De trois nous sommes passé a deux. elle et moi.
Récit érotique écrit par TULIPE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2021 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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De trois nous sommes passé a deux. elle et moi.
Deux semaine plus tard de notre première nuit à trois, un froid après midi de la fin de l’hiver, je reçois un coup de fils de la part de Doris. Elle, nous invite a passer un WE dans sa maison en bord de mer, je lui répond que je parlerais avec Vincent, quand il rentrera de son travail.
Pendant le diner, je transmet l’invitation de Doris à Vincent. Un fois passé son euphorie, me fais une proposition inespérée; « répond a Doris que je doit travailler mais que tu es libre ».
Au premier abord, ma réponse fut négative, mais pendant qu’on se déployée aux taches ménagères, ma réponse est devenu « peut être ». La même nuit, une fois que nous Avon éteins la lumière, Vincent s’approche derrière moi et me susurre a l’oreille droite; ¿tu va y aller en WE avec Doris?, et sans même réfléchir, je lui répond avec un grand, ouiiiiii.
Samedi matin, vers 10 heures, Doris passe me chercher avec sa puissante voiture. Je met ma valise a l’arrière de la voiture, et, nous voila partis pour un WE avec pleins de doutes dans ma tete.
Avant d’arriver au village près d’ou se trouve la maison de Doris, nous avons fait un halte pour acheter de quoi nous nourrir et faire quelques emplettes. Nous avons avons parcourue les salles du marche en souriant. Doris voulez me faire plaisir en achetant de fruits, de poisons…J’étais au ciel dans sa compagnie, de fois j’avais envie de la prendre par la main, de lui faire un furtif bisous, mais, la présence des gens m’arrêté tout de suite.
Nous avons visite deux ou trois boutique, d’ailleurs, les seules ouverte, a cet période de l’année, dans tout ce petit village touristique. Je redouté le moment de nous retrouver en tete à tete pour la première fois avec Doris, mais, je me disais au même temps, qu’il fallé aller jusqu’au bout.
Nous avons arrivés a la maison vers 13 heures sous un ciel dégagé avec des timides rayons de soleil, Doris s’en charge de descendre nos denrées qu’on viens d’acheter et moi je prends nos valise. En rentrant dans sa demeure, Doris se precipite pour me la fair visiter. Une grand de deux étages, face a la mer. Un très grand salon au nez de chaussé face la mer, plus la cuisine, toilette et salle de bains. A l’étage, la chambre de Doris qu’avait une imprenable vu sur mer, plus deux autres chambres avec des salles de bains.
Quand je descendais les escaliers derrière Doris, je réalise que elle n’avais fait aucune mention a l’habitation qu’elle m’avait asigné, ce que je pouvait interpréter qu’elle avait prévu qu’on dormirais ensemble. Quand je réalise cet « oubli » un picotement entre mes cuisses m’a obligé a fermer mes yeux, dans en effort pour ne rien dévoiler de mes ressentis.
Nous avons prepare les repas ensemble, nos avons bu du vin blanc pour accompagner les délicieuses soles du marché. Apres nous avoir reposé quelques minutes sur la terrasse, nous préparons pour faire une promenade au bord de mer.
Une légère brise saline caressé nos visages, le soleil du debut du printemps accompagnée nos pas sur le sable humide. Nous avions fais quelque mètres sur la plage, quand je sens sa main que frôle la mienne. Je ressenti que mon sang faisais un tour dans ma tete, comme si j’avais reçu une petite décharge électrique.
Je tends ma main en regardant Doris, elle pose la sienne sur la mienne, nous croisons nos doigts, et, nous continuons notre marche dans un relatif silence. Quelque mètres plus loin, Doris m’invite a la suivre dans une crique qu’elle a l’habitude d’aller prendre de bains de soleil.
Nous avons continue joyeuses notre marche sur le sable, toujours nos mains enlacé, Nous arrivons a devant un mure de roches que la dernière tempête avait déposée sur la plage, nous devons escalader quelques roches, nous avons rit a la gorge déployée. entre nos éclats de rire et encouragement mutuelles, nous avançons l’une derrière l’autre, Un fois que nous avons traversés l’obstacle rocheux, nous avons retrouve une charmante petite plage abrité du vents entre nos rires joyaux, je lui tend mes bras, et Doris viens vers moi en glissants ses mains sur ma taille et me serre délicatement contre elle, nous nous regardons tendrement et on s’embrasse pendant un temps indéfini.
Nous cherchons un endroit ensoleillé pour nous assoir, en on enlevé nos parkas qu’on pose sur le sablé. Nous parlons de tout et de rien, nous avons rigolé comme de vielles copines, sans nous lâcher des mains.
Au bout d’un moment, Doris s’allonge sur son dos face au soleil. Je regarde son jolie visage, et une pulsion sans freins, m’emmène a l’embrasser. Doris m’enlace avec son bras gauche, me serre contre elle. Un irresistible émotion m’a parcouru sur tout mon corps, moi aussi je la serre, j’embrasse son visage, ses yeux, je sens se mains que e serrent fort mon dos.
Comme tout les WE en bord de mer, il y a de touristes que se promènent comme nous sommes en train de le faire, alors nous nous avons assagis, en nous avons reste allonges l’une a cote de l’autre, nos mains enlacé, et sans arrêter un seul instant de nous regarder.
De retour a la maison, nous avons bu un chocolat chaud, assise face a la mer. Apres nous avons trainé dans la maison écoutant de la musique, j’aidé a Doris faire quelques arrangements, nous avons passé l’aspirateur et a la fin, nous avons monte a l’étage pour mettre les draps a son lit et préparer la chambre.
Doris sort de l’armoire de la chambre, un jeu de draps bleu. Elle me demande avec une air coquin, « ¿de quel coté du lit tu préfère?, je lui répond sans réfléchir, peu importe si tu est a mes cotes.
Ensuite me demande si j’aimé les voles ouvert ou fermés. Je lui affirme que j’adore pouvoir la regarder, alors je les préfère ouverts. Toutes les questions de Doris je les interpretes du coté coquin, mais comme une façon de me dire qu’elle voulez connaitre plus sur moi.
