et je ne voulais pas refuser.
Comme je ne répondais pas assez vite, je reçu un coup bien plus fort sur les fesses. Répond, putain, est ce que tu offres ton cul si quelqu'un te fait un cadeau ? Oouuiii ! Explique à ces messieurs. Messieurs, si vous m'offrez ce martinet, je vous offre mon cul.
L'un des clients avait déjà sorti sa carte bleue pour la donner au Patron. Oui, moi je t'offre ce martinet. Marie se tourna vers lui et dit : Capote obligatoire et uniquement dans son cul.
L'homme acquiesça. Il avait la cinquantaine, plutôt pas mal, assez grand avec une jolie bite. Il s'agenouilla derrière moi mais au moment de me pénétrer, Marie l'arrêta. Dis-donc salope, tu pourrais remercier ce gentil monsieur qui te fait un beau cadeau. Je compris que Marie voulais que je m'avilisse encore plus. Je me retrouvais une fois encore à vivre mon fantasme de la jolie petite salope verbalisant ses désirs pour des hommes avides de profiter d'elle.
Merci monsieur, pour le martinet, profitez de mon cul comme il vous plaira, défoncez moi.
L'homme s'enfonça d'un coup au fond de mes reins. Je gémis sous la douleur, mais mon anus habitué maintenant aux dilatations de Marie ne me faisait plus aussi mal que les premières fois. Un autre homme demanda à Marie s'il pouvait m'offrir quelque chose pour profiter aussi de mon cul. Marie lui dit que la jolie cravache accrochée là devrait me convenir, mais qu'il devrait l'essayer sur mon cul avant d'en être sur.
Le premier jouit assez vite au fond de mes fesses. Marie invita alors l'autre à essayer la cravache sur mon cul déjà bien chauffé par le martinet. Il se mit à me claquer les lobes, l'un après l'autre, pas très fort, mais la douleur était très différente de celle du martinet. Des éclairs de douleur traversaient mes fesses mais s'évaporaient rapidement pour laisser place à une chaleur qui augmentait petit à petit. Alors putain, tu veux que monsieur t'offre cette cravache ? Oui ! humm est-ce que c'est pour que je puisse l'utiliser plus tard ou juste pour te faire encore bourrer le cul par un inconnu ? Les deux… Oui c'est bien ce qu'il me semblait, tu veux encore des bites dans ton cul ! Ouiii !!!
Le second homme lâcha la cravache et enfila une capote. Il se positionna derrière moi et lui encore m'enfonça son membre d'un seul coup. Ouiii défoncez moi, merci pour la cravache, je suis votre pute, profitez de mon cul. J'étais ultra excitée, je n'avais pas encore joui et j'étais prête à tout pour que la tension sexuelle que je ressentais éclate.
Les deux autres hommes qui étaient présents se masturbaient de plus en plus frénétiquement. Marie leur dit : Aspergez lui sa petite gueule de salope. Je levais la tête pour recevoir quasiment en même temps les deux jets de foutre qui explosèrent sur mon visage.
L'homme qui me pilonnait semblait capable de durer longtemps. Tout le monde l'encourageait à bien me défoncer. Bizarrement, ma jouissance n'arrivait toujours pas, comme "coincée". La tension augmentait, elle, j'avais de plus en plus envie de jouir.
Entre temps, un autre homme était entré dans la boutique. Un papy assez âgé, timide, qui regardait, les yeux exorbités la scène qui se déroulait devant lui. Comme le lieu devenait un peu étroit pour tout ce monde, il se retrouva devant moi. Lui aussi sortit son sexe. Une bite ridée, assez longue sans être très épaisse et qui apparemment avait un peu de mal à grossir.
Je ne sais pas pourquoi, mais j'étais attendrie par cet homme âgé qui ne devait plus avoir de vie sexuelle. Je lui fis signe d'approché et je pris son sexe dans ma bouche. L'autre continuait à me défoncer le cul sous les encouragements de Marie et des autres hommes présents. Je me mis à sucer le vieux de mon mieux avec les mouvements que m'imposait mon enculeur. Je sentis son membre durcir et grossir peu à peu. Je le suçais en le regardant droit dans les yeux (du moins quand je le pouvais !) pour lui montrer que j'étais heureuse de lui apporter ce plaisir. Soudain, je le senti trembler un peu et je reçu son sperme dans la bouche. Ce fut ça qui déclencha mon orgasme. Un éclair me transperça. Je fus prise de tremblements incontrôlables. Je criais ma jouissance. Celui qui était en train de me défoncer le cul s'accrocha pour ne pas être désarçonné et cela déclencha aussi sa jouissance.
