ELLE, LUI ET MOI

- Par l'auteur HDS TULIPE -
Récit érotique écrit par TULIPE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Récit libertin : ELLE, LUI ET MOI Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2021 dans la catégorie Plus on est
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ELLE, LUI ET MOI
ELLE, LUI ET MOI

Tout a commencé par un rêve érotique que depuis quelques années m’obsède, surtout dans le moment d’intimité avec mon compagnon. Dans mes rêveries, je regarde mon compagnon faire l’amour avec une autre femme.

J’aime sentir que Vincent ne m'appartient plus. Sentir que je suis dépossédée de lui tout en étant fière d'être sa compagne. Concrètement, je l'imagine toucher une femme qui ressent du plaisir sous ses caresses. Visualiser ce genre de scène m'excite énormément.

J’imagine l’autre femme qui ressemble parfaitement au type de femme que Vincent aime. Parfois, ce sont des visages de femmes connues, des amies, des collègues de travail. Parfois, j’essaie d’éviter de penser,  mais les images viennent d'elles-mêmes et je les laisse venir.


Une nuit, lorsque nous faisions l’amour, entre embrassades et caresses a un moment de grandes excitations, je lui glisse à l’oreille mon fantasme de le voir avec une autre femme faire l’amour.

Au moment de lui avouer mon fantasme, Vincent s’est excité davantage et me demandait de lui donner plus de détails, au même moment qu’il me donne plusieurs coups de reins qui font mon bonheur et laisse présager un avenir prometteur pour mon fantasme.

Les jours qu’on suivi a mon « aveu » érotique, nous avons parlés plusieurs fois de l’éventualité de laisser rentrer dans notre intimité une femme. Nous avons beaucoup réfléchir aux conséquences que pourrait avoir dans notre couple, l’irruption d’une femme dans notre lit et, pesant les pour et contres, nous décidons de continuer avec notre « fantasme ».

Ce sont passes, peut être, trois ou quatres semaines, quand un soir Vincent est arrivé plus tard que d’habitude de son travail, j’étais déjà au lit et prête a m’en dormir. En pénombres, Vincent se déshabille très vite et se met tout nu à mes côtés.

Encore tout excité, me dis qu’il vient de coucher avec une ancienne collègue. Quand je l’entends me le dire, je ressens un feu entre mes cuisses, que monte jusqu’à ma tête et une étrange excitation envahi tout mon corps. 
Je lui demande a Vincent de  tout me raconter au même moment qu’il vient  sur moi. Notre excitation est déjà a son paroxysme, je sens un liquide chaud que coule de mon sexe, Vincent me pénètre très rapidement d’un seul coup de rein, je ressent sa verge dure et grosse qu’ouvre la chair de mon sexe et arriver tout au fond de moi.

Commence pour me dire son prénom, Doris, et me décrit son corps, une jolie femme blonde, yeux bleus, petite, plein de vie, passionnée.  A chaque mot de Vincent, mon excitation monte un cran de plus.

J’ai eu plusieurs minis orgasmes à fur et mesure que Vincent me parlait  du corps de Doris. Il me dessiné avec des mots sa bouche, ses lèvres. Vincent me raconté sa façon d’embrasser, de sa peau douce et parfumée, de ses seins très sensibles, de son sexe rose et petit, de ses fesses rondes, de ses gémissements, de ses mains, de son visage quand elle jouissait.  
J’avais l’impression que nous faisions l’amour avec Doris, je fermais mes yeux et j’imaginais la scène selon les récits de Vincent, quand lui caresser son corps, je les imagine en s’embrassant tout nus, je ressentais dans ma tête le moment dont ils ont joui, et sans me rendent compte, moi aussi, j’étais en train de jouir.  
Nous avons continué à en parler encore longtemps. Je lui demande à Vincent de continuer sa nouvelle relation avec Doris, de ne pas s’inquiéter pour moi a une seule condition, qu’il me raconte chaque rencontre avec Doris.