Le soir, même si la température était supportable, Doris allume un petit feu de cheminée. Tout de suite le salon dégage de tres jolies lumières et les arômes du bois brulée. Nous avons remis de la musique, Doris a ouvert une bouteille de Moet et Chandon, qu’elle sert cette fois, dans de tres jolies coupes.
Nous buvons, nous dansons comme de jeunes filles en boite de nuit, nous mangeons les petits fours que nous avons achetés au marché. Nous nous embrassons, on se regarse avec pleins de questions dans nos yeux.
La température du salon étais suffisamment pour que je m’enlève la petite laine que je portée, je reste avec une blouse rose, boutonne par devant et j’avais pris soin de libérer le premier bouton laissant entre voir le debut de mes seins.
Je me assois a cote de la cheminée avec ma coupe de champagne à la main, Doris viens s’assoir dans le canapé, face à la cheminée. Nous buvons pour notre soirée, nous chantons, on se racontes des anecdote, nos souvenirs.
Doris me raconte sa premier fois avec Vincent, ce qu’elle a aime dans sa façon de faire l’amour, ses mains que la prennent avec autorités. Etrangement, a aucun moment je me suis senti jalouse, au contraire, Vincent m’avais raconte tout les détailles de ses rencontres amoureuses.
Moi, je lui fais part des épisodes de notre vie de couple, je lui ai raconte la première fois que Vincent m’a fait jouir, quand a eu lieu, comme il m’a prise, ce que j’avais ressenti, et pleins d’autres petits détaillés.
Nous n’avons pas vus passer le temps, notre seul repère étais la bouteille de champagne que peu a peu se vide. Doris, se leve pour alimenter le feu de la cheminée, quand elle retourne s’assoir sur le canapé et profitant d’un breve silence, en me regardant, tapote le canapé, me signalant de vienne m’assoir a ses cotés.
Je me leve mais avant de la rejoindrais, j’éteint la lampe qu’éclaire le salon, et nous restons seulement avec la lumière titillante de la cheminée. Je prend place près de Doris, et écarte un bras pour que je me reposo sur son épaule.
Je reste quelque instant inamovible regardant les flammes envoutantes de la cheminée, quand je sens la main de Doris que prend délicatement mon visage, le tourne ver le sien, et m’embrasse tendrement et pendant de longs minutes.
La passion rapidement a pris possession de nos caresses, nos mains, maladroitement caressent nos corps habilles. Doris commence a déboutonner mon chemisier, moi, je fais de même, toutes les deux on dévoile nos seins presque au même temps.
Je doit enlever le soutien gorge de Doris, par contre, mais, je n’avais pas mis. Elle me caresse les seins, mordille mes teton, caresses mes cuisses. Je repose ma tete dur le dossier du canapé, et je m’abandonne aux caresses de Doris.
Nous nous caressons avec passion, je lui dis que « j’adore ses seins, sa bouche, sa peau », Doris me répond avec un soupire et me serre fort contre elle. Sentir ses seins contre les miens, me procure un joie indéfinissable.
Je me leve, je me met debout devant elle, et je déboutonne ma jupe, ensuite je descends la fermeture éclair, elle s’avance, prend ma jupe, et commence a la descendre. Je ne porte pas de culotte non plus, alors je reste toute nue devant Doris.
Je sens son regard sur tout mon corps, la pomme de ses mains qu’efflore mes seins, mon ventre, descend doucement entre mes jambes, je sens le rose de ses doigts sur ma fente. Je ferme mes yeux et je me laisse porter par les sensations que le suis en trains de vivre. Nous nous regardons sans rien nous dire, sont nos regards que parlent.
Je me met a genou entre ses jambes, je la pousse délicatement en arrière, et je enlève sa jupe, sa petite et transparente culotte noir, laisse entrevoir le trésor qu’il y a entre ses jambes. Doris, d’un geste léger, soulève ses fesses, et je glisse sa culotte jusque a libérer complètement d’elle. Nous sommes toute nues en nous embrassant, le plaisir que je ressens est incomparable avec celui que ressens avec Vincent.
Doris continue assise sur le canapé et moi a genou entre ses cuisses. Je suce ses seins, elle écarte de jambes pour mieux sentir la peau de mon ventre. Je descends avec ma bouche grande ouverte, léchant son ventre, le contour de son sexe, je passe ma langue par le haut de cuisses, mes mains glissent tout long de sen corps.
Les gémissements de Doris, son corps que bouge sensiblement quand mes mains s’approchent de son sexe, tout mes sens sont en éveille.Doris a un regard de feu, me regarde con insistance au même temps qu’écartes ses jambes encore plus, comme une invitation a que je la caresse.
Je regarde son sexe, ouvert, de couleur rose, complètement mouille, la caprine continue a couler, doucement, par les parois de son sexe. Je caresse son vagin avec la pomme de ma main droite, ensuite avec le doigts majeur je fait le contour de ses lèvres, je fini par glisser mon doigt doucement dans sa petite chatte.
J’ai senti un petit spasme au même moment que je la pénétré avec mon doigt majeur, son corps s’est contraint et Doris a retenue la respiration. J’exulte a regarder le plaisir que je lui provoqué, je introduit encore plus profond mon doigt dans son vagin, et je l’enlève délicatement, pour le sucer en regardant Doris.
Quand je me mes doigts dans ma bouche, Doris ferme les yeux, serre ses dents et soulève ses fesses en signal d’approbation. Prend ma main et la mène lentement sur sa bouche pour sucer mes doigts imbibe du jus de son sexe.
Mon excitation étais a son comble, je voulez dévorer Doris, alors je prend les lèvres de son sexe avec mes mains, je les écartes, et je caresse, doucement,son sexe avec le bout de ma langue, du bas en haut. Je répète la même caresse plusieurs fois et chaque coup de langue, me procure un plaisir jusqu’ici inconnu.
Les mouvement de Doris sur le canapé, son corps éclairé pour les flammes du feu de la cheminée, ses gémissements, ses mains que dirigent ma tete pour rendre mes câlins encore plus précis, me mettent dans un état second, une fièvre soudaine envahi mes corps et mes pensées.