Je me retrouvais allongée, haletante devant tout le monde qui applaudissait. Le patron me proposa de prendre une douche dans un petit studio attenant. Quand je ressorti de la douche, tous les hommes étaient encore présents. J'étais toujours nue et je m'approchais du papy (Maintenant je sais qu'il s'appelle André) qui me regardait les yeux toujours grands ouverts. Je l'enlaçais en lui murmurant Merci, c'est toi qui m'a fait jouir comme ça. Et je lui roulais une pelle d'enfer. Je pris sa main et la posait sur mon sein gauche. Il se mit à le caresser, le malaxer avec des gestes un peu fébriles comme s'il voulait en profiter un maximum.
Je me détachais de lui et je remis ma jupe et mon soutien-gorge et mon T-shirt (je les avais enlevé juste pour prendre la douche). Ma culotte était toujours dans le sac de Marie.
Pendant ce temps les deux hommes payèrent leurs achats et remercièrent Marie pour leur avoir offert mon corps. L'idée que c'était Marie qu'ils remerciaient me plut beaucoup. Je payais à mon tour pour le gode que Marie avait pris. Je me retournais alors vers André et lui demandais son N° de téléphone. Je lui promis de venir le voir un de ces jours.
Avant de partir, le patron s'adressa à Marie et lui dit : Si ça vous tente, demain soir, je peux vous organiser une soirée avec trois ou quatre hommes bien montés et endurants. Avant que Marie ait pu répondre je dis : Demain c'est pas possible, mais si tu peux organiser ça pour après-demain c'est Ok. Sauf que ce sera Marie la salope ce jour là, ce sera son tour d'être ma soumise.
Marie rougit à son tour, mais confirma la chose à Yann (le patron). Je l'envoyais dehors pour pouvoir discuter des détails avec Yann. Je lui demandais s'il pouvait avoir plus de 4 hommes, il me dit sans problème. Je lui dis d'en prévoir 7 ou 8 en lui glissant à l'oreille qu'une fois les choses lancées et Marie bien "en main", je lui donnerai le commandement des opérations et que je serai moi aussi à la disposition des mâles. Nous avons encore discuté de certains détails avant que je retrouve Marie dans la rue. Je ne vais pas raconter la soirée, nous étions deux petites salopes qui avons été utilisées par une dizaine d'hommes plutôt endurants.
Une fois rentrées chez mon oncle, il nous restait une journée et une nuit avant que Marie parte rejoindre sa famille au Maroc. Nous nous sommes aimées en douceur et tendresse.
Une fois Marie partie, les choses se sont un peu calmées pour moi. J'ai été passer un WE chez André à Pau. Il n'en revenait pas qu'une gamine lui offre son corps comme je le faisais. Ses yeux étaient pleins d'adoration et de convoitise. Grâce à des petites pilules bleues, il était dur et son sexe long et fin m'a procuré beaucoup de plaisir même si le côté cérébral était le plus important. J'étais heureuse de voir son bonheur. Pour la première fois de sa vie il a pu sodomiser une femme. Je lui disais doucement que j'aimais qu'il profite de mon cul, qu'il pouvait me défoncer autant de fois qu'il voulait.
En plus il était adorable, m'emmenai manger dans de grands restaurants, me traitait comme une princesse.
J'ai encore eu quelques aventures d'un soir, je me suis laisser entraîner un soir dans un bois avec des voyeurs où j'ai été prise à la chaîne sur le capot d'une voiture. J'ai aimé la sensation. Pas vraiment d'un point de vue sexuel car c'était plus un défilé de bites entre mes cuisses que des performances d'étalons, mais le côté "garage à bite" avait une certaine résonance avec ma libido.
Je suis maintenant rentré en région Parisienne prête à reprendre mes études. J'ai passé les trois premières semaines à me remettre à niveau et à revoir mes cours. Mes études sont à nouveau ma priorité et ma folie sexuelle de l'été est terminée. Ou du moins assoupie…
Je suis retourné voir Abdel et Francky pour avoir les coordonnées de Mohamed (Bien sûr, j'ai du payer de ma personne pour avoir l'info…) (Pour mon plus grand plaisir évidemment !)