Je prends le sexe de Vincent avec ma bouche pour lui donner de l’énergie et titiller sa passion, mais il me rappelle le RV avec Doris le jour même, puisque l’aube pointée son nez et nous avions besoin de nous reposer.

Le lendemain, Vincent est parti au travail un peu plus tard que d’habitude, et moi je suis resté à la maison, profitant des vacances scolaires. Pendant toute la journée, j’ai eu une douce excitation en attendant le retour de Vincent pour nous préparer à tant désiré rendez-vous.

Je me sentais comme une adolescente qui allait à son premier RV. Un mélange d’excitation, de peur, de pudeur et d’envie.

Comme prévu, nous nous rendons chez Doris, Nous sommes arrivés alors que la nuit venait de tomber. le ciel d’encre avait noirci le ciel, l’air était doux et embaume les arbres d’un grand jardin.

La porte s’ouvre et apparaît Doris, sublime, couverte d’une robe d’un vert boisé et sa décolletée que glisse discrètement entre ses seins sont en parfaite harmonie avec ses yeux bleus, lumineux comme des éclats d' étoiles filantes. Ses  cheveux blonds, doux, courts  embellis encore plus son joli visage et un maquillage discret qui fait ressortir. le rouge clair de ses lèvres.

Je me suis tout de suite épris par Doris, sa délicieuse voix accompagnée de ses mouvements dans le salon cherchant à nous mettre à l’aise. Au coin du salon, le feu de cheminée éclaire la pièce, plus la chaleur et les arômes que dégage rend l’ambiance envoûtante. Un tapis devant la cheminée, quelques cousins attendent avec douceur nos corps que devinent  les caresses et le plaisir à venir.

Nous avons bu du champagne en discutant de tout, de rien, échangeant sur les vacances, le travail….Nous enfonçant dans le défilé des heures, nos corps se sont appelés, nos sensualités réclamaient l’exaltation.

La nuit a été longue et courte à la fois. Longs car trois corps se sont aimés jusqu’à l’aube, longue car se sont fait la guerre jusqu’au petit jour, longue car les assauts se sont répétés, inlassables, foudroyants, lumineux et jusqu’au moment où les ténèbres abdiquent. Courte parce que le plaisir a été notre étoile du berger et parce que les plaisirs innombrables et voluptueux ont contracté le temps.

Notre hôte est fantasmagorique, une chimère sensuelle et farouche, tantôt soumise, tantôt maître. Doris est une créature de la nuit, ombre féline, sous sa robe se  cachent de trésors de plaisir qu’elle dévoile selon, sa pudeur ou ses impudeurs.

Le tapis du salon et quelques cousins attendent avec douceur nos corps que devinent  les caresses et le plaisir à venir, nos sensualités réclamaient l’exaltation. Ah ! Si ces murs pouvaient parler ! Témoins de tant d’ébats  pleins de sensualité.

Au bout d’un moment, Vincent se rapproche de Doris, et l’embrasse doucement. Je regarde assise à ses côtés. Ils ont continué à s’embrasser, Vincent s’allonge sur le tapis et Doris vient sur lui. Ils se sont dévêtus avec lenteur, avec langueur comme on ouvre une friandise gourmande. Moi, je serre mes cuisses avec force pour retenir le feu que je ressens dans mon sexe.

L’atmosphère était sensuelle et explosive, douce et animale. L’âtre renvoyait ses crépitements erratiques en échos aux étincelles de désirs sourds qui illuminent nos regards fiévreux.  Doucement Doris se retourne sur son dos, écarté ses jambes et je peux voir ses seins ronds, avec une tenue merveilleuse, son sexe avec quelques poils que brillent à cause de la sève savoureuse de cette délicieuse femme.

Vincent suce délicatement un de ces seins au même temps qu’il pince l’autre, le corps de Doris bouge au rythme de caresses. Je ne pouvais plus, mon excitation je la ressens dans tout mon corps.