J’allonge Doris sur le canapé, J’observe son corps voluptueux, elle d’une beauté que me fait fondre quand je suis près d’elle. Ses seins sont ronds, avec ses mamelles roses, sa peau blanche et délicate, ses yeux couleur ciel, sa bouche charnue source de passion, ses cheveux blonds comme le blés mure. Je me sens comme si mes pieds ne touchent pas la terre.
Nous nous embrassons follement, nos mains se confondent en caresses, tantôt assises, tantôt allongées, on se serre tres fort l’une contre l’autre. nous nous disons, tout le bien qu’on ressent au contacte de nos corps nus, avec de mot doux et enflâmes à la fois.
Le bulles du champagne, commencent a monte dans nos tetes, Doris se leve du canapé, prend ma main gauche et m’invite a regagner sa chambre. Doris toute nu prend la bouteille de champagne, moi les coupes et avec précipitation nous montons l’escalier. Je regarde ses fesses que se balancent quand elle monte les marche, elle sens mon regard, se retourne et avec une voix coquine me dis; « vient, j’envie de te prendre », j’accélère le pas et d’un saut, je me retrouve au milieu de son lit avec mes bras ouvert, en signal d’invitation, pour que Doris vienne prendre possession de mon corps.
La chambre est illuminée par une petite bougie que Doris avait pris soin d’allumer, elle s’allonge sur mon bras, sa jambe gauche la pose sur les miennes et avec une de ses main caresse mes seins. Elle monte sur moi, ses lèvres gonfles se collent au miens, son corps gigote éffusivement, sa cuisse gauche la glisse entre les mienne
Je sens que mon excitation est au paroxysme, je frotte mon sexe contre sa cuisse, ma mouille es de plus en plus conséquente. La délicate bouche de Doris, leche mes seins, les suces, pince mes tétons.
Je sens ses mains sur mon corps que me serrent avec frénésie, sa bouche que descend par mon ventre, se cheveux que chatouillent ma peau. Quand je sens sa langue caresser l’intérieur de mes cuisses, je murmure un gémissement de plaisir et a la fin je retiens ma respiration quand je sens sa bouche que s’apodere de mon sexe bien mouillé.
Sa langue experte parcourait mon intimité, et elle m’enfonça deux doigts d’un coup bien profond, je ne pus m’empêcher d’émettre un cri d’extase, et me trouvais comme emportée par le plaisir que me procurer Doris.

Je me sentais complément défoncé, je regarde dans la pénombre, sa main et sa langue si pointilleuse sur mon clitoris. Doris me demande de me mettre à quatre pattes, j’accede aussitôt a son désir, je me cambrer suffisamment, pour qu’elle puisse bien voir ma chatte bien épilée.
Je sens ses mains que caressent mes fesses, Doris hume mon sexe, mon petit trou. Elle s’empresse pour m’ introduire ses doigts dans mon vagin et passe sa langue coquine sur son petit trou. Mes gémissements étaient de plus en plus bruyants .

L’intensité de sa pénétration me faisait gémir fort et j’ essayait d’étouffer mes cris dans l’oreiller, Elle écarta mes lèvres et lécha de haut en bas mon sexe, je l’entendais aspirer ma mouille dans sa bouche, qu’elle sensation, j’ai adoré !
Doris a continué son agréable besogne. Ma petite chatte toute épilée et toute mouillée excitée tellement Doris, sa langue devenais plus précise dans son ardor pour me faire jouir. Je soulève me fesses et j’écarte mon sexe avec mes mains pour que Doris prenne mon clitoris avec sa bouche.
Et elle me retourna d’un geste autoritaire, je l’obéisse sans tarder, Doris me plaquer contre le matelas et frotta sa petite chatte contre la mienne, humm quel plaisir divin de la sentir transpirante de désir contre moi !

Je sentais nos clitoris se frottaient, le plaisirs était intensément bon, ses seins contre les miens onduler, sa langue titiller la mienne, et disparaissait dans sa bouche lorsqu’elle me l’aspirait.

On se tortillait l’une contre l’autre de plus en plus vite, les gémissements se font de plus en plus forts et intenses !Nos bras s’agrippaient l’une à l’autre, quand soudain le plaisirs divin intense de la jouissance nous envahir ! 

Je me sentis comme soulager, comme une certaine légèreté, l’impression de planer de tout oublier ce qui se passait autour de nous. Elle me sourit, m’embrassa , se repose sur mes seins et m’enlace avec sa main droite. Ce moment la, fut quelque chose de magique.
Sentir autant de plaisir partager autant de caresses, de délicatesse, me faisant sentir de choses véritablement nouvelles, même si j’avais reçu de câlins similaire de la part de Vincent, mais, le fait que soit une femme, si délicieuse que Doris, me remplissait de bonheur.
Nous avons restes entrelace longtemps, nous avons parles de pleins de sujets de nos vie. Nos corps, un tant fatigués , transpirés, dégageants des agréables aromes de nos sexes, nous sommes reste serrés l’une cotre l’autre, seulement le sommeil, nous a séparée.
Le lendemain, sont le rayons de soleil que qu’arrivants jusqu’au lit, que nous a réveillées. ¿Tu as bien dormi? Me demande Doris avec une fine voix. Je me suis approche d’elle et avec un doux bisous, je lui répond; « Cet nuit fut unique, elle restera en moi pour toujours ». Doris souris, et a son tour me fais aussi un bisous.
Nous avons descendu pour prendre nos petit déjeuner sur la terrasse, il cale profiter de premiers soleil du printemps. Ensemble nous avons preparé le cafe, le pains grillé assises face à la mer, vêtus seulement avec nos peignoirs, je porte un peignoir de Doris qu’elle m’avais prêté.
Nous avons reste long temps à table, nous avons continue a nous raconter, on se prenne par les mains, on se regarde langoureusement. Doris se leve et avec a aire provocateur, me dis; « Je monte pour prende ma douche » et lentement disparais dans le salon.
Je suis reste assise sur la terrasse perdu dans mes pensés, je me suis senti une femme comblé, je découvre un autre aspect de ma sexualité, des nouveau plaisir et une attirance grandissant pour Doris.