J'ai sonné un soir chez Mo. Il était surpris de me voir. Je l'ai embrassé tendrement. Sa laideur était devenue attirante pour moi. Je lui dis que je voulais être à lui cette année. Je viendrai passer les WE chez lui, j'arriverai le vendredi soir et repartirai le dimanche, je serai à sa disposition autant qu'il le souhaiterait. Il grogna quelques mots et je me mis à genoux pour extraire son énorme sexe de son pantalon. Je commençais à le sucer, le lécher. Une fois bien dur, je me déshabillais et me positionnais à 4 pattes pour lui offrir mon sexe. Il m'enfila d'un coup et encore une fois je me suis retrouvée remplie comme aucun autre homme ne pouvait le faire. Il me besogna avidement. Je sentais que je coulais autour de son membre. Au bout d'un moment, je me dégageais, et je m'installais sur le canapé. Je pris son gros sexe dans mes mains et l'enduisis de gel. En le regardant dans les yeux, je lui expliquais que je voulais lui offrir mes fesses, qu'il puisse m'enculer autant qu'il le voudrait.
Je me positionnais sur le dos, jambes repliées sous mes bras, lui offrant mon anus. Il se positionna à l'entrée de mon petit trou et commença à m'investir.
Mon anus bien entraîné par Marie n'eut aucun mal à l'accueillir et même la petite douleur lorsque son gland passa le muscle participait à mon plaisir. Je le voyais, énorme, s'enfoncer petit à petit au fond de moi en même temps que je sentais sa tige progresser au fond de mes reins. Une fois au fond, il commença à s'activer et j'eu orgasmes sur orgasmes pendant les 20 minutes où il me pilonna avant de jouir dans sa capote. (Aujourd'hui nous avons tous les deux fait le test et il peut jouir sans retenue dans mes orifices bien qu'il aime particulièrement quand je bois sa semence…).
J'ai fait installer internet chez lui ce qui me permet de travailler le WE quand je suis chez lui, j'arrive le vendredi dans l'après-midi, il n'est pas encore rentré, je me mets nue, je fais le ménage (il n'est pas vraiment branché la dessus et ça me donne vraiment le sentiment de lui rendre le plaisir qu'il me donne de prendre soin de lui, d'être un peu sa "servante"), je prépare le dîner, je lance la machine à laver.
Puis je me mets à mes devoirs en attendant qu'il rentre du café où il va après le boulot. Quand l'heure arrive, je me positionne à 4 pattes, cul tourné vers l'entrée et j'attends qu'il arrive. Quand il me voit, il grogne (Mo n'est pas un grand démonstratif ni un grand parleur) se déshabille (des fois même pas, il sort juste sa queue) et commence à me baiser ou m'enculer. Et là une fois encore je vois des étoiles et je jouis comme rarement.
Le reste du WE, je travaille, il sort, revient, me baise, ressort, revient se fait sucer, etc… je reste nue, je suis là pour qu'il m'utilise comme il le souhaite. Le dimanche soir, après une dernière enculade (en fait, Mo n'est pas vraiment un fanatique de la sodomie, mais il fait ça pour moi) je repars dans mon studio pour une semaine de cours intensifs. Je suis rassasiée, épuisée, je peux me concentrer sur mes études et ma vie étudiante. Je suis une nana "bien baisée", bien dans sa vie, bien dans ses pompes, heureuse d'être maintenant une vraie petite salope.
Je suis heureuse d'avoir pu raconter ici mon histoire, je continuerai à vous raconter ma vie sexuelle quand il se passera quelque chose de nouveau, mais bien entendu ce sera plus rare. Ceci dit, pendant les vacances de Noël Marie viendra passer une semaine à Paris avec moi et comme mon studio est petit, je l'installerai chez Mo…

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
tres excitant farid

Histoire Erotique
Bjr, je viens juste de lire tes histoire...tu m as fait bander comme un mâle en rute petite salope...j aurais aimer moi aussi lire la suite et surtout te dominer comme la chienne que t es...que devient depuis ces ecris...donne de tes nouvelles petitz salope on sait jamais...bien à toi farid

Histoire Libertine
Très très fort sublime j ai jouie comme une folle

Histoire Libertine
le meilleur pour la fin ;)

Histoire Erotique
par contre Betty je t'enculerai bien moi !!!

Histoire Libertine
Dernier récit en janvier 2012, et rien de nouveau depuis? même pas la visite de Marie
? Quel dommage.
J'ai beaucoup aimé tes récits, je me suis masturbée, baisée et enculée pendant que je
te lisais, et j'ai beaucoup joui.
Merci,
bisous,
Betty.



Texte coquin : De jeune fille sage à petite salope... 4
Histoire sexe : Une rose rouge
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