Quand Vincent enfonce sa tête entre les cuisses de Doris laisse échapper un petit cri de plaisir en même temps que nos regards se croisent. Je lui ai tendu ma main, et nos mains se sont liées, aveuglées par nos pulsions que nous avons découvertes d’abord à la pulpe de nos doigts, tel des non-voyants déchiffrant un braille incendiaire.

De la main droite je soulève l’avant de ma robe et je dévoile ma voluptueuse  poitrine. Elle s’approche encore un peu plus de moi, pose ses mains sur mon visage et m’embrasse tendrement. Vincent nous regarde sans pouvoir dissimuler  son excitation.

Nos corps nus, excitées, entre les ombres provoquées par le feu de la cheminée, nous nous adonnons au plaisir de la chair. Je regarde Doris, je la caresse, je l’embrasse, je la serre contre moi pour sentir tout son corps contre le mien.

Nous nous embrassons, elle glisse sa langue doucement dans ma bouche,  nous sommes restés longtemps unis par nos lèvres avant que je prenne sa douce poitrine,  je l’ai prise comme une sucrerie  qui se veut chère. Vincent s’allonge à côté de Doris et me laisse livrer à mes envies.

Je sens le regard d’approbation de Vincent qui m’encourage à vivre intensément ce moment. Je ne simule pas mon plaisir, je regarde la grande queue de Vincent qu’il caresse doucement tout en nous regardant, le voir ainsi multiplier mon excitation.  
Doris avec ses yeux brillants, serre avec force ses jambes, chaque gémissement est accompagné de sensuels mouvements de son corps. Mes lèvres découvrent son corps que Doris m’offre. Ses mains dirigent les mouvements de ma tête, ses cuisses tremblent,  sa respiration saccadée témoigne du plaisir que provoquent les caresses.

Nous arrêtons nos ébats par les bruits que fait Vincent quand il ouvre une nouvelle bouteille de champagne que venait de prendre d’un seau bien froid. Nous versons chacun une flûte de champagne, en laissant perler des gouttes piquantes qui tombent sur la poitrine de Doris et ses tétons bien pointus, que je me suis dépêché de récupérer doucement avec ma langue.

Nous buvons, on se raconte notre plaisir, nous nous regardons avec Doris et chaque regard est chargé de désiré, elle regarde mes seins, mon sexe, elle passe le dos de sa main sur mes seins, mes tétons, j’écarte mes cuisses pour sentir ses petits doigts glisser sur ma fente bien mouillée.  Sa bouche entre ouverte m’invite à lui introduire ma langue, je sens la chaleur de sa main droite qu’écarté mon sexe, je ferme mes yeux et je m’abandonne au plaisir. 
Nous nous embrassons avec passion dans cet inédit moment de plaisir, elle me serre fort et d’un mouvement je me retrouve allongée sur elle, nous continuons  à nous embrasser. Doris est une révélation pour moi, j’adore la sensualité de nos caresses, la douceur de ses courbes, pouvoir jouer avec sa poitrine très sensible.

Doris et moi, nous continuons avec plus de passion nos caresses, je ressens son envie  en même temps qu'une certaine peur de se laisser aller complètement. Elle caresse mes seins, elle mordille mes tétons,  une de ses mains écarte mes cuisses, avec l’autre main, prend ma nuque et me pousse vers sa bouche. Doris mord délicatement mes lèvres au même temps que je sens sa main que s’approche de mon sexe. Je laisse échapper un soupir tout en fermant les yeux pour profiter de ce moment de plaisir.

Elle vient sur moi, m’embrasse comme si Vincent n'existait pas. Doris frotte son pelvis contre la mienne, quand tout d’un coup, je sens que Vincent se place derrière Doris.

Tandis que Vincent commence à introduire son sexe dans celui de Doris, il passe ses mains sur ses hanches perlées de sueur, un coup de rein est suivi d’un long cri de plaisir de Doris, de ceux que sont impossibles  de retenir et que se termine par un murmure incompréhensible, comme si elle tente d’atténuer le bruit de sa respiration oppressée.