Comme conduite par un désire irresistible, je rejoins Doris dans la salle de bains. Je que l’eau coule sur le corps nu de Doris, j’enlève le peignoir et je prend la main que me tend Doris, en on se serre tres fort sous le jets d’eau de la douche.
Doris, passa sa main entre mes cuisses qui les écarta légèrement, l'air de rien, afin de glisser un doigt dans ma fente, je plaqué mon dos contre la paroi de la douche, elle sentait mon clitoris, mais elle préféra m’enfoncer directement un doigt dans le vagin mouillé, il est vrai que je n'attendait que ça.
Le regard de Doris étais pleins de determination, alors je me laissé aller a ses désirs. Doris prends mes seins, les malaxes, elle met mes seins dans sa bouche, l'un après l'autre en les mordillant doucement mes tétons. Nous nous embrassons plein bouches, serrées l'une contre l'autre, se caressant toutes les parties de leurs corps que nous pouvons nous toucher.
Doris, à nouveau me pénétré deux doigts dans mon vagin et commence, dans un va et vient délicieux. Je prend sa main pour qu’elle arrête, je la prend de derrière la tete, et je la pousse dans mon entre jambes.
Je bien écartes mes jambes pour que Doris puis arriver facilement a ma chatte, qu'elle me lèchera entièrement. Elle m’écarter mes lèvres secrets avec ses doigts. Là, elle commença à absorber le liquide qui coulait en flux encore léger, et accéléra ses mouvements autour du clitoris.
Je me suis accroche ou j’ai pu pour éviter de tomber, mes jambes tremblent. Doris à genoux entre mes cuisses tournait sa langue de plus en plus vite. Je pris sa tête entre mes mains, je sentais l’orgasme venir, arrivée trop vite, cette sensation brûlante m’a parcouru le bas-ventre, les bouts de mes seins et ma tête, une fois de plus, explose,
Doris m’embrasse, sa bouche est savoureuse et me dis a l’oreille ; « Tu me feras jouir, mais, la prochaine fois…). Une émotion inédite m’envahit et je sens mon cœur battre la chamade.
Nous nous habillons entre rires et commentaires anodins, on descend pour faire le ménage, nous rassemblions à une vraie couple d’amoureuses, que, s’occupent de taches quotidiennes. Vers 13 heures, nous étions prêtés à partir, l’avais un petit pincement au cœur que le WE se finisse, et au même temps contente de retrouver Vincent.
Nous avons mangés dans un restaurant du village. Bien sûr, au bord de mer on mange de fruits de mer. Nous avons partagé les crustacés, nous l’avons accompagnés du vin blanc sans nous quitter des yeux.
Les adieux dans la voiture, ont étais de moment inoubliables. Doris me regarde avec une extreme tendresse, m’embrasse doucement, me regarde encore, et me demande; ¿tu regrets. Je prend son visage et l’embrasse a mon tour, ensuite je lui répond; ¡ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais!. Elle démarre sa voiture, en partant, m’envoi a travers la vitre, un bisous avec sa main.
Je reste a regarder quand la voiture que s’éloigne, avec le sentiment profond, que notre vécu de ce WE, ne peut pas se terminer ici. La sincérité et la passion que nous avons mise dans notre rencontre, ne sont pas les résultât d’une simple expérience sexuel, nos ressentis ont bien étais plus profond, que par moment, me provoquent une certaine inquiétude.
Quand je traverse l’untel de la porte d’entrée de notre appartement, Vincent me reçois avec un grand sourire et me tends ses bras pour me serrer contre lui. Nous sommes mis d’accord avant mon départ en WE, que nous, ne nous téléphonerions pas, alors Vicent ignore tout de ce que j’ai vécu avec Doris.
La seul question que me pose Vincent quand il m’avais entre ses bras;« ¿ tu es contente de ton WE ?. Je lui ai répondu avec une voix méconnaissable ; « vraiment, j'ai vécu un WE merveilleux, plein de découvertes », et je le serre fort à mon tour.
Même si ma réponse lui avait mis l’eau à la bouche à Vincent, nous avons repris le cours de la journée avec les taches habituelles et les préparatifs pour la reprise du travail du lendemain.
Nous sommes couchés à l’heure habituelle, je n’ai pas pris de douche, je voulais conserver sur moi le parfum de Doris. Je souhaitais que Vincent puis le sentir, tel que moi, je sentis son parfum sur le corps de Vincent quand il revenu a mes cotes après avoir fait l’amour à Doris.
Seulement quelques instants, lui a fallu à Vincent pour reconnaître les arômes de Doris. Les arômes sucrés et persistantes que font partis de la peau de notre « amant-e », réveillent la libido de Vincent.
Nous sommes mis de côté, l’un en face de l’autre, et je commence pour lui raconter notre arrivée à la maison, notre promenade sur la plage, la soirée et tous les petits détaillés de la nuit passe entre les bras de Doris.
Le regard de Vincent est devenu fiévreux, avec sa main droite, il caresse sa queue raide et grosse, sans perdre un mot de mon récit. Quand je suis en train de lui raconter l’scène de la douche, j’entends la respiration de Vincent s’accélérer, son corps tout entier tremblé perceptiblement, et, un liquide chaud, gluant glissé sur mes cuisses.
Nous sommes mis de côté, l’un en face de l’autre, et commence pour lui raconter notre arrivée à la maison, notre promenade sur la plage, la soirée et tous les petits détaillés de la nuit passe entre les bras de Doris.
Le regard de Vincent est devenu fiévreux, avec sa main droite, il caresse sa queue raide et grosse, sans perdre un mot de mon récit. Quand je suis en train de lui raconter l’scène de la douche, j’entends la respiration de Vincent s’accélérer, son corps tout entier tremble perceptiblement, et, un liquide chaud, gluant glisse sur mes cuisses.
J’approche mon visage du sien, et je continue à lui raconter la fin de la scène, avec une voix suave et sensuelle. Moi, je souhaitais, transmettre à Vincent, tout le plaisir que je ressenti auprès de Doris, ma jouissance, et chose bizarre, je ne lui pas dis toutes mes émotions.