Je ressens les mouvements de Vincent à travers le corps de Doris, je la sensation de jouir  à chaque coup de rein un peu plus profond que reçoit Doris, chaque fois plus fort que lui arrache un spasme d’une étrange jouissance silencieuse que nous la découplon par le croisement de nos regards.

Doris sent les quatre mains sur son corps qui la serrent très fort et se mettent à trembler à l’unisson. Nous  voulions nous confondre en un seul corps. Je sens la douceur des seins de Doris que viennent effleurer  les miens, sa respiration à chaque instant de plus en plus saccadée jusqu'au moment qu'elle tombe de tout son poids sur moi.

Je ressens le plaisir de Doris, sa tendresse,  je lui tends mon bras pour qu’elle repose sa tête et j’embrasse son visage. Vincent très excité, à genoux devant moi, soulevé mes jambes et enfonce  sa colonne de chair dans mon sexe.

Je sens le bruit de nos sexes mouillés à chaque coup de rein que me donne Vincent, Doris prend ma main et me regarde. Vincent continu avec son va et vient dans mon sexe, il n’a pas fallu longtemps et quelques coups de reins pour que Vincent me fasse jouir, J’étais tellement excitée.

Vincent  a goûté notre union, il nous a pénétrés à toutes les deux, il a lapé les lèvres secrètes de Doris que débordait  le jus de l’extase. Nos corps exultent en une danse tribale, une bacchanale orgiaque, un triumvirat puissant et irrésistible.

Le regard de Doris  est tendre, elle prend ma main et la caresse, la met sur ses seins. Je serre ses tétons doucement, Doris émet de petits gémissements de plaisir et s’allonge sur le tapis, les cuisses écartées, les yeux fermés, sa délicieuse bouche entre ouverte, prenant sans retenue le plaisir que je suis en train de lui donner.

Je descends avec ma bouche par le ventre de Doris, je m’enivre avec l’arôme de son sexe, je glisse mon visage entre ses cuisses, délicatement j’écarte les lèvres de son sexe, mouillés, d’une couleur rose merveilleuse.

Oui, comme cela ! Un peu plus haut ! Me guide Doris en gémissant sous les mouvements de ma langue qui frôle son sexe.  Ses jambes entourent mon dos et tremblent de plaisir.

 Je suis éperdue de désir et goûtant la douceur de chaque millimètre de son corps, chacune de mes caresses provoque des réactions de plaisir en elle et  seconds plus tard, laisse sortir sa respiration retenue se mélangeant avec un cri de plaisir.

L’excitation, la chaleur de la cheminée, on sèche nos bouches, alors nous avons fait une pause pour boire du champagne, reste dans un seau au coin du tapis. Doris assise en face de moi, nos jambes entrelacées, doucement nous caressons nos sexes, en même temps que nous buvons du champagne. Nous nous embrassons assis devant la cheminée, nous nous caressons en nous regardant tous les trois.

Nous restons ainsi de longues minutes, reprenant nos esprits pendant que nos souffles s’apaisent peu à peu. Doris, c’est elle qui rompt la première le silence et, éloignant son sexe mouillé du mien, murmure d’une voix étranglée, quand je pensais  que je n’aimais  pas les femmes. Je lui réponds, moi non plus, mais tout change un jour ou un autre.

Au petit matin nous nous habillons pour retourner chez, c’est avec une pointe de regrets que je mets mes chaussures avant de partir. Doris nous attend devant la porte, couverte d’un peignoir bleu clair. Vincent embrasse Doris et s’avance vers la voiture, je serre Doris par sa taille, j’embrasse son visage, ses lèvres. Elle glisse ses mains sur mon dos, mes fesses, nous, nous embrassons avec une passion que je n’avais jamais ressentie.

Ses mains lâchent doucement les miennes pendant que je rejoins Vincent dans la voiture.

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