Nous sommes restées long temps collés par le foutre que Vincent avait mis sur mon bas-ventre. Je suis tombé dans un profond sommeil avec un sourire inédit.
Pendant le diner, je transmet l’invitation de Doris à Vincent. Un fois passé son euphorie, me fais une proposition inespérée; « répond a Doris que je doit travailler mais que tu es libre ».
Au premier abord, ma réponse fut négative, mais pendant qu’on se déployée aux taches ménagères, ma réponse est devenu « peut être ». La même nuit, une fois que nous Avon éteins la lumière, Vincent s’approche derrière moi et me susurre a l’oreille droite; ¿tu va y aller en WE avec Doris?, et sans même réfléchir, je lui répond avec un grand, ouiiiiii.
Samedi matin, vers 10 heures, Doris passe me chercher avec sa puissante voiture. Je met ma valise a l’arrière de la voiture, et, nous voila partis pour un WE avec pleins de doutes dans ma tete.
Avant d’arriver au village près d’ou se trouve la maison de Doris, nous avons fait un halte pour acheter de quoi nous nourrir et faire quelques emplettes. Nous avons avons parcourue les salles du marche en souriant. Doris voulez me faire plaisir en achetant de fruits, de poisons…J’étais au ciel dans sa compagnie, de fois j’avais envie de la prendre par la main, de lui faire un furtif bisous, mais, la présence des gens m’arrêté tout de suite.
Nous avons visite deux ou trois boutique, d’ailleurs, les seules ouverte, a cet période de l’année, dans tout ce petit village touristique. Je redouté le moment de nous retrouver en tete à tete pour la première fois avec Doris, mais, je me disais au même temps, qu’il fallé aller jusqu’au bout.
Nous avons arrivés a la maison vers 13 heures sous un ciel dégagé avec des timides rayons de soleil, Doris s’en charge de descendre nos denrées qu’on viens d’acheter et moi je prends nos valise. En rentrant dans sa demeure, Doris se precipite pour me la fair visiter. Une grand de deux étages, face a la mer. Un très grand salon au nez de chaussé face la mer, plus la cuisine, toilette et salle de bains. A l’étage, la chambre de Doris qu’avait une imprenable vu sur mer, plus deux autres chambres avec des salles de bains.
Quand je descendais les escaliers derrière Doris, je réalise que elle n’avais fait aucune mention a l’habitation qu’elle m’avait asigné, ce que je pouvait interpréter qu’elle avait prévu qu’on dormirais ensemble. Quand je réalise cet « oubli » un picotement entre mes cuisses m’a obligé a fermer mes yeux, dans en effort pour ne rien dévoiler de mes ressentis.
Nous avons prepare les repas ensemble, nos avons bu du vin blanc pour accompagner les délicieuses soles du marché. Apres nous avoir reposé quelques minutes sur la terrasse, nous préparons pour faire une promenade au bord de mer.
Une légère brise saline caressé nos visages, le soleil du debut du printemps accompagnée nos pas sur le sable humide. Nous avions fais quelque mètres sur la plage, quand je sens sa main que frôle la mienne. Je ressenti que mon sang faisais un tour dans ma tete, comme si j’avais reçu une petite décharge électrique.
Je tends ma main en regardant Doris, elle pose la sienne sur la mienne, nous croisons nos doigts, et, nous continuons notre marche dans un relatif silence. Quelque mètres plus loin, Doris m’invite a la suivre dans une crique qu’elle a l’habitude d’aller prendre de bains de soleil.
Nous avons continue joyeuses notre marche sur le sable, toujours nos mains enlacé, Nous arrivons a devant un mure de roches que la dernière tempête avait déposée sur la plage, nous devons escalader quelques roches, nous avons rit a la gorge déployée. entre nos éclats de rire et encouragement mutuelles, nous avançons l’une derrière l’autre, Un fois que nous avons traversés l’obstacle rocheux, nous avons retrouve une charmante petite plage abrité du vents entre nos rires joyaux, je lui tend mes bras, et Doris viens vers moi en glissants ses mains sur ma taille et me serre délicatement contre elle, nous nous regardons tendrement et on s’embrasse pendant un temps indéfini.
Nous cherchons un endroit ensoleillé pour nous assoir, en on enlevé nos parkas qu’on pose sur le sablé. Nous parlons de tout et de rien, nous avons rigolé comme de vielles copines, sans nous lâcher des mains.
Au bout d’un moment, Doris s’allonge sur son dos face au soleil. Je regarde son jolie visage, et une pulsion sans freins, m’emmène a l’embrasser. Doris m’enlace avec son bras gauche, me serre contre elle. Un irresistible émotion m’a parcouru sur tout mon corps, moi aussi je la serre, j’embrasse son visage, ses yeux, je sens se mains que e serrent fort mon dos.
Comme tout les WE en bord de mer, il y a de touristes que se promènent comme nous sommes en train de le faire, alors nous nous avons assagis, en nous avons reste allonges l’une a cote de l’autre, nos mains enlacé, et sans arrêter un seul instant de nous regarder.
De retour a la maison, nous avons bu un chocolat chaud, assise face a la mer. Apres nous avons trainé dans la maison écoutant de la musique, j’aidé a Doris faire quelques arrangements, nous avons passé l’aspirateur et a la fin, nous avons monte a l’étage pour mettre les draps a son lit et préparer la chambre.
Doris sort de l’armoire de la chambre, un jeu de draps bleu. Elle me demande avec une air coquin, « ¿de quel coté du lit tu préfère?, je lui répond sans réfléchir, peu importe si tu est a mes cotes.
Ensuite me demande si j’aimé les voles ouvert ou fermés. Je lui affirme que j’adore pouvoir la regarder, alors je les préfère ouverts. Toutes les questions de Doris je les interpretes du coté coquin, mais comme une façon de me dire qu’elle voulez connaitre plus sur moi.
Le soir, même si la température était supportable, Doris allume un petit feu de cheminée. Tout de suite le salon dégage de tres jolies lumières et les arômes du bois brulée. Nous avons remis de la musique, Doris a ouvert une bouteille de Moet et Chandon, qu’elle sert cette fois, dans de tres jolies coupes.
Nous buvons, nous dansons comme de jeunes filles en boite de nuit, nous mangeons les petits fours que nous avons achetés au marché. Nous nous embrassons, on se regarse avec pleins de questions dans nos yeux.
La température du salon étais suffisamment pour que je m’enlève la petite laine que je portée, je reste avec une blouse rose, boutonne par devant et j’avais pris soin de libérer le premier bouton laissant entre voir le debut de mes seins.
Je me assois a cote de la cheminée avec ma coupe de champagne à la main, Doris viens s’assoir dans le canapé, face à la cheminée. Nous buvons pour notre soirée, nous chantons, on se racontes des anecdote, nos souvenirs.
Doris me raconte sa premier fois avec Vincent, ce qu’elle a aime dans sa façon de faire l’amour, ses mains que la prennent avec autorités. Etrangement, a aucun moment je me suis senti jalouse, au contraire, Vincent m’avais raconte tout les détailles de ses rencontres amoureuses.
Moi, je lui fais part des épisodes de notre vie de couple, je lui ai raconte la première fois que Vincent m’a fait jouir, quand a eu lieu, comme il m’a prise, ce que j’avais ressenti, et pleins d’autres petits détaillés.
Nous n’avons pas vus passer le temps, notre seul repère étais la bouteille de champagne que peu a peu se vide. Doris, se leve pour alimenter le feu de la cheminée, quand elle retourne s’assoir sur le canapé et profitant d’un breve silence, en me regardant, tapote le canapé, me signalant de vienne m’assoir a ses cotés.
Je me leve mais avant de la rejoindrais, j’éteint la lampe qu’éclaire le salon, et nous restons seulement avec la lumière titillante de la cheminée. Je prend place près de Doris, et écarte un bras pour que je me reposo sur son épaule.
Je reste quelque instant inamovible regardant les flammes envoutantes de la cheminée, quand je sens la main de Doris que prend délicatement mon visage, le tourne ver le sien, et m’embrasse tendrement et pendant de longs minutes.
La passion rapidement a pris possession de nos caresses, nos mains, maladroitement caressent nos corps habilles. Doris commence a déboutonner mon chemisier, moi, je fais de même, toutes les deux on dévoile nos seins presque au même temps.
Je doit enlever le soutien gorge de Doris, par contre, mais, je n’avais pas mis. Elle me caresse les seins, mordille mes teton, caresses mes cuisses. Je repose ma tete dur le dossier du canapé, et je m’abandonne aux caresses de Doris.
Nous nous caressons avec passion, je lui dis que « j’adore ses seins, sa bouche, sa peau », Doris me répond avec un soupire et me serre fort contre elle. Sentir ses seins contre les miens, me procure un joie indéfinissable.
Je me leve, je me met debout devant elle, et je déboutonne ma jupe, ensuite je descends la fermeture éclair, elle s’avance, prend ma jupe, et commence a la descendre. Je ne porte pas de culotte non plus, alors je reste toute nue devant Doris.
Je sens son regard sur tout mon corps, la pomme de ses mains qu’efflore mes seins, mon ventre, descend doucement entre mes jambes, je sens le rose de ses doigts sur ma fente. Je ferme mes yeux et je me laisse porter par les sensations que le suis en trains de vivre. Nous nous regardons sans rien nous dire, sont nos regards que parlent.
Je me met a genou entre ses jambes, je la pousse délicatement en arrière, et je enlève sa jupe, sa petite et transparente culotte noir, laisse entrevoir le trésor qu’il y a entre ses jambes. Doris, d’un geste léger, soulève ses fesses, et je glisse sa culotte jusque a libérer complètement d’elle. Nous sommes toute nues en nous embrassant, le plaisir que je ressens est incomparable avec celui que ressens avec Vincent.
Doris continue assise sur le canapé et moi a genou entre ses cuisses. Je suce ses seins, elle écarte de jambes pour mieux sentir la peau de mon ventre. Je descends avec ma bouche grande ouverte, léchant son ventre, le contour de son sexe, je passe ma langue par le haut de cuisses, mes mains glissent tout long de sen corps.
Les gémissements de Doris, son corps que bouge sensiblement quand mes mains s’approchent de son sexe, tout mes sens sont en éveille.Doris a un regard de feu, me regarde con insistance au même temps qu’écartes ses jambes encore plus, comme une invitation a que je la caresse.
Je regarde son sexe, ouvert, de couleur rose, complètement mouille, la caprine continue a couler, doucement, par les parois de son sexe. Je caresse son vagin avec la pomme de ma main droite, ensuite avec le doigts majeur je fait le contour de ses lèvres, je fini par glisser mon doigt doucement dans sa petite chatte.
J’ai senti un petit spasme au même moment que je la pénétré avec mon doigt majeur, son corps s’est contraint et Doris a retenue la respiration. J’exulte a regarder le plaisir que je lui provoqué, je introduit encore plus profond mon doigt dans son vagin, et je l’enlève délicatement, pour le sucer en regardant Doris.
Quand je me mes doigts dans ma bouche, Doris ferme les yeux, serre ses dents et soulève ses fesses en signal d’approbation. Prend ma main et la mène lentement sur sa bouche pour sucer mes doigts imbibe du jus de son sexe.
Mon excitation étais a son comble, je voulez dévorer Doris, alors je prend les lèvres de son sexe avec mes mains, je les écartes, et je caresse, doucement,son sexe avec le bout de ma langue, du bas en haut. Je répète la même caresse plusieurs fois et chaque coup de langue, me procure un plaisir jusqu’ici inconnu.
Les mouvement de Doris sur le canapé, son corps éclairé pour les flammes du feu de la cheminée, ses gémissements, ses mains que dirigent ma tete pour rendre mes câlins encore plus précis, me mettent dans un état second, une fièvre soudaine envahi mes corps et mes pensées.
J’allonge Doris sur le canapé, J’observe son corps voluptueux, elle d’une beauté que me fait fondre quand je suis près d’elle. Ses seins sont ronds, avec ses mamelles roses, sa peau blanche et délicate, ses yeux couleur ciel, sa bouche charnue source de passion, ses cheveux blonds comme le blés mure. Je me sens comme si mes pieds ne touchent pas la terre.
Nous nous embrassons follement, nos mains se confondent en caresses, tantôt assises, tantôt allongées, on se serre tres fort l’une contre l’autre. nous nous disons, tout le bien qu’on ressent au contacte de nos corps nus, avec de mot doux et enflâmes à la fois.
Le bulles du champagne, commencent a monte dans nos tetes, Doris se leve du canapé, prend ma main gauche et m’invite a regagner sa chambre. Doris toute nu prend la bouteille de champagne, moi les coupes et avec précipitation nous montons l’escalier. Je regarde ses fesses que se balancent quand elle monte les marche, elle sens mon regard, se retourne et avec une voix coquine me dis; « vient, j’envie de te prendre », j’accélère le pas et d’un saut, je me retrouve au milieu de son lit avec mes bras ouvert, en signal d’invitation, pour que Doris vienne prendre possession de mon corps.
La chambre est illuminée par une petite bougie que Doris avait pris soin d’allumer, elle s’allonge sur mon bras, sa jambe gauche la pose sur les miennes et avec une de ses main caresse mes seins. Elle monte sur moi, ses lèvres gonfles se collent au miens, son corps gigote éffusivement, sa cuisse gauche la glisse entre les mienne
Je sens que mon excitation est au paroxysme, je frotte mon sexe contre sa cuisse, ma mouille es de plus en plus conséquente. La délicate bouche de Doris, leche mes seins, les suces, pince mes tétons.
Je sens ses mains sur mon corps que me serrent avec frénésie, sa bouche que descend par mon ventre, se cheveux que chatouillent ma peau. Quand je sens sa langue caresser l’intérieur de mes cuisses, je murmure un gémissement de plaisir et a la fin je retiens ma respiration quand je sens sa bouche que s’apodere de mon sexe bien mouillé.
Sa langue experte parcourait mon intimité, et elle m’enfonça deux doigts d’un coup bien profond, je ne pus m’empêcher d’émettre un cri d’extase, et me trouvais comme emportée par le plaisir que me procurer Doris.

Je me sentais complément défoncé, je regarde dans la pénombre, sa main et sa langue si pointilleuse sur mon clitoris. Doris me demande de me mettre à quatre pattes, j’accede aussitôt a son désir, je me cambrer suffisamment, pour qu’elle puisse bien voir ma chatte bien épilée.
Je sens ses mains que caressent mes fesses, Doris hume mon sexe, mon petit trou. Elle s’empresse pour m’ introduire ses doigts dans mon vagin et passe sa langue coquine sur son petit trou. Mes gémissements étaient de plus en plus bruyants .

L’intensité de sa pénétration me faisait gémir fort et j’ essayait d’étouffer mes cris dans l’oreiller, Elle écarta mes lèvres et lécha de haut en bas mon sexe, je l’entendais aspirer ma mouille dans sa bouche, qu’elle sensation, j’ai adoré !
Doris a continué son agréable besogne. Ma petite chatte toute épilée et toute mouillée excitée tellement Doris, sa langue devenais plus précise dans son ardor pour me faire jouir. Je soulève me fesses et j’écarte mon sexe avec mes mains pour que Doris prenne mon clitoris avec sa bouche.
Et elle me retourna d’un geste autoritaire, je l’obéisse sans tarder, Doris me plaquer contre le matelas et frotta sa petite chatte contre la mienne, humm quel plaisir divin de la sentir transpirante de désir contre moi !

Je sentais nos clitoris se frottaient, le plaisirs était intensément bon, ses seins contre les miens onduler, sa langue titiller la mienne, et disparaissait dans sa bouche lorsqu’elle me l’aspirait.

On se tortillait l’une contre l’autre de plus en plus vite, les gémissements se font de plus en plus forts et intenses !Nos bras s’agrippaient l’une à l’autre, quand soudain le plaisirs divin intense de la jouissance nous envahir ! 

Je me sentis comme soulager, comme une certaine légèreté, l’impression de planer de tout oublier ce qui se passait autour de nous. Elle me sourit, m’embrassa , se repose sur mes seins et m’enlace avec sa main droite. Ce moment la, fut quelque chose de magique.
Sentir autant de plaisir partager autant de caresses, de délicatesse, me faisant sentir de choses véritablement nouvelles, même si j’avais reçu de câlins similaire de la part de Vincent, mais, le fait que soit une femme, si délicieuse que Doris, me remplissait de bonheur.
Nous avons restes entrelace longtemps, nous avons parles de pleins de sujets de nos vie. Nos corps, un tant fatigués , transpirés, dégageants des agréables aromes de nos sexes, nous sommes reste serrés l’une cotre l’autre, seulement le sommeil, nous a séparée.
Le lendemain, sont le rayons de soleil que qu’arrivants jusqu’au lit, que nous a réveillées. ¿Tu as bien dormi? Me demande Doris avec une fine voix. Je me suis approche d’elle et avec un doux bisous, je lui répond; « Cet nuit fut unique, elle restera en moi pour toujours ». Doris souris, et a son tour me fais aussi un bisous.
Nous avons descendu pour prendre nos petit déjeuner sur la terrasse, il cale profiter de premiers soleil du printemps. Ensemble nous avons preparé le cafe, le pains grillé assises face à la mer, vêtus seulement avec nos peignoirs, je porte un peignoir de Doris qu’elle m’avais prêté.
Nous avons reste long temps à table, nous avons continue a nous raconter, on se prenne par les mains, on se regarde langoureusement. Doris se leve et avec a aire provocateur, me dis; « Je monte pour prende ma douche » et lentement disparais dans le salon.
Je suis reste assise sur la terrasse perdu dans mes pensés, je me suis senti une femme comblé, je découvre un autre aspect de ma sexualité, des nouveau plaisir et une attirance grandissant pour Doris.
Comme conduite par un désire irresistible, je rejoins Doris dans la salle de bains. Je que l’eau coule sur le corps nu de Doris, j’enlève le peignoir et je prend la main que me tend Doris, en on se serre tres fort sous le jets d’eau de la douche.
Doris, passa sa main entre mes cuisses qui les écarta légèrement, l'air de rien, afin de glisser un doigt dans ma fente, je plaqué mon dos contre la paroi de la douche, elle sentait mon clitoris, mais elle préféra m’enfoncer directement un doigt dans le vagin mouillé, il est vrai que je n'attendait que ça.
Le regard de Doris étais pleins de determination, alors je me laissé aller a ses désirs. Doris prends mes seins, les malaxes, elle met mes seins dans sa bouche, l'un après l'autre en les mordillant doucement mes tétons. Nous nous embrassons plein bouches, serrées l'une contre l'autre, se caressant toutes les parties de leurs corps que nous pouvons nous toucher.
Doris, à nouveau me pénétré deux doigts dans mon vagin et commence, dans un va et vient délicieux. Je prend sa main pour qu’elle arrête, je la prend de derrière la tete, et je la pousse dans mon entre jambes.
Je bien écartes mes jambes pour que Doris puis arriver facilement a ma chatte, qu'elle me lèchera entièrement. Elle m’écarter mes lèvres secrets avec ses doigts. Là, elle commença à absorber le liquide qui coulait en flux encore léger, et accéléra ses mouvements autour du clitoris.
Je me suis accroche ou j’ai pu pour éviter de tomber, mes jambes tremblent. Doris à genoux entre mes cuisses tournait sa langue de plus en plus vite. Je pris sa tête entre mes mains, je sentais l’orgasme venir, arrivée trop vite, cette sensation brûlante m’a parcouru le bas-ventre, les bouts de mes seins et ma tête, une fois de plus, explose,
Doris m’embrasse, sa bouche est savoureuse et me dis a l’oreille ; « Tu me feras jouir, mais, la prochaine fois…). Une émotion inédite m’envahit et je sens mon cœur battre la chamade.
Nous nous habillons entre rires et commentaires anodins, on descend pour faire le ménage, nous rassemblions à une vraie couple d’amoureuses, que, s’occupent de taches quotidiennes. Vers 13 heures, nous étions prêtés à partir, l’avais un petit pincement au cœur que le WE se finisse, et au même temps contente de retrouver Vincent.
Nous avons mangés dans un restaurant du village. Bien sûr, au bord de mer on mange de fruits de mer. Nous avons partagé les crustacés, nous l’avons accompagnés du vin blanc sans nous quitter des yeux.
Les adieux dans la voiture, ont étais de moment inoubliables. Doris me regarde avec une extreme tendresse, m’embrasse doucement, me regarde encore, et me demande; ¿tu regrets. Je prend son visage et l’embrasse a mon tour, ensuite je lui répond; ¡ni aujourd’hui, ni demain, ni jamais!. Elle démarre sa voiture, en partant, m’envoi a travers la vitre, un bisous avec sa main.
Je reste a regarder quand la voiture que s’éloigne, avec le sentiment profond, que notre vécu de ce WE, ne peut pas se terminer ici. La sincérité et la passion que nous avons mise dans notre rencontre, ne sont pas les résultât d’une simple expérience sexuel, nos ressentis ont bien étais plus profond, que par moment, me provoquent une certaine inquiétude.
Quand je traverse l’untel de la porte d’entrée de notre appartement, Vincent me reçois avec un grand sourire et me tends ses bras pour me serrer contre lui. Nous sommes mis d’accord avant mon départ en WE, que nous, ne nous téléphonerions pas, alors Vicent ignore tout de ce que j’ai vécu avec Doris.
La seul question que me pose Vincent quand il m’avais entre ses bras;« ¿ tu es contente de ton WE ?. Je lui ai répondu avec une voix méconnaissable ; « vraiment, j'ai vécu un WE merveilleux, plein de découvertes », et je le serre fort à mon tour.
Même si ma réponse lui avait mis l’eau à la bouche à Vincent, nous avons repris le cours de la journée avec les taches habituelles et les préparatifs pour la reprise du travail du lendemain.
Nous sommes couchés à l’heure habituelle, je n’ai pas pris de douche, je voulais conserver sur moi le parfum de Doris. Je souhaitais que Vincent puis le sentir, tel que moi, je sentis son parfum sur le corps de Vincent quand il revenu a mes cotes après avoir fait l’amour à Doris.
Seulement quelques instants, lui a fallu à Vincent pour reconnaître les arômes de Doris. Les arômes sucrés et persistantes que font partis de la peau de notre « amant-e », réveillent la libido de Vincent.
Nous sommes mis de côté, l’un en face de l’autre, et je commence pour lui raconter notre arrivée à la maison, notre promenade sur la plage, la soirée et tous les petits détaillés de la nuit passe entre les bras de Doris.
Le regard de Vincent est devenu fiévreux, avec sa main droite, il caresse sa queue raide et grosse, sans perdre un mot de mon récit. Quand je suis en train de lui raconter l’scène de la douche, j’entends la respiration de Vincent s’accélérer, son corps tout entier tremblé perceptiblement, et, un liquide chaud, gluant glissé sur mes cuisses.
Nous sommes mis de côté, l’un en face de l’autre, et commence pour lui raconter notre arrivée à la maison, notre promenade sur la plage, la soirée et tous les petits détaillés de la nuit passe entre les bras de Doris.
Le regard de Vincent est devenu fiévreux, avec sa main droite, il caresse sa queue raide et grosse, sans perdre un mot de mon récit. Quand je suis en train de lui raconter l’scène de la douche, j’entends la respiration de Vincent s’accélérer, son corps tout entier tremble perceptiblement, et, un liquide chaud, gluant glisse sur mes cuisses.
J’approche mon visage du sien, et je continue à lui raconter la fin de la scène, avec une voix suave et sensuelle. Moi, je souhaitais, transmettre à Vincent, tout le plaisir que je ressenti auprès de Doris, ma jouissance, et chose bizarre, je ne lui pas dis toutes mes émotions.
Nous sommes restées long temps collés par le foutre que Vincent avait mis sur mon bas-ventre. Je suis tombé dans un profond sommeil avec un sourire inédit.
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